« Mia, nous vous remercions de nous accorder quelques minutes sur notre antenne, pour nous parler un peu de vous et de votre carrière en tans que chroniqueuse. »
- Merci à vous de m’avoir invité.
« La question que tout le monde se pose, pourquoi avoir quitté votre carrière de chroniqueuse, pour le redevenir chroniqueuse 5 ans plus tard? Pourquoi cette éclipse aussi longue? Que je sache, personne n’a jamais eu de réponse à ça. »
A cette question, je me sentis angoissé et mal à l’aise. Je devais m'y attendre de toute façon... Je me referma sur moi-même, ne répondant à rien, partant dans mes pensés… Tans de surprises m’avait forcé à quitter ma carrière de chroniqueuse que j’entretenais depuis mes dix-huit ans…
« Mia, il y a quelque chose qui ne va pas? »
-De... désolée, je... je peux pas.
« On dirait que Mia a eu pas mal de soucis ses quatre dernières années... Ça devient croustillant, on veut en savoir plus! »
Je pris mes cliques et mes claques, et partit de la télé... en repensant à ma vie, et à mes quatre dernière années qui furent assez difficile, pour famille et moi.

Quand on y pense, j'ai eu une enfance presque banale, fille unique, deux parents divorcés qui ne s’entendent pas et une demi-sœur que l’on déteste. Un classique quoi… Il ne met jamais arrivé rien d’extraordinaire pendant mon enfance, à part cette passion pour la lecture et l’écriture depuis mon plus jeune âge, de nature, travailleuse, déterminée et curieuse. J’étais une élève moyenne, qui bossait dure pour avoir un simple dix ! A mon adolescence, mes parents ont prit la décision de se séparer, car ma mère venait de découvrir que ce dernier avait une maitresse. Evidement, au divorce ce dernier alla s’installait avec sa maitresse et ils ne perdirent pas de temps pour refaire sa vie de sont cote, mais aussi pour se marier. En prime, je dois supporter cette peste de demi-sœur quand je suis en vacances chez mon paternel… Je n’ai jamais était bien proche de lui, de toute manière, je faisais un simple effort quand j’étais avec, mais c’est tout… Avec ma mère, on partit toute les deux à Paris à mes quatorze ans ! Ce fut un rêve de gamine qui se réalisa. En un mot, ma mère et moi nous sommes inséparables ! C’était à la foi ma mère et ma meilleure amie ! Je n’ai jamais eu beaucoup d’ami dans ma vie, mais je savais quoi que je fasse, je pouvais en parler à ma mère. Elle se mettait en quatre pour moi pour me faire plaisir, une maman gâteau, mais aussi autoritaire, quand il faut !Je ne la remercierais jamais assez de m’avoir soutenu dans mes choix !
Elle m’a soutenue quand j’ai écrit mes premières chroniques pour le journal du collège puis du lycée. C’est à cet instant précis, que je savais pertinemment que j’étais faite pour ce métier ! Chroniqueuse de journal ! Malheureusement, vers mes quinze ans, ma mère décéda d’un cancer du sang… Je n’ai pas eu le choix, que de retourner chez mon père. J’étais loin d’être enchanté, de plus que cette perte fut terrible pour ma part… Je ne manger presque plus… Je finis par Peter un câble quelque mois plus tard, et je fuguai de la maison, voyant que mon paternel ne portait que peu d’attention… Je n’avais pas beaucoup d’argent, mais juste assez pour retourner à Paris. Une fois sur place, désespérer et en pleine dépression, je pris la décision de laisser tombé les études et pour gagner des sous afin que j’ai de quoi vivre, je pris la sortit extrême de secours, je me prostituai Une chose auquel je ne suis pas fière aujourd’hui. Si je pouvais revenir en arrière, pour tout effaçais, je le ferais sans hésiter une seule seconde ! Certes je n’en suis pas fière, mais le côté positif c’est que ça m’a permis de gagner un petit peu d’argent pour survivre…
Il m’aura fallut d’une agression dans la rue pour avoir un coup de main pour me sortir dans mon merdier…J’avais dix-sept ans, lorsqu’un client régulier, me rencontra dans la rue un soir. Je ne travaillais pas ce soir-là. Ce dernier ne réussit point à retenir ses pulsions sexuelles. Commençant à me plaquer contre le mur de la rue, ayant pour but me violer. J’essayer de me débattre, je crier à l’aide, à croire que personne ne trainer dans les rues … Un homme sortit de nulle part, vient à mon secours, me délivrant des griffes de ce vieux pervers ! Ce dernier promis de ce vengé, avant de me laisser seul avec mon sauveur, mon héro ! Apeuré, les yeux humidifié par les larmes, je le remerciai d’une voix tremblante. J’étais à l’ouest, perdu dans mes pensé. Je sentis mon cœur battre à mile à l’heure, la tête tourna, avant que je ne ferme les yeux pendant quelques secondes… je venais de faire un malaise dans les rues parisienne. A mon réveil, je me retrouver dans se bras, en train de me transporter chez lui, qui n’étais guère loin de la rue dans laquelle je venais de me faire agresser. A cette époque je venais de faire dix-sept ans. Ce dernier m’hébergea pour la nuit. Devant une bonne tasse de chocolat chaud, on fit toutes deux connaissances. Ce dernier s’appelle Jonathan ! Un homme extrêmement beau et séduisant. Certes ce dernier est beaucoup plus vieux que moi … Et alors ? Perdu, je mis à lui raconter mes soucis, le décès de ma mère dont je ne m’étais toujours pas remis, du fait que j’ai abandonné mes études et je ne sais pourquoi je lui avouai de mes occupations quotidiennes pour gagner un petit peu d’argent… Ce dernier ne partit pas en courant et il se jetait encore moins surmoi ! Bien au contraire, il m’écouta sans me juge, en me promettant de m’aider et de me sortir de là. En m’aidant à reprendre mes études et retrouver ma passion qui avait disparut depuis quelques années… Grâce à lui, je repris confiance en moi, je sortis de ma dépression, j’abandonna mon métier de prostituée pour me remettre à étudier, et voilà qu’à mes dix-huit ans, je suis embauché dans un journal en tans que chroniqueuse. Elle n’est pas belle la vie ?!
