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 ❝ i gotta make you mine ❞ ft. alexander m. tran;

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MessageSujet: ❝ i gotta make you mine ❞ ft. alexander m. tran;   ❝ i gotta make you mine ❞ ft. alexander m. tran; EmptyMer 6 Juil - 22:20

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PANDORAH & ALEXANDER

“ i love you bro,
but what's with you ? „

L’amour, c’est une chose. L’amour entre un frère et une sœur, c’en est une autre. Surtout lorsque ces derniers s’avèrent être des jumeaux, comme nous le sommes, mon frère et moi. Mais qu’est-ce que cela provoque lorsque l’on combine un amour fraternel à un amour bien plus poussé ? Des regards exprimant bien les pensées des gens, de tous ceux qui vous entourent, et l’on comprend bien vite ce qu’ils en pensent. Mais au fond, qu’est-ce qu’on peut en avoir à faire ? Pas grand-chose. Surtout lorsque l’une de ces deux personnes s’avère être… Moi. Pandorah. Vous devez sans doute vous dire « mais qu’est-ce que cela peut changer ? », pas vrai ? Et bien, cela change tout un tas de choses. Et vous allez bien vite le comprendre. Séparée de mon frère, j’ai toujours ce sentiment d’insécurité, comme si quelque chose allait forcément m’arriver, comme si quelqu’un allait me foncer dessus et m’embarquer dans une ruelle ou même dans sa voiture. C’est sans doute cela qui m’empêche d’être séparée d’Alexander plus de six heures. Et la nuit, comment est-ce que je fais ? Et bien, nous avons notre propre technique : nous dormons ensemble. Et même si nos parents se sont mis en travers de notre chemin à plusieurs reprises, nous avons toujours été plus rusés qu’eux. Certes, ils passaient sans arrêt dans nos chambres, à chaque heure, jusqu’au moment de se coucher, eux-mêmes. Et c’est là que les deux petits monstres que mon frère et moi étions plus jeunes se levaient et allaient se rejoindre, dans la chambre de l’un ou de l’autre. Cette technique ne nous a jamais quitté, semblerait-il. Parce que oui, encore aujourd’hui, nous dormons ensemble ; après vingt ans de vie commune, s’imaginer l’un sans l’autre est tout bonnement impossible. Et c’est surtout invraisemblable. Voyez-vous un fumeur sans sa nicotine ? Ce serait bien étonnant. Et pour nous, c’est à peu près la même chose. Rien de bien compliqué à comprendre, au final. Mais revenons-en au sujet principal qu’est l’amour. Parti comme ça, vous devez vous dire « mais qu’est-ce qu’elle tente de nous expliquer au juste ? De l’inceste ? » Et peut-être n’êtes-vous pas loin du sujet. Pas du tout même. Peut-être êtes-vous bien dessus, et que vous avez déjà tout compris. Et bien, bravo.
Passer du temps avec lui, c’est un réel plaisir. Mais c’est tout à fait logique. Si je n’aimais pas, je ne l’aimerais pas non plus. Ou pas aussi sérieusement. Les magasins, c’est une chose que j’aime faire par-dessus toutes les autres choses possibles. Ou peut-être après la création de mes vêtements, plutôt. Parce que les vêtements et les accessoires que je peux trouver peuvent être mes bases. Ou simplement parce que le magasin en question est un magasin pour enfants. Ou plutôt pour les grands enfants. Un peu comme nous. Des peluches et des dvd de Walt Disney ; que pourrions-nous demander de plus ? Pas grand-chose, c’est une évidence. Ainsi, aujourd’hui, la destination n’avait pas été dure à programmer. Nous étions tous deux d’accord. De toute façon, autrement, je l’aurais tiré de force avec moi.

