Ecris ton histoire sans compter, on compte sur toi pour une histoire mouvementé & de qualité ! Surprends nous :)

❝ Chapitre 1 ❞
On murie sous un soleil
Géorgie état chaud des États-Unies doter d'un soleil torride. Sous chaque rayon branches et feuille des bien des arbres prenne de l'ampleur et sur le but de leur tige de jolies pêches prennent de l'ampleur. Juteuse prête à se faire mordre pour être déguster avec délice en laissant le jus sucrée du fruit orangée couler sur vos mains. Le verger comme à chaque année est prêt pour la cultivation et les bacs de bois attende avec impatience qu'on les remplisse. Chaque personne préposer attrapait l'aliment de leur doigt et remplissait l'objet de bois à chaque journée. Vera passait un revers de main sur les coulisses de sueur sur son front repoussant ses cheveux blanc rebattant son chapeau plus vers l'avant. Secouant breffement son chemiser elle remonta le chemin de terre direction la petite maison blanc. Ses perles bleus se levèrent en direction d'un pêcher planter tout près de la demeure. «Mily , mon ange voudrait tu avoir l’habilité de venir voir ta vieille grand-mère.». La petite fille d'au moins 8 huit eu un sourire charmeur et enroula ses bras autours du tronc en secouant sa tête dans un éclat de boucle parfaitement dorée. Petit ange elle n'avait qu'un but dans une journée s'était de se percher en haut de cet arbre et d'observer les gens passant sans voir sa minuscule présence. Parfois tendre le bras pour cueillir une pêche ici par là. Emily-Ann un nom composer bien trop long pour la plupart des gens on préfère simplifier la tâche en l'appelant Mily. La question qui se tient sur le bout de vos lèvres en ce moment. Non Vera n'est pas sa seule famille. En fait Emily à belle et bien deux parents vivants. Vivant dans une autre maison plus au centre de leur petit patelin déborder par leurs travails. Ils ont confier leur fille à sa grand-mère à la campagne pour l’élever. Elle ne les voit que la fin de semaine et n'a donc pas le choix de former sa vie dans la petite baraque blanche qui craque au moindre pas que l'on fait. Enfin depuis l'âge de ses quatre ans qu'elle avait dû vivre au beau milieu des champs et verger , un jour comme tout les autres une poupée à la main et une robe de soie bleu elle n'avait pas eu de mal à s'adapter déjà après quelque minute Mily courait à travers les grandes herbes. «Emily-Ann décent de là haut tout de suite !». La vieille dame s'énervait et la gamine finit par sauter sur ses deux pieds pour retrouver le sol. L'odeur de l'été avait envahie la maison un repas sortant du parfait dégageant une arôme parfaite. Mily tendait ses doigts effiler vers l'assiette puis il fut attraper brusquement dans un geste sec. Son petit corps frêle sursauta de toute part en découvrant Erwan . Grand yeux verts il gloussa. «Tututu Mimy faut attendre Vera !» Elle se débattit de son emprise. Un garçon du même âge qu'elle. Ses parents travaillaient pour sa grand-mère ils ont péri dans un écrasement d'avion et du coup elle ne se posa pas dix millions de question pour le prendre sous son aile. Emily à toujours eu du mal à partager son petit univers avec Erwan. «Tes pas ma mère Wanwan.» Elle avait déjà à son âge cette façon d’afficher un sourire en coin et de défier les regards plus auritaire.

