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| Sujet: théamoi ~ Mar 12 Nov - 14:30 | |
| « ces miroirs qui nous font chavirer. ces regards qui la font s'évader. » Théa se réveilla en sursaut. Ses yeux avaient du mal à s'ouvrir mais pourtant, elle était assise sur son lit et aux aguets, comme si elle avait raté son réveil pour une journée importante. Hors, c'était samedi et elle avait pris sa journée. Regardant doucement autour d'elle, la jolie blonde ne se souvenait pas de comment elle était passée du bar avec sa meilleure amie à son lit. Étrange. Habituel aussi. Mais heureusement, aucun mâle ne gisait dans son lit. Soulagée mais tout de même assez agacée de ne pas se souvenir d'une soirée qui avait l'air sympa, elle attrapa son téléphone pour essayer d'en apprendre le plus possible. Problème, celui-ci ne s'allumait pas. Blonde, elle ne l'avait pas fait charger. Ce qu'elle fit donc, laissant tomber l'essai de souvenir. Levée, Théa ouvrit quitta sa chambre direction la cuisine. Elle ouvrit le frigo et tomba nez à nez avec ... un oeuf et une tomate. Passée l'envie de vomir, la porte se referma avec force. Théa posa ses fesses sur une chaise et mit quelque temps avant de se décider à quitter l'appartement pour prendre l'air. D'ailleurs, la jeune blonde se surpris à sortir de l'appartement en chausson et juste avec un pull. La gueule de bois ne la réussissait définitivement pas. Enfin habillée et sortie, Théa fonça direction le café en bas de sa rue. Elle n'était pas à son avantage et espérait ne croiser personne. Mais bien sur, c'est toujours au moment où on s'y attend le moins qu'on rencontre le plus de gens. Alors qu'elle n'avait pas encore son café, qu'elle était dans la queue, la belle blonde reconnu un brun au loin. Il s'était tourné avec son café à la main. Théa se souvint qu'ils l'aimaient tous les deux de la même façon. Osant l'impossible, la jolie blonde quitta la queue et s'approcha du jeune homme. Lorsqu'il posa son café sur le bord, elle l'attrapa avant qu'il rajoute le sucre et en but une gorgée. « Franchement, tu viens de sauver les quelques neurones qui me restent. » Théa était fière, regardant Arthur droit dans les yeux et reprenant une autre gorgée. Bien le bonjour, ex. |
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