« Bro, I’m your sis’, et tu dois t’occuper de moi comme tu ne t’occuperais d’aucune autre femme. Alors entrons dans ce magasin et dévalisons-le ! » Occupes-toi de moi, oui. Exactement. Tu n’as pas le choix, après tout. Achetons tout. Tout le magasin. Je veux ci, je veux ça. Toutes les peluches, parce que tu sais que je les aime. Et que tous ces Walt Disney ont bercé notre enfance, comme celle de beaucoup d’autres. Mais surtout la nôtre. Oui. Accrochée au bras de mon jumeau, je le tirais par-ci, par-là, à la recherche des individus parfaits. Des peluches parfaites. Et puis, finalement, me dirigeant d’un pas décidé vers un gros tas de peluche, je lui montrais la plus grosse de mon index. Elle devait sans doute valoir une centaine d’euros, mais qu’est-ce que je pouvais en avoir à faire ? L’argent était loin d’être un problème chez nous. « Bro. I want this one. I need this one. Vas me la chercher, s’il te plaît. Tu ne vas pas me dire non, pas vrai ? Autrement, je te bouderai. Tu verras. » Menace à deux francs ? Peut-être, mais elle me plaisait bien, à moi. Cette peluche était celle que je voulais, point barre. Et si un sale gamin tentait de me la prendre, il comprendrait bien vite d'où il vient exactement. Quitte à le remettre dans le ventre de sa mère. Qu'est-ce que ça peut me faire ? Ce qui est à moi n'est pas aux autres. Mais ce qui est aux autres est aussi à moi. Finalement, tout m'appartient. Oui, oui, je vous l'assure ! J’observais un peu autour de moi afin de trouver une prochaine victime. Tout du moins, victime ne convient pas réellement à ce que je cherchais. Une victime est faite pour être agressée, tandis que ce que je cherchais était simplement un deuxième tas doux. Tout doux. Très doux. Simplement comme je les adorais et comme je les adorerai toujours. J’aurais facilement pu vénérer des Teddy Bear. Ces gros ours, ou plutôt un futur compagnon du gros Winnie que j’avais repéré juste auparavant. Il me fallait maintenant l’un de ses compagnons. Et de la même taille, ou environ. Qui pouvais-je trouver ? J’aurais aimé ce fameux tigre, mais… « Bro. Tigrou est absent aujourd’hui ? Je te promets que je le veux. Je te l’assure, même. S’ils ne l’ont pas, je fais un scandale. Ils vont comprendre qui je suis. Qui nous sommes. » Je ne cessais de chercher autour de moi, en espérant tout de même que mon Alexander arriverait à en trouver un. Parce qu’il était hors de question que je ne fasse pas ce que je venais de dire. Ce scandale, j’allais réellement le faire. Quitte à attirer tous les regards vers nous. Mais après tout, ça, j’en avais pris l’habitude. Alors rien ne pouvait m’arrêter. Ou presque. Mais quoi ? Aucune idée.
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MessageSujet: Re: ❝ i gotta make you mine ❞ ft. alexander m. tran;   ❝ i gotta make you mine ❞ ft. alexander m. tran; EmptyVen 8 Juil - 16:05

Tous les matins la même scène se répète celle de celui qui part du lit de l’autre, tu te lève à je ne sais quel heure du matin pour retourner dans ta chambre et faire comme si de rien était et prétendre que tu as passé toute la nuit dans ta chambre sans même aller jeter un œil dans la chambre de ta sœur qui est à l’autre bout de la maison. Bien évidement leur parent avaient installé la chambre d’alex bien loin de celle de sa jumelle, ils avaient sans doute cru que ce ‘long’ chemin les empêcherait que l’un aille voir l’autre mais bon faut vraiment vivre dans un contes de fée pour croire ça non ? Enfin passons, comme tous les matins Alex se retrouver seul dans sa chambre sans rien faire juste attendre que son père ou bien sa mère fasse apparaitre un bout de sa tête à l’encadrement de la porte après cette vérification du ‘est-il bien dans son lit et seul’ Alex retourne soit avec sa sœur soit il part sous la douche et voila qu’une nouvelle journée débute. Aujourd’hui il opta pour la seconde option car Parah aujourd’hui elle voulait aller faire les magasins alors autant sortir le plus tôt possible de cette maison non ? Le blondinet prit donc tout son temps à choisir les vêtements qu’il porterait aujourd’hui, quoi lui faire super attention à son image ? Mais non pas du tout *sifflote* enfin il mit plus d’une heure avant de se décider à prendre une tee-shirt blanc en col v et un simple jean gris, oui il mit une heure pour choisir ça pire qu’une fille oui des fois on peut le dire mais que voulez-vous c’est comme ça bien évidement je ne vous dis pas le temps qu’il mit aussi sous la douche, un peu moins d’une heure mais le temps qu’il s’habille et se coiffe et bien ça faisait une heure, donc en gros oui Alex met deux heures pour se préparer, ça vous choque hein surtout venant d’un garçon. Tout cela finit et les deux enfin prêt ils pourraient maintenant sortir et ne plus entendre leur parents faire n’importe quelle petite remarque à l’égard d’un des deux enfin surtout de sa sœur faut dire qu’elle continue toujours autant à montrer devant leur parent la relation d’elle et son frère, alors que lui pour ça il reste un peu plus discret, d’ailleurs il le restera longtemps enfin encore à la maison ça va mais dehors niveau geste ou autres il est un tout petit peu plus distant avec sa sœur mais ça se comprend, ce genre de relation c’est tellement mal vu par les autres… Enfin sur les Champs Elysées y a tellement de monde et de touriste donc c’est rare de croiser des gens qu’ils pourraient connaître c’est pourquoi Alexander c’était donc décidé à attraper la main de sa sœur en attendant que celle-ci ne choisisse le prochain magasin dans lequel ils entreraient, Parah il la traite un peu comme une princesse parce que pour lui après tout c’est sa princesse, il veut la faire sourire et la rendre heureuse. Enfin elle avait trouvée leur prochaine destination, Disney store, why not Alex allait trouver son bonheur lui aussi là-dedans faut dire Disney c’est-ce qui les a bercé durant toutes leur enfance, enfin elle voulait le dévaliser, heureusement qu’ils étaient riches parce que sinon ça serait un peu dure pour eux. Le blondinet se contenta de lancer un grand sourire à sa sœur avant de rentrer dans cet immense magasin remplit de peluche, costumes et j’en passes wah le bonheur sisi voyez-vous à cet instant on pouvait apercevoir deux gamins émerveillés par tout ça, je vous jure.

