Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit
Auteur
Message
Invité Invité
Sujet: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 18:21
Brownie Micah LEGRAND
« fiche technique »
▪ Date de naissance : 04/09/1986 ▪ Ville natale : Paris, France ▪ Surnom : Boubou ▪ Emploi : Professeur à l'université ▪ Statut : Célibataire ▪ Groupe : L'hymne à l'amour ▪ Avatar : Mark Salling
▪ Pseudo : June la magnifique, la célébre, tout ce que vous voulez *ZBAFF* ▪ Note du forum : 20/20 ▪ Validation : OKEY PAR .O'WEE
« il était une fois... Moi »
La première chose que l'on peut dire sur ma famille est qu'elle est très portée sur la religion, chose qu'elle respecte et pratique chaque jour. Pourtant, cela n'a pas toujours été le cas voyez-vous, car l'union de mes parents n'aurait jamais dû voir le jour. C'est dans le salon de couture où ma mère travaillait qu'ils se sont rencontrés un beau matin de novembre, alors qu'il pleuvait averse dehors. C'était il y a 28 ans, 4 ans avant ma naissance. Mon père avait amené un pull, son pull préféré qu'il avait malheureusement décousu au niveau du coude. Ma mère n'avait pas vraiment le temps de s'occuper d'une nouvelle commande avec tout ce qu'elle avait déjà à faire, mais devant l'insistance de l'homme, elle finit par céder. Après tout, ceci ne lui prendrait pas plus d'une heure. Elle lui demanda de repasser prendre le vêtement deux jours plus tard, ce qu'il fit. Pour la remercier, il lui amena d'ailleurs un bouquet de 9 roses, nombre qui symbolisait le jour de leur rencontre. La femme fut touchée et le gratifia d'un large sourire, lui indiquant que s'il avait une nouvelle fois besoin de ses services, il savait où la trouver. Et ainsi, l'homme revint toutes les deux semaines avec un nouvel habit à réparer. On pouvait facilement remarquer que c'était fait exprès car il avait simplement envie de revoir la belle couturière mais celle-ci ne dit rien, se contentant de réparer et d'être flattée par les compliments qui lui étaient adressés. Au bout de six mois à jouer à ce petit jeu, mon père demanda enfin à cette femme qui lui plaisait tant d'aller au restaurant avec lui. Bien sûr, il avait réservé une table dans le meilleur des restaurants de Londres, malgré son petit salaire. Elle fut séduite et accepta bien volontiers. C'est ainsi qu'eut lieu le premier rendez-vous, qui se poursuivit par plusieurs autres au cours desquels les deux jeunes personnes faisaient plus ample connaissance. C'est lorsque mon père voulu embrasser ma mère, après le cinquième rendez-vous qu'elle se braqua, ne voulant plus le voir. En effet, sa famille était une des plus religieuses de sa petite ville et il était interdit de faire la moindre chose avant le mariage. Elle avait déjà pris de gros risques au niveau de ses parents en allant flirter avec un homme qu'ils n'avaient pas choisi alors elle préféra mettre un terme à tout cela. Elle ne s'attendait cependant pas à la motivation du jeune homme qui ne comptait pas la laisser partir comme cela sans explications. Il revint plusieurs fois au salon de couture, demandant ces fameuses explications. Il se prit de nombreux vents mais revenait à chaque fois. C'est au bout de deux nouveaux mois que la jeune femme craqua enfin, expliquant toute la situation à l'homme, de sa famille qui n'approuverait jamais leur liaison à l'homme qu'elle avait promis d'épouser un an plus tôt et qu'elle ne connaissait même pas encore. Elle