Sujet: Elle me rend fou docteur ! {Alexis} Mer 9 Nov - 17:21
La tour Eiffel, le symbole de Paris, ville qui est synonyme d'amour dans le monde entier. Cela fait maintenant cinq ans que je vis ici. J'ai quitté l'Australie pour des raisons personnelles si l'on peut dire. Une envie de voyager, de découvrir l'endroit où ma mère a grandi, de voler de mes propres ailes. L'indépendance est une chose merveilleuse malgré la solitude qu'elle peut engendrer. Arriver, dans une ville inconnue, en ne connaissant que quelques mots de la langue parlée ici et pourtant, j'ai réussi à m'en sortir. Quelques belles rencontres se sont faites depuis cinq années. Mes études ont toujours été importantes, mais qui ne sait pas qu'un homme a ce besoin de tenter de se reproduire, avec ou sans moyen de contraception.
A ma grande surprise, je suis tombé sur elle, une jeune femme magnifique qui m'a rapidement fait comprendre que même si je suis homosexuel, je peux tomber sous le charme de l'autre sexe. C'est ce qu'il s'est produit avec elle, j'ai succombé à sa beauté, ne pouvant rien faire pour échapper à ces pulsions qui m'étaient étrangères pour les femmes. J'ai toujours été attiré par les hommes, ils me donnent des frissons, j'ai envie de les regarder, de les toucher, de réaliser une union avec eux pour ne faire qu'un et voila que, du jour au lendemain, je ressens tout cela pour elle. Alexis Valmont, une charmante créature avec qui j'ai passé quelques bons moments autour d'un café, jusqu'à ce que je décide de me lancer dans ce jeu de séduction dont j'ai tant l'habitude de pratiquer avec les hommes. Elle et moi, nous avons passé plusieurs mois ensemble. Une relation de couple s'est installée mais je suis faible, j'ai besoin des hommes et me satisfaire d'une femme ne m'a pas suffis. Nous nous sommes quittés, je suis retourné à mes études comme avant, mes stages me prenant beaucoup de temps. Et une année plus tard, nous nous sommes retrouvés et tout a repris : le jeu de séduction est bel et bien présent.
A l'heure actuelle, nous sommes amis. Je sais que je ressens toujours quelque chose pour elle. Lorsque je la vois, je ne peux m'empêcher de faire des sous-entendus à nous, à ce sa beauté, à son caractère et au fait qu'elle me plait toujours énormément. Alexis est la seule femme pour qui je ressens ce genre de chose, toutes les autres ne sont que des amies mais elle, elle a quelque chose de spéciale !
Ce matin, je lui envoyé un texto en lui demandant de me rejoindre au par du Champs-de-Mars. Je suis arrivé avant elle, vêtu simplement d'un jeans noir et d'un pull en col en V assez collant, sans pour autant ressembler à une deuxième peau. Il permet tout de même de voir les courbes de ma taille, tant enviée par certains qui exagèrent sur les frites. J'ai une écharpe autour du cou, mais pas de veste ni de manteau et mes chaussure, assez simple également mais accordées au reste. Je souris en arrivant, il ne fait pas froid pas la chaleur n'est pas présente non plus. Je sors mon portable et le regarde, pas de message. Elle est sans aucun doute en route. Je lève les yeux et je regarde la Tour Eiffel. J'aime cet endroit, je le trouve beau.
