RETOUR AU PRÉSENT
«Tu me rappelle Dodley»«Qui est Dodley ? »Tu me toisa une fois de plus d'un de tes sourires moqueurs avant de rire doucement refermant la porte que tu avais entrouverte quelques secondes. Une parcelle du passer impossible d'atteindre. Tes doigts agile tirèrent une cigarette du paquet et tu me tends ce dernier par la suite. Tu as 16 ans , une vrais femme presque chaque partie de ton corps ont prit forme et sa place que bientôt il ne reste qu'à apporter de mince touche finale.
«Franceza ?» Je peux le voir ce frisson qui vient de prendre l'assaut sur ta nuque à la prononciation de ton prénom. Tu le déteste au point de vouloir cracher dessus comme le reste de tes prénoms. Fraise est la seule chose dont j'ai le droit de prononcer. Je prend doucement ta main et tes ongles transpercent la chaire de mon avant bras et laisse jaillir un goutte de sang . C'est à peine si j'ai le droit de te toucher. Petite boule de feu jamais éteinte. Je ne lâche pas l'étreinte et t'attire vers moi. Nos poitrines s’entrechoquent et nos lèvres s’embraise , au risque de mourir étouffer je lui vole un baiser. Je la sens s'enflammer des éclairs envoie des décharges à l'intérieur de mon âme quand mes mains glisse doucement sur tes bras. Tes ongles s'enfoncent alors encore plus , si bien que je crois que j'en aurais des cicatrices au moment de la guérison. Tu n'essaie pas de t'échapper pourtant , je frémis sentant ta langue qui vient chercher la mienne les laissant s'entremêler dans une danse sensuelle. Tu te détache , tu m'échappe de nouveau.
«Oana Franceza Connie Twin...»Adieu mes chers bras j'ai pêché.
Dakota
FLASHBACK 1
«Oana Franceza Connie Twin?» La dame ajusta ses lunettes déposé sur son petit nez retroussé. Je ne bronchais pas jusqu'à ce qu'elle se déplace du derrière le comptoir pour prendre ma main , il ne me fallait pas plus de cinq secondes pour la retirer de ses long doigts qui prenaient de l'âge.
«Je ne te ferai pas de mal. Ça va aller mon petit ange...»Je me relevais et marchais à au moins 1 mètre de distance il me conduit à une chambre . Le quinzième été à frappé à ma porte tout me semble flou , un casse-tête dont les morceaux ont été égarés à travers une chemin tortueux. Dada dépose ma valise sur le lit blanc immaculé. Je ne connais point son nom , mais j'ai décidé de l'appeler ainsi comme son visage me rappelle tant ma voisine Darla. Celle qui vantait son superbe jardin bordé de magnifiques fleurs provoquant un tapis multicolore. Une anglaise avec son chère accent qu'elle prenait bien soins entretenir . Au moment je m'étendais dans l'herbe elle étirait son grand cou de girafe et me proposait une place à sa table sur son petit balcon de devant une cigarette à la bouche. Thé et biscuit comme à chaque fois.
«Merci Dada»«Oh Franceza je ne sais pas pour qui tu me prends , mais moi je m'appelle...»«Peu importe...serait-il possible de changer de nom ?» Elle me regarde abasourdie et je la vie cligné des yeux plusieurs fois en se demandant si elle rêvait. Je me mis à rire en m'assoyant sur le matelas.
«Tu dois être épuisé repose toi...»Je lui fis un signe de main. Je me retournais et pris le papier entre mes mains regardant le contenu. Twin je voulais le rayer comme mes prénoms qui en suivant. Plus aucune signification il ne méritait plus de vivre. Le surnom qu'on m'avait infligé depuis ma naissance deviendrait ma seule identité.
Dorénavant appelé moi fraise . La fille d'avant est désormais morte. FIN FLASHBACK 1
«Ça chauffe! Tes folle tu le sais ça ?»Tu hausse les épaules tu te retourne sur le sofa en me regardant. Je passe mon bras doucement sous le jet d'eau en essayant un peu de soigné la blessure que tu venais de m’infliger.Le rictus de tes lèvres s'étirent d'une façon sadique et tu ris doucement , si faible que c'est à peine si ton rire rappe les murs. Tes collants longent des jambes finement déposé sur le meuble ayant une douce impression qu'elles n'ont pas fins. Tu as quel âge déjà ? Seulement 16 ans et pour ma part je peux maintenant en compter 20. Moi qui te croyait si innocente la réalité m'a frappé en plein visage au sons de tes premières paroles à mon égard. Je glisse un verre d'alcool sur la table basse vers toi que tu repousse doucement d'un seul doigt en souriant encore plus de nouveau.
«Je ne bois pas...et qui sait si tu n'essaie pas de me droguer ?»Tu te lève et étire chacun de tes membres fabuleux s’avançant vers moi et tu t'assoie sur le comptoir. Qu'est-ce que tu es ? Tu n'es pas le simple fruit interdit que je convoite depuis quelques années. Tu n'es pas juste cette belle chaire rose dont j'ai enfin goûter le parfum le temps de nos bouches celés dont je ne suis pas sortie intact. Je prend le verre que tu m'as refusé et l'enfile d'une traite ne lâchant pas ton regard qui détache chacune des parties de mon âme. Ton silence me tue , ton mystère me tue , je m'enfonce sans cesse dans un labyrinthe.
«J'ai le droit de t'embrasser de nouveau ?»Tu me refuse tout contact et pourtant ce baiser tu l'as accepté , mais à ta manière.
«Tu serais prêt à faire un pacte avec le diable ?» . Je me mords la lèvre et je hoche la tête. Petite blonde danse autours de moi , envoute moi , emporte moi et donne moi la clé du mystère qu'est la petite fraise empoisonné que je caresse au bout des doigts.
