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 Hate myself and want to die. + Lux +

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MessageSujet: Hate myself and want to die. + Lux +   Hate myself and want to die. + Lux + EmptyMer 28 Mar - 17:18


ELENA LUX BLACK-GRAZIOLI

❝ Hate myself and want to die. ❞




ye m'aime, pas toi?

J'suis né(e) à Paris il y a 21 ans et on m'a appelé Elena Black-Grazioli. Je suis d'origine Française. Dans la vie de tout les jours, je suis étudiante en Cinéma Audiviosuel et je travaille au Starbuck Coffee. En dehors de ça, faut pas chialer hein, mais j’suis bisexuelle , j'suis également célibataire et amoureuse et j’le vis bien. Je fais parti des hymne à l'amour et j’en suis particulièrement fier. On m’dit que je ressemble souvent à Kristen Stewart et je remercie Sway.
je veux en savoir un peu plus.

⇝ se ronge les ongles dès qu'elle est sur les nerfs.
⇝ ne peut pas s'empêcher de gigoter.
⇝ lorsqu'elle voit quelque chose à l'envers, elle le remet à l'endroit.
⇝ brûle tout ce qu'elle trouve.
⇝ passe constemment la main dans ses cheveux.
⇝ fronce toujours les sourcils lorsqu'elle ne comprend rien.
⇝ fait bouger ses doigts comme si elle jouait de la guitare lorsqu'elle s'ennuie.
⇝ tous les Vendredis elle les passe avec son grand frère Zola à regarder des films ou à sortir.
⇝ est vraiment très amoureuse.
⇝ cuisine vraiment bien.
et toi, et toi, et toi ?

Votre pseudo sur le net ⇝ Lou/ Scream. Où avez vous connu OLLP ⇝ Je sais plus xD Age ⇝ 15 ans. Présence sur le forum ⇝ régulière. Votre avatar ⇝ Kristen Stewart.
Pour nous aider▬▬ Kristen Stewart ◈ E. Lux Black-Grazioli




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MessageSujet: Re: Hate myself and want to die. + Lux +   Hate myself and want to die. + Lux + EmptyMer 28 Mar - 17:25



E. Lux Black-Grazioli
❝ il était une fois ... ❞



Introduction : Je vais vous raconter ma vie, de toute façon, vous devez bien la connaître un jour. Comme toute histoire, il y a la naissance, l'enfance, et l'adolescence. Ce sont des périodes assez banales de la vie je dois dire, l'école, le début de l'amitié, la découverte du monde, sincèrement, je n'ai pas trouvé ça très excitant. Tout a commencé à être très intéressant lorsque j'ai eu quatorze ans. et ça, grâce à mon frère, Zola. Puis il y a eu le moment où j'ai compris que j'étais le seul maître de mon destin. Ce sont des étapes, des évènements dans ma vie qui m'ont permis de comprendre ce que je faisais ici, et qui m'ont permis d'avancer.

And for him, never anger will come down again.
Hate myself and want to die. + Lux + 2preg411


