La nuit tombée dans son écrin de d'hiver, fraiche et sombre, c'est une nuit de plus dirais vous. Ordinaire et banal mais c'est ma nuit, nous sommes en septembre, cette nuit-là semble plus froide que les autres, malgré le soleil, elle est glaciale et les rues vides sans personnes. Trois heures sonne à l'église, et la ville est bien silencieuse maintenant. Alors que la tour Eiffel brille de mille feux, avec toutes ses belles lumières couleur or et bleu qui donne au ciel une couleur brumeuse et sublime, elle illumine tout les appartements aux alentours, et surtout ceux qui sont déjà éclairer par une infime lumière de salon. La musique rythme la nuit de ce petit appartement, un jeune couple et leur petite fille d’environ six ans dansent et change muni de micro en jouet alors que le père de celle-ci, joue pour elle un morceau de guitare très émouvant d’un père a son fille. Une soirée pleine de vie et pleine d’apaisement pour une famille ordinaire mais qui aime les choses simples de la vie. Charles, guitariste dans un groupe de musiciens et Charlotte, n’est autre qu’une vendeuse dans une galerie de marque au centre de Paris et ensemble dans leur sublime union qui dure depuis maintenant une dizaine d’années, ils ont mis ensemble au monde, une jolie petite brune qu’ils ont nommé Capucine Manon Lecompte. Tout ça n’est pas vraiment original, mais les deux prénoms que porte la jeune femme sont encrée dans l’histoire de la famille depuis toujours, Capucine n’est autre que le prénom de la mère de ce jeune Charles et Manon celui de la mère de Charlotte, a son tour cette jeune demoiselle possède des prénoms en héritage. « Papa, papa tu sais même pas jouer de la guitare toute façon, t’es même pas dans le rythme ! » Adorable, elle se met à courir dans tout l’appartement et son père la suit de très près a la poursuite de son petit ange qui traverse la salle chacun leurs tours et se met a courir autour de la table. Il l’attrape et la met sur le canapé et la chatouille encore et encore. « Papa, arrête ! » - « Pardon ? je crois que je n’ai pas entendu mon ange. » - « Mais arrête euh . » - « Qu’est ce qu’on dit a papa ? » - « T’es le meilleure papa. ». Doucement il se décale de sa fille qui a son tour lui saute sur le dos et crie dans tout l’appartement. « Huhu dada, allez papa, plus vite, plus vite. » Ils courent ensemble a grande vitesse, faisant bien attention que rien n’arrive a sa petite fille. Sur son dos, il la transporte jusqu'à sa chambre et la berce doucement dans son lit, leurs mains se lient encore et un beau sourire sur la magnifique visage de l’enfant. « Papa, tu penses qu’un jour je serais connue comme toi ? » - « Tu ne seras pas comme moi ma puce, tu seras encore mieux, la plus belle chose au monde ça sera toi. » - « Je veux être comme toi, moi. » - « Tu ne peux chérie, et tu sais pourquoi ? Parce que tu es déjà beaucoup plus fabuleuse que papa. » Elle sourit doucement et se redresse de son lit, elle s’approche de lui et se met dans ses bras, un sourire sur le visage de chacun et elle s’endort doucement et tranquillement dans les bras de son père qu’elle aime tant, quelques minutes après il la remet de nouveau dans ses couvertures, l’embrassant sur le front et s’avance vers la porte. « Bonne nuit ma merveille. »

Les années sur Paris, on beau défiler une a une, rien ne change dans cette merveilleuse famille. En la regardant tout le monde a bien l’impression de voir la famille parfaite ou jamais rien ne gâche leur bonheur, ou tout se déroule selon leurs plans, aucune tromperie, aucun mensonge, aucune réel bêtises, jamais une descente de policier, rien tout et calme et aimant dans cette famille qui respire la joie de vivre et l’amour. A ce moment précis toute la famille à grandit plus vite que jamais, tout le monde est heureux, la jolie petite Capucine a maintenant quatorze ans et étudie grâce a son père dans une belle école de musique de la ville, surement la plus prestigieuse, elle en est ravie