DE

ENVOYÉ LE

« Je ne comprendrais jamais ces femmes qui tiennent à avoir des bouées gonflables à la place des seins…

Enfin, je vois que tu ne peux pas te passer de moi ! 8)
Mais bon, j’avoue que ma journée de travail m’a semblé bien vide sans toi pour venir me coller aux basques. XD J’espère quand même te voir demain ! Il faut croire que j’ai besoin d’une dose de Roswell dans une journée.

Xo, celui qui adore te faire rager.  »

DE

ENVOYÉ LE

« Non, je n’ai pas besoin de dose - pas pour le moment en tout cas. Mais c’est gentil à toi de me proposer. Je dois payer en nature ? (a)

Je ne fais rien. Repos-déprime-fish&chips chez moi, tout seul. C’est triste et pathétique mais j’avais pas envie de sortir.
Et toi ? Les pizzas étaient bonnes alors ?  »

« Je tâcherai d’y penser. x)

Non mais je préférais rester seul ce soir. J’avais envie de voir personne - pour tout t’avouer j’ai hésité à répondre à ton SMS. C’est pas contre toi, hein !
C’est vrai que la nourriture bien de chez nous me manque aussi. Un peu.

Oh c’est bête. Tu n’avais donc aucun amant à faire hurler ce soir ? XD Dommage… Pas trop en manque ?  »

DE

ENVOYÉ LE

« Mais non ! Ça n’a rien à voir avec toi, promis. Tu sais bien que j’adore ton petit manège. Tu me fais rire et je ne peux pas nier que tes avances ne me laissent pas indifférent, loin de là.
Seulement des fois, je m’isole. C’est comme ça. Tu n’as rien à te reprocher, d’accord ? :)

Si ça s’adresse à moi le ‘surtout quand on refus mes invitations’, encore une fois désolé. Je ne veux pas te blesser quand je refuse tes invitations. C’est juste que… pff… Tu es loin d’être laid Roswell. Et ton attitude envers moins est loin de me laisser de marbre. Seulement j’ai un petit copain et je veux éviter toute tentation. Parce que tu es tentant, Ros’, très tentant. »

« Bien sûr que je t’évite pour ne pas succomber ! Un peu aussi parce que ça m’amuse de te faire tourner en bourrique mais surtout parce que j’ai peur de déraper.
J’essaye de me dire que, même si j’avais été célibataire, je n’aurais pas cédé à tes avances mais…

Le fait est là. S’il n’y avait pas eu Cassandre, tu m’aurais eu comme n’importe qui. Autant l’avouer de toute façon, parce que ça ne sert à rien de nier. Tu m’aurais eu dans ton lit (presque) aussi facilement que tous les autres. Donc tu vois, rien de très intéressant en somme.
Et soyons honnêtes, tu n’aurais plus voulu entendre parler de moi après ça. Parce que je n’aurais plus eu d’utilité à tes yeux. Quelque part, me refuser à toi c’est un peu comme te garder avec moi pendant encore un peu de temps. T’es un chic type dans le fond et tu m’amuses.  »

DE

ENVOYÉ LE

« Ne dis pas ça. Tu n’es pas un clown ! Seulement comme tu couches à gauche à droite, on ne te prend pas au sérieux. Sur le plan personnel tout du moins parce que je crois que plus personne ne doute de tes capacités en tant que chirurgien plasticien. Ta réputation n’est plus à faire de ce côté-là alors pourquoi ne pas t’occuper de ta vie personnelle un peu ?

Tu es sérieux quand tu dis ça ? Tu as vraiment envie que je sois plus qu’un nom sur une liste ? C’est bizarre mais j’ai toujours cru que tu ne voulais que mon cul et que ça ne te dérangerait pas de me larguer comme une merde juste après. Je suis content de voir que ce n’est pas le cas, vraiment.
Et je te remercie de ne pas vouloir briser mon couple. Parce que je suis franchement pas du tout confiant de ce côté-là et Cassandre m’apaise énormément. Je suis très attaché à lui et je ne veux surtout pas le faire souffrir. Alors ça me tranquillise de savoir que tu me laisses les rênes du jeu.