était des plus malheureuse car elle aimait cet homme qu'elle ne connaissait pourtant que de par leurs rendez-vous. Elle était tombée sous son charme à force qu'il vienne la voir. L'homme tomba de haut, lui expliquant qu'elle pouvait lâcher sa famille, qu'il était là pour elle, mais jamais elle ne pourrait le faire. Il ne lui restait qu'une solution, aller voir le père de cette dernière, ce qu'il fit quelques semaines plus tard. Le vieil homme lui rigola à la figure, expliquant qu'il ne laisserait jamais sa chère fille épouser un homme qui n'était pas religieux et qui n'avait pas de moyens. Elle était promise à un riche héritier de leur paroisse, ce qui serait largement un meilleur parti pour elle. Il lui lança néanmoins en riant : « Si tu arrives à me prouver que tu peux être aussi bien que son fiancé avant le mariage, je te donnerais peut-être une chance. » Il n'était pas sérieux mais mon père le pris néanmoins comme tel. Vous commencez à vous dire que cela ressemble de plus en plus à un conte pour enfants. C'est ce que j'ai cru aussi quand on me l'a raconté et pourtant, c'est la stricte vérité. Suite à cet entretien, mon père entama un changement de vie radicale, n'oubliant cependant pas d'aller voir sa belle une fois par semaine dans son salon. Il lui promit qu'il ferait tout pour qu'ils soient ensemble. Il se mit à fréquenter l'église tous les dimanches, chance pour lui, il était déjà baptisé et se consacra à la religion, même s'il n'y croyait guère. Il voulait montrer à son futur beau-père qu'il en était capable. Il trouva également un autre travail, beaucoup mieux payé, même si cela nuisait à ses rêves de vie de bohème. Il devint alors le gendre parfait au bout d'un an. Cela lui prit du temps mais ça en valait la peine selon lui. Le mariage était annoncé pour dans deux mois. Il alla donc rendre visite de nouveau au père de la jeune femme qui fut étonné de revoir cet homme. Un long dialogue eut lieu. Je ne saurais pas vous dire ce qui a été dit vu que l'on a jamais voulu me le raconter mais au final, mon père a réussi à obtenir ce qu'il voulait. La date du mariage ne serait pas modifié mais ce serait son mariage à lui. Il n'avait plus qu'à annoncer la nouvelle à ma mère et deux mois plus tard, ils se marièrent, deux ans après leur première rencontre environ.
A partir de leur mariage, mes parents purent enfin aménager ensemble mais mon père dû continuer ses efforts au niveau de la religion pour montrer qu'il restait à la hauteur. Au fil du temps, cela devint presque naturel pour lui et il finit même par y croire. De toute façon, il aurait tout fait pour ma mère, même si son nouveau travail lui prenait les trois quarts de son temps. Au bout d'un an, mon grand-père lui fit de nouveau comprendre que s'il voulait rester avec ma mère, il allait falloir qu'il leur donne un descendant. En effet, ma mère était fille unique et il serait totalement inacceptable qu'il n'ait pas d'héritier. Mes parents commencèrent alors à essayer de faire des enfants. Cela mis du temps, presque un an avant que ma mère ne tombe enceinte. Ils attendirent la période fatidique des trois mois avant de l'annoncer officiellement et mon grand-père fut enfin satisfait, même s'il déchanta rapidement deux mois plus tard quand il apprit que ce serait un garçon, lui qui aimait tellement les petites filles. S'il avait appris à cette date que je ne ferais sans doute jamais d'enfants vu ma