Et la voila partie dans sa mission, Alex la suivait tranquillement, elle t’avait sortie the peluche immense qui couterait bien cher au porte monnaie de papa et maman mais bon on s’en fou parce que comme dit c’est le porte monnaie de papa et maman c’est pas ça qui les ruineront hein -sbaf- « T’as déjà vu ton cher frère te dire non à quelque chose ? Bon alors attend parce que t’as vu où elle est ta peluche ? Va falloir que je fasse le parcours du combattant pour te l’attraper. » , oh oui elle a déjà vu son frère lui dire non mais il trouvait que ça sonné bien alors paf il a sortit cette phrase, ouais il sert un peu à rien notre cher Alex. Il exagérait un tout petit peu en disant qu’il devrait faire le parcours du combattant mais bon quand même.. Il était donc partie chercher la grosse peluche pour sa sœur et se la trimballerait jusqu’à la fin du tour dans le magasin enfin il profita du fait qu’elle aille à la recherche d’autre peluche pour aller déposer the peluche à la caisse et retourner faire tranquillement la chasse aux peluches avec sa sœur. Alexander regardait un peu partout sans même réellement ce que lui rechercher une peluche de n’importe Disney du moment qu’il était tout mignon ça pouvait être un porcinet comme tic ou toc ou bien encore la petite tortue dans nemo mince c’est quoi son nom déjà ? Roh puis on s’en fou. Sa sœur le sortit de ‘se recherche’ avec son tigrou est absent, il est absent .. Oui en grosse peluche sinon il restait les toutes petites mais vu comment elle était partie elle le voulait en gros et comment dire si le magasin n’en avait pas en stock elle pourrait vraiment faire sa crise pire qu’une gamine dans des moments comme ça je peux vous l’assurer. Alexander décida donc de partir à la recherche d’un vendeur pour le questionner, malheureusement aucun gros tigrou dans le stock, shit. « Et vous ne pouvez pas vous renseigner dans les autres boutiques sur Paris ? » après cela le vendeur le fit patienter un petit moment pour savoir s’ils en avaient ailleurs, en attendant il retourna avec sa sœur toujours à la recherche de son tigrou.

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MessageSujet: Re: ❝ i gotta make you mine ❞ ft. alexander m. tran;   ❝ i gotta make you mine ❞ ft. alexander m. tran; EmptyVen 8 Juil - 18:01

« T’as déjà vu ton cher frère te dire non à quelque chose ? Bon alors, attends, parce que t’as vu où elle est ta peluche ? Va falloir que je fasse le parcours du combattant pour te l’attraper. » Justement. C’était ça qui était le plus amusant dans la recherche de peluches ; trouver celle qui se trouve la plus au sommet possible et la faire chercher par son frère. Oui, mais, le but ici n’est pas d’être méchante, mais plutôt de s’amuser. Et c’est une chose que je fais particulièrement bien. On peut prendre cela pour une façon de vivre, voire même une raison de vivre. Mais là n’est pas le sujet, pas vrai ? Alors revenons-en à la base que j’avais en tête. « C’est mal de mentir, tu sais. Ne dis pas que tu ne m’as jamais dit non. » Pas particulier. « Et puis, tu n’as plus jamais le droit de me dire non. A part si tu comptes me briser le cœur ? Fais attention, parce que si tu me fais mal, tu auras mal aussi. » Bien sûr. Lorsque l’un a mal, l’autre a mal également. N’est-ce pas logique ? Les sentiments de jumeaux tels que nous ne sont pas des ressentis qu’aurait un simple frère pour sa sœur, et vis versa. Oui, c’est spécial, mais pas réellement compliqué comme cela pourrait le paraître. Il faut seulement bien comprendre, et une fois que cela est fait, c’est plus qu’un jeu d’enfant que de comprendre, justement, des jumeaux tout au long de leur vie.
Rêvasser dans un magasin tel que le Disney Store est tout bonnement impossible. On ne peut qu’envier ceux qui peuvent se permettre de tout acheter, comme mon frère et moi, par exemple. Sans doute mettions-nous ces sales gamins mal dans leur peau, peut-être allaient-ils même courir autour de leurs très chers parents afin d’avoir les mêmes choses que non. Peut-être même piqueraient-ils des crises parce que ces derniers leur diraient non ? Oh, mais que ce serait éprouvant… Éprouvant ? Amusant. Distrayant. Mais pas éprouvant, non. Ne pas avoir de pitié pour les jeunes comme ça est une bonne chose ; autrement, même de parfaits inconnus iraient leur acheter des choses et se ruiner – puisqu’ils n’ont pas tous les mêmes bourses et comptes en banque que nous autres, les Tran. Quant à moi, ce n’est pas envier les autres que je fais, je préfère de loin les faire m’envier, les faire baver jusqu’à ce qu’ils n’aient plus un millilitre de salive. C’est ce qu’on semble appeler une gosse de riche, ou encore une fille à papa. Mais pourquoi me priverai-je de cette chance et de ce luxe qu’est d’acheter tout ce qui me plaît, quel que soit son prix ? Aucune raison. Même si certains des prix vous ferait vous arracher les cheveux, moi, ils ne me rendent pas si folle, et ça me plaît même de savoir que certaines de mes affaires ont des prix exorbitants.

