«Madame Chomsky où est votre petit Micah ?»Avec les autres enfant voyons !. La dame arqua un sourcil face à la mère.
«Non il n'est pas là» . Sally soupira et promena son regard à travers la pièce à la recherche de son fils quelque part dissimuler. Dans un coin reculer du salon il se tenait sur une petite table crayon feutre à la main.
«Micah , mon chérie pourquoi tu vas pas rejoindre les autres dans la carré de sable.». Les yeux de l'enfant digne de deux émeraudes verts éclatant se soulevèrent vers sa mère et posèrent de nouveau par la suite sur feuille du gribouillis de l'enfant de sept ans.
«C'est futile les amis maman». Ses traits s'étaient affaissé sous le visage sérieux du gamin qui n'avait pas fait de mine de plus s’intéresser en continuant sa petite oeuvre sans importance. Sa maternel n'était pas jouissive face à ces paroles qui s'accompagnait par des gestes subtiles dans la tendre enfance venant de plus en plus présent au file que les jours tombaient. Ses parents ne pouvaient le sortir au parc pour l'emmener jouer dans les terrain de jeux et encore les colonies de vacances n'étaient pas envisageable. Ils se résignèrent à lui faire une grande sale de jeux dans leur demeure afin qu'il puisse s'amuser en paix. Seul les après midi que sa mère organisait avec ses amies pour discuter comme des pie autours d'un thé sur les tables de verre et encore il ne sortait point de sa chambre ou il restait à l'écart à plusieurs mètres de distance. Les enfants le regardaient avec des grands yeux comme si il venait d'une autre planète , il n'avait pas besoin d'entrouvrir les lèvres pour cracher des mots son âme seul et son visage se montrait retissant à leur égard. Quelque chose de repoussant qui ne leur plaisait guère. Sally c'était agenouillé à cotée de Micah et l'avait étreint un moment ne sachant pas vraiment comme réagir à ces instants , certes elle ne voulait pas le brusquer et le terroriser , alors elle se contentait d'afficher un sourire bref avant de retourner à ces occupations. Les ragots qui se promenaient de bouche en oreille dans le quartier aimable de Sans Francisco critiquait bêtement la façon dont on élevait le jeune garçon , on disait que on le menait tout droit à un comportement purement sauvage. Entre ces nombreux jouets et sa pièce privée il vivait pleinement à grand sourire au besoin du silence éternel qui pesait long sur les murs. Seul ses rires ou ses paroles lancés pour lui tout seul suffisait pour ses tympans que les cries des autres de sont âge courant partout sur l'herbe. Il avait toute fois cette ange quelque part qui est venu déposer ses ailes sur ses épaules lui réchauffant une partie de son coeur. C'est au cours de la récréation qui l'avait vu sa petite bouille souriante avec ses cheveux bruns . Micah avait pour habitude de se tenir à la fin de la cours tout proche d'un arbre avec une petite guitare en plastique dont il attisait déjà les cordes avec passion.
«Oh tu as une guitare tu me laisse la voir ?» Yadiel avait bredouiller ne sachant pas quoi répondre n,ayant qu'un but s'éloigner un plus loin pour aller plus proche de la clôture. Toute fois il avait tendu son jouet dans un visage livide , la bouche muettes ainsi que les yeux bien ronds. Le petit inconnu avait agiter ses petites mains délicatement sur le jouet sans valeur alors que Micah l'observait tout intimidé , mais à la fois fasciné.
«Moi c'est Grayson et toi?»«Mi..mi..cah...Micah». Sortant d,une sorte de transe complètement figé par sa timidité et son cotée solitaire , les mots avaient sortit dans un chemin tortueux , mais laissant tout de même afficher un grand sourire chez Grayson.
«Ça ressemble à Mickey ! Je peux t’appeler comme ça ?». Il avait hoché la tête machinalement même si d'une part il aurait voulu la hocher dans un signe négatif. Pour la première fois et sans doute la dernière il sympathisait avec quelqu'un et semblait déjà peu à peu rigoler c'était à la fois étrange , mais une sensation de nouveauté différente et plaisante. Grayson était toute fois la perle rare qu'il le sortait de son silence interminable. Il se rappelle du visage heureux de sa mère lorsque il l'a ramener pour la première fois à la maison et avait partagé ses petites voitures avec lui et ses crayons de bois. Sally s'était rapidement passer au salon retirant le journal des yeux de son marie plonger dans sa lecture lunette au bout du nez.
