De Aaron le 20/06/2012 à 22h44 : Oui, tu m'invites. Et la seconde d'après, tu me dis que je suis fatigué et que je dois me coucher - alors que je pourrais très bien dormir chez toi.
Mais bon. Laisse tomber.

Ily.

De Aaron le 20/06/2012 à 22h53 : Ouais, laisse tomber. On se verra une autre fois.

De Aaron le 20/06/2012 à 23h00 : J'arrive.

De Aaron le 20/06/2012 à 23h05 : Je veux juste dormir contre toi. Rien de plus. Et m'assurer aussi que tu vas bien parce que, quoique t'en dises, le petit-ami aussi est inquiet pour ta santé.

De Aaron le 20/06/2012 à 23h10 : Avec toi, rien n'est grave de toute façon.
Non, je te servirai de matelas pour une fois. (aa)

De Aaron le 20/06/2012 à 23h12 : Et c'est dû à quoi alors ?

De Aaron le 20/06/2012 à 23h16 : Oh. Je vois...

De Aaron le 20/06/2012 à 23h20 : Et tu penses pouvoir tenir le coup ?

De Aaron le 20/06/2012 à 23h24 : Hum. On en discutera une fois que je serai arrivé. Maintenant détends-toi, je suis bientôt là. (:

De Babane le 19/06 à 23h49 : Emma dit aussi bonjour à tonton Gray *-*

De Aaron le 20/06/2012 à 23h49 : Je suis là. (:

De Aaron le 21/06/2012 à 18h56 : Tu viens chez moi ce soir ? ♥

De Aaron le 21/06/2012 à 19h04 : Est-ce que tu veux que je vienne... ?

De Aaron le 21/06/2012 à 19h15 : D'accord. Tu n'auras qu'à me dire quand je pourrai venir, j'attendrai.

De Aaron le 21/06/2012 à 20h11 : Pas de souci.

De Aaron le 22/06/2012 à 14h01 : Ce qu'il se passe ? De quoi tu parles ?

De Aaron le 22/06/2012 à 14h04 : Je m'éloigne ? Je ne m'en étais pas rendu compte... J'ai fait/dit quelque chose qui te fait penser que je prends mes distances ?

De Aaron le 22/06/2012 à 14h10 : Non, Langlois. Je te laisserai pas te défiler, alors maintenant tu m'expliques ce qui te fait penser ça.
J'en ai assez des non-dits, des silences, des mensonges. Notre relation est déjà assez instable comme ça sans qu'on en rajoute. J'en ai assez. J'en ai assez que tu ne me laisses pas t'aider. Que tu t'écartes dès que j'ose vouloir une explication. Ça suffit maintenant. Alors dis-moi. Explique-moi. Pourquoi tu te mets à paniquer d'un coup, comme ça ?

De Aaron le 22/06/2012 à 14h15 : ... Oui, tu es con. Con de penser que mes sentiments peuvent partir comme ça aussi rapidement.
Je t'aime toujours, GROS CRÉTIN ! Alors, s'il te plaît calme-toi... Je t'aime toujours.
I love you. Et ça n'est pas prêt de changer.

De Aaron le 22/06/2012 à 14h21 : Non, je ne veux pas que tu me dises d'accord juste pour me faire plaisir.
Putain si j'avais voulu partir, je l'aurais fait depuis longtemps ! Chaque fois que tu m'as repoussé, jeté comme une merde, je me suis accroché. Comme un désespéré. Chaque fois que j'ai dû te ramasser à la petite cuillère parce que t'étais stone ou bourré, même si ça me tuait, je suis venu t'aider. Quand tu as décidé que je ne verrais plus ton fils pendant quelques temps, j'ai accepté. J'ai accepté la situation de merde, pendant laquelle on ne se voyait pas/plus. J'ai TOUT accepté de toi, le bon comme le moins bon. Le meilleur comme le pire. Tout, absolument tout. Alors je t'interdis de douter de mes sentiments. T'as pas le droit. Parce que si je ne t'aimais pas comme un dingue, je n'aurais pas fait/accepté la moitié de ce que j'ai fait/accepté.

J'espère que c'est assez clair comme ça.

De Aaron le 22/06/2012 à 14h29 : Alors ne dis pas que je m'éloigne. Parce qu'au fond, c'est toi qui t'en vas petit à petit.
Alors ta gueule. Parce que c'est toi qui pars. Pas moi.

De Aaron le 22/06/2012 à 14h37 : Je te parle mal, moi ? Parce que je t'ai dit ta gueule ? Tu m'as déjà dit bien pire, putain !
Et tu ne sais même pas ce que je ressens en ce moment alors arrête ! Depuis quand je te mens hein ? J'ai toujours été franc avec toi. Toujours ! Je te prouve que mes sentiments ne sont pas aussi vains que tu le penses et toi tout ce que tu me réponds c'est un d'accord, salut. A ton avis, qu'est-ce que je ressens en lisant ça, hein ? Qu'est-ce que je suis censé penser ?
Parce que je vais te dire, en lisant ça, tout ce que je vois, tout ce que je pense c'est que tu ne me crois pas. Que t'en as rien à foutre.

Maintenant, ouais. Salut.
Peut-être bien que je serai calmé d'ici ma sortie du boulot. Ou peut-être pas.

De Aaron le 22/06/2012 à 20h15 : Tu... Tu ne me crois plus... ? Hum, je... Ouais, ok... Great...
Et après c'est moi qui m'éloigne hein, ahah...

De Aaron le 22/06/2012 à 20h38 : Mais qu'est-ce qui te fait penser ça, Gray ?

De Aaron le 22/06/2012 à 20h47 : J'ai juste eu une semaine très chargée. Je ne prenais pas énormément de temps pour manger et je savais que ça ne te plairait pas. Et je restais un plus à l'hôpital le soir, et j'ai repris le piano.
Ça n'a rien à voir avec toi ou nous, Gray... Rien. Je t'assure.

Bordel, je t'aime toujours autant...