Sujet: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 14:01
❥ Faure Tristan Warren
Âge, date et lieu de naissance ⇝ 5 juin 1990. Statut ⇝ libertin. Nationalité ⇝ française. Métier/Études ⇝ étudiant en quelque sorte, philo sorbonne. Sexualité ⇝ variée. Groupe ⇝ la javanaise.
je m'aime, pas toi ?
⇝ je possède une soeur jumelle qui se nomme laureline actuellement étudiante à l'université d'Oxford. ⇝ mon visage vous est familier ? Il se peut que vous m'ayez entre-aperçu en allumant la télévision tard le soir. ⇝ mon deuxième prénom est warren, ma mère était une grande fan de séries américaines, elle a même joué une guest star française dans l'une d'elles. ⇝ j'ai volé la petite copine de mon ex, elle était finalement bien plus intéressante que lui. ⇝ j'ai toujours été fasciné par le mariage, mon rêve ? me marier à 21ans. ⇝ j'ai toujours voulu avoir une meilleure amie, mais elles sont toutes tombées amoureuses de moi. ⇝ je déteste mon cousin Andrea, mais je le trouve vraiment sexy.
je suis une superstar.
Votre pseudo sur le net ⇝ A KIND OF MAGIC. Où avez vous connu OLLP ⇝ Vous êtes en top avec TTR Age ⇝ 21ans Présence sur le forum ⇝ 7/7 sauf absences. Votre avatar ⇝ écrire ici. Pour nous aider ⇝
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Dernière édition par Tristan W. Faure le Sam 4 Fév - 19:34, édité 6 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 14:03
❥ Oh la la paris
PARIS 12 JUILLET 1997 ; DOMICILE DES FAURE
« Laureline quand tu seras grande tu deviendras quoi ? » Laureline et moi jouions tranquillement sur le palier de l'escalier, alors que je plantais mes prunelles dans les siennes prêt à écouter avec attention ce qu'elle pourrait bien me dire, relâchant le jouet que tenait encore ma main. « Agent secret, et toi ? » Même si j'aurais du m'attendre à ce qu'elle me pose la question, j'étais déconcerté, réalisant que je n'y avais jamais vraiment réfléchi. Bien sur comme mes camardes de classe j'aurais pu répondre pilote de ligne, ou sportif de haut niveau, mais ce n'était pas ce que j'avais répondu. « Je voudrais me marier. » même à sept ans, vous n'êtes pas sans vous rendre compte que si vos parents passent leur temps à se hurler des injures et que votre père va dormir dans la chambre d'amis, il y a de grandes chances pour que tout votre monde vole en éclat. Et c'est arrivé précisément ce jour là, cela faisait près d'une semaine qu'il s'invectivaient et alors que nous reprenions la construction de notre fort playmobil, elle hurla excédée. « Tu croyais que je n'allais pas découvrir que tu avais fait tes valises ? si tu veux te casser prends ton courage à deux mains, personne t'obligeait à rester ici, sache juste que les enfants resteront avec leur mère. » Je me figeai puis, posai un doigt sur les lèvres de Laureline. Je m'avançais discrètement vers le couple en descendant doucement les escaliers. « En vérité, c'est pour ca que je suis ici, tu peux garder la maison, les enfants, je ne veux plus rien avoir à faire avec toi Christine, ne t'inquiètes pas pour la pension alimentaire, si c'est la question te brûle les lèvres C'est plus que je peux supporter, les papiers du divorce sont sur la table, j'emménage à l'hôtel. » Elle ne répondit rien, le gifla simplement avant de claquer la porte d'un geste violent qui me déclencha un soubresaut. Les larmes commençaient à me monter tandis que je comprenais ce qui était en train de se passer. « Papa... » je me jetai à son cou pour l'empêcher de passer la porte. « Tu ne peux pas partir, tu dois rester avec maman Laureline, et moi, elle est fâchée mais ca va aller mieux, papa...s'il te plait reste. » Il m'ébouriffa simplement les cheveux en me souriant tristement. « Tu comprendras quand tu seras plus grand. »
PARIS OCTOBRE 1998 . COUR DE L'ECOLE
Un élève cours en pleurant vers la maîtresse d'école. « Que se passe-il Maël ? » demande elle interloquée. Des larmes ruissellent sur les joues du dit Maël. « Tristan et Laureline veulent pas que j'aille sous le préau, ils disent que j'ai pas le mot de passe... » La maîtresse exaspérée soupire avant de frapper dans ses mains pour que les élèves se rangent, je crois que j'ai pris ma première leçon de morale ce jour là, apparemment on empêche pas les élèves mal fagotés de passer la frontière du préau, j'ai du le copier cinquante fois.