«Notre fils à un ami ! Un ami tu te rend compte !»«Un ami tu en es sûr ?»«Oui oui le petit Grayson qui habite au bout de la rue. Tu sais un des deux garçons de la famille Langlois.» Malheureusement la vie n'est pas imprégné d'une paisibilité profonde voguant dans une marée rose.Lorsque son ami à souffler ses dix bougies une nouvelle suivait la nouvelle année d'existence entamé , l’Europe devenait sa nouvelle maison. Il avait passé un dernier après midi ensemble dans la chambre presque vide entouré des boites pleines , cache cache à travers ces cartons pour finirent par les bruits sourd de l'horloge et le soleil qui se tamisait. Gray n'avait pas oublié d'une façon son petit Mickey et lui avait remit la petite guitare en plastique de leur rencontre , il avait marqué au feutre rouge Graygraychou et Mickey . Micah se rappel ne pas avoir tiré les rideaux bleu pâles sur les fenêtres de sa chambre pour observer les étoiles , les yeux embués caressant doucement la guitare pour finir par s’effondrer dans un sommeil. Son oreiller avait recueilli les larmes qui avait coulé sur ses joues au cours des heures de la nuit sachant qu'un océan complet le séparait de la seule personne qui comptait.
❥ Cicatrice & Mélancolie
Il regardait le salon couler sur son avant bras. oh il adorait ça. Senir la douleur jaillir de ses veines. Le morceaux de rasoir au creux de sa paume épongé au bout de ses piques par les filament du liquide rougeâtre et en deux trois mouvements une autre était taillé, en un clignement de cils. Le petit pot de médicament était déposé sur son matelas . Il regardait les petites pilules sentant son estomac se torturé en allant chercher la douleur jusqu'au fond de ses tripes tiraillant des larmes qui n'avait que le choix de passer la barrières de ses yeux.Il se leva voguant jusqu'à sa bibliothèque musical . Ses doigts glissèrent sur les nombreux coffret des CD pour en sortirent un de sa place importante. Déposé dans la radio les premières notes s’envolèrent suivit de paroles déchirantes , musique triste , dépressive. Micah prit une feuille de composition glacé par la profondeur de sa tristesse montrant des petite gouttelettes du liquide vital et chiffonner plusieurs fois avec maladresse . Sa guitare sèche fit entendre ses accord à travers la pièce avec la musique de fond. Son regard faiblissait , ses mains tremblaient et il commençait en perdre le cour. Les images tournaient et s'agitaient si bien qu'il pensait avoir aperçu que les murs dansaient et que le sol était déjà beaucoup trop loin dans une chute infinie. Le jeune adolescent savourait les instants qu'il espérait à chaque fois que se soit les derniers , les derniers espoirs , dernière espérance , l'écrasement des derniers rêves. Il se délectait de se sentir impuissant et de sentir le puissant manque et de venant qu'à se libérer détruisant chaque parcelle de son corps petit à petit. Les besoin de l'existence de cet être humain qui n'avait partagé que l'enfance à ses cotées , mais marqué de son nom dans son coeur ne sachant que lui pour lui apporter le bonheur bien égaré. Chambre en pagaille elle représentait une lueur de sa mélancolie et de son esprit si fragile. Ses pensées s'ébranlaient sur des files balançant dans le vide et alors son âme s'envolant peu à peu ne retant que quelque doigts accrocher à ces files de fer. Il caressait ses veines brisées ne le quittant point du regard admirant ce signe dépressif. Accablé par les minutes qui se consumaient le temps n,avait jamais autant défilé à cette lenteur , écorché par l'existence tout était plongé dans la noirceur. Son coeur tambourinait sous sa poitrine et sa respiration se saccadait . Son instrument cogna sur les lattes de bois , ses lèvres s’entrouvrent comme si elles venaient d'avaler leur dernières souffles ce fut le noir par la suite...la fin de la lumière.
Le visage floue d'une dame tenant sa main les serrant sans doute trop fort permettant de bloqué la circulation transformant le tout en des jointures blanches. Pansement qui était revêtu sur son poignet suivit de quelques cicatrices déjà marqué qui dépassait. Ses prunelles furent agressé par la lumière aveuglante et les murs blancs d'une chambre d'hôpital.