et rien ne pourrait gâcher le bonheur de la famille Lecompte, unie comme jamais. Il fait sombre et comme chaque soir d’hiver dans notre pays, beaucoup de famille dors mais dans une salle des fêtes de notre charmante ville, un magnifique mariage est célébrer, l’oncle de notre belle Capucine se marie avec une charmante jeune femme, le mariage est célébré dans la bonne humeur et pourtant ce n’était pas gagner, cette jeune femme n’a que vingt deux ans alors que l’oncle en a déjà trente six, une différence d’âge énorme pour beaucoup de personnes mais dans cette famille, tout le monde avait appris a l’apprécier sans la connaitre réellement. Sur la magnifique scène décorée aux couleurs de la salle, du blanc, du rose et du beige, les couleurs d’une cérémonie simple et pourtant pleine d’émotions. Les témoins, font leurs discours un à un alors que les mariés pleurent chacun leur tours, Charles monte alors sur la scène et décide de sécher les larmes de tout le monde. « Et maintenant c’est parti pour la danse. », une chanson douce démarre pour l’ouverture de bal, tout le monde a les yeux rivées sur la marié resplendissante et sur le mari ému aux larmes. La soirée se déroule petit a petit et ce n’est autre que l’oncle de Capucine qui prend a son tour le micro. « Je voudrais si bien sur elle est d’accord que ma chère nièce Capucine vienne nous chanter un morceau pour ma femme et moi sur scène. » Tout le monde tourne la tête vers Capucine et c’est un nom de la tête et pourtant tout le monde l’applaudit pour qu’elle monte enfin sur scène. « S’il te plait Capucine. » Enfin elle se lève, et monte sur scène, elle prend le micro et la guitare et se met a fredonner une chanson qu’ils adorent tout deux, i’ll stand by you. Cette chanson choisit tout spécialement étant donné que c’est sur cette chanson que nos deux mariés se sont rencontrés lors d’une soirée entre amis. La chanson fini, son oncle vient l’embrasser sur sa joue et la laisse repartir a la fête, la soirée se fini enfin. Il est quatre heures du matin un soir de février. Capucine monte dans la voiture avec sa mère alors que son père reprend le camion ou tout son groupe de musique monte pour pouvoir ramener le matériel dans le hangar. Il neige et tout le monde roule doucement, tous ? Non, un camion n’arrivant plus a freiner fonce dans le camion et éjecte Charles par-dessus le pare brise. Capucine assiste a la scène et s’est totalement désespérée qu’elle sort de la voiture en courant et arrive devant son père en sang. « Non, papa, papa, réveille toi, papa, papa, ouvre les yeux, je t’en supplie papa. » Il ouvre les yeux doucement et un petit sourire se dessine sur ses lèvres. « Capucine, mon ange, promets moi de ne pas en faire voir de toutes les couleurs a ta mère, tu seras un enfant parfait je le sais.. Je t’aime mon petit cœur. » - « Papa, non .. » - « On se retrouvera chérie, je te promets, je t’attendrais ou tu sais. » - « Papa .. » - « Chante pour moi, chérie chante .. » - « Oh, why do you look so sad? The Tears are in your eyes. Come on and come to me now. Don't be ashamed to cry. Let me see you through .. » Et s’est alors qu’en plein milieu de la rue, les yeux de Charles Lecompte se ferme a jamais. Les ambulances, pompiers, policiers arrivent mais tout cela est bien trop tard pour sauver la vie de ce jeune père. Capucine en larmes sur son torse, les pompiers la soulèvent et on entend ses cris puissant et plein de larmes jusqu’au bout de la rue. « PAPA !!! » Les pompiers arrivent vers elle, et la regarde dans les yeux, hésitant un moment mais finalement se lance. « Nous sommes désolé, toutes mes condoléance mademoiselle et madame. » Capucine tourne alors la tête vers sa mère et fond en larmes dans ses bras, en ce jour de février, elle venait de perdre la chose la plus importante de sa vie, sa fusion, l’homme qui savait tout d’elle, qui savait la comprendre et surtout qui croyait en elle, elle n’avait plus rien et ses larmes ne pouvaient s’arrêter.

