Nom complet ▲ Uriel Vernon. Lieu de naissance ▲ Nob Hill. âge ▲ 21 ans. nationalité ▲ américain. diplômes, études ▲ Uriel a arrêté ses études de médecine. métier ▲ Joueur de Poker Professionnel. statut matrimonial ▲ libertin. orientation sexuelle ▲ Hétérosexuel. situation financière ▲ Riche. idole(s) de vie ▲ les jazzmans. nombre d'amis facebook ▲ beaucoup. moyen de déplacement ▲ un peu tous... groupe ▲ Tu t'laisses aller. avatar ▲ Willy Cartier. crédits ▲ Tumblr et moi.

premier point ▲ De moi peut être que vous ne retiendrez qu’une chose : ma voix. Ma voix envoûtante, lascive grâce à l’opium et teinté légèrement d’un accent lointain. deuxième point ▲ Nous sommes écrivains et colporteurs d’informations depuis des générations dans ma famille. Les Vernon sont à la tête d'un journal très réputé au US. Selon les traditions familiales, je devrai prendre les rênes de l'héritage familial si ma mère venait à décéder. troisième point ▲ Lorsque je me sens seul, j'ai tendance à sortir ce carnet rouge que je noircis d'encre au fil des jours. quatrième point ▲ Je suis la décadence. Je suis l'opium. J’aime l’opium, j’aime sa fumée et ses rêveries. Comme j’aime soumettre les femmes, sans force, sans hurlement, simplement de ma prestance. Si elles ne courbent pas qu’importent elles le feront tôt ou tard. Mais je me suis perdu dans l’opium, mon amante la plus langoureuse. sixième point ▲ N'essaie pas de m'étudier, de me comprendre, nombre d'onirologue de basses cours se sont inclinés. Pour me comprendre, va dans ma musique. Au moins auras-tu un aperçu de ma toile psychique. Tu comprendras peut-être que je veux tout. Que je n'aime que la beauté quand elle est nue. Que la chair quand elle m'appartient, quand je lui appartiens. Que je ne suis qu'un être volage difforme au masque d'apollon. Je ne réponds que des cris, de la sueur et de la musique. Des cigarettes aussi. Comprendras-tu ce que je suis ? septième point ▲ Uriel est un jeune homme qui apparait souvent inaccessible (à tort) : est-ce son port altier, sa fierté naturelle ou sa distante réserve ? Peu importe, Uriel ne laisse pas indifférent et son apparente fierté y est surement pour quelque chose. huitième point ▲ Très explosif, son hyperémotivité le fait passer par un kaléidoscope émotionnel étonnant. Loin d'être un saint et parfois salopard, il essaie de trouver une voie tant qu'il y a un juste milieu. Vernon représente avec brio toutes les tares naturelles que les Hommes peuvent avoir. neuvième point ▲ À ses heures perdues, il est sympathique et compatissant. Le mouvement, les voyages, l'aventure (ou les aventures), les conquêtes, le risque ont aussi l'honneur de lui plaire. Il aime l'action et le changement. Il recherche des activités variées et diversifiées ce qui peut impliquer une certaine instabilité. dixième point ▲ Sa vie amoureuse peut être passionnée, mais souvent, orageuse. Ses coups de foudre son fulgurants mais risque de connaître de brusques dénouements. Il se lasse vite, aussi, sachez l'étonner, le charmer, l'ensorceler. Il est capable d'élan de générosité, mais peut se montrer égocentrique et narcissique.

Je me tus encore et fit craquer nerveusement mes doigts. Le silence était pesant. Seul le tic-tac de l'horloge semblait vouloir venir rompre le silence. Nous nous regardâmes ainsi pendant quelques minutes qui me parurent interminables. J'observai la pièce lentement. Des canapés de velours, un bureau massif en bois orné. À ma gauche se dressait une gigantesque bibliothèque murale. Je m'attardai sur une rangée de livre et parcouru rapidement les auteurs : certains étaient français, d'autres Irlandais mais la majorité venaient d'Albion. La psychologue finit par décroiser les jambes, poser les coudes sur ses genoux puis s'éclaircir la gorge.

- Uriel, si je veux parvenir à mieux vous cerner, il va falloir m'en dire plus sur vous, me dit-elle en me regardant par dessus ses lunettes en forme de demi-lune. Ses lèvres étaient pincés et le haut de sa chemise mal-boutonnée laissait apparaître un bout de la dentelle de son soutien-gorge. Je relevai les yeux.

- Vous voulez donc tout savoir ?, demandai-je. Tout ? Absolument tout ?
Elle opina du chef. J'arquai un sourcil puis m'installa au fond de mon fauteuil. D'une manière ou d'une autre de toute manière, j'allais bien devoir le faire bien que je n'en ai eu aucune envie. Si j'étais ici, c'était uniquement car la mère de ma... femme s’inquiétait. Mais il n'y avait aucunement matière à s'inquiéter, la réponse était claire : je n'aimais pas sa fille, je n'aimais pas ce mariage organisé. J'en aimais une autre.

Je me lançais donc dans le récit. Le récit de ma vie.