J'ai dix ans, un nom à rallonge, avec un prénom que je n'aime pas. J'ai trois frères et soeurs, de soeurs, une de quinze ans, l'autre de sept ans, Mahaut et Izia. Et mon frère, Zola, de treize ans. On est une famille unie, on rit souvent, chaque week end, nous allons au cinéma, et nous jouons à des jeux de sociétés. Souvent, nous crions, mais parce que nous sommes heureux, parce que un des enfants a perdu au Monopoly ou parce que nous chahutons sur le canapé. Tous les jours, je vois mon père rentrer du travail et embrasser tendrement ma mère en la prenant dans ses bras, et je vois ma mère me regarder avec des yeux brillants de passion. Ces mêmes yeux dont j'ai hérité, tout comme Izia et Zola. Et puis mon père nous embrasse tour à tour, en commençant par Mahaut, et en terminant par moi. Ma vie c'est ça : l'amour. On pensait tous que notre famille serait telle quel toute notre vie, or un jour, notre père rentre du travail, la mine grave et pour la première fois de ma vie, je ne le vois pas embrasser ma mère et je ne croise pas les yeux pétillants de celle-ci. Au lieu de ça, un vent glacial semble les séparer. Mon père nous demande de nous asseoir dans le canapé. Alors en parfaits enfants obéissants, nous nous calons dans le fond du canapé. Il nous regarde. Je pose alors mes yeux sur ma mère, elle a les yeux baissés vers le sol, ses mains sont jointes sur ses genoux, et ses cheveux retombent sur son beau visage. Je m'apprête à lui demander ce qui ne va pas, pourquoi est-elle si triste, si... pâle. Des questions commencent à s'entrechoquer dans mon cerveau, j'entends des : "Pourquoi sont-ils ainsi ?", "Que se passe-t-il ?", "Je n'aime pas ça, ils ne sourient pas, ce n'est pas normal". Alors je jette un coup d'oeil à Zola et Mahaut, eux savent. Je commence à secouer le bras de mon frère pour qu'il porte son attention sur moi, mais non. Il déglutit et reste rivé sur mon père. Celui-ci prend la parole.
MR.BLACK : Elena, calmes-toi s'il te plaît et écoutes moi.
Je fais des gros yeux. Rien n'est normal. Lorsque mes parents nous apellent par nos premiers prénoms, c'est que ce n'est pas bon signe, souvent, nous allons recevoir une bonne correction, ou c'est signe de chantage. Mais là, ça ne pouvait être du chantage ou une dispute qui allait éclater, c'était bien pire encore. Ma mère est-elle malade, comme Nicole Kidman dans "Moulin Rouge" ? Ou mon père ? Je gigote dans le canapé et regarde mon père. Je vais pleurer, je le sais, je n'aime pas ne pas savoir. Je m'apprête à râler, lorsque mon père reprend la parole.
MR.BLACK : Je pars. Je m'en vais, je... Je suis tombé amoureux d'une autre femme que votre mère, je n'en peux plus de mentir.
Je regarde mon père avec de gros yeux et me mets à crier. Je hurle, je pleure, je frappe. Les cris, qui avant étaient des cris de bonheur, de rire, sont aujourd'hui des cris de désespoir, de colère. Ma famille reste là, à me regarder, ils savent qu'il ne faut rien faire. Ils doivent juste attendre que ça passe, que je me calme, que la colère descende. Or, mon père est un traite, un menteur et manipulateur. Et pour lui, Jamais la colère ne redescendra.


One Day, I'm sure everything can change
Hate myself and want to die. + Lux + 2cmu0z11


