❥ Foster Adélaïde Zoélya

Âge, date et lieu de naissance ⇝ 23 ans, 19 mars 1988 à Paris. Statut ⇝ Célibataire. Nationalité ⇝ Française. Métier/Études ⇝ Etudiante en droit et mannequin amateur. Sexualité ⇝ Bisexuelle. Groupe ⇝ Un autre monde.

Votre pseudo sur le net ⇝ M.
Où avez vous connu OLLP ⇝ J'ai avais beaucoup entendu parler, donc j'ai décidé de voir à quoi il ressemblait
Age ⇝ 17 ans.
Présence sur le forum ⇝ Je passerai tous les jours, mais je répondrai aux rps tous les deux jours en période scolaire, du moins je pense.
Votre avatar ⇝ AdrianaHOTLima.
Pour nous aider ⇝

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[color=#FF0080]▬▬[/color] <b>Adriana Lima</b> ◈ Adélaïde Z. Foster

Un mélange de culture. Une jeune brésillienne et un jeune londonien se rencontrent grâce à une correspondance faite entre leur deux universités. Tous les deux étudiants en droit ils ont communiqués ensemble pendant de nombreux mois se découvrant tout un tas de points communs. La première fois qu'ils se sont rencontrés c'était à Londres. Et se fut un véritable coup de foudre. Ils ne se quittèrent plus à partit de ce moment. Le jeune londonien proposa à la jeune brésillienne de s'installer ensemble. Très vite elle quitta son Brésil natal et elle parti s'installer à Londres. Elle intègrera d'ailleurs la même université que son amoureux. Ils finissent leurs études, la passion de leur amour toujours si dévorante. Ils deviennent tous les deux avocats, mais décident de commencer une toute nouvelle vie dans une toute nouvelle ville et dans un tout nouveau pays. Leur choix se porte instinctivement sur Paris. Et puis je suis arrivée dans leur vie.
Je m'appelle Adélaïde Zoélya Foster. Mon nom complet est à l'image de mon identité: beaucoup de cultures et d'origines différentes coulent dans mes veines. J'ai vu le jour le 19 mars 1988 dans une clinique réputée de Paris. Et oui, ayant deux parents avocats, j'ai été baigné dans le luxe depuis le plus jeune. Je n'ai jamais connu la misère, ou les fins de mois difficiles. J'ai toujours eu tout ce que je voulais. Et je ne devais pas le mériter comme la plupart des gens, ni même travailler pour l'obtenir. Je n'avais qu'à claquer des doigts et tout me tombait du ciel. En plus de l'argent j'ai toujours été belle et douée dans tout ce que j'entreprends. Malheureusement il me manquait une chose primordiale: mes parents. En effet ils ont toujours beaucoup travaillés pour me donner la vie que j'ai aujourd'hui. J'ai donc été élevé par ma nourrice. Autant vous dire que j'ai fait beaucoup de conneries et que j'en fais toujours autant aujourd'hui. Jusqu'à l'âge de 14 ans j'ai été une fille plutôt sage, bien qu'un peu trop prétentieuse avec des attitudes de princesse. Je n'avais pas beaucoup d'amis, à part ces gosses de riches qui vivaient dans le même quartier que moi du 16ème arrondissement. Puis j'ai commencé à sortir en boite, toujours dans le carré VIP, à boire, à fumer, à coucher... Et tout ça c'est enchaîné très vite. Vous savez les soirées de la "jeunesse dorée" ne se résume qu'à quelques mots: sexe, drogues, champagne et vodka. Surtout dans les soirées parisiennes. J'avais 16 ans et j'avais l'impression de pouvoir bouffer tout Paris, que tout ça m'appartenait. On était un petit groupe de 10 "amis" issu de famille riche. Oui, ce n'était que des "amis", car dans ce monde paillettes et de gros billets, l'hypocrisie et les faux semblants sont de mises. Mais très vite, ce qui ne ressemblait qu'à une jeunesse ordinaire se transforma et je tombais un peu plus bas vers les enfers.Pendant une soirée en boîte, j'ai rencontré un homme. Il était charmant, un beau sourire, des yeux clairs, des cheveux bruns, une prestance incroyable et un charme fou. Accoudés tout deux au bar, on parla de tout et de rien. Puis se fut le trou noir. Je me retrouvais dans le lit de mon meilleur ami. Il m'avait retrouvé dans les toilettes de la boîte, jupe relevée, inconsciente. Je venais de me faire violer. J'avais 16 ans à peine je n'étais qu'une gosse. Très vite je me suis enfermée dans la drogue: cannabis, cocaïne, MD, extasy, speed... Je ne sortais plus, je ne voulais plus m'approcher d'un homme pendant un an pour ne pas qu'ils comprennent que j'avais un problème avec le sexe. Et finalement j'ai décidé de coucher avec tout le monde pour ne pas qu'ils comprennent que j'avais un problème avec le sexe. J'étais enfouie un peu plus dans la drogue, dans le monde de la nuit. Et je fréquentais des personnes peu fréquentables. Et oui, j'avais quitté mon petit cercle "d'amis" si rassurant et réconfortant. Je ne passais plus mes soirées en boîte de nuit dans le carré VIP, je préférais la rue, les squats, pour moi la ville était devenue mon espace de jeu préféré. Bien évidemment, plus je m'enfonçais, moins je voyais mes parents et moins ils s'occupaient de moi, sauf si pour eux s'occuper d'un enfant était de lui remplir son compte bancaire. J'ai tout de même obtenu mon diplôme de justesse, certes, mais je l'ai eu. Mes parents se sont occupés de me trouver une place dans une prestigieuse université, pour suivre des cours de droit, comme eux. Cela ne m'a jamais intéressés. Pendant près d'un an je ne foutais pas les pieds à l'université comme j'aurai dû le faire. Trop occupés à vivre ma vie de débauchée. Et puis j'ai fais une rencontre, qui a changé beaucoup de choses dans ma vie. Non pas que je me suis assagie, mais j'ai compris que je ne pouvais pas être heureuse dans cette vie. J'ai rencontré une jeune fille à une soirée. Elle devait avoir 18 ans.Elle était dans son coin. Au départ je m'étais dit que c'était une coincée, je lui ai d'ailleurs fait remarquer. Elle me raconta finalement son histoire: elle avait faillit mourir d'une overdose quelques années auparavant. Et c'est là que j'ai eu l'électrochoc. Aujourd'hui j'ai 23 ans, j'ai repris un peu ma vie en main. Je vis toute seule, ce qui ne change pas vraiment de mon adolescence, mais j'essaie de subvenir à mes propres besoins en travaillant, bien que papa et maman soit toujours derrière moi pour me donner un peu d'argent. J'étudie toujours le droit. Je ne sais pas vraiment ce que je veux faire de ma vie de toute façon. Je fume encore beaucoup de joint, mais j'ai arrêté la drogue dure. Je sais pourtant que je vais bien replonger, mais j'essaie de ne pas y penser. L'amour? Je n'y crois pas. Pour moi tous les mecs sont des connards. Je leur donne juste ce qu'ils veulent: mon cul. J'ai appris que j'aimais coucher avec des femmes il y a quelques mois. Je suis une personne humaine, comme tout le monde j'ai besoin de tendresse et c'est ce que je vais chercher auprès d'elles. Ma vie est un brouillon, je sais aussi qu'elle le restera et que personne ne pourra me donner une ébauche finale d'elle.