sexualité... La grossesse se passa normalement, même si ma mère dut rester allongée durant le dernier mois. Néanmoins, l'accouchement se déroula avec beaucoup plus de difficulté et ma mère tomba même dans le coma pendant près d'un mois. Mon père fut exemplaire pendant cette période, s'occupant de moi du mieux qu'il pouvait entre son travail. Ma mère revint rapidement à la maison après son passage en coma et ils purent enfin commencer à être heureux dans leur ménage à trois. Je ne m'en rappelles pas mais je suis sûr qu'ils m'ont couvé comme pas possible, m'emmenant même à l'église avec eux tous les dimanches. Dès mon plus jeune âge, j'ai été éduqué dans la religion. Après tout, mon père n'avait pas fait autant d'efforts pour lâcher maintenant, surtout que mon grand-père n'avait toujours pas confiance en lui, même après tout ce temps. Néanmoins, quand j'étais seul avec mon père, il n'hésitait pas à me raconter des histoires de sa vie non religieuse, me disant que quand je serais grand, je pourrais choisir ma manière de vivre. Il aurait voulu m'enseigner d'autres valeurs que celles qui n'étaient pas les siennes mais tenant trop à ma mère, il ne tenait pas à prendre ces risques. Oui, ça vous pouvez être sûr que mes parents s'aimaient plus que tout... Je commençais bientôt à faire mes premiers pas, à dire mes premiers mots, comme tous les enfants de mon âge. Ma mère avait engagé une nourrice pour s'occuper de moi pendant qu'elle reprenait tranquillement son travail de couturière. Elle avait installé son salon à la maison, dans une petite pièce à part mais ses anciens clients étaient restés des fidèles. Après tout, elle avait une sacrée réputation dans son domaine. De cette manière, elle pouvait garder un œil sur moi et gagner de l'argent, ce qui lui convenait parfaitement. Je commençais l'école à l'âge de trois ans, dans un établissement privé où les préceptes religieux étaient respectés bien sûr. Tous les autres enfants étaient comme moi, et le fait que ce soit privé permettait que ce soit également beaucoup plus sélectif. Les enfants qui ne rentraient pas dans le programme étaient rapidement renvoyés de telle sorte qu'aucune violence n'ait lieu dans l'école. J'aimais ce havre de paix, même si les maitresses nous grondaient de temps en temps quand nous faisions des bêtises. Je n'aimais pas être puni et aller au coin devant tout le monde car ceci était tout simplement très humiliant. De ce fait, j'essayais au maximum de rester sage mais je me faisais tout de même beaucoup remarquer vu que j'avais toujours quelque chose de cassé. C'est d'ailleurs à l'école que je me faisais la plupart de mes blessures, en courant trop vite, en me prenant un arbre ou en tombant de la balançoire... C'est dans ce petit monde que j'ai grandi jusqu'à mes onze ans, âge auquel j'ai quitté l'école primaire pour le collège. J'avais des bonnes notes, un bon bulletin où les seules ombres étaient mes bavardages à répétition avec mes potes de classe, pire qu'une fille. Mes parents étaient fiers de moi. Tout ce qui me manquait, c'était un petit frère ou une petite sœur, quelqu'un avec qui j'aurais pu jouer, mais mes parents ne m'ont jamais fait ce plaisir, ayant trop peur que l'accouchement se repasse comme la première fois. Maintenant que je suis plus vieux, je le comprends parfaitement mais enfant, cette solitude me pesait, même si ma mère m'autorisait souvent à inviter mes copains à la maison.
