« Dit grand-mère, c’était comment ma naissance ? Maman m’a dit que tu étais avec elle quand elle a accouché de moi. » Je regarde ma grand-mère. Mes yeux brillaient. Ils étaient d’un magnifique bleu quand j’étais petite. Je n’ai que cinq ans et je pose déjà ses mots à ma grand-mère. Je suis plutôt curieuse et j’ai vraiment envie que ma sexy me raconte comment mon premier souffle était. Ma grand-mère pose ses aiguilles à coudes et elle me regarde. Elle me fait un regard assez profond. Je comprends ses signent. Elle me tend les bras et je vais me blottir doucement dans ses bras. « Ma petite Birdy. Tu as le même caractère de ta mère. Toujours aussi curieuse. Le jour de ta naissance, ta mère et moi, nous commandions de nouveaux habits pour toi. Nous n‘aurions pas su que dès que la commande fut envoyer, ta mère aurait perdu les eaux. Ton père était à son travail et seul moi peux m’occuper de ta mère. Je la connais parfaitement. Après tout, c’est ma fille. Mais quand ta mère à perdu les eaux, j’étais déjà la sexy la plus heureuse du monde. Tu sais ma chérie, j’ai du emmener ta mère à la clinique. Nous sommes entré dans une salle… » « Avec pleins d’objets ? » « Oui avec pleins d‘objets. J’ai tenue la main de ta maman et la tête d’une magnifique jeune fille est apparue. Toi ! » Je souris et j’embrasse doucement sa joue . Ma grand-mère m’allonge sur le lit et me borde. J’embrasse sa joue et elle mon front .
A l’âge de mes sept ans, ma mère a divorcé avec mon père. Car il l’avait trompé avec sa secrétaire. Et ma mère à rencontré quelqu’un. Un garçon. Il va devenir mon beau père. Ils se marient à mes huit ans. Et le comportement de mon beau père à changer. Ma mère est parti faire des courses et se connard s’est rapprocher e moi pour me plaquer conte le mur. Il m’a frappé puis il m’a violé. Cela n’à durer qu’une ou deux minutes, et le temps qu’il finisse ma mère à pénétré dans la maison. Elle a appelé les flics bien avant mais c’était trop tard. Il a pris un vase et il a frappé avec le vase qui c’est casser de milles morceaux. Les flics sont arrivés bien après. Ma mère était morte et mon beau père lui a était condamner à mort. La gare est revenue à mon père, mais je pouvais toujours voir ma grand-mère. Elle-même à réussi à pardonner mon papa. Elle sait que le passer c’est le passer et qu’il faut vivre dans le présent. Je suis claustrophobe depuis. Je panique vraiment. De fois pour un rien mais je panique. Et dire que je vis encore à Londres. Je suis même allergique à se que les enfants préfère ; le chocolat.
Je peux dire que ma vie a était que banale. Je pense que mon dernier souvenir est de dix huit ans. Mon père m’a emmené au centre commercial. Il voulait qu’on passe une journée père-fille. Je peux dire que c’était une très bonne soirée. J’ai acheté beaucoup de tenue. Nous sommes sur le chemin du retour. « Merci pour cette fabuleuse journée papa . Il me regarde en sourient. « De rien ma puc… » « PAPA ATTENTION !!!! » Une voiture nous rentre dedans. Inutile de vous ire que nous terminons à l’hôpital. J4ai eux beaucoup de côtes casser ainsi que le bras. Mais d’ici trois quatre mois je devrais aller mieux. Mon père est mort sur le coup. L’enterrement à était très douloureux. Je n’ai jamais aimé se genre de cérémonie. La tombe est à côtés de la tombe de ma mère. J’ai était en pleure. J’ai eu enfin vingt et un ans et je décide de changer d’air. Je me suis installer à Paris et j’ai trouvé un boulot. Je veux simplement oublier le passer.