La mort d’une personne est perçu comme quelque chose de douloureux et qui a du mal a se refermer en nous, chaque jour ou ne voit pas la personne, on a l’impression de ne plus exister en nous. Chaque nuit, Capucine se réveille en plein cauchemar, elle voit son tendre papa en plein milieu de sa chambre, son ombre, son sourire qui la berce et pourtant elle le sait bien il n’est pas la, elle se lève s’avance vers lui et entame une danse avec lui comme quand elle était petite, monter sur ses pieds elle traverse le salon avec, sa mère la regarde faire et pourtant il n’y a personne d’autre que Capucine, elle parle toute seule dans les rues de Paris, c’est étrange, Charlotte s’inquiète mais elle se dit que tout ça finira par passer un jour ou l’autre, pour sa mère, elle est en pleine période de deuil et c’est compréhensible qu’elle s’imagine qu’il est toujours la. Les jours passent mais aucun ne se ressemble et Capucine se sent toujours seule, sans son père. Ce n’est que dans une soirée de mai, le soleil est parti depuis un bon moment il doit être quatre heures du matin et l’église sonne, Capucine sort doucement de sa chambre et marche dans les rues de Paris en pyjama, tout le monde dors et elle reste dans les rues a marcher encore et encore vers une destination inconnu. Elle s’arrête enfin, dans un recoin de la ville que presque personne ne connait, elle parle toute seule et s’imagine qu’on lui répond. « Tu as vu papa, je suis venue. » - « Je suis si fière de toi mon ange. » et la discussion continue comme ceci pendant des heures entière. Le matin se lève doucement et Charlotte ouvrant la porte de la chambre, s’inquiète de ne plus voir sa fille dans sa chambre, elle l’appelle sur son portable mais comme d’habitude Capucine ne l’a pas pris et la laisser sur sa table de chevet, pendant qu’elle s’amuse avec son père en plein coin perdu de la plage. Sans nouvelle, elle appelle la police qui se met a la recherche de sa fille, la journée passe et aucune nouvelle, il ne reste plus qu’une solution, longé le long de la mer pour voir si on ne trouve pas un cadavre. Le plage remplis de policier cherche et au loin un d’eux aperçois la jolie Capucine. « Elle est ici ! » Tous accoure au plus vite en particulier Charlotte qui avait tenue a l’accompagner, il la regarde parler toute seule et danser une valse sans partenaire, tout le monde reste surpris mais un policier s’approche et l’attire vers elle. « Mademoiselle, comment allez vous ? » - « Mais lachez moi, vous ne voyez pas que je suis en pleine conversation. » - « Mademoiselle, avec qui parlez vous ? » - « Mais bien sur, faites comme si vous le voyez pas. » - « Mademoiselle ! » - « Vous êtes idiot ou vous le faites exprès ? » - « A qui parlez vous ? » - « Maman, dis leur que papa est la parce que franchement je pense qu’ils font les idiots ce soir. » Tous la regarde encore plus surpris qu’avant, elle voit son père alors qu’il n’est pas la, elle parle toute seule comme une enfant déboussolée, en réalité Capucine est entré dans une phase de dénis, elle ne comprends pas que son père la quitter il y a quelque mois de ça. Charlotte s’approche doucement. « Capucine, ma puce .. tu le sais papa nous a quitté, il est mort. » - « Mais qu’est ce qui t’arrives maman, tu racontes n’importe quoi. Ton mari est la, juste la ! » - « Rappelle toi Capucine, le jour du mariage de ton oncle et de Sephora, sa femme. » Les larmes coulent sur les joues de Capucine, elle s’en rend compte enfin, mais jusque quand, ça se répète encore et encore. Sa mère la regarde et les policiers la prennent sur le coté, il faut lui expliquer encore et encore. « Madame, nous sommes désole mais votre fille a quelques problèmes, elle croit que son père est toujours vivant c’est contrariant. » - « C’est une enfant, elle a seulement du mal a réaliser. » - « Vous le savez en vous, que c’est bien plus grave que ça . » - « Que me proposez vous ? » - « Je pense que vous pourrez l’interner pendant