Sujet: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 11:37
Jagger "Twaggle" Creawley
❝ Fébrile, troublé par des vérités bêtes saoulé d'craquer mes filtres. ❞
ye m'aime, pas toi?
J'suis né(e) à Saint-Jacques d'Compostelle (SPAIN), il y a vingt-et-unes putains d'années et on m'a appelé jagger twaggle creawley. Je suis d'origine espagnole, muy caliente. Dans la vie de tout les jours, je suis ouvrier, à l'usine. et j'suis aussi voleur, mais chut. En dehors de ça, faut pas chialer hein, mais j’suis ouvert à tout, j'suis également un bail à céder et j’le vis bien. Je fais parti des tu t'laisses aller et j’en suis particulièrement fier. On m’dit que je ressemble souvent à philippe poutou et je remercie d, la réponse d.
je veux en savoir un peu plus.
Δ mec, parait qu't'es un latino, c'est quoi c'te gueule d'rosbeef, alors? et c'prénom d'merde?Tu tires sur ta clope, en haussant un sourcil. C'type, tu l'connais? En fait, tu t'en tapes, complètement. Absolument rien à branler, mais c'mec t'semble bien informé. C'est pas l'genre de questions qu'on t'pose, en général. Plus du genre «t'as du feu?», ou «on s'connait?», l'genre de questions que t’expédie d'un non desintéressé. Tu soupires en l'observant, avant d'lui recracher ta fumée à la gueule. Inutile d'te faire chier, surtout que si c'type sait tant d'choses sur toi, il sait aussi qu'tu t'laisses pas marcher sur les pieds, et que t'es un sale con. L'pire, c'est que c'type a raison. T'as pas une gueule d'espagnol, ouai, et? Ta mère a p'têt choisi d'se faire un anglais, c'est pas tes emmerdes. Et pour l'prénom, il va s'faire mettre. «On s'connait?» Non, tu l'connais pas. Question d'merde, histoire qu'il t'foute la paix. T'appuies ta clope contre son bras, avant d'le repousser de ton autre main. «Fais quelque chose d'utile d'ta vie, casse toi.»
Δ ho, parait qu'tu deales, ça t'dirait d'me filer d'ta cam' gratos? on est potes non? allez, fais pas ton radin, j'suis persuadé que t'as d'quoi m'fonce-der.C'type te regarde, avant d'te tapoter l'épaule. Lui, ton pote? Tu l'connais à peine, juste un blaireau qu't'as trouvé à comater dans les chiottes. Limite, il t'ferait presque d'la peine. Tu connais même pas son prénom, et il doit pas mieux t'connaître. Quelqu'un a dut lui balancer l'info, fausse d'ailleurs. Tu dealais, ouai, c'est plus trop le cas. Plus du tout, même. T'as juste voulu t'reprendre légèrement en main, en te trouvant un boulot un peu moins instable, mais p'têt pas autant rentable. D'toutes manières, tant qu'tu peux t'démerder avec l'peu d'thune qu'tu grattes à l'usine, ça t'pose aucuns problèmes. C'toujours mieux qu'caissier, où strip teaseur, d'ailleurs. «Mec, t'as aussi demandé des infos sur moi gratos?»Tu lui prends la bouteille d'vodka qu'il a dans sa main avant d'le vider cul-sec, le reposant sur l'comptoir dans un claquement. Ton regard se repose sur l'type, avant d'pose ta main sur son épaule. «C'était pour moi? Tu sais quoi, j'vais t'rendre la balle en t'aidant. Tu veux t'défoncer?» T'attends même pas qu'il t'réponde, même pas un simple hochement d'tête, tu reserres ta main sur son épaule avant de l'pousser en arrière, pour qu'il aille s'exploser comme une merde contre l'stéréotype du chauffeur d'camion, amoire à glace. «Tu vas voir, ça défonce grave!»
