► OOH LA LA PARIS.
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ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.
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 NAUNAU + b*tch please.

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MessageSujet: NAUNAU + b*tch please.   NAUNAU + b*tch please. EmptyLun 21 Oct - 10:15


Nausicaa Marie Laurent

nom complet ▲ Nausicaa pour la princesse dans l'Odyssée, vous savez, celle qui sauve Ulysse ou une connerie comme ça... Ma mère est prof de litté, cherchez pas à comprendre. Pour le reste c'est Marie et Laurent. Nausicaa Marie Laurent. lieu de naissance ▲ Je suis née dans une charmante petite ville du nom de Brest comme les Paris-Brest mais ça, vous vous en foutez un peu... âge ▲ J'ai 25 printemps, autant dire que je suis arrivée à la moitié de ma vie active ce qui est plus ou moins un motif de suicide ou de dépression. nationalité ▲ Je suis française pure souche. diplômes, études ▲ Merci maman pour le bac littéraire qui me donnait de la nausée et puis sinon j'ai fait des études supérieurs en dessin à l'école des Gobelins. métier ▲ mon diplôme en poche, je suis devenue infographiste dans une petite boite de communication, c'est pas mal et puis ça me permet de bosser chez moi quand j'ai la flemme de sortir. statut matrimonial ▲ freedooooooom, freedoooooom, oooooh freedoooooom. orientation sexuelle ▲ j'aime vivre d'amour et d'eau fraîche comme la plupart des crétins de ce monde. situation financière ▲ disons que ça pourrait être pire et que ça pourrait être mieux... idole(s) de vie ▲ mes clébards, je me demande si un jour je pourrais avoir une vie comme la leur à rien foutre et à être excitée seulement quand on me présente une boule.  nombre d'amis facebook ▲ Ahahaha, facebook. moyen de déplacement ▲ une harley pour me la péter comme brigitte bardot ou comme lmes bikers américains, à vous de voir... groupe ▲ Tu t'laisse aller. avatar ▲ Isabelle Cornish. crédits ▲ Dodixe
J'men fous de tout ▲  Tue-moi, aime-moi, haïe-moi, regarde-moi, ignore-moi, j'en ai strictement rien à foutre. Ma vie se résume à moi, ma petite personne et rien d'autre. J'ai toujours été une égoïste de première, une saloperie, la personne la plus détestable qui croisera ton chemin et j'en ai rien à faire de te voir pleurer devant mes yeux lorsque je t'aurais mit une bonne paire de claque. Je ne connais ni la pitié, ni la peine, c'est comme si les sentiments n'existaient pas en moi...  Je n'ai peur de rien ▲ le danger, la peur, le questionnement, l'hésitation, je connais pas. J'ai toujours suivi mon instinct et jusqu'ici, il m'a plutôt aidée. J'en ai pas l'air comme ça mais mon côté dépourvu de sentiment humain me permet de faire des choses sans penser aux conséquences donc je fais et peu importe si je me mets en danger. J'ai pas pleuré depuis mes 16 ans ▲ le jour où mon père s'est barré avec sa petite amante de l'époque. Mes parents sont montés dans ma chambre et se sont assit sur mon lit et m'ont dit qu'ils n'étaient plus amoureux depuis longtemps, qu'ils ne voulaient plus se rendre malheureux pour me protéger des possibles peines et puis il s'est barré. J'ai pleuré pendant des semaines, des mois... Et puis plus rien, j'étais devenue incapable de verser une seule larme comme si j'avais épuisé le stock en une seule fois.  Je suis incapable de formuler une phrase sans formuler un mot vulgaire ▲ Ouais, je parle comme un camionneur et j'adore ça. Les gens bon chic bon genre penseront que c'est parce que j'ai été mal élevée mais que nenni, en réalité, c'est simplement parce que les gros mots sont des mots de liaison pour moi donc "putain" ou "merde" ressortent dans environs 90% des phrases que je formule... Ça donne un côté épicé à mes conversations même si les clients apprécient pas toujours.  J'ai deux chiens ▲ Ouais je sais, c'est beaucoup pour vivre à Paris mais je pouvais pas vivre sans eux, c'est impossible, c'était comme demander à brigitte bardot de tuer un bébé phoque, j'vous le jure, c'était la mort ! J'ai donc un golden retriever et un husky, qui ont tous les deux un bandana autour du cou et qui s'appellent Bob et Marley pour changer des faux rebelles de ce pays.  J'ai aucunes manières ▲ J'me souviens quand j'avais quinze ans, ma mère m'a emmenée dans un pensionnat de jeunes filles pour apprendre les bonnes manières, en réalité, j'ai même pas fait un mois parce que je jurais tout le temps et que je crachais dès que je sortais dehors... La principale a même dit qu'elle n'avait jamais vu ça et m'a renvoyée chez ma mère qui a eu ce fameux sourire crispé de celle qu'on remet à sa place.  J'ai un tatouage ▲ Faut savoir qu'au départ, j'étais pas sensée en avoir un mais j'ai décidé d'en faire un quand même parce qu'il s'avère que lors d'une bagarre, je me suis cassé des côtes et depuis j'ai gardé une marque magnifique alors plutôt que de cacher ça avec du fond de teint, j'ai décidé de me faire tatouer une plume avec des oiseaux qui s'envolent, la seule chose un tout petit peu féminine que je porte sur moi.  J'ai de l'humour et je peux être adorable ▲ C'est assez compliqué, lorsque les gens me connaissent depuis assez longtemps, ils ont la chance de voir l'autre Nausicaa, vous voyez ? La demoiselle drôle et pleine de vie, qui sort des conneries à tout bout de champ et qui fait marrer toute l'assemblée. Peu de personnes me voient comme ça parce que je suis assez solitaire mais lorsqu'on me connait réellement, je vaux le coup... Malheureusement j'ai tendance à me faire plus d'ennemis que d'amis et généralement, mes vrais amis, j'y tiens pas tellement.  Je joue continuellement un jeu ▲ Douce ou violente, insensible ou émotive, personne ne sait réellement sur quel pied je danse, c'est le seul moyen pour moi d'assouvir mon besoin de contrôle sur ma vie et sur les gens qui m'entourent. La plupart du temps, les gens me cernent comme une saloperie de sociopathe dangereuse qui a des tendances suicidaire mais lorsqu'on me connait, je peux aussi être sympa... Faut seulement réussir à se rapprocher assez pour me connaitre.  Je suis seule ▲ Ouais et c'est la raison pour laquelle je suis comme ça... C'est la raison pour laquelle je repousse le monde entier, la raison pour laquelle lorsque je sors dehors et que je sens la pluie contre mon visage, j'éprouve cette horrible douleur dans ma poitrine qui me comprime le coeur et me donne envie de vomir, qui bloque ma respiration et qui me rappelle qu'après tout ce temps, je suis encore vivante et je ressens encore des choses... Jouer au vilain petit canard a toujours été mon passe-temps favoris parce que le regard que porte les gens sur moi me dégoute...