quelques temps du moins. » - « Elle n’est pas folle ! » - « Elle sera juste entourée pour l’aider à passer le cap, madame, ce n’est pas du tout définitif vous savez. » Après une longue discussion, Charlotte accepta et contre son grès Capucine se faisait hospitaliser dans un hôpital pour fou. Elle en voulait énormément a sa mère et ne comprenait pas qu’on puisse la prendre pour une folle. Alors qu’elle ne devait rester que quelques mois dans cet hôpital, mais tout changea très rapidement, c’était sur. Nous sommes en deux mille six et Capucine en plein repas dans le réfectoire, se plante le couteau qui lui sert a manger en plein milieu de son ventre, le sang coule sur tout les tables et elle essaie de s’enfuir pour que personne ne la trouve, épuisée par le perte de sang, elle s’écroule en plein milieu du couloir et elle est transportée d’urgence a l’hôpital. Charlotte se demande ce qui lui est passée par la tête, elle devait sorti du lendemain et elle fait une tentative de suicide. Dans la chambre d’hôpital, Capucine ouvre doucement les yeux et tourne sa tête vers sa mère. « Je voulais juste rejoindre papa.. » Les larmes des deux jeunes femmes coulent sur leurs joues et Capucine finira encore une fois l’année dans un hôpital comme si sa vie, allait se finir dans se bâtiments remplis de personnes étranges.

Les murs d’un hôpital recèle souvent de secret et quand personne n’a rien d’autre à faire, les rumeurs cours encore et encore jusqu'à l’infini. Nous sommes désormais en deux mille sept, notre jolie Capucine vient de passer un an dans un endroit qu’elle aimerait ne pu jamais revoir, considérée comme une folle, elle n’a pourtant qu’une envie sortir et s’envoler. « Capucine, tu es prête pour ce soir ? » Elle se lève doucement de son lit et regarde sa mère et ne répond pas vraiment, un an on passée et elle est toujours énervée de l’avoir obliger d’être dans cette pièce, elle déteste ça et pourtant doit y reste chaque jour, obligatoirement. « Capucine, je te parle s’il te plait. » - « Oui c’est bon, je suis prête ça te va ? » - « Change de ton ! » - « Franchement la tu me fais chier ! » - « Capucine, je suis ta mère, tu change ton comportement ! » - « Ma mère ? Mais quelle mère laisserait sa fille chez les fous ? Tu dis vraiment de la grosse merde » Capucine claque sa porte et s’enferme dans la salle de bain dans la chambre, elle s’effondre en larmes dans la salle de bain contre la porte et ne peut plus rien dire, trop touchée par les événements de l’année. Le soir arrive et Capucine à passer la journée dans sa salle de bain, l’infirmière avec le double de clé ouvre la porte et s’assoit a coté d’elle. « Mademoiselle, il est l’heure d’y aller. » - « D’accord. » Capucine se lève, se change, se maquille et attrape sa guitare au passage, ce soir il y avait une soirée. Une sorte de soirée jeune talents ou toutes les personnes devaient participer pour faire changer leurs quotidiens. Le tour de Capucine arrive, elle monte sur scène. « C’est .. une chanson que j’ai écrite durant l’année. » Elle voit tout les regards se fixées sur elle et attrape sa guitare, doucement elle commence a chanter : i want you back. La soirée se termine sur des applaudissements et avant que tout le monde rentre, les infirmières prennent la parole. « Nous allons rendre un prix au meilleur talent de ce soir. Et le gagnant est.. Capucine. » Je prend la sorte de coupe et fis un petit sourire. Charlotte prend le micro et regarde tout les patients. « Aujourd’hui c’est la dernière fois que vous verrait Capucine, nous partons pour Chicago demain matin, j’ai obtenues un emploi la bas, et Capucine vient avec moi. » Personne n’y croit et tout le monde va vers Capucine pour la prendre dans ses bras, lui dire au revoir, elle arrive vers sa mère et la prend dans ses bras. « Pourquoi tu ne me la pas dit ? » - « Je voulais que ce soit sur chérie. » - « D’accord » - « Va faire tes valises on se retrouve demain. » - « Je t’aime maman.»