Au loin, j'aperçois une jeune femme qui cherche quelque chose. Je souris, amusé de la voir. Après tout, je lui ai donné le lieu mais je n'ai pas dis où je me trouverais exactement et à ce que je peux voir, nous utilisons tous les deux une entrée différente. Je m'approche d'elle doucement, sans qu'elle me voit et une fois à sa porte je place mes bras autour de son cou. Je colle mon torse à son don et lui murmure, la laissant imaginer le grand sourire que j'affiche puisqu'il s'entend dans ma façon de parler. « Content de te voir ma chérie ! » Mon accent anglais a encore disparu un peu plus depuis la dernière fois qu'elle m'a vu. Je dépose mes lèvres sur son cou un instant avant de la lâcher. Je me retrouve face à elle et je penche légèrement la tête sur le côté. Je fronce les sourcils. « T'aurais pas grossi un peu ? » J'éclate de rire. « Non, je rigole ! Tu es toujours aussi jolie Alex ! A la limite de rendre un gay hétéro ! » Je me vise personnellement et elle le sait. Je suis attiré par les hommes mais elle, elle me fait chavirer à chaque fois que je la croise. Je m'approche d'elle et passe mon bras autour de son cou. Je commence à marcher lentement. Je la regarde un instant. « Comment tu vas ? » Dis-je d'un air sérieux et calme.
Dernière édition par A. Ven McTwist le Mar 22 Nov - 14:33, édité 2 fois
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Sujet: Re: Elle me rend fou docteur ! {Alexis} Dim 20 Nov - 2:00
Je me réveillais ce matin avec la tête à l’envers, non je n’avais pris de cuite, je n’avais pas non plus passé la nuit dans le lit d’un autre ni même avec un autre dans mon lit, non j’avais juste passé la nuit à chater avec mes frères qui étaient aux Etats-Unis, ça ne coûtait pas cher et au moins on pouvait se parler des heures par webcam pour ce raconter les nouveautés chacun de notre côté ; Ils s’inquiétaient pour moi car j’habitais seule à Paris, ils pensaient que je me sentais seule, après leur proposition pour que je rentre ce qu’ils appelaient je refusais car ce ne l’était plus depuis longtemps pour moi, depuis le jour où mon père nous avait lâchement rit au nez à ma mère et moi. Je leur avait même raconté mon quotidien, mes petits boulots, mon petit appartement enfin tout, j’apprenais que l’un d’eux allait se marier, j’avais sauté de joie sur le moment avant d’annoncer que je n’avais pas l’argent pour acheter un billet et que comme mon père allait assister à cette cérémonie je refusais d’être assise sur le même banc que se traitre. Avec tout ça ce n’était qu’à quatre heures du matin que je m’étais couchée, les yeux tombant j’étais heureuse. Je passais mes deux pieds en-dehors de mon lit avant d’en sortir complétement, comme tous les matins je passais à la cuisine pour mettre la machine à café en route ainsi que la radio avant de filer dans la salle de bain. Sous ma douche je chantais toutes les chansons qui passaient, je les connaissais presque toutes part-cœur excepté quelques nouvelles, en général toujours des tubes vraiment bon. En sortant j’entendais mon portable émettre la sonnerie des messages, j’allais voir ; Ven ? Je faisais glisser l’écran pour lire le message, il me demandait de le rejoindre au Champs de Mars vers midi, je lui répondais qu’il n’y avait aucun soucis et que j’irais le voir. Je consultais ma montre, il était déjà presque midi, je buvais une tasse de café, avalais un petit déjeuné, filais m’habiller, qu’est-ce que je pouvais bien mettre pour aller le voir ; Une robe et des collants en laine ? Oui parfait. En fait j’ai oublié de préciser que Ven est mon ex ; On s’était rencontré à son arrivée à Paris, il était un peu perdu, il demandait son chemin à tout le monde mais on le sait tous la moitié des français ne parlent pas anglais, il est arrivé vers moi, je l’ai trouvé mignon dès le moment où il m’a souri pour me demander son chemin. Après ça on a appris à se connaître, on s’était revus plusieurs fois et je ne sais pas pourquoi mais j’ai craqué pour lui ; On est pas restés ensemble bien longtemps mais s’était intense, la seule chose c’est que Ven ne supportait pas de ne