pseudo ▲ Dodixe prénom ▲ Elodie. âge ▲ 19 ans. pays ▲ France. passion dans la vie ▲ le tricot, le tissage et la peinture en plein air Arrow  autre ▲ Votre nouveau modèle de présa est une putain de tuerie NAUNAU + b*tch please. 3997999705 
présence ▲ everyday. où as-tu découvert le forum ▲ j'y suis depuis bientôt 4 mois. comment le trouves-tu ▲ encore plus beau qu'avant même si je dois m'y habituer. as-tu déjà été sur OLLP ▲ J'y étais avec Gauthier. réservation d'avatar ▲
Code:
<span class="pris">isabelle cornish ▲</span> Nausicaa M. Laurent


Dernière édition par Nausicaa m. Laurent le Lun 21 Oct - 10:22, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: NAUNAU + b*tch please.   NAUNAU + b*tch please. EmptyLun 21 Oct - 10:15


f*ck me i don't care.

Tu regardes ton reflet dans le miroir et tu soupires. Tu détestes l’idée d’aller chez elle, de sortir de chez toi en pleine journée, de croiser les gens qui croient au bonheur complet et qui rêvent du prince charmant. Ils te saluent et tu ne réponds jamais, alors ils te prennent pour une malpolie, une ingrate, alors que tu veux passer inaperçu. Peut-être as-tu tout simplement peur des foules ? Non, ce n’est pas ça dont tu as peur sinon tu ne sortirais pas le soir, seule, pour prendre l’air et tu ne te retrouverais pas dans des boites bondées à picoler comme un trou. Non ce n’est pas ça dont t’as peur. T’as surtout peur qu’on perce ta carapace et qu’on comprenne le petit mécanisme qu’il y a dans ton crâne, ce truc stupide qui te fait agir sans raison. Tu décides d’aller dans l’entrée de ton appart’ tout pourri et tu prends ta veste en cuir et ton sac. La porte d’entrée est à quelques mètres et pourtant ça t’emmerde déjà… Tu sens l’air qui passe par le petit trou juste en bas… Tu soupires. Putain. C’est le mot que t’aimerais sortir mais tu te retiens, c’est toujours un bordel pas possible. Tu t’engouffres dans le couloir et tu croises la petite vieille du troisième, tu soupires, elle va encore te parler de ses putains de chats de merde. Tu déteste ses chats. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et tu rentres, elle se poste à côté de toi droite comme un piquet, tu t’avachies contre le rebord et tu regarde le ciel en priant pour qu’elle se la ferme. Elle commence à parler. Tu regarde le plafond. Tu te souviens. T’as pas toujours été comme ça. Oh non…