Attendant le retour de mon frère après la mission ‘trouver tigrou’ lancée, je fixais tout ce qui se trouvait autour de moi. J’avais une si grande envie d’acheter au moment présent que même le magasin entier ne me suffirait pas, qu’il en faudrait plusieurs autres pour me rendre totalement heureuse. Et j’avais déjà en vue d’aller faire d’autres magasins après celui-ci, et l’on trouverait bien un moyen de transporter tout ce que nous aurons pu trouver dans le monde des enfants et grands enfants. Cela ne me faisait pas peur, non. Et le regard que pourraient avoir les gens lorsque nous sortirons d’ici encore moins. Cela m’amusait presque, même. Ces personnes sont tout de même étranges, à croire qu’ils n’ont rien d’autre à regarder. Mais bien, je les comprends, nous sommes si éblouissants que nous attirons tout, même les pires cauchemars, les pires personnes que nous pourrions trouver dans notre société, les plus bas. C’est sans doute ceux que j’aime voir le moins, et c’est un peu normal ; qui aimerait voir des pauvres ? Néanmoins, les mendiants, eux, ne sont pas du genre à nous envier, mais plutôt à nous dévisager, et je suis certaine qu’ils espèrent tous que nous finirons mal un jour, dans un trou ou sous un pont, peut-être même au fond d’une cellule, qui sait. Mais ce genre semble encore être bien loin de notre vie actuelle, alors à quoi bon y penser ? Ces gens ont de biens drôles d’espérances. Vraiment, ils feraient mieux d’espérer de se sortir de ce dans quoi ils sont tombés il y a des mois ou même des années. Une envie de les plaindre ? Ne le faites pas devant moi ou vous risqueriez votre vie, petits insouciants.
« Alors, le verdict ? En ont-ils encore ou vais-je devoir sortir mes griffes pour qu’ils en fassent ramener une tout droit d’Amérique dans la journée ? » En faire venir un tout droit d’un autre continent, j’en étais bien capable, oui. C’était un peu dans ma nature de ‘garce’ de faire ce genre de choses hors du commun. Oui, hors du commun. Qui d’autre oserait faire cela ? Lorsque vous aurez trouvé, venez me voir et dîtes-moi qui il est, je l’épouserai sur le champ. Enfin, c’est bien une façon de parler, ne partez pas trop loin tout de même. « C’est inacceptable, ce genre de choses. Et je doute être la seule à vouloir de ce tigrou géant. » Ne pas être la seule, oui. C’est une chose plutôt rare, de ne pas l’être, puisque généralement, tout ce que je désire est trop cher pour la basse et moyenne société. Alors, je ne vois pas pourquoi ils en voudraient aussi. « Je ne suis peut-être pas la seule, mais la plus importante. S’ils ne me trouvent pas ce tigrou et refusent de le faire ramener d’un autre pays ou même d’un autre continent, ils n’auraient rien. Pas un sou. Ils pourront se mettre leur winnie là où je pense. Et tu penses la même chose, pas vrai ? » Exagéré ? Non, pas du tout. Naturel, plutôt. « Bro, si tu savais à quel point je désire cette peluche, tu en deviendrais fou. Et jaloux. » Un petit sourire pour marquer le dernier bout. Oui, presque provocateur, et amusant en même temps. J’attendais bien une réponse, et j’étais certaine qu’il n’allait pas la manquer.

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