L'entrée au collège fut pour moi une période de changement radicale. Me retrouver avec des enfants plus vieux, alors que lors de ma dernière année en primaire, j'étais le plus âgé, cela me perturbait beaucoup. Les premiers jours se passèrent plutôt bien. Je me trouvais même un camarade de classe, malgré le fait que je ne connaissais personne. J'avais dû quitter ma petite école de banlieue pour entrer dans un collège de Paris, la grande ville. J'avais trente minutes de car tous les matins pour aller à l'école. C'était la seule solution pour que je restes dans le privé, ce qui était très important pour mes parents. Mon caractère sociale n'aida pas vraiment bizarrement. Les gens étaient déjà par petits groupes car ils se connaissaient d'avant mais moi, je venais de plus loin alors j'étais mis à part. Cet isolement me fit mal dans les premiers temps et mes résultats ne furent pas au beau fixe durant le premier trimestre. Ceci me valu les remontrances de mes parents qui demandèrent à ce que je changes de classe. J'étais contre mais au final, ce fut positif pour moi car seulement quelques jours plus tard, j'étais intégrée dans un petit groupe de 4 garçons qui étaient comme moi, venus d'autre part. Nous restâmes ensemble durant toute la période du collège et le lieu devint bientôt un endroit où j'aimais aller. J'avais toujours aimé apprendre mais mon professeur de maths de deuxième année me fit particulièrement aimer cette matière qui resta ensuite ma favorite. La seule ombre au tableau de mon adolescence n'est cependant pas anodine. En effet, durant ma première année, je commençais à me rapprocher de ma voisine, jeune femme sans histoire qui avait quatre ans de plus que moi mais avec qui j'adorais passer du temps. Elle était toujours très gentille et me comprenait. Nous ne nous voyions que le weekend car elle était dans un autre établissement que le mien mais à chaque fois, nous nous amusions comme des petits fous, jusqu'au moment où tout a dérapé. Nous étions allongé dans son lit à regarder la télévision, comme nous le faisions souvent et d'un coup, elle se mit sur moi et commença à m'embrasser. Vous allez sans doute rigoler vu qu'une homme est censé savoir se défendre contre une fille mais disons qu'elle faisait légèrement 80 kilos, soit 30 kilos de plus que moi. Sur le coup, ce n'était pas vraiment désagréable vu que c'était la première fois que j'échangeais un baiser avec quelqu'un mais mes parents me l'avaient interdit, du fait de notre religion. Comme mon père m'avait souvent dit, nous étions au 21ème siècle et de ce fait, il ne ferait jamais comme mon grand père à me dire avec qui sortir et d'attendre le mariage pour embrasser, mais il m'avait cependant demander de lui en parler avant toute chose afin qu'on en parle. Là, je n'avais rien prémédité et pour cause, ma voisine n'était pour moi qu'une amie, rien de plus. Je ne savais pas comment réagir mais finalement, je la repoussais gentiment, lui expliquant que j'étais beaucoup trop jeune pour sortir avec quelqu'un. Elle m'expliqua qu'elle ne voulait pas sortir avec moi et que c'était juste pour essayer mais bizarrement, je ne voyais pas du tout cela de la même manière qu'elle. Elle commença à vouloir aller plus loin et passa une de ses mains dans mon pantalon pour aussitôt la planter sur mes parties génitales et de les tripoter. Je commençais à me débattre naturellement, n'aimant pas du tout la tournure que prenaient les événements. Elle me baissa bientôt le pantalon avant de faire de même avec le sien. Étant beaucoup plus grande et lourde que moi, il m'était très difficile de la pousser mais j'arrivais encore à crier. Ses parents étaient absents. J'avais peur mais je continuais à crier de toutes mes forces. (Quand je vous dit que je suis pire qu'une fille...) Coup de chance pour moi, ma mère voyant l'heure tourner et ne me voyant pas rentrer, car oui j'avais seulement jusqu'à 16 heures pour sortir quand je n'avais pas fait mes devoirs, ce qui était le cas. Elle vint me chercher. Elle vit la scène par la fenêtre de la chambre et s'empressa de courir vers la porte qui était fermée à clé. Elle frappa de toutes ses forces dessus et cela suffit pour que ma voisine lâche prise le temps d'un instant. Je profitais de cet instant pour courir vers la porte. Elle ne chercha pas à me rattraper. Je me lançais dans les bras de ma mère qui m'emmena aussitôt à la maison avant de nous enfermer à double tour. Après cet épisode, elle m'emmena voir un psychologue et nous avons porté plainte. Je ne sais pas ce qui est arrivé à ma voisine mais trois semaines plus tard, sa famille déménageait. J'étais donc pour sûr débarrassé d'elle, même si j'aurais préféré savoir qu'elle était en prison pour mineurs. Je fus parfaitement bien pris en charge, ce qui m'aida énormément. Ma mère m'autorisa à ne pas aller en cours pendant une quinzaine de jours et elle m'obligea à tout lui raconter dans les moindres détails afin de m'aider à mieux m'en sortir. Mon père fut également mis dans la confidence. Ce fut très difficile mais le temps passa et la douleur diminua peu à peu. Je ne dis jamais rien à mes amis sur mon absence mais je crois que cela a fait le tour de la classe, même si personne ne m'en parla. Le directeur avait dû vendre la mèche. Le point positif est sans doute que j'avais tellement cet événement en tête que je me mis à étudier au maximum, pendant tout mon temps libre pour essayer d'oublier et cela porta ses fruits, je sautais deux classes, une au collège et une au lycée.