plus avoir d’hommes alors on s’est quittés enfin ça c’est un détail, revenons-en à aujourd’hui. Heureusement j’avais réussi à partir en vitesse de chez moi, j’avais filé droit en direction de la Tour Eiffel, j’étais à la bourre et en retard comme toujours, arrivée là-bas je le cherchais des yeux, je tournais sur moi-même mais aucun signe de Ven. Je faisais sonner son portable pour savoir où il était mais pas de réponse, je marchais un peu plus loin, toujours rien, je consultais encore mon téléphone, à part l’heure qui passait je ne voyais rien. Je commençais à paniquer quand je sentis deux bras m’enlacer et un corps se coller au mien, ce corps j’aurai pu le reconnaitre entre mille, quand j’entendis la douce voix qui l’accompagnait je ne pus me retenir de sourire, cette voix si mélodieuse avec un brin d’accent anglais si on écoutait bien c’était celle de Ven. Au contact de ses lèvres à ma peau je frémis ; Il avait gardé cette fâcheuse habitude, comme si je lui appartenais mais c’était ça entre nous. « Je suis contente aussi Ven. » En moins de deux il me retournait pour que je sois fasse à lui, il était toujours aussi beau, son haleine fraîche m’enivrait, comment un mec comme ça pouvait-il être gay ? « Rendre un gay hétéro ? Déjà fait non ? Enfin pas tout à fait. » Je lui adressais mon plus joli sourire pendant que nous marchions, j’étais bien dans ses bras comme à chaque fois, je passais mon bras dans le bas de ses reins avant de lui embrasser la joue « Hum.. Je vais plutôt bien et toi Monsieur muscles ? » J’eus un petit rire stupide à ma question, pas loin se trouvait un marchand de châtaignes alors j’en profitais pour esquiver, je l’abandonnais un instant ce qui me permis de respirer, il me donnait légèrement chaud, cette proximité entre nous c’était un peu remuer le couteau dans la plaie ; Oui nous n’étions plus ensemble mais il avait toujours ce petit truc en plus. Je retournais vers lui tout sourire avec mon paquet de châtaignes en main, je lui en proposais tout en marchant à côté de lui « Alors quoi de neuf dans ta vie ? Les amours vont bien j’espère et je ne te manque pas trop ? » Je marquais une pause comme si je venais de faire une gaffe, merde pourquoi j’avais demandé ça, intérieurement je me traitais de tous les noms pour me dire à quel point j’étais gourde.
[HJ: Désolée d'avoir mis du temps, je me rattraperai.]
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Sujet: Re: Elle me rend fou docteur ! {Alexis} Mar 22 Nov - 15:03
Bien qu'elle soit un peu en retard, je n'y ai pas vraiment fait attention. La seule chose importante, c'est que je l'ai vue et que je l'ai enlacée, la laissant deviner que c'était moi. Je lui ai fait savoir que j'étais content de la voir, ce qu'elle m'a également dis. « Content de te voir ma chérie ! » J'ai souris et nous nous sommes retrouves l'un en face de l'autre peu de temps après. Une petite blague sur le fait qu'elle aurait grossi un peu et je me suis tout de suite repris, prétextant qu'elle pourrait rendre un gay hétéro. Chose qu'elle a presque faite avec moi, puisque j'ai littéralement craqué sur elle. Mais mon amour pour les hommes est plus grand, et je pourrais même rajouté un hélas ! « Rendre un gay hétéro ? Déjà fait non ? Enfin pas tout à fait. » J'ai souris à ce moment. Les souvenirs remontèrent très vite, elle et moi, nous avions passé de si beaux moments ensembles et j'ai tout gâché. J'ai soupiré. « Oui, t'as presque réussi ! » J'ai inspiré profondément et levé un instant les yeux vers le ciel. Je lui demande comment elle va et passe mon bras autour de son con, tandis que le sien entoure ma taille. Nous deux, ensemble, ça ressemble limite à un couple alors qu'on ne l'ai plus. « Hum.. Je vais plutôt bien et toi Monsieur muscles ? »Elle a eu un petit rire stupide qui m'a également fait rire. « Ca va, la routine du boulot-maison-dodo ! » Un marchand de châtaigne l'a interpellé et je l'ai vu partir en sa direction, me laissant seul un instant. Alors qu'elle a couru pour le rejoindre, j'ai continué ma marche en mettant mes mains dans les poches de mon pantalon.
Alexis est rapidement revenue, un paquet de châtaignes chaudes entre les mains. Un grand sourire aux lèvres, on aurait dis une fillette à qui l'on vient d'acheter ce qu'elle souhaitait depuis longtemps. J'ai souris en la regardant revenir auprès de moi tandis que je continuais ma marche, lentement. « Alors quoi de neuf dans ta vie ? Les amours vont bien j’espère et je ne te manque pas trop ? » La question que je ne voulais pas entendre ! Je ne pouvais pas lui dire que je couchais, chaque semaine voire même plusieurs fois par semaine avec un homme différent. Je ne suis pas du genre à apprécier les relations sérieuses, surtout à cause de ma maladie dont elle n'est même pas au courant. Je suis terrifié à l'idée que l'on découvre mes crises. Elles sont de moins en moins fréquentes grâce à l'âge et au traitement. Mais je ne veux pas qu'elle sache, ni qu'ils le savent. Alors, je limite les rendez-vous avec une seule et même personne, je préfère avoir des amis plutôt qu'un petit ami. Et me manque-t-elle ? Bien entendu ! « J'économise pour reprendre des études de médecine. Enfin, je continuerai à travailler mais j'ai conclu un marché avec un étudiant en médecine qui me prête ses cours, histoire que je puisse déjà les regarder et je pourrais les étudier le soir et le week-end, après le boulot. J'irais simplement me présenter aux examens et je continuerai à travailler ! » J'ai délibérément laissé tombé la réponse sur le fait qu'elle me manquait. Elle devait le savoir après tout.
Une châtaigne de son paquet attérit dans ma bouche tandis que nous continuions notre marche. « Et toi, tout se passe bien ? Tu as rencontré l'homme de tes rêves depuis la dernière fois que l'on s'est vu ? » J'ai passé la langue un instant, histoire de rire un peu. J'ai pris une deuxième châtaigne et l'ai mangée avant de sortir mon paquet de cigarettes et d'en prendre une. Je l'ai placée dans ma bouche et l'ai rapidement allumée pour inspirer, avant de relâcher une bonne bouffée de fumée bleutée. J'ai regardé Alexis un court instant. « Ca te dérange pas au moins, si je fume pendant que tu manges ? » J'ai regardé les enfants, qui plus loin dans le parc se courraient après et je me suis souvenu de ce jeu que je jouais également quand j'étais enfant. « C'était si simple quand nous étions des enfants, tu ne trouves pas ? J'avais aucun problème, mise à part savoir si j'allais aller jouer sur la plage ou aller nourrir les kangourous ! » Oui, car nous avions un enclos avec deux kangourous chez moi, et nous les avons toujours à vrai dire. Sauf qu'eux étaient étaient en Australie et que moi, je suis ici, à Paris, avec ma seule ex féminine pour qui je ne sais même plus ce que je ressens ! Quelle vie tout de même ! Je me suis retourné vers elle et même si je n'ai pas répondu à sa question, j'allais lui poser la même. « Franchement, je te manque Alex ? » Et j'ai attendu sa réponse, en espérant qu'elle n'allait pas contourner cette question comme je l'avais fait auparavant.
Dernière édition par A. Ven McTwist le Lun 5 Déc - 16:11, édité 1 fois
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Sujet: Re: Elle me rend fou docteur ! {Alexis} Mar 22 Nov - 16:46
Franchement j’adorais Ven, il avait ce côté sûr de lui mais avec moi il laissait apparaitre son côté fragile, je sais que notre séparation avait été beaucoup plus dur pour lui que pour moi, je m’en étais remise assez facilement mais lui c’était autre chose, il l’avait pris autrement et je lui manquais c’était certain. J’avais pas été très futée de lui demander ça car ça se voyait dans ses yeux quand il me regardait ; Il en mordait mais il se retenait, pour son bien à lui ? Oh que oui j’en étais sûre, je le connaissais assez pour le dire, j’aurais même mis ma main au feu pour ça. On marchait tranquillement lui et moi comme un joli petit couple, si lui ça ne lui faisait rien moi en revanche j’étais gênée, je l’aimais beaucoup mais le passé pour moi était le passé et devait y rester pour le bien de tous. J’avais acheté des châtaignes toutes chaudes, Ven ne manqua pas de m’en piquer une deuxième après celle que je lui avais proposée, je souriais quand vint la fameuse question sur quoi de nouveau dans ma vie « Oh tu sais la routine aussi, je bosse à droite et à gauche, j’ai pas trop le temps de sortir. » Il me demandait alors si j’avais trouvé l’homme de ma vie « Non je n’ai pas d’hommes dans ma vie, ni de fille non plus d’ailleurs et je n’en ai pas envie non plus. » Au moins c’était clair et précis, je savais que derrière cette question se cachait jalousie mais que pouvais-je bien y faire, si toute fois j’avais rencontré l’homme parfait je ne lui en aurait pas parler pour ne pas le blesser, pour le préserver et surtout pour éviter un quelconque sermon dont je n’avais absolument pas besoin, j’étais assez grande pour savoir ce que je faisais mais j’avoue que ce que je redoutais surtout c’était la crise de jalousie. Il s’était éloigné légèrement pour allumer une cigarette devant moi, par respect il demandait si ça ne me dérangeait pas, depuis quand il fumait lui ? Je ne l’avais jamais vu une cigarette au bec, ni avec une cigarette tout court en fait « Depuis quand tu te pourri la santé avec ça toi ? » Simple question mais qui pouvais paraitre étrange, moi je fumais depuis longtemps, il était au courant pour moi, j’étais juste surprise de le voir lui fumer , je n’avais peut-être même pas fait attention à sa réponse que j’avais déjà passé à autre chose, j’étais perdue dans mes pensées à me rappeler le bon vieux temps, celui où lui et moi on ne faisait attention à rien, on se foutait pas mal de l’opinion des gens, on vivait simplement sans se poser de questions, on ne pensait pas au lendemain. Je fûs tirée de tout cela par une remarque de sa part sur le fait qu’être petit c’était bien, qu’on était si simples et innocents à ce moment-là, si son enfance avait été bonne la mienne n’était pas aussi facile supporter une famille qui se déchire de jour en jour, qui se sépare brusquement, non ce n’était pas simple pour moi à cette période-là « Oui pour toi peut-être, moi j’ai dû supporter la séparation de mes parents, la séparation avec mes frères mais surtout quitter mon pays pour me retrouver ici en France. Tu sais c’est dur quand on est gosse ce genre de truc. » J’avais été assez sèche dans ma réponse, il savait que j’avais beaucoup souffert de cette séparation si brutale avec les membres de ma famille, il savait que j’en voulais toujours à mon père même après toutes ces années passées, je n’étais pas du genre à m’attarder là-dessus mais là il venait de percer la blessure qui était entrain de se refermer gentiment. Il se retournait alors vers moi pour me regarder droit dans les yeux, je pensais d’abord qu’il allait s’excuser, quelle ne fût pas ma surprise à sa question suivante, il avait osé me demander s’il me manquait, je ne savais pas quoi lui répondre, comment dire les choses sans le blesser, je penchais légèrement ma tête sur le côté « Ven pourquoi tu te tortures en me posant ce genre de question ? » Je prenais une grande inspiration « Toi et moi c’était super, c’était magique mais l’eau a coulé sous les ponts et tu risques de croire que je suis cruelle mais non tu ne me manque pas. Tu m’as abandonnée du jour au lendemain comme si notre histoire n’avait rien représenté pour toi. Tu m’as blessée Ven, je ne t’en veux plus mais j’ai passé à autre chose depuis. » Je devais l’avoir achevé avec mes paroles, j’étais restée froide sur ce coup, j’avais quitté son regard pour me retourner aller m’assoir sur le banc le plus proche.