❥ Wise-Debussy Emma Skyler

Âge, date et lieu de naissance ⇝ J'ai 23 ans et je suis née le 5 mars à Bolton, en Angleterre. Statut ⇝ Célibataire mais tu peux m'inviter boire un verre. Nationalité ⇝ Franco-britannique. Métier/Études ⇝ 4ème année de médecine afin de devenir chirurgien. J'ai encore le temps. Sexualité ⇝ Hétérosexuelle. Groupe ⇝ Un autre monde.

⇝ Pour faire court et sympa je suis une personne assez décalée et anticonformiste. C'est le tout premier trait de caractère que j'utiliserai pour me décrire. Depuis ma plus tendre enfance, j'ai toujours refusé de rentrer dans le rang et être dans les normes, ce qui m'a d’ailleurs coûté de multiples séjours au pensionnat et à fait de moi le vilain petit canard de la famille. L'autorité n'a jamais eu grand effet sur moi. Je ne saurais dire pourquoi une partie de moi chercher toujours à se démarquer des personnes qui m'entourent et de se plier aux règles imposées quitte à commettre des actions complètement irréfléchies. Tant de détails qui font de moi quelqu'un de différent aux yeux des autres. Il est vrai que quand j'observe les personnes qui m'entourent je me demande si finalement la différence, n'est-t-elle pas un atout ? De plus, mon franc parlé ne fait rien pour arranger les choses, pire même, il a le don inouï pour les faire empirer. C’est peut être mon pire défaut et ma mère n’a cessé de me le faire remarqué tout au long de mon adolescence : " Sky, tu devrais réfléchir à ce que tu pourrais dire avant de parler ! ". Et bien évidemment, je faisais toujours le contraire. Parler puis réfléchir ensuite. Déjantée. C'est vrai, je suis complètement barge. Je n'ai pas vraiment de limites, et même si j'en avais, je me débrouillerais toujours pour aller au-delà. Tolérante. En grandissant, j'ai appris qu'il ne fallait pas juger les gens sur une apparence, une réputation ou encore une erreur passée. Malgré ça, les gens peuvent changer, et moi, je crois aux secondes chances. Fêtarde, deuxième terme que j’utiliserais. Je suis de celles qui ignorent totalement ce que c’est la sensation de passer un week-end tranquille à la maison. Les clubs, j’en consomme et j’en abuse. Un peut trop peut être. Drôle? Ayant grandi dans une fratrie de trois garçons plus âgés, les blagues salaces, l’humour sarcastique, les farces et les coups bas ça me connait ! Faire rire et mettre l’ambiance au sein d’un groupe, c’est ce que je préfère. Ce qui explique le fait que la plus grande partie de mes amis sont des garçons. On dit peut être des filles qu’elles sont plus intelligentes et plus soignées que les garçons mais ce n’est pas vraiment mon cas. Je suis certes loin d’être une idiote mais j’ai hérité du côté farceur et moqueur de la gente masculine. J'avais dit court ?
⇝ J'ai grandis dans l'idée que plus tard, je deviendrais photographe mais lors de ma dernière année de collège, je me suis trouvée un goût prononcé pour les math et la physique, ce qui m'a poussé à faire médecine. Incroyable.
⇝ Je suis une touche à tout. Après le la guitare, le piano et le saxophone, je compte me mettre à la batterie. Ma soif de savoir est toujours de plus en plus grandissante et sans limites.
⇝ J'ai deux chats. Aurora et Serguei. Deux poissons. Mosh et Panini. Et un chien, Angus. C'est une vraie basse-court mon appart.
⇝ Si il y a bien un milieu où mes mains ne sont d'aucune utilité, c'est bien la cuisine. Vous avez toujours cru que c'est impossible de rater des pâtes? Salut, je m'appelle Skyler, je ne sais pas faire cuir des Lustucru. Je mange q
⇝ Tous les matins, il me faut mon footing. Même durant mes gardes, je me débrouille pour me libérer un petit quart d'heure avant de faire mes visites.
⇝ Je suis allergique comme pas deux à l'arachide, si tu veux ma mort, offre moi un snickers.

Votre pseudo sur le net ⇝ LILY-ROSE
Où avez vous connu OLLP ⇝ Sur POH, si si
Age ⇝ 17 ans dans vingt et un jours.
Présence sur le forum ⇝ 6/7
Votre avatar ⇝ Kristen Bell pardi!
Pour nous aider ⇝

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[color=#FF0080]▬▬[/color] <b>Kristen Bell</b> ◈ E. Skyler Wise-Debussy