«Oh bon sang ! Encore un miracle ! Oh mon bébé !» Elle couvrait son visage de baiser serrant fort son enfant en lui écraser ses pauvres membres si faibles et en couper sa respiration. Ce n'était point la première fois qu'elle advenait à se retrouver dans cette chambre , mais à chaque fois lorsqu'elle revoyait son regard se réveiller de nouveau les larmes de joies coulaient à flot. Peur , par simple peur de l'avoir perdu pour de bon.
«Maman arrête tu m'écrases !». Elle prit son visage entre ses deux mains et le regarda pendant de longues minutes et déposa un dernier baiser sur son nez. Elle se releva ajustant son tailleur et lui déposait une nouvelle guitare avec une boucle rouge sur le dessus
«L'autre qu'on a retrouvé dans ta chambre a eu quelques dommage et rien n'est trop beau qu'un nouveau jouet pour notre fils !» Micah prit l'instrument avec des étoiles dans les yeux et l'accordait par la suite. Il n'avait jamais du à lever le petit doigt pour recevoir des instruments , un CD ou encore du matériel à dessin. Sally espérait d'une façon de le rendre heureux lui offrant des choses qui le passionnait , le sortir de ce lit d'hôpital dont il rendait beaucoup trop visite.
«Madame Chomsky , ce n'est pas la première fois que nous avons affaire à votre fils. Voulez-vous faire un recours à un psychologue ?» Elle avait toisé l'infirmière dans un visage bien peu aimable et avait haussé le ton en oubliant presque où elle se trouvait.
« Mon fils va très bien d'accord ! Il n'est pas fous il n'a pas besoin qu'on lui joue dans la tête» L'adolescent avait relevé son regard en entendant les murmures qui c'étaient transformé par des cris retirant un peu son sourire niais au rictus de ses lèvres. Parler ainsi c'était comme se boucher les oreilles ou être complètement aveugle pour voir la situation. Ses bras se transformaient peu à peu en charpie et il avait de nouvelles cicatrices pour chaque mois presque. Elle le savait déjà qu'il retournerait s'isoler une fois à la maison en passant par les longues journées sur l'ordinateur et les amis qui ne rapportera jamais du lycée. La petite bête solitaire de toute la bahut , la personne qu'on évitait comme la peste , mais quelque part il avait toujours un malin pour le faire trébucher ou faire tomber ses cahiers. La seule chose qui éveillait une lueur de soleil sur lui était ces conversations avec son ami d'au moins une fois par semaine. Tout ça d'une part devenait un objet de souffrance d'avoir tant de kilomètres de séparation alors que de son cotée Gray semblait si heureux dans sa petite vie à Nice. Voir les phrases défilés sur msn sous ses yeux ne le suffisait point ça le torturait plus qu'autre chose de ne pas pouvoir voir son visage. Il déprimait pour sept lettres tout simplement , un nom il en gâchait une belle vie que ses parents lui offraient , mais ce seul mot en était là toute la différence.
Dix-huit ans , la majorité , le moment de quitter le nid familiale. Nice direction qu'il entreprenait déjà. Le seule moment où il sortirait de la maison pour se rendre à un aéroport sans en être effrayé par l'extérieur. Tout au long du vol il s'était collé contre le hublot touchant le moins possible au banc à cotée qui était par chance vide. Il avait plaqué les écouteurs de son ipod sur ses oreilles coupant tout bruit. Un appartement de bas étage fut sa nouvelle demeure dont il ne se plaindrait point tant qu'il avait un refuge où se planquer en toute sécurité. «Gray je porte maintenant la nationalité française moi aussi. Je suis là.»
❥Amitié mortelle
[Là c'est le moment de l'histoire ou change complètement de narrateur pour toute vous mélanger 8D ]
«Non gray je veux pas !» .
«Aller viens on va parler à personne juste se promener ».
«Non s'il te plait...» «Tinquiète pas mon chou je suis là il t'arrivera rien je vais te protéger»J'avais beau m'accorcher à la porte tant que je le voulais hurler comme un dingue il tirait tout de même ma main doucement pour me faire goûter à l'aire extérieur. Je voulais en mourir , oui l'oxygène n'allait pas me tuer , mais il restait que j'étais tout simplement appeuré de la réalité extérieur. Des petites larmes avaient sombré sur mes joues , comme un pure enfant j'étais figée. Je le suppliais de me laisser retourner à mon ordi. Cette journée là j'avais contre mon gré rencontrer tout de mêm les rayons du soleil. Tout au long de cette prommenda pénible je m'étais accroché au bras tatoué de mon meilleur ami. On s'était assis sur un banc de parc et je ne disais rien c'était comme revenir au temps de la maternel. Figé comme une statuette il avait essayé de me détendre.