Après le collège, ça a naturellement été le moment du lycée. Là, je me suis tout de suite senti à mon aise. Mes amis étaient dans le même établissement que moi, même si nous n'étions pas dans la même classe. L'épisode noir de mon adolescence était plus ou moins enfoui en moi et j'avais réussi à le surmonter au fil du temps. Il m'arrivait encore d'y penser, d'en faire des cauchemars mais dans l'ensemble, ça allait. Je continuais tout de même à aller voir un psychologue une fois par mois, cela me rassurait et j'avais demandé à mes parents de ne pas arrêter mes séances. Ils avaient été d'accord, même si cela leur coutait cher. Après tout, ils ne voulaient que le bien de leur fils unique. Lors de mon premier jour au lycée, mon père me prit entre quatre yeux pour que nous ayons une sérieuse conversation. Il me fit promettre que je ne dirais rien à ma mère car elle ferait sans doute une crise cardiaque si elle savait ce qu'il allait me dire. C'est à ce moment là qu'il me raconta sa rencontre avec ma mère et tout ce qu'il avait dû traverser pour la conquérir. Cela me toucha mais je ne savais pas vraiment où il voulait en venir. Au final, il m'expliqua ce qu'il m'avait toujours dit, que j'étais désormais en âge de faire mes propres choix. Il avait fait le choix d'entrer dans la religion, je pouvais faire celui d'en sortir si je le souhaitais et entre autres de sortir avec des filles si je le désirais. J'acquiesçais, le remerciant. Néanmoins, ce qu'il ne savait pas c'est que depuis l'histoire, j'avais une peur bleue des relations, en particulier avec les filles. Je me promenais sans cesse avec un couteau dans mon sac, ayant peur qu'on m'agresse et je fuyais dès que quelqu'un m'approchait de trop près. Au fur et à mesure que je grandissais, je me rendis finalement compte que j'étais attiré par les hommes, chose sans doute dû à mon passé. En dernière année de lycée, j'étais d'ailleurs tombé sous le charme d'un de mes camarades de classe. Il n'était malheureusement pas de ce bord, mais qu'est-ce que j'aurais donné pour avoir une chance avec lui... C'est d'ailleurs comme cela que je compris que j'aimais les hommes, ce que je me cachais bien de dire à mes parents qui feraient sans doute une crise cardiaque si je leur annonçais. Enfin, peut-être pas mon père qui comprendrait plus ou moins mais il finirait forcément par le dire à ma mère alors au final, je ne dis rien à personne. Les années passèrent encore. Mes parents s'étonnèrent que je ne parlais jamais de filles mais je leur sortais toujours la même salade comme quoi j'étais encore trop traumatisé par ce qui s'était passé avec ma voisine pour penser à sortir avec quelqu'un. En réalité, j'avais eu quelques aventures avec des hommes, menant un peu plus loin que le simple baiser que l'on me conseillait depuis petit. Je savais très bien qui j'étais et je l'assumais pleinement en dehors de la maison.