Chicago. Beaucoup de personnes aimerait pouvoir vivre rien qu’une seule fois le rêve américain durant leurs vies. C’est quelque chose de fabuleux et les deux femmes de la famille Lecompte on pu ensemble, réaliser se rêve. Agée a peine de quinze ans, notre jolie jeune fille, a une vie qui a beaucoup changer. Elle est entrée dans un lycée très respectée et surtout privé a Chicago, elle étudie sagement maintenant pour rendre fière son père malgré le fait qu’elle continue la musique, elle ne sèche aucune heures de cours et se concentre pour obtenir son diplôme sans redoublement. « Je vous demande d’accueillir très gentiment votre nouveau camarade de classe Zachary. » - « Très bien Zachary, tu peux aller te mettre a coté de Parker au fond de la classe. » Et il s’exécute, c’est étrange un nouveau élève en cours d’années, dans six mois c’est le bac et il arrive, tout le monde voudrait savoir ce qui lui arrive, Capucine parle avec sa voisine qui est une très bonne amie et elle n’a qu’une chose à lui dire. « En tout cas, il est plutôt pas mal ce Zachary. » Capucine lui sourit et écoute le cours très attentivement. Les jours passent et son comportement reste idiot, il se comporte comme si le monde tourne autour de lui et il est insupportable en cours, personne ne comprends comment il a réussit à entrer en dernière année dans notre lycée. « Salut, vous deux. » Capucine reste la tête dans son cahier en salle d’étude alors que son amie Charlie lève la tête pour parler a se fameux Zachary. « Salut Zachary. » - « Tu pourrais me passer tes cours de physique s’il te plait ? » - « Sans problème. » Capucine décide enfin de sortir sa tête de son cahier et regardes les deux personnes mais plus spécialement Zachary. « Tu sais ou tu es ici ? Dans une salle de perm exactement alors, évite de parler c’est vraiment mieux et au pire tu peux partir. » - « Qu’est ce qui te prends Capucine ? » - « Parce qu’en plus tu prends sa défense en plus la ? » - « Mais calme toi Capucine. » - « Vous me saoulez la. ! » Capucine prend son sac et s’en va très énervée de la salle de permanence, elle prend le bus et rentre chez elle pour s’enfermer dans sa chambre. Comme tout les soirs, Capucine travaille ses cours et elle aperçoit son téléphone qui s’illumine et un appel : Charlie. Elle regard son téléphone, hésite puis répond finalement. « Allo ? » - « C’est Charlie, y’a une soirée chez Victoire, tu viens ? » - « Je demande attend. » Elle pose son téléphone sur le lit et marche doucement jusqu'à la chambre de ses parents et comme chaque soir depuis plus d’un an, elle ne trouve que sa mère, elle la regarde gentiment et s’assoit sur le rebord de son lit. « Je peux sortir avec Charlie ce soir ? » - « Bien sur, mais ne rentre pas trop tard, demain matin on doit aller t’inscrire a ton cours de danse. » - « Bien sur que je m’en rappelle. » Capucine lui dépose un dernier bisou sur la joue de sa mère et repars dans sa chambre pour se préparer, elle sort très rapidement et se dirige rapidement vers le lieu dit de la soirée. Elle danse, s’amuse, boit un peu mais pas trop, étant donnée qu’elle doit être en forme demain. Charlie, l’attrape par la main et l’emmène sur le toit ou on peut y retrouver des nombreux amis et Zachary y compris. Elle s’assoit les pieds dans le vide et elle aperçoit Zachary qui s’approche doucement d’elle et dans un infime moment romantique ou elle ne comprend pas réellement ce qui se passe, leurs lèvres se touchent et c’est comme un instant magique, tout le monde sourit sans vraiment comprendre. Ils ont l’air vraiment heureux, Zachary croit en Capucine et Capucine croit en Zachary et le fait qu’il est capable d’obtenir son diplôme, ils sont différents et pourtant en quelques temps ils deviennent totalement inséparables.