Δ la rumeur court qu't'as choppé une mst assez chiante, dude, t'approuves? j'espère qu'c'est faux, j'aurais bien terminé la soirée avec toi, ce s'rait con, non? Elle t'observe, avec un léger sourire dégueulasse en coin. Tu sais qu'elle a sorti c'te connerie pour rien, simplement pour caser sa demande plus où moins discrète. Elle l'savait pas, non. D'toutes manières, tu comptais pas finir la soirée avec elle, elle est carrément dégueu. L'pire, c'est que c'te tepu a raison, ouai. T'aurais même pas dit oui à la meuf, ou l'mec, l'plus sex' sur terre. Virus de l'immunodéficience humaine. L'VIH, où l'sida, quoi. Ça t'parait con, c'un peu l'truc dont on a pas arrêter d't'emmerder avec, mais tu t'en tapais complètement. Jusqu'à maintenant, en fait. «Sois sympa, à défaut d'être canon, ferme ta gueule.» Tu soupires, en la regardant tendre sa main difforme vers toi, se frottant les doigts. Tu glisses ta main dans ta poche avant d'lui balancer l'billet dessus. Quelle conne. T'es simplement porteur du virus, tu l'as même pas contracté ; mais depuis que tu l'sais tu refuses d'coucher, de peur de l'refiler à quelqu'un.
Δ meuf, mecs, les deux? faut t'décider mec, c'est soit l'un, soit l'autre. et va pas m'dire que t'es bi', c'est une connerie inventée par les gays, ça. Rick t'observes d'un air assez distrait, avant d'tiser l'verre d'whisky posé sur la table à côté d'lui. Toujours un putain d'souire scotché sur les lèvres, t'hausses les épaules légèrement. Il t'cause sexualité? C'pas tellement l'sujet sur lequel t'as envie de t'étaler, pas vraiment du tout, en fait. T'attrapes l'couteau déposé sur la table en avant d'le jeter sur la surface en bois, d'le reprendre et d'recommencer. Nerveux? Non, à peine. T'échappes un nouveau soupir avant d'fixer Rick. «Cherche pas, t'aurais aucunes chances avec moi, dans tout les cas.» Rick lâche un p'tit ricanement, comme il en a l'secret. Mais il t'répond rien, et il continue d'te regarder, en serrant légèrement les lèvres. Okay, il veut sa réponse. C'est fou c'que c'type peut être chiant quand il s'y mets, sérieux. Puis, ça l'regarde? Pas à qu'tu saches. Mais il t'laisseras pas t'en tirer avec une remarque pour évader sa question. «Pense c'que tu veux, j'trouve qu'un trou reste un trou, c'tout.»
Δ paraît qu't'as un frère, où que t'en avais un, qu'importe. c'est vrai, tout ça? pourquoi j'en ait jamais entendu parler, alors? ça sent l'secret familial, tout ça. Dès que l'type prononce le mot «frère», tes lèvres se pincent. Un frère? Oui, c'est juste. D'toutes manières, c'plus tellement un secret pour personne, même si tu t'es démerder pour l'garder secret jusqu'à maintenant. En fait, t'as jamais voulu en parler, et c'pas aujourd'hui, devant c'type complètement inconscient qu'tu vas déballer ton sac. Ni même devant n'importe qui, pas question. T'hausses les épaules, lâchant un petit soupir, las. Feignant de t'en contre-foutre, c'qui est faux, totalement faux. En fait, t'voudrais savoir qui est l'con qui a balancé l'info', pour lui faire regretter d'avoir ouvert sa gueule. «J't'en ait jamais parlé parce que t'es trop con, ça t'semble une bonne réponse?» C'qui n'est pas faux, au fond. Tu lui causes simplement parce que c'type bosse avec toi, et rien d'plus. La seule chose qu'tu sais sur lui, c'est l'nom qui est imprimé sur sa chemise. "Jean, ouvrier." Tout à fait passionnant, où pas, justement. D'toutes manières, t'as toujours pensé qu'à ta propre gueule, et c'Jean doit très certainement l'savoir, vu que tout l'monde semble lui balancer des histoires sur les autres. Et il doit aussi savoir qu'ton frère reste un sujet tabou, chez toi. T'aurais pas été au taff', tu lui aurais foutu ton poing dans la gueule, chose que tout l'monde rêve de faire, avouons-le. Tu soupires avant d'détourner un moment l'regard, cherchant à t'focaliser sur aut' chose, pour qu'Jean te foute la paix. Toujours évasif, dès qu'le sujet porte sur quelque chose qui touche ta vie privée.
