Je venais de passer la journée avec ma mère, il faut dire que toutes les deux nous préparions ce qui allait le jour le plus important de ma vie. Beaucoup aurait les préparatifs en compagnie de leur meilleure amie, mais en ce qui concerne le choix de la robe, je ne voyais personne d'autre à part ma mère pour m'aider. Nous avions toujours eu cette complicité entre nous, et je souhaitais qu'elle m'accompagne dans les moindres détails. Elle avait pris plaisir a me faire essayer bon nombre de robes, jusqu'à ce que finalement on ne tombe sur la bonne. Au premier coup d'oeil j'avais su que c'était celle que je porterais, celle que tout le monde aurait plaisir a observer lors de la fameuse remonté de l'allée. Cette pensée c'était confirmé au moment où nous avions fondu en larme avec ma mère lorsque je l'avais enfilé. Bien sûr je m'étais sentie mal quelques instant, sachant que mon père ne pourrait m'accompagner dans ce moment. Mais je restais persuadée qu'il serait fier, la robe acheté, elle était resté dans la boutique pour que je revienne dans quelques jours afin que la couturière ait le temps de s'occuper des retouches. Nous avions continué nos achats comme ça tout le reste de la journée. Après avoir parcourus plusieurs boutiques, c'est en fin d'après-midi que j'avais regagné l'appartement que je partageais avec Félix. En rentrant j'avais pu trouver un mot de sa part fixé sur la porte du frigo, ne m'attends pas je suis partie en intervention, j'en aurais sûrement pour un petit moment, à ce soir, je t'aime. il était toujours plein de petites attentions, c'était sans aucun doute ce qui m'avais fait craquer en premier chez lui.

Suite à sa demande, je ne m'étais pas vraiment faite prier pour attendre son retour, je dois avouer que j'étais assez épuisée par cette journée et j'avais vraiment hâte d'aller me coucher. Je n'avais d'ailleurs pas fais long feu, après un bon bain afin de me détendre d'avantage, j'avais grignoter un petit bout, avant de ne finalement aller rejoindre les bras de Morphée. Je crois qu'à peine couché je m'étais rapidement endormi. Ce n'est que quelques heures plus tard, aux alentours d'une ou deux heures du matin, je n'avais pas vraiment apprêté attention a l'heure affiché sur le réveil, que mon portable se mit à sonner, me tirant forcément de mon sommeil. Je dois avouer que je fus très surprise de ne pas trouver Félix à mes côtés en me réveillant, il aurait du être rentré depuis un moment maintenant. Je leva les yeux au ciel lorsque mon téléphone se mit à sonner une seconde fois, la personne à l'autre bout du fil semblait vraiment décidé à me joindre. J'avais donc pris ce dernier posé sur la table de chevet avant de répondre. « Mademoiselle Kingston? » je fus très surprise par le ton de la voix se trouvant à l'autre bout, d'autant plus que j'avais personne ne prenait la peine de m'appeler par mon nom de famille, et encore moins au téléphone. « Oui? Que se passe-t-il? » Mon intuition m'affirmais que ce coup de téléphone ne m'apporterais rien de bon. « Connaissez-vous monsieur Oward? Vous êtes la personne à prévenir en cas d'urgence. » en l'entendant prononcer ces quelques mots j'avais pu sentir mon coeur se serrer, d'ailleurs aucun son n'avait pas se faire entendre, j'avais du mal a réaliser ce que la personne venait de me dire.  « Mademoiselle Kingston vous êtes toujours là? » Soufflant un instant, tentant de me persuadé que ce n'était peut-être pas si grave que ce je pouvais bien être entrain d'imaginer. « Oui oui je suis toujours là. » Ma voix me semblait être à peine audible, je n'étais pas vraiment sûr qu'il m'ait entendu. « Que s'est-il passé? Il va bien? » La panique n'avait pas mis très longtemps avant de revenir. « Il y a eu un accident, nous avons fait tout ce que nous avons pu, pour l'instant monsieur Oward semble être tiré d'affaire mais la nuit sera décisif pour son état. » En vie. Il était toujours en vie. C'était un vraiment soulagement. C'était stupide, d'après le médecin la nuit serait longue, mais savoir que pour l'instant il était en vie, qu'il était toujours là avait suffit à me calmer. Un peu.