Ce que je déteste la pluie. Non, non, ce que je déteste Oxford et ce que je déteste ma mère ! Voilà que pour la énième fois ce mois ci, je me suis enfermée dans ma chambre et tout ça parce que ma génitrice ne cesse de me questionné sur ma vie privée dans l’espoir vain qu’on réussira à construire une relation mère-fille. Sérieusement ? Le fait qu’il se mette à pleuvoir des billets verts serait plus à même de ce produire. Ma mère à toujours voulu être parfaite, essayant à prouver à ses amies, vulgaires bourgeoises anglaises liftés, qu’elle était plus proche de sa fille que quiconque pouvait l’être. Mais vous savez ce qui me rend le plus malade ? C’est le fait que mon père, lui se retrouve de l’autre côté de la manche à dépenser des millions d'euros dans des voitures hors de prix et qu’il passe ses après-midi à jouer au golf avec ces confrères friqués et forts consommateurs de Jin et de péripatéticiennes. Ne vous faîtes pas d'idée jeunes gens, mon père est gay.

Et c’est là que j’eu l’idée qui allait changer mon quotidien du tout au tout. Partir. Réaliser mon rêve. Tout quitter, ma mère, mes amis, l’Angleterre et tous ces ivrognes qui y vivent. Après tout, l’argent, ce n’est pas ce qui me manque et la frontière n'est qu’à deux heures de train de ce bled paumé. Sac remplis à rabord de bricoles nécessaires à la survie d’un être humain, passeport, argent en petites coupures. Ça y est, je pars pour Paris. Pas si vite ! J’oubliai un petit détail. Comment allai-je prendre la fuite sans que ma mère s’en aperçoive ? La fenêtre de ma chambre était une échappatoire sure, après tout, ce n’était pas la première fois que je faisais le mur.

Folkestone, devant les tableaux de départs. Le prochain train pour Calais était dans trois heures et par chance, en Europe, la majorité est à 18 ans. M’approprier un billet allé simple à été un vrai jeu d’enfant. Mes bagages étaient enregistrés depuis une demi-heure déjà ; les trois prochaines heures allaient être longues, et encore, le mot est faible. Armée de mon appareil photo, je prenais des clichés de tout et n’importe quoi : L’heure exacte du départ de mon train, histoire de marquer le coup. Un couple qui, visiblement, revenait d’une destination ensoleillée à en juger par les marques de bronzages qu’avaient laissée leurs paires de lunettes respectives sur leurs visages. Les personnes assises sur le banc d’en face qui eux semblaient totalement dépassé par le comportement turbulent de leurs trois enfants dont des jumeaux d’approximativement… quatre ans ? Et les ferrys attendant leurs passagés sur les quais.

Je n’étais jamais montée sur un bateau auparavant. La sensation n’était pas si désagréable finalement, je dirais qu’elle était plutôt, soporifique. J’avais dormis toute la durée du trajet si bien que la dernière choses dont je me souvienne était que le ferry avait quitté le quais dans un bourdonnement insupportable. Je me trouve en ce moment même à Calais. Contrairement aux anglais, les français ne cesse de sourire et d’être super sympas avec tout le monde, sans compter que ceux du Sud sont assez bronzés. Regardez-ça, j’ai l’air d’une albinos ! Enfin bref, un problème de taille s’exposait à moi. Comment retrouver un William Debussy dans une agglomération aussi immense que la ville des amoureux?

Dans le taxi. Apres près d’une heure intensive de rechercher dans l’annuaire de Paris (qui au passage a la taille de l’encyclopédie des sciences) j’ai retrouvé, mon cher et tendre père! Cela fait près de quatre ans que lui et mes frères ne m’ont pas vu. Depuis, le port de Calais, j’ai pris des tonnes de clichés, dont la fameuses Tour Eiffel. J’ai aussi capturé quelque monuments importants, le taximan ayant accepté de devenir également guide touristique. Nous avions finit par atterrir dans le 16ème. Les maisons sont énormes, les voitures, tout est sur-dimensionné, ici. Je ne peux pas croire que mon père et mes frères habitent un quartier pareil!

Voilà. Ça fait près d’une semaine que j’habite officiellement Paris. A mon arrivée, mon père été si étonné mais il avait l’air heureux de me voir. Je n’étais plus sa petite adorée mais je restais sa fille. En tant que bon père qui se respecte, il m’avait sorti le semant habituelle du «Tu ne peux pas faire ça à ta mère après tout ce qu’elle à fait pour toi. FAUX! ERREUR! FAIL! Tout ce qu’elle à fait pour moi était pour flatter son égo surdimensionné. Mes frères m’ont fait visiter toute la ville. Cette ville est vraiment magique. Je n’ai pas recontacté ma mère depuis, je laisse du temps. Du temps pour qu’elle se fasse au fait que je ne suis plus une enfant. Que j’ai grandi. Qu’elle n’a pas le droit de se servir de moi pour purifier son nom. Au fait ! J’oubliai, grande nouvelle. Aujourd’hui, mon père m’a annoncé que j’étais prise à l’université de médecine de Paris. Je pourrais enfin exercer mon art au grand jour. C’est pas génial ça ?