PARIS SEPTEMBRE 2005 . DEVANT LE LYCEE
Rentrée, rentrée rentrée, sans doute le meilleur jour de l'année. Le prestige imposé par mon nouveau lycée ne peut que susciter mon admiration et c'est tout naturellement que ma première journée à Henri IV, se déroule sous les meilleurs hospices possibles. Laureline est enchantée et mon nouveau petit ami me fait même l'honneur de venir me chercher à la sortie, geste attentionné auquel je répond par une très provocante démonstration d'affection publique dont j'aj le secret. Alors que je salue mes nouveaux camarades, je remarque que mon cousin Andrea. Je lâche les lèvres de mon amant et l’entraîne machinalement vers mon cousin auquel j'adresse un grand sourire. « Andrea ? Quoi que ca ne devrait pas m'étonner! » Je jette un coup d'oeil à Apollon et les présente. « Apollon Andrea, Andrea Apollon, cousin, copain, j'aime pas tellement les présentations. » Andrea ne réagit pas vraiment, et je m'en offusque pas, sa famille n'est pas très ouverte, mais j'arrive à l'apprécier. « Il n’étudie pas ici ? » J'éclate de rire et jette un regard complice à mon amant avant de répondre. « Oh non, il a fini le lycée, arrêté les études pour se lancer dans la musique! » Je me tourne vers Apollon et ajoute. « Andrea aussi, fait dans la musique, vous avez un point commun ! » En les jaugeant tout les deux on peut facilement s'apercevoir d'ailleurs que c'est bien le seul, mais je continue de sourire. Andrea n'est pas dans ma classe cette année, mais on se retrouvera très probablement en première. « Je ne pense pas que nous fassions dans le même genre de musique cependant. » Indéniable. Visiblement le premier membre de la famille à qui je le présente après Laureline n'a pas l'air vraiment convaincu. Je prends la main de mon actuel petit copain et m’apprête à partir. « On fait une soirée samedi, j'espère que tu viendras. »
PARIS OCTOBRE 2005 . DEVANT LE CASIER D'ANDREA
« Tu vas m'ignorer comme ça longtemps ? » Je croise les bras, il est seul pour une fois et non entouré de sa clique de grognasses décérébrées. Trois semaines qu'il ne m'adresse pas la parole. Qu'il ne réponde pas maintenant ne devrait pas m'étonner, j'ajoute tout de même agacé. « Finalement tes parents ont réussi à faire ce qu'il voulaient de toi. T'es parfait, tu peux juger les autres. » Je le dévisage, déçu et soupire. « Je pensais que tu valais mieux que ça. » « Mieux que quoi ? Qu’un étalage public de niaiseries scandaleuses ? » Moi qui le croyait bien au dessus de l'homophobie, il faut croire que l'enseignement moral des Leroy-Duchesne a fait son chemin. « Tu as bien raison, Tristan. Je vaux mieux que ça. » Sa remarque me blesse, mais je n'en montre rien, me contentant d'afficher un sourire de parfaite hypocrisie. « Dommage que l'inceste soit moralement prohibée, t'aurais pu me donner des cours sur comment être un copain idéal qui dose la niaiserie. Tout le lycée se serait damné pour voir ça j'en suis sûr. » Je ricane et assène une dernière phrase. « Mais si tu veux la jouer comme ça, sache que tout le monde vient à la soirée que j'organise vendredi prochain, et qu'on saura se passer de ton petit côté snob mesquin et hypocrite. » Être rejeté par Andrea me fait ridiculement mal.