Ta mère disait que t’étais le bébé le plus beau qu’elle avait jamais vu. Toi quand tu vois les photos du jour de ta naissance, tu trouves que t’as une tête de bite et tu le fais savoir à ta mère. Tu fais l’aigrie mais tu trouves que ce sont de beaux souvenirs. Elle a l’air heureuse la marâtre avec son mioche dans les bras et son mari à côté pour faire semblant de faire partit de la famille. Tu grognes. T’aimerais qu’il soit mort aujourd’hui, qu’il n’existe pas. Tu lui en veux. Tu détestes en parler, ça te donne envie de cogner alors tu préfères ne rien dire. Ta mère non plus d’ailleurs. Au départ pourtant, vous l’aimiez toutes les deux, ton père. Il était sympa, drôle et il aimait ta mère comme un fou. Il disait tout le temps qu’il tuerait pour elle alors que tu ne l’as jamais vu lever le petit doigt pour l’aider. Le ménage, la bouffe, tu l’as vu tout faire pour toi et ton père pendant toutes ces années où il a daigné être présent dans la maison. Mais bon, étant donné que t’étais trop jeune, tu ne comprenais pas. Tu jouais avec tes petits cubes et tu apprenais toutes les choses de la vie : parler, manger avec une fourchette, marcher, lire, compter et faire du vélo… Tu te souviens même avec un vague sourire du jour où ton père t’a enlevé les roues de ta bicyclette parce que tu as commencé à rouler seule et tu as foncé dans un mur. Tu étais tellement traumatisée que tu as refusé de monter à vélo jusqu’aujourd’hui. D’ailleurs, aujourd’hui non plus, tu refuses le vélo. Tu as grandit dans une famille aimante, tu as choisis tes fringues, tu as eu une mère qui s’occupait de toi nuit et jour, qui te prenait dans ses bras lorsque tu te réveillais à pas d’heure à cause d’un cauchemar… Tu l’aimes plus que tout. Personne ne te connaît comme elle te connaît. Tu es toi-même avec elle. Elle t’a protégé lorsque ton père est partit, elle a gardé la maison sur ses quatre pieds, elle a bossé comme une malade pour que tu puisses faire tes études. Tu as mal juste en te souvenant des cernes qui pendent en-dessous de ses yeux et de ses bâillements incessants. Elle ne méritait pas ça. Tu le sais. Et c’est pour ça que tu en veux à ton père. Ton école primaire, tu l’as vécue normalement, tu étais heureuse, tu adorais y aller, apprendre et rencontrer de nouveaux enfants. Pleine de joie de vivre, tu étais totalement différente, tu étais entière. Ton collège ressemblait à Koh Lanta, un peu comme si tu te demandais pourquoi tu étais là. Entourée de ta bande de potes, tu tentais de t’accrocher même si tu sentais que quelque chose clochait. C’est sûrement à cette époque qu’ils ont commencé à ne plus s’aimer, tes parents. Ils revenaient à la maison, faisaient chambre à part et ne s’adressaient pas beaucoup la parole. Mais ils restaient ensembles, pour toi ils disaient. Tu as commencé à comprendre que quelque chose clochait. Tu croyais que c’était toi le problème. T’as vite compris que c’était pas vraiment toi mais eux…