« Tu sais que tes le plus beau dans tout ce parc !» J'avais baissé la tête en rougissant comme un pauvre timide paumée un sourire naïf à la bouche. Je virais pivoine au moindre compliment qu'il me disait et c'est moment de drogue qu'il pouvait passer à me faire tirant sur l'ambiguïté.
« Gray je peux dormir avec toi ? »«Depuis quand tu me le demande aller viens babe !» Comme un petit enfant de cinq ans dans mon petit drap j'étais venu me réfugier dans ses bras comme après un cauchemars qui m'avait réveillé. Dans ses bras forts je me sentais en sécurité et la peur se dissimulait.
«Je me sens comme une peluche...»«C'est que tu en es une aussi !» Il avait rit et moi j'avais froncé les sourcils , mais lorsqu'il m'avait serré plus fort pour rigoler comme si j'étais un ours en peluche j'avais gloussé en fermant les yeux près à m'endormir. J'entend encore le sons de nos guitares qui me bercent pour m'endormir et nos nombreux délires de l'après midi. Je peux sombrer tranquille sachant qu'il est là juste à mes cotées serrant mes côtes.
« Je t'aime mon graugraychou»«Oui moi aussi mon Mickey !»C'était si beau Gray. Si magique , si parfait. J'ai pourtant tant mal à vivre avec ces gens qui t'aiment , ton frère que tu aimeras toujours plus que les autres dont je ne pourrai jamais avoir sa place. Si irremplaçable qu'au point que mon sang qui coule le long de mes bras ne suffisent pas pour extrorpier la douleur que je ressend , la jalousie que j'ai à l'intérieur. Je le sais déjà tu culpabilise et tu pense surement être au fur et à mesure nossif pour ma santé , mais je ne peux m'empêcher de t,aimer et de compter sur toi en esperant que tu ne sois pas trop loin pour prendre ma main. Pardonne moi , mais je n'y arriverais pas si faible n'ai pas peur j'emporte mes délires et les mélodies baladeuses de nos guitares qui on tant joué. Mon meilleur ami oui je t'aime , mais non je ne vous dirai pas que cela prend en ampleur de sentiment amoureux , mais au fond tu m'intéresse toi avec ton visage magnifique. Tu ne respire plus , je ne vis plus , tu m'abandonne je finirai noyer dans l'eau d'un bain. Oui se soir il n'est pas arrivé quelque chose de particulier , mais voir toi et ton frère dans ton appartement si heureux j'en souffre. La lame danse encore gaiment proche de ma peau et elle parviendra à la déchirrer encore plus toujours plus en profondeur et je sais que je vais sombrer, que je vais tomber et me réveiller malgré moi encore dans les draps blancs avec ces bandages. Je ne t'ai pas apporté de nouvelle depuis une bonne semaine , mais tu le sais très bien je ne pointerais jamais mon nez à l'extérieur sans toi pour tenir mes doigt sfrêles tremblants. D'une part est-ce que ça va pas cette relation ? Dans tes paroles je le sens parfois que tu m'envoie un message et la peur me terranise de nos chemins qui se sépareront un jour. Je pleure laissant mes larmes se mêlée au sang et je crie de douleur tout en continuant même si je sais que je pourrais finir dans une marée rouge. D'ici quelques heures qui sait tu rentrera dans mon appartement et tu me découvriras inconsient une fois de plus et les lumières de l'ambulance suivront. Les minutes passent et je le savais déjà la réponse au bout de tout ça. La lumière m'a encore aveuglé et à la place de ma maman c'est toi qui sert ma main en me regardant.
«Arrête de faire des conneries bon sang ! Je commence à croire que tu préfère ce lit à moi.» Il souriait et moi mon visage restait mélancolique en regardant vers la fenêtre passant par mes bras pour voir mes blessures soignés. Je le sentis passé ses bras pour me faire un câlin et chacun de me bras devinrent dures par le contact , par le stress , mais je m'adoucissais savourant cet hélant de tendresse le serrant à mon tour en profond silence.