PARIS MAI 2006 : DOMICILE DES FAURE
Je m'accroche, même si c'est affreusement dur, parfois j'ai envie d'en chialer. J'ai toujours eu les meilleures notes, les plus grandes facilités en cours, et voilà que tout semble s'envoler sans que je n'arrive à sortir la tête de l'eau. Le lycée est trop exigeant, leurs notations trop sévères, je suis forcé d'admettre qu'il y a bien meilleur que moi. Parfois j'ai juste envie d'abandonner, quitter Paris tenter ma chance dans la vie active, faire n'importe quoi, plutôt qu'une dissertation de philosophie alors que l'ambiance à la maison n'est pas elle non plus des meilleures. « De un, ew. De deux, de quel droit tu te permets de décider à notre place de ce qu'on veut faire de notre soirée? Déjà tu m'as obligée à annuler mon dîner avec papa ce soir en me disant que tu me réservais à Tristan et à moi une surprise et après tu arrives avec un italien qui a à peu près le même âge que tes enfants. Quelle sorte de mère es-tu? Amuse-toi bien sur ton rencard. » Comme d'habitude, je préfère soupirer ne pas m'en mêler, dieu sait à quel point leur disputes peuvent être violentes. Laureline a raison, mais elle ne changera pas pour autant. J'allume une cigarette puis me tourne vers ma sœur dont les traits sont encore déformés par la colère. Je l'enlace et replace une mèche de ces cheveux. « Tout ce qu'on à faire, c'est s'accrocher, si on parvient à obtenir le bac avec mention on pourra décrocher une bourse pour Oxford et quitter Paris...du moins c'est ce que j'ai prévu, Apollon compte retourner à Londres l'année prochaine de toute façon et je compte bien l'accompagner, j'ai pas envie de moisir ici. » Apollon c'est le mec que je fréquente depuis le début de l'année. Il est venu en France pour échapper à son père, c'est le premier pour moi et même si parfois notre relation n'est pas évidente je sais qu'elle va durer, que ça vaut le coup d'y croire.
PARIS MARS 2007 : DEMEURE DES LEROY DUCHESNE.
J'ai tout perdu. Lui, mes projets d'avenirs d'avenir irréalistes et même ma popularité. Assis à table, je ne mange presque rien, me contentant d'observer Andrea les doigts posé sur le clavier, toujours égal à lui même, congratulé par toute la famille, une petite amie bon chic bon genre collée à son bras all day long avec qui il se mariera probablement faisant une nouvelle fois la fierté de grand mère, des autres, même de mon père... Laureline comprends, mais elle, il l'apprécie. Quant à moi ? Je ne fais pas grand chose à part créer la honte au sein de la famille Faure. Tentative de suicide, solitude, silence. Je le fixe moi aussi, songeant que j'aimerai très certainement être lui, à sa place ne serait-ce qu'une fois. « C'était tellement magnifique Andrea, tu devrais t'inscrire dans une de ces prestigieuses écoles de musique dont je t'ai montré les dépliants, je serais tellement fière de toi ! » S'exclame grand mère, émue par la prestation parfaite de mon cousin. La perfection toujours, on dirait qu'il ne flanche jamais. « Merci beaucoup. Et oui, j’y penserai, pour l’école de musique. » Évidemment. Je détourne les yeux alors qu'il s'installe en face de moi. L'évidence de nos liens est là, mais reste silencieuse, au stade de ressentiments simples mais insupportables. Je le jalouse, et c'est corrosif. Ma grand mère me coupe par une question existentielle. « Qu'est ce que tu comptes faire après le lycée Tristan ? » Je laisse échapper un petit rire, tout le monde se tourne tragiquement vers moi, je sais exactement ce qu'ils pensent tous, je vais leur donner ce qu'ils ont envie d'entendre. « Acteur porno, il paraît que ça paye bien. » Ils sont scandalisés, la provocation est sans doute l'art le mieux maîtrisé chez moi à défaut d'avoir le talent du connard assis en face de moi. « Quelle prétention honorable. » Il aurait été stupide de croire qu'il puisse s'abstenir de commenter. « On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a. » Il lève son verre, déclare la guerre, je lui réponds en aparté avec u sourire carnassier. « La prétention, je te la laisse mon chéri. » Je fais en imitant ironiquement sa mère. « Je suis l'un d'être à mon premier film. Mais peut être que je pourrais citer ton nom pour la composition de la bande originale du prochain, j'adorerais qu'on travaille en famille. » Je lève mon verre et me lève, enfile mon manteau et allume une clope dans la maison. « Ma mère m'attend, je suis sûr que vous saurez vous amuser sans moi, Andrea n'aura qu'à chanter un petit morceau. » Je lui lance un regard mauvais et débarrasse le plancher.
PARIS AVRIL 2008 : BAR QUELCONQUE.