Puis est venu le temps du lycée. Tes 16 ans, tu t’en souviens comme si c’était hier. Chaque détail de cette journée totalement ordinaire que tu as vécu, tu te souviens même de la date, de l’heure à laquelle ils ont pénétré dans ta chambre. Le 15 Mars 1997. Tu t’étais levée et préparée et puis t’es allée à l’école. La dernière fois que t’as porté une jupe. La dernière fois que tu t’es suis sentie comme une vraie « fille ». Tu rentres le soir, le dîner est tendu et tu comprends tout de suite que quelque chose cloche, t’es pas conne, tu l’as jamais été et tes parents le savent. Tu te barres dans ta chambre pour manger le dessert, bizarrement, elle l’a cramé cette fois, tu sens le gout âpre de la bouffe trop cuite dans ta bouche à chaque fois que tu penses à cette journée. Ta mère entre dans ta chambre, ton père la suit timidement. Ils t’avouent. Lui à une liaison depuis des mois, elle est malheureuse à le voir dans sa propre maison. Ils disaient vouloir te protéger de la souffrance de ne plus avoir de père, toi tu penses qu’ils avaient surtout peur de te voir te foutre en l’air. T’as vu la valise dans le couloir. Il est partit le soir même chez son autre femme. Ils ont divorcé dans les semaines suivantes. Tu as pleuré. Pendant des mois, des semaines et des jours entiers. Tu ne comprenais pas. Tu pensais que tu étais le problème. Tu savais que tu étais le problème alors que ce n’était pas le cas. Et puis un jour tu t’es levée, les yeux bouffis et une envie de taper dans les murs irrépressible. Tu n’as plus pleuré à partir de ce jour. Tu pleures plus. Tu n’as plus jamais de larmes à verser et ce qui peut s’en approcher le plus est un possible spasme, une brisure dans ton cœur que personne ne peut voir. T’as changé. Fini les jolies robes de petite fille sage. T’as acheté beaucoup de pantalons, de t-shirt qui faisaient ressortir ta poitrine généreuse et de chaussures plates. Tu détestes les talons, t’as tendance à dire que si jamais t’en portais, t’aurais l’air de la femme de ton père et ça, tu n’en veux surtout pas… Tu ne l’as jamais vu. T’as jamais revu ton père non plus d’ailleurs et c’est tant mieux. T’aurais eu envie de le tuer, de lui casser la gueule comme jamais. Tu ne voulais pas rester à Brest, tu ne voulais pas penser à cette vie totalement différente que tu avais. Tu voulais exorciser cette chose qui te faisait souffrir, toute cette rage enfouie au fond de toi et qui te donnait envie d’hurler le plus fort possible, à t’en briser les cordes vocales, juste pour pouvoir sentir quelque chose encore une fois. T’es pas dépressive, t’es pas désespérée. T’es juste paumée dans un monde où t’as pas fini de grandir et où tout est devenu compliqué trop tôt ; A 16 ans tu croyais que t’aurais tout ce que tu voudrais, servit sur un plateau d’argent, t’étais tellement conne. Tu veux ressentir quelque chose, c’est pour ça que t’as commencé à te battre, tu veux te sentir vivante, tu veux croire que si on croit pas au bonheur et qu’il nous tombe dessus alors peut-être qu’on s’en sort… Ou peut-être pas le bonheur mais plutôt la chance…

Quelques années plus tard, après avoir fait une mise à niveau en art, tu t’es barrée sur Paris pour pouvoir entrer dans l’école des gobelins. Tu dis toujours que c’est là que ta vie a réellement commencé… Avec l’indépendance, les galères et les moments de parfaite incompréhension ; Tu les voyais tous se ramener avec du matériel de pro qui coute une fortune alors que toi tu n’as pas les moyens de te payer autre chose que de l’occasion bas de gamme. Tu rages. Tu prends sur toi. Tu ne te fais pas beaucoup d’amis. Pas un seul petit copain. Mais t’es pas vierge non plus. Tu couches parfois, quand l’envie te prends de ne pas être seule cette nuit, tu ne t’offres pas à n’importe qui, tu les choisis, des personnes qui ne parlent pas. T’aimerais parfois ne pas avoir besoin de vivre dans la société et pourtant tu sais que c’est obligatoire. Tu craches dans la rue et tu fumes comme un pompier, c’est comme ça que tu es et ça dérange les gens qui te croisent mais ce n’est pas tellement grave, tu te bats. Te battre, c’est un peu comme si tu te retrouvais en face d’un mur et que tu dois le traverser. Tu souffres, tu t’en prends plein la gueule mais à la fin, t’es heureuse. Tu vois la lumière. T’as déjà fini pas mal de fois à l’hôpital à cause de tes conneries, ta mère déteste entre parler de ça et lorsqu’elle te voit sur skype avec des bleus et des hématomes, elle t’engueule ; Ca te fait marrer. Son boulot de prof lui prend pas mal de temps, elle est toujours barrée à gauche et à droite, elle n’a pas encore rencontré l’homme de ses rêves. Tu penses qu’il n’existe pas. Tu ne crois pas en l’amour. Tu crois que chacun doit trouver un jour quelqu’un, se reproduire et repartir en vadrouille mais tu comptes pas avoir d’enfant… Oh non, tu pries pour ne jamais avoir de gosses. Tu finis tes études avec juste ce qu’il faut de points, t’es sauvée. Tu décides de prendre ton courage à deux mains et tu te trouves un petit cabinet d’infographistes sympa, tu y vas aussi peu que nécessaire et tu espères que personne ne vienne te faire chier. T’as acheté tes clébards y’a genre un an, ils sont de taille presque adulte maintenant et tu les promènes dans Paris, les gens te regardent bizarrement, ils ne comprennent pas, ils sont tellement cons. Tu les emmerdes. T’es libre.