2009. Les années ont passée et cela fait maintenant deux ans que Capucine habite a Chicago et naturellement qu’elle forme un couple charmant avec Zachary. Ils sont tout deux assit dans le canapé du salon, et regarde la télévision quand alors une publicité passe, « Si tu as le x factor, inscrit toi pour la saison qui arrive. » Zachary, pose son regard sur Capucine et elle tourne la tête vers lui. « Quoi ? » - « Je t’ai inscrite. » - « Pardon ? » - « Tu as très bien compris Capucine. » - « Pourquoi ? » - « Parce que ma copine est remplis de talents et elle va gagner. » Elle sourit et ce n’est qu’au bout de long mois qu’elle accepte finalement d’y participer pour rendre hommage a son défunt père. Les jours passent et la fameuse audition arrive, le stress est la et seul Zachary arrive a la faire rire, Charlotte est dans le public et très heureuse de voir sa fille si amoureuse et accomplis désormais. Elle passe la première étape, puis la seconde, la troisième, elle arrive en demi-finale, en finale et gagne le fameux x factor 2009. Malheureusement, elle doit partir en tournée et se séparer de Zachary. « Je pars pas, je veux pas partir loin de toi. » - « Capucine, on se retrouvera je te promets, on s’aime, on se retrouvera, en attendant vie ton rêve, on est plus ensemble mais ça n’empêche que je suis folle de toi. » Un dernier baiser les unis et Capucine pars deux jours après pour une tournée, ils sont séparée et c’est tragique pour eux. De retour de la tournée, en deux mille dix son premier album sort nommée Stick and Stones, ou dedans on retrouvera le titre qu’elle avait écrite et chanter a l’hôpital « i want u back. » Tout est parfait dans sa petite vie, tout ? Non malheureusement Zachary a du démanger pour la France et son petit ami qu’elle aimait tellement n’est plus présent dans sa vie. La sortie de son album en Amérique fut un immense succès. Mais comme d’habitude, la célébrité s’en v a rapidement et même si on la reconnait encore quelques fois dans la rue ce n’est pu la même chose qu’avant. Elle a du mal a s’amuser depuis que Zachary est parti, elle a changer et elle est devenue plus diva et froide avec les gens, il suffirait seulement qu’elle retrouve son amoureux et tout irait bien pour la jolie demoiselle. « Allo ? » - « Mademoiselle Lecompte ? » - « Hum.. oui ? » - « Bonjour, je suis le patron d’universal France . » - « Oui, que puis-je faire pour vous ? » - « Nous aimerons vous voir très rapidement. » - « Pardon ? » - « Nous avons appris que vous étiez une française en réalité et nous apprécions beaucoup votre album, nous aimerons vous faire signé un contrat prochainement. » - « Bien sur ! » - « Nous vous avons réservée un vol pour Paris, on vous attend prochainement. » C’est comme ça que notre jolie Capucine vit depuis quelques mois maintenant de nouveau a Paris, seule étant donnée que sa mère a du rester a Chicago, elle concrétise son rêve petit a petit.