Dakota
FLASHBACK 2
«Si tu me parlais un peu de ta famille ?. Je baissais mes yeux et voguait lentement dans mon esprit. Que dire en quelques mots?Toi cher Charlotte , ma mère , ma génitrice tu te laissais partir dans une nuit profonde comme tes deux progénitures un sourire aux lèvres , le jour de ma naissance. Ta chevelure si bien ramener dans un chignon parfait et le tailleur si bien soigné qui n'attendait que d'être pris sur la table de chevet. Ton travail t'attendait déjà si impatiemment tout comme ta conscience qui s'agitait à le rejoindre. Déjà à tes yeux il y avait poussé quelques pattes d'oie bien rapidement. Tu vieillissais plus rapidement le stress te rongeait. Tu avais eu dix ans pour t'occuper d'un fils et tu n'avais pu empêcher de mettre vie à une fille. Si je plonge au profond de moi-même je me souviens si parfaitement du parfum de tes grandes boucles brunes. Malgré cela ton rire ne me revient pas il a dû s'éteindre avec les amas de tes heures de travail. Je ne les point entendu , mais je les vu ce sourire si parfait qui fleurissait sur ton visage. Quant à Papa tu le savais bien il n'était pas là pour me prendre bien sagement dans ses bras , il devait être derrière son bureau à classer ces millier de document. Non il n'était point question d'amour , car il t'aimait plus fort que tout. Il était tout ton contraire je me rappelle si bien de son rire quand tu t'énervais ou tu renversais une de tes nombreuses tasse de café. Il aimait tant bécoter tes joues d'une blancheur parfaite et prendre tes mains furieuse d'être entrelacé dans la sienne. Parce que tu avais beau te débattre sans cesse de ces gestes d'affection lui il t'aimait comme un fous et portait le grand besoin de te le dire à chaque seconde. Je n'ai point vu ces traits de frustration sur ton beau visage mon cher papa même lorsque maman criait Nathaniel pleine de rage à travers l'énorme demeure. Pendant vos grandes discussions il y avait toi Dodley qui déjà à tes dix ans me prenait dans tes bras maigres me transportant jusqu'au jardin et me déposer dans l'herbe peu importe le vêtement qui couvrait mon corps. Il n'y avait rien de mieux pour t'amuser que de me faire rouler dans le jardin lorsque une robe blanche m'était vêtue pour la journée. Tu me chérissais comme la prunelle de tes yeux , un vrais pierre précieuse. Tu me câlinais sans cesse et tu adorais par dessus tout entendre mes petits gazouillement de rire qui s'intensifiait en ta présence. Bien les fois où les pleures faisait rage sur mon visage chère maman qui ne savait plus où donner de la tête toi tu pointais ton minois me faisait un simple bisous et tout s'arrêtait.Les souvenirs tombèrent et ma tête s'était plongé à travers la fenêtre. Cinq minutes de plus et la dame se tenait encore là les jambes bien croisées.
«Ma mère s'appelait Charlotte , mon père Nathaniel et mon frère Dodley , après ça je n'ai rien à dire.»FIN FLASHBACK 2
Tu me plaque contre le matelas prenant soin de peser une main sur mon torse ne me laissant plus le contrôle de m'évader. Tu as le dessus c,est décider. Tu m'embrasse avec fougue me volant des soupires et j'arrive à toucher la peau de ton dos. Je m'échappe de tes lèvres et remonte le long de ta mâchoire jusqu'à ton oreille.
«Je ne sais rien de toi où habite tu donc ?»«Chuuut...» Tu me regarde passe ton doigt sur mes lèvres en traçant leur forme . J'ai l'impression étrange que tu essaie de m'emporter , de décoller mon esprit le faire planer longuement sur un nuage qui n'est qu'un mirage , ton effet est pire que l’héroïne. Tu balade rapidement tes doigts comme des pattes me retirant des frissons par milliers comme si tu m’injectais à la fois ton venin. Seulement je ne peux rester un bon moment ayant le mes mots au bout de la langue.
«Vis tu seul ?»Au même moment tu retire mon t-shirt parsèment mon torse de baiser et je ne vois qu'une possibilité voilé mes prunelles à l'aide de mes paupières et me laissé aller par la drogue de toi la belle blonde qui m'emporte.
«En quelque sorte.»Et tes paroles reviennent sans cesse me forçant à rester en contact avec la réalité et les questions qui me hantent. Je le sens que ton ton s’amplifie de plus en plus dans l’agacement et chaque syllabe qui devient encore plus sec à chaque fois. Ça me brûle encore.
«Tu a des parents ?» «Bien sûr que j'en ai !Dans ta position de hauteur , tu t'arrête et tu me fixe , je peux déjà les sentir tes ongles qui redécouvre ma peau. Je change les positions et bloque ses bras au dessus de sa tête.
«Ils habitent avec toi? «Tait toi donc un peu !» «Répond moi !»Tes jambes s'enroulent avec grâce autours de ma taille rapprochant avec lenteur nos bassins .
«Ne t'en fais pas , leurs âme guettent autours de moi . Tu m'embrasse et tu m'échappe en sous-vêtement.
«Où vas tu ?»«Tu en sais déjà trop...»Tu souris et tu t'évade...Une fois plus tu disparais dans le brouillard de ta boîte de pandore de ta personne. J'avais toute fois sentie une chose d'avoir touché une corde sensible...
Dakota
***Je l'entendais encore sa voix qui me disait.
«Quel sentiment t'habite en sachant que tu as tué ta famille dans un feu?» Fraise