Δ mec, c'est quoi c'te baraque d'bourge? t'as braqué une banque pour t'payer ça? azy, baisse ton calbut, j'suis sûr qu't'as des couilles en or. sérieux, en bossant à l'usine, comme t'as put t'faire tout c'blé? Tu refermes la porte derrière lui, en haussant légèrement les épaules. Tu l'savais, qu'il allait t'sortir un truc dans l'genre, un peu comme tout l'peuple que t'invites chez toi, et qui t'connaissent un minimum pour savoir qu't'es un putain d'branleur, au fond. Toujours la même question, toujours la même réponse. «Ho, rien d'bien passionnant, une vieille tante riche, qu'a clamsé.» Faux, c'est mal d'mentir. Mais tu t'en tapes, tu n'comptes plus l'nombre de fois que t'as sorti c'prétexte d'héritage, en passant par la grand-mère, l'arrière grand-père, l'oncle, et t'en passes. Encore une fois, tu refuses catégoriquement d'parler d'ta vie, d'ton espace privé. En général, personne n'est au courant de la véritable raison d'cette baraque. Simplement les personnes en qui t'as vraiment confiance, et y'en a pas toute une foule. Tu claques dans tes mains avant qu'une lumière qui t'nique la rétine s'allume, dans un claquement de langue tu siffles. «Baisser la luminosité.», et de suite, la lumière s'baisse un peu. Parfait. En vrai, tout c'blé, tu l'as pris aux autres. Et tu leur prends toujours, dès qu't'en as besoin. Ouai, t'es un putain d'voleur. On n'oublie jamais ses vieilles habitudes, hein. L'boulot à l'usine officiellement, voleur officieusement. T'es dans l'genre discret, et pas con, tu t'attaques juste aux baraques, pas les banques, les bijouteries où les trucs de c'genre. En esquissant un sourire dégueulasse, t'ajoutes. «Tu veux boire?»
(bon, j'pense pas en faire dix, ça va limite faire plus long qu'une histoire, donc j'vais voir.)
et toi, et toi, et toi ?
Votre pseudo sur le net ⇝ californication, mais j'me fais discrète. au pire, tu peux toujours m'appeler dieu, j'me reconnaîtrais. Où avez vous connu OLLP ⇝ c'une longue histoire. Age ⇝ treize ans. Présence sur le forum ⇝ évasive. Votre avatar ⇝ mouammar kadhafi. Pour nous aider ⇝ j'change pas d'avatar, donc j'pense pas que remettre l'code serve à grand chose, au pire j'le rajouterait, no problem. Le code ⇝ validé by gray.
Dernière édition par Twaggle Creawley le Mer 13 Juin - 20:11, édité 2 fois
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 11:38
jagger "twaggle" creawley
❝ Crétin, crâneur, cassant, crédule. ❞
J'ME REND À LA FOUDRE OÙ NOS PUTAINS SONT DES ANGES. ON VEUT CROIRE AUX RÉVOLTES DES DIEUX, QUAND SATAN S'FAIT PASSER POUR L'UN D'EUX.