Jonathan et moi, devinèrent des amis très proche ! Je ne le remercierais jamais assez de ce qu’il a put faire pour m’aider à m’en sortit. Mais peu de temps après avoir trouvé mon job en tans que chroniqueuse, notre relation prit une tout autre tenue, assez ambigüe… Je voulais cacher mes sentiments pour lui, je ne suis pas une fouteuse de merde et encore moins un casse-couple… Et pourtant, au fil du temps, je devenais sa maîtresse. Ce dernier prit la décision de ne passe rendre à son propre mariage, pour venir vivre à mes côtés. Depuis ce jours, nous sommes devenus inséparable, et nous vivons le parfaite amour. Comme quoi, l’amour peu nous changer la vie aux dix-neuf ans !
Comme dans tous les couples, nous rencontrons des hauts et des bas ! Rien de plus normal quand on y réfléchit bien… Mais rien ne peux mettre au défit l’amour que nous nous portons tous les deux ! Cet amour, nous permet de surmonter tout les obstacles, notamment celle de mon paternel qui a décidé de détester le jeune homme pour la simple et bonne raison qu’il est plus vieux… Evidement, je finis par couper les ponts avec définitivement… Les surprises de la vie s’enchainèrent ! Ce dernier me demanda de l’épouser. Ce fut l’un des plus beaux jours de ma vie ! On voulait faire un mariage simple, seulement ses parents, et quelques uns de nos amis… Un petit mariage abordable dans nos prix… Lee mariage sera prévu pour l’année d’après. Peu de temps après, j’ai appris que j’étais enceinte… Là, tout n’a pas était rose… Ce dernier étudier et ne se voyait pas d’avoir un enfant maintenant, alors que pour ma part, avorté signifie tué un bébé… Cela aura prit du temps, mais on finit par se mettre d’accord et de garder cet enfant !
Notre petite princesse montra le bout de son nez un certain 3 Mai 2006. Nous décidons de l’appeler Julia Anaëlle Dumont. Le prénom de ma mère me tenait à cœur, on décida donc de le lui mettre en second prénom. Elle fut la plus des merveilles de ma vie ! Malgré les nombreuses disputes qu’on avait pu avoir, je pouvais lire dans le regard de mon fiancée la fierté d’être père.
J’étais la plus heureuse des femmes, un mariage qui s’approchait à grand pas et la plus merveilleuse des petites filles. Mais il fallut qu’on l’accuse d’un crime qu’il n’a pas fait pour voir Jonathan partir avec la police dans cette prison… Julia n’avait que trois mois à cette époque… Tous nos amis et toute sa famille lui ont tournée le dos ! J’ai abandonné mon boulot pour pouvoir être au soin de ma fille et trouver une solution pour mon fiancé ! Je faisais des petit jobs partie par la, pour pouvoir nourrir ma princesse, mais je n’avais plus la force et le courage d’écrire… Je n’ai jamais douté de Jonathan ! Je sais qu’il n’a rien fait ! Ces quinze années seront longue, mais je vais le soutenir et trouvé une solution pour qu’il sorte de ces barreaux, pour nous rejoindre. Je viens régulièrement à la prison, lui racontant les progrès de sa fille, à travers quelques photos… Quand je pouvais, je la prenais à me côtés, pour qu’elle sache qui est son père, mais surtout pour que Jonathan voyer un minimum sa fille grandir.
Cette histoire durera quatre ans. Le coupable fut mon agresseur lorsque je fus plus jeune. Aujourd’hui, mon fiancée doit sortir de prison et nous allons pouvoir revivre la vie qu’on avait avant, tout les trois !