À peine le téléphone fut raccroché j'avais pris soin d'appeler directement ma mère, je savais qu'elle paniquer à son tour, mais j'avais besoin de quelqu'un. J'avais besoin qu'elle m'accompagne à l'hôpital. Je m'étais rendu chez elle non pas sans mal. J'avais du me montrer tel un vrai danger public sur la route. Ma mère avait d'ailleurs pris le volant pour conduire jusqu'à l'hôpital, c'était la meilleure chose à faire. En sortant dans la voiture, et entrant dans les locaux, je m'étais rendu rapidement à l'accueil, suivis de près ma mère. « Mon fiancé. Je. On vient de m'appeler. Félix Oward. » cafouillais-je avec difficulté. J'avais vraiment horreur des hôpitaux. Passant nerveusement ma main dans mes cheveux, jetant un coup d'oeil complètement apeuré à ma mère pendant que la secrétaire effectuait sa recherche. « Deuxième étage, chambre 207. L'ascenseur se trouve juste à votre gauche. » Je m'étais contentée de la saluer d'un signe de tête afin de la remercier. Bien trop pressé par l'idée de retrouver mon fiancé. Je voulais juste me trouver près de lui. Me trouvant devant la porte de sa chambre, je luttais déjà pour contenir mes larmes, les mains de ma mère se plaçant sur mes bras suffirent à m'apaiser l'espace de quelques secondes. Voyant des infirmières à l'intérieur de la pièce je me doutais bien que je ne pouvais pas entrer pour l'instant. D'ailleurs l'image de tous les tubes présent m'en disait long sur son état. Il était  en vie, mais dans un piteux état. « Mademoiselle Kingston? C'est moi qui vient de vous appeler, je suis le médecin en charge de votre conjoint. » Mon visage se tournant légèrement vers lui j'avalais difficilement ma salive. Me tournant ensuite vers ma mère, je ne pouvais pas, et surtout je ne voulais pas qu'il me parle de Félix, je voulais juste être prêt de lui. « Je veux juste. Je peux rentrer? » lui demandais-je finalement. Je préférais de loin me tenir à ses côtés que d'écouter tout un discours auquel je ne comprendrais pas un mot, et qui me ferait encore plus paniquer qu'actuellement. « Oui allez-y. Je vais discuter avec.. » Je n'avais même pas pris la peine d'écouter la fin de sa phrase, je m'étais contentée d'entrer en vitesse dans la chambre me tenant au chevet de Félix. Le voir dans cet état était une torture. Saisissant sa main je ne souhaitais plus qu'une chose entendre le son de sa voix. Je voulais l'entendre me dire que tout ça n'était rien, que l'on allait rentrer chez nous.

Alors que finalement je ne prêtais plus aucune attention à ce qui pouvait se passer dans la pièce, mon regard concentré sur Félix. Seulement c'est un bruit sourd et continu qui se fit entendre, suivis de l'agitation des infirmières et du médecin qui me firent revenir sur terre. « Vous devez sortir mademoiselle. » Cette dernière essayait tant bien que mal de me faire quitter la pièce, mais je ne voulais pas, je ne pouvais pas le laisser. Ma mère était venue en renfort, m'obligeant à les observer depuis l'extérieur. Autant dire que les minutes qui étaient entrain de s'écouler me sembler être interminable. Le souffle pratiquement coupé je sentais finalement les larmes que je retenais depuis bien trop longtemps s'écouler sur mes joues. Ma mère se montrait encore un vrai soutien, puisque c'est sans un mot qu'elle venait de passer ses bras autour de moi. Malheureusement voyant le visage du médecin se tourner vers moi, je pouvais sentir mon coeur se briser, suppliant pour que les mots s’apprêtant à sortir de sa bouche ne soient pas ceux que je redoutais tant. « Heure du décès, 4h30. » J'avais l'impression que ma vie venait de s'arrêter en même temps que la sienne. « Non ! Non c'est pas possible ! Pas lui ! » Je commençais à m'agiter, essayant tant bien que mal de me dégager de l'étreinte de ma mère, pour finalement m'effondrer dans ses bras, fondant en larmes. Il fallait que ça recommence. Il fallait que je perde encore une fois quelqu'un comptant pour moi. Je ne voyais pas comment je pourrais me relever de cette épreuve. Comment je pourrais réussir à survivre sans qu'il ne soit à mes côtés.

je n'avais pas vu ta réponse mais tu as tellement raison, il est quasiment impossible de ne pas aimer les beatles #all you need is love bref ta fiche est vraiment cool et ton perso est top, garde moi un lien surtout et have fun

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
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SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
ohlalagram ► ta vie en photos.
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Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Ella, Tay, Théo, Marty, Théa, Nemo, Solal et Isadora