- Je suis né en Californie par une chaude nuit de printemps. J'étais un enfant charmant et extraverti. Mais aussi loin que je m’en souvienne, mon père m’a toujours détesté. Je sais, c’est un cliché et ça sonne faux. C’est énervant, mais formidable en même temps – le genre d’arme dont les gosses se servent à coup sûr quand le vieux ne veut pas vous accorder ce que vous lui demandez. En ce siècle de lumières, où tout le monde pense que la psychologie est un don de Dieu pour la pauvre vieille race humaine immobilisée au stade anal, et que même le président des États-Unis se bourre de tranquillisants avant le dîner, c’est un bon moyen de se libérer des vieilles culpabilités judéo-chrétiennes qui nous serrent la gorge comme l’arrière-goût d’un mauvais plat dont on s’est goinfré. Si on dit que son père nous déteste depuis qu’on est gosse, on peut s’exhiber dans tout le quartier, violer, ou incendier le bureau des casinos et obtenir les circonstances atténuantes.



Je marquais une pause, restant de marbre alors que je la voyais me contempler, légèrement ébahi. À sa tête, je vis qu'elle ne comprit par la référence. Elle baissa les yeux et commença à griffonner dans son carnet. Je la regardais ainsi écrire quelques secondes de plus avant qu'un sourire se dessine lentement sur mes lèvres. J'enchaînai.



- J'ai grandi en majorité tout seul. Mes parents étaient très souvent absent à cause de leur travail et j'ai du très tôt apprendre à décider par moi-même. Je ne sais pas si se fut une bonne chose, car je dois l'avouer, aujourd'hui j'ai du mal à me dire que le monde entier ne m'appartient pas. (Je ris.) Rapidement, dès lors que j'ai su lire, j'ai fais des livres mes amis et de la bibliothèque de Snob Hill mon repère. Oh oui, normalement, j'habite à Nob Hill, mais cette ville est tellement blindé de riche qu'on nous appelle Snob Hill. Durant mon enfance, mon aire de jeu se nommait Twin Peaks. Un coin à la fois effrayant et fascinant, mais aussi complètement paumé. C'est accompagné de mon acolyte de toujours Gabriel, que je m'y rendais presque tous les jours après une bonne demi-heure de vélo. Aussi, je dois avouer que je n'ai pas toujours été le dragueur invétéré que je suis devenu aujourd'hui. Loin de là. Je me souvient encore de Claire à la primaire, bien en chaire à lunette et dont le regard était d'une beauté. Je lui faisais maladroitement la cour. Vous savez, je me souviens encore de ce premier baiser. Il fut vif comparé à tout ceux qui viendront plus tard. Un baiser d'enfant.


- Entre l'école et les sorties avec Gabriel, j'ai reçu une formation de pianiste. J'ai commença par du classique pour, au fil des années, me tourner vers le jazz que trouve beaucoup plus envoûtant et poétique. Avec le jazz, je peux jouer librement sans passer par la contrainte terrible de la musique écrite, la prison des mesures et des cinq lignes. À l'école, j'étais bon. Excellent même. Je raflai tous les prix. Mes professeurs finirent par me faire passer un test psychométrique et il s'avérera que je suis un génie. Ca me fait rire. Vous savez, pour moi le génie est à l'intelligence ce que la folie est à l’imbécillité. Je me serai plutôt retrouvé dans le deuxième cas. D'ailleurs, pour alimenter mon génie,dis-je dans un accent anglais un brin moqueur, je côtoie bien trop souvent les paradis artificiels. Vous savez, les drogues quoi. D'ailleurs avec Gabriel on a commencé vraiment tôt quand j'y pense. Mais l'argent vous savez... L'argent. C'est une source de plaisir mais aussi de malheur. Aujourd'hui, il fait mon malheur. Il me détruit de façon parallèle.



Mon visage se referma et mes traits se durcirent. Je baissais la tête vers mes mains qui se crispèrent autour d'un bout du canapé. Ma respiration s’accéléra subitement mais je finis par retrouver mon calme et réussit à poursuivre mon histoire.



- Je ne voulais pas me marier avec Elle. J'ai été forcé. Nos familles sont parvenus à un accord il y a peu. Et je n'étais pas au courant... Non je ne l'étais pas. (Je relevais la tête et plongeais mes yeux noirs dans les siens.) Vous savez en venant ici pour essayer de retrouver Gabriel, j'ai trouvé l'amour. Le vrai. Celui qui fait mal lorsque ça ne va pas. Celui qui brûle, qui déchire. Et aujourd'hui plus rien ne va ! Je suis à terre et amoureux, mais incapable de vivre cette histoire. Elle s'appelle Pénélope. Si seulement vous la voyez, elle est si belle. Ses cheveux sont d'un roux que j'ai rarement vu, sa peau est laiteuse et contraste magnifiquement bien avec le rouge de ces lèvres. Ses yeux sont légèrement en amande et pétillent tout le temps. Elle respire la joie de vivre, elle dégage tant de sensualité. Elle... Elle...



Ma phrase resta en suspens. Mes yeux commencèrent à briller et je retins mes larmes. Penser à elle était douloureux car je ne pourrai jamais être en mesure d'être avec elle, ni de lui interdire d'aller voir d'autres hommes que moi.




- Après ce mariage, je n'ai eu d'autres choix que de me tourner vers ceux à quoi j'avais goûté plus tôt dans ma jeunesse : le libertinage. Vous savez, ma famille m'a peut-être imposé une femme, mais on ne m'imposera pas de l'aimer ! D'ailleurs, savez-vous pourquoi m'a-t-on marié à la fille de votre amie, Madame ? (Elle secoua vivement la tête de gauche à droite, plongé dans mon récit) Car Pénélope n'est pas aussi riche que nous. Tout simplement.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
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pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana et Elie.