Juillet, l'année de mes quatorze ans, Italie. J'étais partie en vacances avec ma mère, Italienne d'origine. C'était des vacances qui s'annonçaient barbantes, avec comme seule occupation les champs et les moutons qui entouraient la maison de mes grands parents. Mais en fait, je me suis trompé. Mon frère, Zola, ou plutôt Benjamin ( vous m'excusez, mais Benjamin est moins "exotique" que Zola ), mon aîné de trois ans, avait bien entendu, beaucoup plus de libertés que moi. On a toujours été très proche, et je l'ai toujours admiré. Depuis mes onze ans, je piquais ses vieilles affaires et en faisais ma garde robe. J'avais une soeur, même deux, mais si vous voulez, la grande était une vraie femme, sûre d'elle, douée. Elle était le bijou de mon père, celle qui réussissait tout, et Zola et moi étions un peu des ratés à côté d'elle. J'avais beau l'aimer, je ne l'admirais pas, mais la jalousais. Quant à ma petite soeur, mon seul but était de l'embêter. Ma mère a toujours eu une préférence pour Zola. Il était doux, nonchalant, et passionné. Il avait l'âme d'un rêveur, il était digne de confiance, et bon. J'aimerais vous dire où je me plaçais dans cette famille, j'étais juste la troisième enfant, qui ne cherchait qu'une chose, ressembler à son grand frère, et que son père prête attention à elle. J'ai toujours été un garçon manqué, je voulais des cheveux courts, des baskets, des jeans déchirés, et des tee-shirt avec la tête d'Eminem dessus. Or, mon frère voulait une véritable fille, comme l'était ma grande soeur Mahaut. Et j'étais réellement le contraire de ma soeur.
Ma soeur, bien qu'elle est la permission de trois heures du matin, n'est sortie qu'une fois ou deux pendant les vacances, alors que mon frère, qui n'avait que deux heures du matin comme permission, passait sa vie dehors. Et moi, en bonne petite soeur collante, je venais squatter sa chambre et tout en mangeant la première chose que je trouvais à me mettre sous la dent, je lui demandais ce qu'il comptait faire le soir même, et un jour, il me proposa de venir avec lui. Évidemment, j'en mourrais d'envie, je ne demandais que ça, de passer du temps avec Zola. Alors après avoir soudoyé ma mère, nous sommes allés nous promener à Sienne, une ville de Toscane. Il avait trouvé des amis, qui ayant le permis, pouvait nous emmener où nous voulions. Donc nous avons fait une escapade dans cette magnifique ville. Rassurez vous, mon frère n'est pas un délinquant, il est très sage (même parfois un peu trop sage), nous n'avions rien fumé hormis des cigarettes, et n'avions rien bu hormis une bouteille de bière (le conducteur était sobre, ne vous inquiétez pas). On est allé dans un bar, où tournait en boucles de vieux titres de rock'n'roll. Moi, innocente, qui n'écoutais que One-T et Eminem dans ma chambre, j'ai entendue Joan Jett, The Rollings Stones et Oasis. Autant vous dire que ce fut un choc. J'ai toujours été têtue, je ne voulais pas qu'on me force à écouter ce que je ne voulais pas, c'était à moi de décider. La seule personne qui écoutait du rock chez moi, c'était Zola, mais dans ses écouteurs. Mes parents écoutaient du jazz, de la soul, certainement pas Joan Jett. J'ai compris que je m'étais trompé, le rock'n'roll, c'était moi, leurs paroles me parlaient, dans ce bar, je me suis sentie étrangement dans mon univers. J'avais l'impression d'être dans ma maison, qu'aucun doute ne m'emplissait la tête. Et parmi ces motars tatoués et ces blondasses Italiennes, j'étais la jeune Lux, rebelle et passionnée, qui désormais n'avait plus qu'une idée en tête : piquer la guitare de son frère et se mettre à chanter "I love rock'n'roll" en donnant tout ce qu'elle a. Et puis il a fallu rentrer à la ferme, nous nous sommes couchés à l'heure, et pendant toute la nuit, je me souviens avoir revécu cette soirée.

When I look at you, I see a bad man.
Hate myself and want to die. + Lux + 2jaf0911