Je bois, ricane, expérimente. Live fast die young, je commence à appréhender le slogan. Ma vie est un désastre, comme celle des gens qui m'entourent ce soir. Ca va faire trois soirs que j'oublie littéralement ce que j'ai fait de ma soirée, Apollon est parti en Angleterre faire carrière, moi je suis toujours à Paris à lutter contre la génétique. Je suis Tristan Faure, je ne suis rien et je n'ai pas la force de changer ça. N'est pas Andrea Leroy Duchesne qui veut, sans doute. Je le fixe, il est un peu plus loin puis détourne les yeux. Jamais. Je prends ce qu'on me donne, joue avec le feu, dieu seul sait ce qui m'arriver ce soir, et je m'en fous. La réalité se déforme, j'ai la tête qui tourne, plus d'idées, plus rien. Inconscience ou presque. On s'avance vers moi, je discerne presque une silhouette désagréablement connue. Qu'il me fiche la paix bon sang. Je me laisse entraîner plus par manque de force que par volonté. « Il est temps de rentrer. » « Casse toi... » Il passe ses bras autour de mes épaules et m'aide à quitter l'endroit. C'est quoi son problème au juste ? Faut qu'il vienne pourrir même mes soirées, c'est plus fort que lui. « Faure, tu n’as pas intérêt à te souvenir de ça. » Ah ça je risque pas d'oublier putain. « Qu'est ce que tu me veux à la fin bordel ? Lucie m'attend, qu'est ce que tu fous! » Il nous dirige vers ce qui doit être sa voiture, répond calmement, se fichant décidément de mes questions. « Personne ne t’attends. Tu ne sais même plus où tu habites. » Je jure, et me laisse manœuvrer sans trop de réaction. « Et qu'est ce que ça peut te foutre ? Depuis quand t'en a quelque chose à faire de ma gueule hein Andrea ? » « La ferme, tu veux ? Ta ceinture. » Je m’exécute dans un geste pénible. Ma vision est trouble, je n'ai même aucune idée de l'endroit ou je me trouve. Je ne crois pas une minute à la scène qui est en train de se dérouler et éclate de rire, je suis probablement dans un grand délire. « Tu traumatises même mon inconscient maintenant, ça devient dramatique. » Incapable de discerner le songe de la réalité, je l'écoute simplement me répondre sans trop savoir, si je ne suis pas tout simplement en train d'engager une conversation existentielle avec moi même. « Bien sûr. Tu le traumatises tout seul, si tu veux mon avis. Tu vaux tellement mieux que ça… » Je secoue la tête, je me disais bien qu'il n'était pas là pour rien. « Je ne suis pas comme toi. » On démarre, je ne sais même pas ou on va. « Parce que tu as abandonné. Tu as décidé qu’il ne fallait plus s’en donner la peine. C’est de ta faute. » Mon inconscient est dur, il l'a toujours été, ça ne m'étonne pas beaucoup. « Tu crois que je peux y arriver ? » Avoir l'air de lui poser à lui est assez amusant en somme, je ne peux m'empêcher de rire. « Bien entendu. »
Dernière édition par Tristan W. Faure le Sam 4 Fév - 18:56, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 14:06
NB : Andrea & moi, nous sommes inscrits ensemble, si ces persos vous semblent familiers, c'est effectivement parce qu'on les joue ailleurs, et qu'étant donné qu'ils sont français, on aurait bien aimé les jouer à Paris et dans un contexte et une situation alternative à ce qu'on joue déja. En esperant que ça ne gène personne.
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 14:09
Bienvenue à toi & bonne chance pour ta fiche :)
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 14:10
Nicolas Bemberg Mais non mon chou, ne t'inquiète pas. Personnellement ça ne me gêne absolument pas, il m'est déjà arriver de faire évoluer certains de mes persos sur d'autres forums. Bienvenue en tout cas et bonne chance pour ta fiche.
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 14:33
Bienvenue !!
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 14:42
OMG cyprien, t'as presque l'adresse de ma tante xD Merciiiiii
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 16:36
Bienvenue à Paris
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 17:26
Bienvenue Beau Gosse ! :)
En espérant que tu te plairas parmi nous et que tu n'auras pas trop peur des fous sur ce forum, je te souhaite bon courage pour ta fichounette !
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 18:03
Bienvenue :heartt:
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 19:05
7TWF BIENVENDUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE I LOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOVE YOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Ven 3 Fév - 23:29
VOUS ICI!!!!
Invité Invité
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Sam 4 Fév - 19:29
Bienvenue parmi nous
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: Tristan Warren Faure ♦ LOVE GAME Dim 5 Fév - 12:12
Bienvenue sur le forum, je te validé chaton :heartt: