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| Sujet: BRAD L. ARWEN ♔ “ My shadow's the only one that walks beside me. ” Sam 22 Oct - 17:14 | |
| BRAD LUCASARWEN « fiche technique »▪ Date de naissance : 16/12/1986. ▪ Ville natale : Canne, France ▪ Surnom : Brady, à éviter. ▪ Emploi : N'en a pas vraiment. ▪ Statut : Célibataire. ▪ Groupe : La javanaise ~ ▪ Avatar : JosephSEXYMorgan ▪ Pseudo : Kitty(a). ▪ Note du forum : 20/20, oh yeah ! ▪ Validation : validée par gray
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« il était une fois... Moi » BRAD LUCAS ARWEN ♔ Chapter Oneparents - enfance - famille - révélation - désastre - aucunes issues Brad Lucas Arwen. Un enfant né d'un père anglais riche et d'une mère française, pas vraiment riche. Laure Bodier, venant du sud de la France, âge : 21 ans, habite Canne et travail dans une boutique chique de la ville, prêt de la plage et du palais du festival. Mike Arwen, londonien qui se passionne de la gastronomie française ainsi que de la décoration baroque, âge : 23 ans, jeune riche, certainement fils à papa, parlant très bien le français. Brad était né à cause des deux. Et il était loin d'être une erreur causée, non non, il était vraiment attendu. Même si cela peut se trouver dur à croire. C'était le cas. Il était l'enfant d'un amour.
« Hello people. » Si je peux me permettre, Brad, est de loin, le gars qui a eu très peu de bonheur dans sa vie, et le peu qu'il a eu, il l'a perdu bien vite, il n'est pas dans le type de gars à qui tout sourit, il est le genre de gars dont le passé est aussi bon pour un film dramatique, et moins bon pour un film heureux. Il n'y a pas vraiment de mystère à propos de son enfance, pas de faux parents, pas d'adoption, pas de mort, pas de trucs dans le genre, loin de là, sa famille est une famille normale, si je peux dire ça comme ça, par contre il est loin d'être dans la famille la plus heureuse. Il est donc né à Canne, en France. Ses parents eux étaient déjà mariés. Il ne passa qu'une année en France, pour ensuite suivre le chef de famille à Londre. De une, ce fut un geste égoïste de la part de la mère, car elle ne voulait simplement pas rester seule avec l'enfant, sans son mari, et ensuite c'était aussi parce que dans son petit studio, et ses petits revenus ce n'était pas possible. Alors, à choisir la solitude et la survie face à la vie facile et l'amour, je pense qu'on sait quel choix on aurait fait. Nous ne pouvons pas en tenir vraiment compte. Il vécut donc, en Angleterre, jusqu'à ses quinze ans.
La relation entre lui et ses parents étaient comme celle d'un enfant avec ses parents, rien de bien alarmant, certes il pouvait avoir tout ce qu'il voulait quand il voulait mais, il n'abusait pas vraiment, à croire que cela n'en tennait compte qu'à ses camarades de l'école. Tous étaient à vouloir savoir toujours et encore, ce qu'il avait comme jouets, ce qu'il mangeait le soir, s'il avait une sale de jeu à lui seul, s'il partait souvent en vacances, s'il savait parler d'autre langue, enfin beaucoup trop de choses qu'il n'y prêtait pas attention, car en réalité, ce qu'il avait de différent avec les autres, c'était son air : Je m'en foutiste numéro un. Pour lui, il n'y voyait rien d'intéressant d'être toujours supérieur et surtout à frimer. A quoi bon ? Aucune utilité dans ce geste. Arrogance ? Vous savez, il y a déjà toute sorte d'arrogance, et lui en a une bien à lui. Son arrogance fait parti de sa manière de moquer ou de répliquer, il est toujours franc et fier dans ce qu'il dit, alors il se plaît à être arrogant de cette manière cela fait toujours plus mal.
Son éducation était quelque chose de très dur, par contre, ses parents ne savaient pas par quoi commencer, car, il avait déjà à peu prêt tout appris de lui-même, il ne faisait que très rarement de bêtises, et pour le peu qu'il faisait, ils étaient minimes, loin d'être un caïd dans les salles de classes ou dans les cours de récréations, il n'avait généralement jamais d'ennuis avec eux, car de une, s'il le voulait, il avait deux façons de les faire taire, l'une par la parole dur et franche qu'il avait et pourquoi pas même par la violence, et de deux, grâce au mini statu de sa famille. On peut dire qu'il n'avait pas eu de réel problèmes dans cette période de sa "vie".BRAD LUCAS ARWEN ♔ Chapter Twoparents - adolescence - famille - révélation - crise - envie de tout envoyer valser Brad Lucas Arwen. Son adolescence, en gros, le truc qui fait dérailler le train qui était si bien parti, à croire que c'était un peu "son début de la fin". Il n'avait pas eu de problèmes, tout se passait bien pour lui. Oui, tout se passait bien. A croire que sa mère ne pense qu'à elle. Terminus tout le monde descends dans la gare de la détresse et de la paresse. Hello Paris !
« I'm bored. » Notre petit français londonien, parce qu'il avait beau être né à Canne, il ne savait pas parler français, venait tout juste d'entrer dans SA crise. C'est-à-dire quinze ans. Il se rendit compte qu'il était toujours entouré de quelqu'un à chaque fois qu'il faisait quelque chose, que cela soit sa mère ou son père. C'est à ce moment-là où il se rebellait. Cela est normal me direz-vous, sauf qu'un jour, sa mère voulue retourner en France. A croire que la crise ce n'était pas Brad qui la faisait mais, sa mère. L'excuse qui tue : « Le pays me manque » ou encore « Ma famille veut avoir de mes nouvelles. » Quoi de plus pour faire céder le père de famille ? Brad était ennuyé et dépasser de ce genre de choses, loin l'envie d'aller apprendre une langue pour madame, il faut dire que ce n'est pas le grand amour avec sa mère. Quoi qu'il en soit, il avait déjà quelques bases de français, sa mère et son père lui en avaient appris. Maintenant il ne restait plus qu'à parfaire cet apprentissage. Qui fut assez rapide, deux mois en tout, et il savait déjà écrire, quant à l'accent, on peut dire que ça va l'aider pour draguer, plus tard.
Ce train de vie, toujours à bouger, mon dieu qu'il en avait marre. Encore pour des vacances cela passait, et encore, mais là, c'était pour carrément y habiter. Mon dieu. Voici quelque chose qui détermina vite fait bien fait le futur Brad. Ou plutôt l'actuel. Brad. Bad. Un genre d'antihéros. Enfin. Un héros qui casse le mythe du gentil et sympathique, tel que le monde le voit souvent au cinéma ou autre. Genre d'héros qui en a rien à foutre de ta vie, mais, qui aide, parce qu'il a que ça à faire, ou encore parce qu'il y a de l'argent à la fin. Mais bref, cela n'était pas le sujet du moment. Voici qu'il avait déménagé à Paris. Hello Paris. Hello Problem. Que dire à propos de ce passage de sa vie... Je vais déjà commencer par ses années de lycées.
Au lycée... Le petit garçon mignon, gentil et calme se transforma, plus de petit, plus de gentil et encore moins mignon, il fit place à un garçon séduisant au corps d'apollon du haut de ses quinze ans, toujours aussi calme et mystérieux mais, très très franc et froid, avec un humour à la con. Ses parents, eux, ne pouvaient plus rien pour lui et ils étaient tous deux, spectateur de son changement. Fier et sûr de lui, il passa au-dessus des moqueries des jaloux par rapport à son accent, en sortant avec généralement les plus belles filles du lycée. Nom di diou, que faire quand on voit votre fils devenir un autre homme ? Bah ils n'avaient pas vraiment beaucoup à dire, car, Brad ne vivait que pour lui, peut-être a-t-il mal prit le fait de partir Londre pour Paris dans tous les cas, ses années de lycées restèrent les plus mouvementés et haut en couleurs pour lui, d'ailleurs, il garde toujours en tête, ce souvenir où il avait fait le mur pour allez à une soirée avec des amis, le lendemain matin, il sonna à la porte, complètement ivre, comme si de rien n'était. Répréhension ? Remise en place ? Aucunes, comprenez, il n'en a rien à faire.BRAD LUCAS ARWEN ♔ Chapter Threeparents - vie adulte - famille - révélation - liberté - toujours des problèmes Voilà. Majorité. Liberté. Mais toujours des problèmes. Quoi qu'il en soit pour éviter de faire de grands paragraphes de sa vie après l'adolescence. Son père lui a payé une maison dès ses dix-huit ans, et depuis, il accumule les petits jobs, aussi le fait que son ex était la fille qu'il n'avait jamais autant aimé de sa vie avec qui il avait tout de même un peu changé, mais voilà, faut faire avec, laisser partir et attendre.« Please, call me Brad. »
Dernière édition par Brad L. Arwen le Dim 23 Oct - 13:38, édité 14 fois |
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