Il y a des choses dans mon passé que j'aimerais oublier, changer. Sauf que je n'ai pas le choix, c'est ainsi, et je ne peux rien changer. A mes seize ans, ça a été la dérive. J'étais malheureuse, je me sentais trahie par mon père, rejetée par ma mère. Je ne savais plus où me mettre. J'ai commencé à fréquenter des personnes, qui, à première vue, semblaient être comme moi. Mais en réalité, je m'étais trompé, ces gens aimaient peut-être aussi le rock, les cheveux courts (pour filles) et cheveux long (pour garçons) et les jeans déchirés, mais ils aimaient surtout la drogue et l'alcool. Je n'étais pas le genre de fille influençable, mais j'avais confiance en eux, et c'était quelque chose que je voulais essayer. Alors j'ai commencé à toucher à "tout" (aucun besoin de vous citer ce qui compose ce "tout"). Et malheureusement, j'ai aimé. Alors, souvent, je me défonçais. Mon frère a tout vu tout de suite, ma mère elle, n'a absolument rien vu, de toute manière, elle s'en foutait. Zola, protecteur comme il l'était, a tout de suite essayé de stopper mes délires, mais j'étais futée et têtue, et même si c'était la personne que j'écoutais le plus au monde, il n'a pas gagné cette fois. Un jour, ce fut la dérive totale.
C'était un week end que je devais aller passer chez mon père. Autant vous dire que ce n'était pas la joie à la maison. Ce n'était que tensions et remarques poignantes de ma part. Certes, il essayait d'arranger les choses avec moi, mais c'était trop tard, le mal était fait, et malheureusement pour lui, il n'allait pas réussir à obtenir de la sympathie de ma part. Ce week end là, je comptais faire comme tous les autres passés chez mon père : fermer la porte de ma chambre, et jouer de la guitare. Or, mon père avait décidé de nous annoncer deux mauvaises nouvelles : un, que nous avions un demi-frère caché de 13 ans, qu'il avait eu avec sa maîtresse de l'époque, et désormais, sa future femme. Autant vous dire que j'ai pété les plombs.
LUX : Tu n'as pas le droit ! On était une famille heureuse ! Tu n'as pas le droit ! Pourquoi tu devrais être heureux et pas nous ?!
Je balançais dans tous les sens tout ce que je trouvais. Ma petite soeur s'est mise à pleurer et a couru hors de la maison, mon frère lui, essayait de me calmer, tandis que Mahaut regardait la scène collée contre la porte du salon. Je me souviens avoir prit le téléphone et l'avoir balancé par la fenêtre puis avoir fait tomber la télé au sol. J'étais prête à renverser le canapé lorsque mon frère m'a entouré de ses bras et m'a emmener dans ma chambre tandis que je me débattais et hurlais :
LUX : Tu n'est qu'un connard ! Je te déteste !
Mon frère m'a enfermé dans ma chambre et j'ai commencé à tourner en rond, tout en passant constamment mes cheveux. J'étais dans un tel excès de colère, je ne pouvais rester concentrer sur une chose, je ne pouvais rester assise, il fallait que je bouge, que je gigote. Mes idées se brouillaient, ça n'allaient pas. Je devais faire quelque chose. Alors j'ai foncé sur mon bureau et ai ouvert le tiroir. J'en ai sortis de l'herbe et des médicaments. J'ai commencé par couper puis écraser les médicaments, et pendant cinq bonnes minutes, j'inspirais la poudre blanche. Puis j'ai roulé mon joins et l'ai fumé, tranquillement, lentement. Puis j'ai senti ma tête se tourner, j'ai vu ma vision se troubler, et des sueurs froides ont commencé à m'envahir. Puis j'ai fermé les yeux et j'ai attendu. Je ne sais combien de temps, mais je me rappelle seulement qu'à un moment, je me suis dressée sur mes pieds et j'ai avancé en zigzaguant vers le salon. Puis je me suis accrochée au meuble d'entrée du salon et ai salué tout le monde maladroitement (ce que je vous raconte à partir de maintenant est le témoignage de mon frère). Puis j'ai avancé et ai balancé quelque chose comme :
LUX : Eh bien, eh bien, voilà M'sieur Black... Qu'avez vous aujourd'hui à nous annoncer pour casser l'ambiance ?
Puis j'ai gloussé et me suis affalée dans le canapé. Ensuite, j'ai commencé à chanter "Do you wanna touch me". Je chantais, riais, chantais, riais. Et je ne faisais que ça. Mon frère a commencé à hurler, et je l'ai entendu lancer à mon père :
ZOLA : Vois-tu ce qu'elle est devenue ? Papa ! Elle est raide défoncée ! Elle a besoin d'aide !
Mais pourquoi mon père se soucirait-il de mon cas ? Je n'étais pas sa fille préférée, c'était Mahaut qu'il aimait le plus, pas moi. Il ne s'était jamais soucié de mes problèmes de santé, alors pourquoi s'en soucirait-il maintenant ? Et tandis qu'ils s'enguelaient, qu'ils parlaient de mon cas, je me sentais partir. Je ne sais pas où j'allais, mais j'y allais, et calmement, sans me soucier de ce qui se passerait après. Je me souviens avoir senti quelque chose couler de mon nez, et avoir senti un goût métallique sur ma langue après avoir léché mes lèvres. Et je me souviens avoir entendu :
MR.BLACK : Tu dis n'importe quoi. Ce n'est pas ma faute ! Je m'en fiche, fais ce que tu veux, ce n'est pas mon souci.
Et là je me suis mise à pleurer d'après mon frère, mais ce fut un gros sanglot, puis plus rien. J'avais fermé les yeux, j'étais "aux abonnés absente." Et quelques minutes plus tard, je dormais paisiblement sur un lit d'hôpital, avec à ma droite mon frère, et de l'autre côté, mes soeurs et ma mère. Mon père, lui, n'était pas là...