Tu sors de l’ascenseur et tu enfonces tes mains dans ta veste en cuir, tu fonces tête baissée jusqu’au cabinet. Dans la rue, des hommes te matent, se retourne sur ton passage et tu n’en peux plus alors tu décides de leur faire un doigt d’honneur discrètement, juste devant ton derrière. Tu avances rapidement. T’as toujours marché très vite. Tu rentres dans le cabinet et la secrétaire te demande gentiment si tu es le rendez-vous de 11h avec ce faux sourire qui veut tout dire. Tu hoches la tête, elle te dit de rentrer. La psychologue te regarde et soupire, elle te parle comme si t’étais une gamine, tu lèves les yeux au ciel. Pire que ta mère. « Vous savez Mademoiselle Laurent, vous avez 45 minutes de retard, c’est pas un comportement décent lorsqu’on a été forcée de venir chez le psychologue pour des troubles du comportement… ». « Je vais bien, et je vous emmerde. ». Un sourire narquois. Fin de l’histoire.
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MessageSujet: Re: NAUNAU + b*tch please.   NAUNAU + b*tch please. EmptyLun 21 Oct - 10:20

naunauuuuu NAUNAU + b*tch please. 1564138967 NAUNAU + b*tch please. 1564138967 NAUNAU + b*tch please. 1524524252 NAUNAU + b*tch please. 2763270137 
j'ose même pas te dire bienvenue, tellement t'es chez toi Benediction NAUNAU + b*tch please. 3681609067 
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MessageSujet: Re: NAUNAU + b*tch please.   NAUNAU + b*tch please. EmptyLun 21 Oct - 10:23

Je veux un lien ma choupette NAUNAU + b*tch please. 2628946855 
Ps: ton modèle de présa il est juste parfait, tu veux pas me donner des cours de css Evanoui 
Et ouais, c'est vrai que je suis un peu chez moi ici NAUNAU + b*tch please. 239769179 NAUNAU + b*tch please. 4197597986 
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MessageSujet: Re: NAUNAU + b*tch please.   NAUNAU + b*tch please. EmptyLun 21 Oct - 10:27

merci beaucoup, ça me fait trop trop plaisir NAUNAU + b*tch please. 1564138967 NAUNAU + b*tch please. 65185977 et oui, je veux trop un lien, moi aussi. entre garces, je pense qu'il y a moyen de se trouver quelque chose. j'ai ma petite idée d'ailleurs NAUNAU + b*tch please. 3997999705 NAUNAU + b*tch please. 2732560352 NAUNAU + b*tch please. 166564858 
PS : t'as fini ? dis moi quand tu veux que je déplace NAUNAU + b*tch please. 2763270137 
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MessageSujet: Re: NAUNAU + b*tch please.   NAUNAU + b*tch please. EmptyLun 21 Oct - 11:01

Ouais, j'ai fini :)
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MessageSujet: Re: NAUNAU + b*tch please.   NAUNAU + b*tch please. EmptyLun 21 Oct - 11:08

hop, te voilà au bon endroit NAUNAU + b*tch please. 2684926262 NAUNAU + b*tch please. 3997999705 NAUNAU + b*tch please. 2763270137 
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MessageSujet: Re: NAUNAU + b*tch please.   NAUNAU + b*tch please. EmptyLun 21 Oct - 14:34

BON RETOUUUUR À LA CASAAAAAA. NAUNAU + b*tch please. 1564138967 :bob: 
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MessageSujet: Re: NAUNAU + b*tch please.   NAUNAU + b*tch please. EmptyLun 21 Oct - 20:33

rebienvenuuue NAUNAU + b*tch please. 3846838978
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