***

le soleil tomber , les étoiles lumineuses accrocher à leur place dans le ciel sombre , lueur de la lune qui reflètet sur son visage de porcelaine. Une main douce . mais à la fois si froide vint se déposer sur son front paisible d'un profond sommeil. «Mily...Mily». Elle ouvris ses yeux noisettes maturés de deux ans de plus maintenant âgée d'une jolie dizaine. «Maman ?»«Grand-maman Vera vient de faire un arrêt cardiaque» «Grand-maman..» Ses larmes tremblotèrent ses yeux passèrent d'une à joie à voir sa mère à un profond vide d'émotion dû au choc. De marbre son cœur venait d'exploser en mille morceaux , mais son visage restait à la même expression. Après sa mort c'est parent n’eut que le choix de devoir la ramener chez elle. Mais encore le temps n'était pas donner pour lui apporter nécessaire. Ils engagèrent une gouvernante. Milly se rappelle de cette femme comme étant une personne sans expression qui ne lui apporterait pas l'amour que Vera. Elle ne tressait pas sa longue chevelure et ne lui faisait pas une délicieuse tarte aux pêches. Elle avait dû dire adieu à la campagne cet endroit qui était devenu son petit coin de paradis pour une vie plus urbaine. C'était comme un peu mourir chaque jour. Par un après midi comme les autres elle avait décider de grimper à un arbre tout proche de fenêtre comme elle avait l'habitude de se percher autrefois. Après maintes heure de recherche sa mère avait finis par la retrouver. «Veux-tu bien descendre de là !»«Jamais !». Aucun cris n'avait pu la faire bouger d'un poil. Ses bras s'étaient écorchées à force de s’agripper aux branches. Après une violente crise elle avait finis par retrouver le sol par contre cœur. Mily aurait pu éclater en gros sanglot , mais pas une fois on avait vu des larmes couler sur ses joues blanchâtres. Sans doute que le choc était encore trop grand que tout sa peine restait à l'intérieur d'elle. Ayant besoin de survivre dans un univers qui selon elle n'est pas du tout fait pour elle redevint une vrais enfant avec son propre monde. Rigoleuse les gens la trouvent bizarre à certain point.

❝ Chapitre 2 ❞
Les souvenirs disparaissent jamais
La cloche retentissait alors que les prunelles de Mily était encore bien fixer sur l'horloge. Âgée de 14 ans une année scolaire venait de se terminer et l'été s'annonçait. Déjà quatre ans elle n'avait plus la chance de voir pousser les pêches les voir prenne de l'ampleur de leur magnifique couleur orangée. À contre cœur sa tête s'était habituer à la ville , mais encore la campagne restait bien encrée dans son esprit. Elle avait su trouver réconfort dans ses délires personnel et dans ses pensées enfantines jamais dissiper. Elle pouvait sauter partout et rire sans arrêt rien ne pouvait la rendre des plus heureuse. Son livre se referma et un frisson lui parcouru le dos en relevant son regard plus haut. «Aller Mimy lève toi !» Elle fit qu'un signe de main pour enfin se lever sur ses deux jambes et sortir de la classe dans un claquement de pas. Erwan la suivait de près. Malgré la mort de sa grand-mère qui avait séparé leurs chemins ils étaient rester ami. Il était comme un frère comme ils avaient leur petite enfance dans la même demeure élever par la même personne.De toute manière il composait la plupart de sa liste d'ami voir le seul. Les adolescentes de son âge se voit déjà bien mature presque comme des femmes et Mily c'est encore une pauvre gamine qui vit dans son monde. C'est d'ailleurs par les critiques ridicules de ses camarades qu'elle se mit à dessiner. Ainsi son univers se retrouvait sur des feuilles et encore il y avait un talent derrière tout ça . Ces dessins étaient travaillé et perfectionné par sa jolie main. Rendu à son casier elle vida le reste du contenu de ce dernier avant de passer la grande porte du bâtiment. L'aire sur son visage digne d'un été cuisant. Sa grand-mère lui manquait encore , mais le deuil était fait . Seulement elle aimerait encore sentir ces mains douces quand elle prenait les siennes. La voir travailler d'arrache pied dans le verger, malgré la chaleur. Arrivant à sa maison Emily ne prit même pas le temps de rentrée à l'intérieur elle se précipita dans la grande cour où elle y déposa son sac avant de sauter sur son vélo. Son guidon prit la direction où les champs se rallongeait et la route se transformait en un chemin de terre. Ses yeux aperçurent une pointe blanche à travers plusieurs arbres. Un sourire se dessina sur ses lèvres cerises et avant d'atteindre la demeure elle tourna sur un autre petit chemin qui contournait le verger. Après la mort de Vera le verger avait été racheté. Ce genre de choses lui donnait un pincement au cœur. À travers les feuilles des arbres elle vit quelques personnes qui s'occupait du verger. Les pêches qui ne sont pas encore prête il fallait tout de même entretenir les arbres. Enfin elle atteignit un petit étendu d'eau qui lui rappelait le bon vieux temps. «Je savais que tu viendrais ici»«Tu m'as suivi ?» «Non tu viens à chaque année ici». Sa phrase adouci les traits du visage de son amie qui s'était étirer en frustration. Chaque année plus précisément ils venaient les deux pour se remémorer des souvenirs marqué par le temps. Les moments ou ils avaient patauger dans l'eau comme deux vrais fous. À chaque année c'était Erwan qui donnait la première pêche à Emily et encore cette tradition il continuait de la faire. Il arrivait à rentrer dans le verger pour voler une jolie pêche bien mure et la donner à Mily. Les moments où ils grimpaient les deux dans les arbres comme des aventurier qui montaient vers le cieux. L'herbe entre les orteils Emily venait de retirer ses chaussures et poussait Erwan dans l'eau en riant comme une fillette. Elle l'éclaboussa plusieurs coup et elle le suivi à son tour. On aurait cru que le bon vieux temps était de retour.