Alors, je m’sauverais. Encore une fois, j’fuierais. J’m’extirperais de c’monde dont je n’veut plus, de c’monde qui n’me veut plus. De c’monde qui, maintenant entrainé par je n’sais quelle puissance, tourne sans moi. De c’monde qui ne m’as pas attendu, trop occupé, peut-être. Cet enchevêtrement de carcasses d’métal, d’amas de chair sans la once d’humanité. De ce système, trop précoce, trop évolué pour nous. Nous, les hommes. Nous, les inhumains. Une tête, un cerveau. La tête, nous sommes la tête. Commandé, réceptive aux ordres, mais au sommet. Au sommet? De quoi? De tout, de tous. D’ma mère, d’mon père. D’cette folie, qui nous consume tous. D’cette putain d’étincelle, d’cette foutue douleur, dans l’ventre. D’ce monde, d’ce putain d’foutage de gueule. Des pigeons, qui t’mangent dans la main, d’ces stupides volatiles, qui finissent en pulpe sanguinolente sous un coup d’pneu. D’ce pneu, d’cette voiture. Cette voiture, rouge, tu t’en souviens. Oui, l’jour où c’type t’as parlé. Tu t’souviens d’cette voiture, qui passait, qui s’fondait parmis les ombres. Tu t’souviens, du bras qui sortait d’la fenêtre, d’cette cigarette. Y’avait aucune fumée, aucuns résidus d’cendre qui en tombait. Pas d’lueur rouge, au bout. Absolument rien, juste c’bout d’papier, d’cette substance, à l’intérieure. Tu la sentais s’creuser, s’mettre à disparaître. Pour aller où? Pour quoi faire? Tu n’le savais pas, tu n’savais encore rien. Était-ce seulement possible? Tu t’souviens d’la carrosserie, rouge, d’la voiture. Elle t’renvoyait d’la lumière, elle t’niquait la rétine. Mais, quelle lumière? Tu avais tourné la tête, d’un centimère, à gauche. C’mouvement avait fait craquer l’une d’tes articulations, avant d’t’imprimer une légère douleur dans la nuque. Tes lèvres, encore pincées, et collées par l’manque d’eau, avaient bougées, leurs commissures s’étaient animées, s’étaient relevées. Une sourire dégueulasse barrait ta sale gueule, trahissait ton état d’esprit. Tu t’souviens? T’avais souris, pour la dernière fois, certainement. Pourquoi? Comment? Tu souriais, tu t’demandais la raison d’ce sourire. D’cette putain d’expression, d’cette hypocrisie. Un sourire amer, tu t’souviens du reflets d’tes dents dans la fenêtre, d’cet amas blanc, trop blanc à ton goût. Mais tu l’sais, rien n’était réel, à c’moment là. C’te voiture, rouge. C’te clope, vide. Ton sourire, faux. Toi, mort. Non, pas mort, t’avais bougé, tu t’souviens. Tu t’souviens, d’cette foutue douleur lancinante, qui t’prenait les côtés, qui t’compressait l’torse. Tu respirais plus, ton corps n’bougeait plus. Tu l’observais, c’point rouge. C’point rouge, sur l’passage piéton. Trop rouge, trop rond. T’arrivais même à sentir son odeur, à travers la vitre. Tu l’voyais, sur ton visage, sur la vitre. Il s’dessinait sur ta joue, autant qu’les traits blancs, impeccables, venaient t’barrer l’visage. Pourtant, tu n’les voyais pas pareils, pas aussi nets. Et tu n’sentais pas leur odeur, tu n’sentais pas c’mélange d’peinture, d’pluie, d’terre, et d’pisse. C’t’odeur d’humain, c’t’odeur d’voiture, de pneu. C’t’odeur d’oiseau, écrasé, c’t’odeur d’pain, jeté lamentablement entre l’bec d’un volatile. C’t’odeur d’paume, dans lequel s’était évadé la mie d’pain. C’t’odeur d’humain. Tu n’le sentais pas, pourtant, l’point, tu l’sentais. Là, tu l’sentais. Tu sentais cette odeur ocre, dégueulasse, d’souffre, écœurant. Cette odeur d’sang. Elle t’prend les narines, et s’mêle à toi, à ta respiration. Elle s’mêle aux battements d’ton palpitant, et tu la sens, en toi. Tu la sens, là. Pas comme l’passage piéton, sur lequel elle est échouée. Pas comme c’te peinture, contre laquelle elle est déposée, cette odeur. Tu sens ses effluves, tu les ressens. Proches, trop présentes pour n’être qu’éphémères, qu’produits d’ton imagination. Tu la ressens, ici. Ton épaule bouge, légèrement. Un centimètre, un foutu centimètre, et cette douleur t’paralyse le bras. Quelle douleur? D’où vient-elle? De toi, d’ta propre tête. D’ton propre cerveau, d’ton subconscient. L’sourire qu’t’avais s’agrandit, tu l’sens. Personne n’t’en as donné l’ordre. Pourquoi souris-tu? Tu l’ignores, nous l’ignorons tous. Et finalement, tu