J'ai fini mon lycée rapidement, entrant par la suite à l'université. A 21 ans, j'en ressortais avec une licence de sport et un diplôme de professeur pour enseigner, un domaine dans lequel j'avais de certaines capacités. Je passais ensuite l'agrégat pour enseigner à l'université. A 24 ans, on m'annonçait que je pouvais enseigner pour les cours d'UEL et les entrainements hors cours spéciaux, en plus du lycée. Mes rapports envers le monde n'avaient pas changé pendant cette période et la seule chose qui fut importante fut ma première relation sérieuse. Elle dura un an et tout allait bien, jusqu'au jour où je me fis agresser dans la rue. Je préférai mettre fin à ma relation, même si mon petit ami ne le comprit pas du tout et à partir de ce moment, je me mis au sport au maximum. J'espère monter en grade rapidement grâce à tout cela pour devenir prof de sport à temps plein à l'université, malgré mon jeune âge. Pour ce qui est de ma vie amoureuse, je suis obligé de donner le change devant mes parents alors j'invite des filles chez eux de temps en temps que je fais passer pour ma copine du moment. D'ailleurs, je me dis de plus en plus que je suis une erreur de la nature. Être homosexuel n'est pas normal pour quelqu'un de chrétien, même si j'ai arrêté de pratiquer. Alors depuis deux ans, j'essaye de me persuader que je suis au moins bi en sortant avec des filles pour qui je n'éprouve aucun sentiment et en couchant avec, comme tous les garçons normaux de mon âge.
Dernière édition par Brownie Legrand le Dim 19 Juin - 23:07, édité 3 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 18:25
Bienvenue, merci de ton inscription ! Bon courage pour ta fiche, n'hésite pas si tu as des questions.
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 18:28
Merci beaucoup <3 Est-ce qu'on peut me réserver Mark Salling svp ? Et Chord Overstreet pour une amie qui va s'inscrire d'ici quelques minutes. Je dois filer au boulot mais je ferais ma fiche en rentrant. J'ai déjà mon histoire en tête et tout et Chord sera une sorte de scénario (déjà pris quoi MDR) et on aimerait absolument ces avatars XD. J'ai envoyé un MP avec October pour ça mais bon, si vous voyez ce message avant... XD
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 18:31
Désolée, nous ne réservons pas les avatars. Mais si vous faîtes vos fiches rapidement, dans les 7 jours impartis, vous pourrez largement avoir les avatars que vous voulez ! Sinon, si quelqu'un d'autre s'inscrit avec l'avatar, il suffira de vous déchirer à être les meilleurs ! Ne vous inquiétez pas, je pense que vous n'aurez quand même pas de problèmes.
Au passage... MARK !
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 19:38
Bienvenue parmi nous.
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 20:10
BIENVENUE sur le forum
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 21:28
OMFG ! MARK, l'homme de ma vie ♥ Il va nous falloir un lien de la mort qui tue et détruit tout sur son passage ! (a) BIENVENUE ♥ ♥ ♥
J'adore les brownies et surtout Mark, je te mange quand ?
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 21:43
Maaark (en mode groupie ') Sinon, bienvenue (:
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 22:20
Merci beaucoup à vous tous. Je vous réserve des liens d'avance <3 Ca fait plaisir un tel accueil ! Pour la réservation, pas de soucis, je vais me dépêcher de faire ma fiche dans ce cas XD.
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 22:45
je prends le meilleure lien, au moins je pourrais te manger (a) ! * ok, je sors*
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 23:08
Je ne sais pas si ça existe un meilleur lien, le tout étant d'en trouver un intéressant à jouer dans le RP XD.
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Dim 19 Juin - 23:52
Juny chérie quel plaisir de te voir ici :)
Tay Januário administrateur
✧ ÂGE : vingt-six. ✧ JOB : animateur tv. ✧ MESSAGES : 6930 ✧ HERE SINCE : 17/05/2011
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Lun 20 Juin - 0:14
Bienvenue sur OLLP . Tu écris tellement biennn . :O Sur ce, je te valide.
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Lun 20 Juin - 10:09
Bienvenue en retard. ♥
Invité Invité
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit Lun 20 Juin - 12:42
Merci beaucoup <3
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit
Terminée | Brownie, j'y peux rien si j'ai un nom de biscuit