Je suis née il y a dix-sept ans, dans un Hôpital très réputer d'espagne. Je n'ai pas grand chose à dire de ma vie, mis à part que j'ai une sœur jumelle. Elle est tout pour moi, vu que mon père est en prison, et que ma mère partait tout le temps à l'étranger pour son travail. Aussi bien que je n'ai jamais connus mon père et que ma génitrice m'étais presque entièrement inconnue. J'étais toujours là pour elle, Alyzée, que je considérais plus comme ma petite sœur que ma jumelle, elle est tout ce qui représente ma famille. Parce que pour moi, mes parents n'étaient rien. J'ai eu quelques problèmes avec la justice à mon adolescence, ayant touchée à la drogue, au sexe et à l'alcool. Assez clichés pour un ado' qui traînait avec les mauvaises personnes et était laissé à lui-même. J'ai été en maison de Correction jusqu'à mes seize ans, et Alyzée aurait pû être préservée de mes conneries, sauf que je l'ai entraînée avec moi.. Ma mère est partit je-ne-sais-où, mon père est toujours en prison, et je me retrouve seul ici, dans mon grand appartement au milieu de Paris où je pourrais repartir à zéro. Pourquoi moi seule et ma soeur et moi ? Parce que ... C'était une nuit, tard. J'étais dans mon lit, les écouteurs de mon Ipode dans les oreilles avec la musique à "donf", pendant qu'Alyzée dormait paisiblement dans le lit au dessus de moi - des lits superposés. Nous étions encore dans la maison de correction, il devait être deux heures du matin et je devais avoir treize ans. Je me suis endormie. C'est alors que je l'entendis. Le hurlement le plus terrifiant que je n'avais jamais entendu de ma vie. Pas parce qu'il représetait la douleur et la terreur pure, mais simplement parce qu'il appartenait à ma soeur. Sortant la tête de sous les couettes et me réveillant en sursaut, j'enlevai les écouteurs toujours présents dans mes oreilles et regardai le bas du lit qui se trouvait au dessus de moi, je voyais des énormes griffes traverser le matelas, et le blanc des linges devenirent rouge sang. Ensuite .. je ne me rappel plus de rien. Les psychologues disent que c'est une réaction de mon cerveau, que le choc d'assiter à l'assassinat de ma soeur était quelque chose de beaucoup trop traumatisant pour que je m'en souvienne. Plus tard, on m'a apprit que ce qui avait tué ma soeur avait été un énorme chien échapper d'un chenil, il avait tuer la fille de trois ans de ses propriétaire et il devait être piquer la journée même.
Suite à sa mes parents et moi avions déménager à Paris et voila que je mènes ma petite vie, essayant d'éffacer, ou du moins d'atténuer la souffrance, que la perte de ma soeur me faisait ressentir.