He takes all the place, he is the one.
Hate myself and want to die. + Lux + 117slm11


J'ai dix-huit ans au compteur, le nom de mes deux parents, un appartement avec mon frère, et plus de père. Quand je me suis réveillée à l'hôpital après mon overdose, j'ai compris en remarquant l'absence de mon père, que je n'avais plus rien à lui dire. C'était un con, il ne méritait plus d'avoir des enfants comme nous, il ne méritait plus nos caresses et nos sourires. J'ai coupé les ponts, j'ai même essayé de changer de nom, de ne garder que "Grazioli", mais je n'y suis pas parvenu. Ma mère n'était pas d'accord pour que je renie ainsi mon paternel, mais c'était l'homme qui lui avait menti, et qui l'avait trahi. Et je ne voulais plus rien avoir à faire avec lui. C'était peut-être dure comme réaction, mais c'était mon choix, et il n'était pas prêt de changer. Lorsque je suis sortie de l'hôpital, mon frère m'a prit sous son aile. Comme ma mère ne se sentait plus d'attaque à nous gérer Zola et moi, il a cherché un appartement que ma mère a payé, et j'ai été émancipée. J'ai pu aller vivre avec mon frère. Il m'a aidé à m'en sortir, j'ai arrêté de fréquenter les personnes qui m'avaient entraînées dans la drogue, il m'a fait comprendre que j'étais la seule à pouvoir décider de mon destin, de mon futur. Que je ne devais écouter que mon coeur, pas forcément ma raison. Que je devais me faire confiance, et accorder cette confiance aux gens qui en valent la peine, pas aux premières personnes qui à première vue, semblent intéressantes. Il m'a dit que je devais cesser d'être naïve, que je devais toujours me montrer sur mes gardes, méfiante, même avec les personnes les plus proche, comme mon père. Même si j'ai écouté tous ses conseils, je n'ai pas réussis à voir d'une autre manière Zola. Il était mon grand frère, et je ne pouvais pas douter de lui. Il était tellement sincère, tellement convaincant... Avant, mon frère n'était que la personne que je voulais être, et après mon séjour à l'hôpital, je me suis rendue compte qu'il était à la fois mon grand frère, et à la fois le père que je désirais retrouver. Il avait ce côté protecteur, même parfois un peu trop qui me donnait envie de lui donner une bonne claque, et il y avait ce côté doux qui me faisait me sentir comme une enfant de six ans. Je l'aimais mon frère, et ce n'est pas pour moi que je me suis prise en main, mais pour lui. Car Zola souffrait.
Le début a été réellement compliqué, j'ai cru que je n'y parviendrais jamais. Mais j'ai trouvé le courage, et petit à petit, j'ai réussis à me concentrer sur mes études, sur ma musique. Et j'ai repris pieds. Certes les blessures sont là, mais ça se soigne, et elles partiront un jour... J'espère... Je suis entrée à l'université, et j'ai décidé de me diriger vers le cinéma audiovisuel, ce qui fut une grande surprise pour ma famille qui était persuadée que j'irais étudier la musique. Mais j'ai eu raison, le cinéma me plaisait, je m'y sentais bien, et avec la musique, le cinéma, mon frère, j'ai retrouvée une vie stable.

I love rock and roll so put another dime in the jukebox baby. I love rock and roll so come on take some time and dance with me.




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