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❝ Chapitre 3 ❞
Quand tout découle du même point
«Ouvre la porte tout de suite !». Des pas feutrée contre le sol proche alors que sa mère martelait la porte de sa chambre. «Non ...maman.»Ce n'était pas la première fois que ce genre de chose se produisait. On en était à la troisième fois. «Dean ! DEAN !». Carla interpella le père de Emily qui finit par répondre à ses cris désespoirs. Il monta les marches d'une rapidité de l'éclair en comprenant que cela se reproduisait une nouvelle fois. Son père n’attendant pas plus longtemps qu'il força la porte découvrant leur fille assise sur son lit les mains jointes. Clara stupéfaite apporta sa main à sa bouche en oubliant de respirer quelque seconde. Son meuble de ligne tourner vers le mur et les tiroirs se retrouvant sur le sol étalant ses vêtements partout. Et encore ce n'était pas le seule meuble qui avait été saccager de sa place. Plus rien n'était en plus. Ses parents n'avait jamais vu un tel fouillis. Sa mère vint s'asseoir à cotée de sa fille prenant sa main. «Que faisais-tu ?»«Du ménage...mais je n'ai pas fini.» Anormal et cela commençait même à leur faire peur. La dernière fois c'était dans la salle de bain. Après un ménage vigoureux ils amenèrent consulter leur fille à contre coeur. Ils devaient se rendre à l'évidence il avait quelque chose qui clochait chez elle.
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Il n'a rien de plus stressant que d'être assis dans un fauteuil dans un bureau d'un médecin pour comprendre dont ce que votre fille souffre. Clara jouait avec ses doigts nerveusement et vu toute la tentions entre le couple elles étaient toute moites et elles les sentaient aussi trembler de toute part. L'homme finit par entrer et prendre place derrière son bureau et il n'avait même pas encore dit un mot que Clara avait un haussement de cœur. La peur la rongeait de plus en plus elle voulait s'engouffrer dans son siège. «Votre fille est bipolaire.» Un silence interminable s'installe et les deux paires de yeux qui s'étaient installer sur l'homme l’incitait de continuer , car encore la réaction restait en suspens ne savant pas comment prendre la nouvelle. «Comme vous avez pu le remarquer c'est des sautes d'humeur qui peut s'avérer fréquente. Elle peut réagir de différente façon elle peut avoir des périodes de folie de joie extrême comme en étant complètement dépressive et avoir des envies suicidaire. ça peut se transformer aussi en agressivité. C'est pourquoi il faudra bien l'encadrer et être proche d'elle pour vieille sur Emily-Ann. Elle peut avoir aussi des délires je veux dire qu'elle perdre le contrôle avec la réalité. Si ce genre de choses vient à s’aggraver et elle a des manies dangereuse pour sa santé je vous prierais de m'appeler sur le champ.» Clara restait encore en silence la bouche ouverte et son maris finit par prendre la parole alors que sa femme en était tout simplement incapable. «Comment se fait-il que aucun des symptômes se soit manifester auparavant.» «La bipolarité ne se manifeste que à partir de l’adolescence ou au début de l'âge adulte.» Dean hocha de la tête et Clara ne pu se retenir encore une seconde ces larmes se mirent à couleur sur ses joues rosées. Encore annoncer la nouvelle à leur fille fus des plus dure. Ils eurent le droit à leur première scène agressif non contrôler avant qu'elle franchisse la porte d'entrée. À sa mauvaise habitude habituel elle avait sauter sur son vélo en direction du verger. Comment peut-on se sentir quand on réalise qu'on a pas le contrôle de notre propre esprit et que de simples mots peuvent nous faire exploser. De simples geste peuvent nous faire déconner de la réalité et nous rende complètement fous.