Honnêtement , je ne sais pas quoi te dire. Je sais que je devrais te dire d’abandonner mais je sais aussi que si tu arrêtes de venir me chercher, je viendrai à toi d’une façon ou d’une autre. Parce que j’aime ce petit jeu entre nous. Et que si tu arrêtes de jouer alors je te forcerai à reprendre la partie.  »

DE

ENVOYÉ LE

« Tu sais, je n’ai rien de plus qu’un autre. Je ne vois pas pourquoi tu me jalouses. Avant Cassandre, j’étais un peu comme toi. Je couchais beaucoup. Je ne m’attachais pas parce que ça m’effrayait autant que toi. Parce que je ne voulais pas m’attacher également. Mais Cass’ était avant tout un ami de longue date, et je me suis toujours senti mieux avec lui. Et j’ai fait l’erreur de coucher avec lui et on est arrivé là où on est aujourd’hui.
Je ne sais pas ce que ça va donner, je sais pas où on va. Mais j’ai envie d’essayer parce que s’il est un aussi bon compagnon qu’il est un ami alors oui, je pourrai être heureux, vraiment. Seulement, si je te cède ça gâchera tout. Et ça le blessera.

Tu trouveras quelqu’un, un jour, qui te montrera qu’être dans une relation stable et équilibrée en vaut la peine. Il te suffit d’être patient et de garder les yeux bien ouverts.

Je sais qu’il faut soit gagner soit perdre. Mais je crois que je me suis résigné à perdre la partie… Je sais que je joue avec le feu mais tant pis, je n’arrive pas à m’arrêter. Et c’est d’autant plus difficile de résister quand tu es aussi mignon que ce soir. (a) »

DE

ENVOYÉ LE

« Tu ne rates rien d’extraordinaire, Ros’. Je suis comme tout le monde, je n’ai rien de plus et rien de moins. Je suis un boulet concernant les affaires de cœurs, un handicapé des sentiments. Donc non, tu n’as rien loupé. Je t’assure.

Je te l’ai dit. Je suis incapable d’arrêter même si je sais que je risque de perdre gros dans l’histoire. Parce que j’ai besoin que tu me cherches, j’ai envie que tu sois là, à me draguer. Et c’est parce que c’est si dangereux que c’est si bon, si excitant. J’ai toujours aimé plaire, j’ai toujours aimé sentir cette envie qui grimpe doucement mais sûrement en moi.

Je suppose que c’est parce que j’ai ce besoin en moi de me sentir aimé. »

DE

ENVOYÉ LE

« Oh arrête, je suis sûr que tu dragues tout plein de minets et minettes encore plus jeune que moi ! Mais ça me flatte que tu te sentes autant attiré par moi - même si je ne comprends pas trop pourquoi.

Je suis vraiment désolé de te faire vivre cette situation. Je sais que ça doit être dur pour toi et je me sens égoïste et coupable de vouloir absolument que tu restes avec moi alors que je sais pertinemment que je ne peux pas te donner ce que tu attends de moi. Je suis un monstre d’égoïsme en fait…

Ne t’excuse pas, ça arrive à tout le monde. xD Je suis le roi des batteries déchargées !
Par contre, désolé mais je te laisse. Je suis crevé après ma garde infernale alors je m’en vais rejoindre mon lit - tout froid.

Je t’embrasse également - pour un peu je te dirais bien : je te laisse deviner où. (a) »

« Je me suis réveillé en sursaut et surtout en nage. Je suis à moitié dans le brouillard mais… J’ai rêvé de toi.

Je viens de rêver de toi.

Et comme j’ai regardé mon portable, j’ai vu que tu m’avais envoyé un sms alors j’ai voulu te répondre. Seulement avec tout ça, je ne sais plus ce que tu me disais dans ton précédent texto… Je crois que je suis encore sous le coup d’avoir fait un rêve où nous… Oh God.

Enfin bref. Je file me recoucher, je vais être cassé demain.
Bonne nuit Roswell ! »

« C’est bien la première fois que j’arrive à te couper le sifflet ! J’en serais presque fier si ce n’était pas à cause de ce rêve… xD

Sinon, à ton avis ? Que crois-tu que nous faisions Roswell ? On jouait à la dinette bien évidemment ! Avoue qu’il n’y a pas trente-six solutions.

Désolé de te rendre jaloux de toi-même en tout cas.

PS ; Viens vite. »

« J’ai envie de toi - de plus en plus envie de toi. J’ai envie de faire l’amour avec toi et c’est mal. Très mal. Faut que t’arrêtes d’être gentil avec moi. Faut que t’arrêtes de me montrer que t’es un type bien. Faut que t’arrêtes de te préoccuper de moi.
Tu pourrais pas redevenir le séducteur sans cœur que tu étais il y a quelques temps ? S’il te plaît. »