bouges l’bras, tu viens l’déposer contre la vitre. Contre c’te vitre, qui n’te protèges de rien. Surtout pas d’toi, d’ton reflet. Toi. Tu poses ton doigt, contre l’point rouge, contre l’endroit où tu l’vois apparaître. C’mouvement t’fais encore plus ressentir c’te foutue douleur dans l’ventre. Tu l’ignores. T’observes ton doigts, tu l’vois masquer l’point rouge. Et brusquement, tu vois l’point rouge couler, descendre d’ta joue pour venir s’échouer contre tes lèvres. Et tu l’sens envahir ta bouche d’son goût, d’son odeur, l’sang. Et tu l’sens, tu l’sens en toi, c’est d’sa faute. Tout est d’sa faute, à lui. C’putain d’couteau, planté dans ton abdomen. Tout est d’sa faute, ta main déposé sur l’manche d’la lame d’acier. Tout est d’ta faute. Tu t'lèves, brusquement. Les mains agrippés au draps d'soie d'ton lit, tu sens l'air venir t'balayer l'visage. Sans qu'tu saches pourquoi, ta main viens s'presser contre ton abdomen, tu n'sens rien. Absolument rien. Un rêve, un putain d'rêve. Toujours l'même. Tu frappes dans tes mains, par pur réfléxe, et une lumière t'éclaires. «Putain.»
(j'vous l'accorde, j'suis carrément partie en freestyle, va savoir pourquoi, et c'te partie n'sert absolument rien, mais limite, j'pense qu'j'ai pas mal développé les dix points, 'fin les six, pour l'coup. donc j'estime qu'j'ai pas spécialement besoin d'faire une histoire pour redire exactement la même chose, vu que j'l'ai fait sous forme d'rp, non?)
Dernière édition par Twaggle Creawley le Sam 16 Juin - 22:22, édité 1 fois
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 12:25
bon courage pour ta nouvelle fiche. :heartt:
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 12:32
merci :heartt:
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 14:23
twaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaagg (j'ai pas pu m'empêcher de venir pourrir ta nouvelle fiche, c'était beaucoup trop vierge à mon goût (a) break a leeeeg avec celle-là aussi *O*)
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 14:33
twaggy bonne chance pour ta nouvelle fiche.
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 14:34
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 15:41
ReBonne fiche de présentation
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 15:48
meeerci. :heartt:
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 17:39
Ma caille, bon courage avec la fiche de notre panpan muy caliente.
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 19:26
how, merci mathou :heartt:
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Mer 13 Juin - 21:59
Azy Tagg, j'te luchouille, histoire de te donner du courage pour cette fiche
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Jeu 14 Juin - 12:09
Moi j'te baise pour t'envoyer du courage.
- tu as dit que tu aimais qu'on pourrisse tes fiches, bah t'es servi, ahah. -
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Jeu 14 Juin - 13:39
moi aussi j'te luchouille, pour t'remercier luchouille haha ouai, j'suis carrément servie, et j'aime encore plus quand on m'baise pour m'donner du courage.
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Jeu 14 Juin - 14:16
Bon couuuuurage le toujours et sexy Twaggle
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Jeu 14 Juin - 14:23
merci, la sexy maureen
Invité Invité
Sujet: Re: don't be racist, hate everyone. Dim 17 Juin - 23:37
bienvenue sur ollp
❝ tu es maintenant officiellement sexy. ❞
Félicitation, tu es désormais officiellement un Ooh la la Parisien. Nous t'invitons maintenant à faire grandir ton personnage parmi nous à travers les liens et les topics. Évidemment, la chatbox et le flood sont deux moyens très efficaces pour t'intégrer aux autres et nous vous encourageons à y participer pour connaître l'ambiance de fou qui règne ici. Si les moyens cités plus haut sont inefficaces, n'hésite surtout pas à demander à un administrateur ou à un habitué d'ollp de te parrainer. Nous te souhaitons de merveilleux moments parmi nous et nous espérons que tu pourras trouver ton bonheur ici.
Yannie, Grayson, Ella, Lumen, Glagla & Albane
PS : my god, ta fiche est géniale, j'adore vraiment ta façon d'écrire.