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Les deux pieds dans l'eau les jeunes adultes restait dans un silence profond et bien lourd sur leurs épaules. Emily avait le visage livide complètement perdu. La bouche semi-ouverte les yeux grand ouverte sur l'eau qui bougeait doucement au contact de la brise. L'émotion qui s'y trouvait été la même que la nuit que sa grand-mère avait expirer son dernier souffle. Sur le choc remplie de sentiments différents qui finissaient par dégager qu'un visage d'une pure énigme. Une main délicate passait sur son épaule . «Mily tinquiète pas...». Son visage se retourna d'un geste brusque et d'un regard charger de haine. «Comment tu peux dire ça ! Je suis une monstre !» Ses mots furent ponctuer d'un ton sec et purement amer. Erwan passa de nouveau ses doigt fins sur la partie de son corps et elle attrapa a main violemment la repoussant. «Bon sang Emily !» Elle sauta par la suite dans l'étendu d'eau et s'enfonça sans remord en s’essoufflant de plus en plus alors que l'eau lui montait toujours plus haut. Elle s'enfonçait de plus en plus bas et la fatigue prenait le contrôle. En une fraction de seconde tout devenait de plus en plus brouiller et la jeune femme commençait à suffoquer. «ARRÊTE MILY TU VAS TE TUER» «Je me tuerais si il le faut» Ses mots étaient étouffer. De plus en plus elle sentait l’eau lui brûler la gorge cette source s'approchait de ses poumons. Emily était sur le point de se noyer , mais elle se laissait la périr comme une simple poupée de chiffon. Erwan lui avait sauter à grande enjambée pour aller la chercher. Entre les éclaboussements et les milliers de gouttes il finit par attraper son corps de poids plume. Il la ramena vers la rive à moitié inconsciente. L'aire engouffra de nouveau ses organes en manque d'air et la fire tousser bien fort recrachant de l'eau qui s'était enfoncer trop loin. Mèches de blés rabattit sur ses joues elle se laissa tomber sur ses genoux. À peine que sa tête se déposa qu'elle éclata en sanglot. Larme de douleur qui redoublait encore et sans cesse. «Ça va aller, ça va aller , tinquiète pas.» Pour la première fois il la voyait aussi fragile. On l'avait bien avertie qu'elle risquerait d'avoir des envies suicidaires , mais il n'aurait penser l'ombre d'un instant devoir la secourir se soir là.

❝ Chapitre 4❞
Nouvelle Ère

Les valises se remplissaient dans la vitesse de l'éclair. Tiroirs vidés chambre saccagée. Un mot bref sur le lit . Un regard remplie de folie de tristesse perdu à travers la brume. Bruit de pas la nuit était tomber depuis un bon moment. La porte claqua dans un coup de vent. La voiture roulait à toute allure. Un aéroport proche. Le cœur en miette l'esprit tout à l'envers. Un comptoir une dame derrière. De l'argent qui se glisse. Un billet pour paris. Un avion. Un siège. Voler au dessus du ciel le regard livide. Découverte d'un nouveau monde. Un nouvelle appartement. Un nouveau départ. «Bonjour Paris...»

Un coup de folie l'avait mener ici. Elle qui ne contrôle pas parfaitement son français et qui parle cette langue avec un fort accent elle se retrouve en plein milieu de la France. Loin des États-Unies. Loin des gens pour l'aider. Aucun support rien pour l'entourer.