Cela fait maintenant quelque mois que je vis dans un petit appartement tout joli dans le neuvième arrondissement de Paris, avec ma petite princesse, Addison. En effet, depuis notre lourde stupide avec mon ex-petit ami, Mathéo, j’avais décidé de m’éloigner de lui. Je n’ai pas supporté de voir les lèvres d’une autre fille sur ses lèvres… En même temps qui aurait aimé voire ça de la part de son copain ou de sa copine ? Personne, à part ce qui se foute royalement de leur relation. Depuis ma séparation, je ne suis pas au top de ma forme. Je suis obligée de le voir, même si je n’en ai aucune envie, pour la simple et bonne raison qu’il a aussi droit de voire sa fille. Si je n’avais pas eu Addison, j’aurais quitté la ville… Ca me gêné d’imposer cette situation tout de même délicate à une petite fille de six ans… Voilà que ce soir j’avais put quitte plus tôt la boutique. J’avais eu une journée assez dure avec des clients assez pénible. Je ne pouvais pas me permettre de ne pas aller au travailles entre mes soucis d’argents et il fallait qu’Addison puisse manger. Une fois la boutique fermé, je me rendis à l’école primaire afin d’aller chercher la huitième merveille du monde. Il faisait beau aujourd’hui, j’avais donc décidé d’aller la chercher à pied, après tout, l’appartement n’est pas bien loin de son école. Autant profiter du beau temps par la même occasion.Une fois devant l’école, je n’attendis guère longtemps avant que sa classe ne sorte. Je la pris par la main et nous rentrons toute les deux à la maison, à pied. Malheureusement, elle n’a pas put beaucoup me raconter sa journée, puisque je suis restée une bonne partie au téléphone. Bref, une fois à l’appartement, je pris le courrier et nous grimpions toute les deux les marches de l’escalier. Je déverrouillai la porte, la laissa entrer avant d’en faire de même à mon tour. Tout en déposant mon sac sur le canapé du salon. « Ma puce, je te propose que tu goutes et qu’après je t’aide à faire tes devoirs. Puis on fera ce que tu souhaite après. Ca te va ? » Bon, même si elle ne voudrait pas ses devoirs elle n’aurait pas vraiment le choix ! Les devoirs avant de s’amuser, surtout qu’à son âge, ça ne prend pas trois heures….

Etre une mère célibataire n’est jamais facile ! Je me sens toujours débordé et je me sens seul sans son père près de moi et sans ma fille lorsqu’elle passe le week-end chez son paternel. Mais je gère tout ça comme je peux. J’essais de lui prouver que ce n’est pas de s afaut si son père et moi sommes plus ensemble. Addison est la prunelle de mes yeux, ma moitié, un cadeau tombé du ciel. Avec le recule, je me dis, que ma nourrice qui s’appelait Addison et qui était la grand-mère de Mathéo, à mis son petit grain de sel dans notre histoire afin qu’il ne se marrie pas et qu’il cour le parfait amour pendant plusieurs années à mes côtés. Après tout, si je n’étais pas tombé enceinte du jeune homme, aurais-je étais dans les bras de Mathéo, oui peut-être en tans qu’amante. Rien de plus… La vie nous réserve de bien drôle de surprise, tout comme le fait qu’il embrasse cette fille, du mon ex-petite amie avec qui ce dernier était sur le point de se marier ! Ce n’est pas rien ! Vous comprenez ma réaction ! Je veux protéger Addison, mais je me sens impuissant à toutes ses questions…
Ce soir, après la fermeture du magasin, j’avais décidé d’aller chercher Addison. Je n’attendis guère longtemps avant que sa classe ne sorte. Lorsqu’elle s’élança vers moi, je finis sa course en la prenant dans mes bras et en al serrant fort. Je l’aime énormément cette petite, bien plus que ce pouvais croire. Malheureusement, sur me chemin je fis occupé par mon téléphone, mais j’allais me rattraper, notamment en lui offrant un gouter de rave. Bref, nous montâmes toutes les deux les escaliers avant de ne pénétrer dans notre petit appartement. Je lui annonçai mon programme, une fois que je vis ma petite princesse se poser sur le canapé. J’enlevai mes talons que je rangeai par la même occasion, avant de ne venir m’asseoir à ses côtés. Je ris doucement à sa remarque. » Oui, ma chérie tu es obligée de le faire ! Si tu veux devenir une grande fille ! Mais avant, si on allait préparer des crêpes toutes les deux ? »