Nom complet▲ Lou Taylor Laurence lieu de naissance ▲ Montréal, Canada. âge ▲ 27ans. nationalité ▲ Canadien. diplômes, études ▲ Diplômé d'une école de pâtisserie. métier ▲ Pâtissier professionnel. statut matrimonial ▲ Célibataire. orientation sexuelle ▲ Homosexuel. situation financière ▲ Moyenne. idole(s) de vie ▲ Lady Gaga et le transsexuel surnommé "Princesse Macaron" d'une boîte de nuit Parisienne... Oui ça fait pitié. N’oublions surtout pas Freddie Mercury qu'il considère comme son sauveur, le seigneur en personne. nombre d'amis facebook ▲ N'aime pas facebook. moyen de déplacement ▲ Moto. groupe ▲ La Javanaise. avatar ▲ Mathias Lauridsen. crédits ▲ Tumblr.

1 - PAPA LOOSER ▲ Mais qui est papa looser? Mon père, tout simplement. Teddy et moi lui avons rapidement trouvé ce surnom. Papa looser est une véritable source d'inspiration pour nous, c'est un personnage atypique, l’archétype du gay à tendance hétéro quand il a un  coup dans le nez.  
" Lou, j'ai baisé DEUX FOIS avec une femme, seulement DEUX FOIS. Ces deux fois c'était avec ta mère. Ahhhhh, la salooooope. Elle m'a pondu deux mioches en deux parties de jambes en l'air. Deux pédés en plus. Y a pas à dire, je préfère sucer de bonnes grosses bi..." oui en plus de ça Papa looser a la particularité d'extrêmement mal parler. C'est lui qui nous a élevé Teddy et moi, ce qui explique sans doute notre homosexualité. Difficile d'être hétéro quand votre père est en couple depuis de longues années avec un véritable Dieu et que des cassettes de porno gay trainent dans le placard du salon. Papa Looser est un père très attentionné, il a toujours été aux petits soins pour Teddy et moi. Certes, sa maladresse est parfois exaspérante, mais il n'a pas mauvais fond. Je crois que sans Ted' et lui je ne me serais jamais sorti de mes soucis de santé...    

2 - LE POIDS DE LA VIE ▲ Ma mère est donc une salope qui se fait sauter par les piliers de bar du coin et mon père une folle qui a passé sa jeunesse à danser en string sur le comptoir d'un bar gay qu'il adorait. Teddy lui est la perfection au masculin : beau, friqué, intelligent, séduisant et séropo'. Comment voulez-vous ne pas prendre du poids au milieu de cette famille de dingue? J'ai commencé à devenir une "boule d'amour" comme disait Papa Looser après ma première rencontre avec ma mère, j'avais cinq ans. Cette pute m'avait effrayé, elle était totalement défoncée à l'héroïne et puait l'alcool à dix kilomètres à la ronde. A l'époque je la trouvais juste bizarre et inquiétante... Puis, avec des mots simples pour un gamin de cinq ans, Teddy m'a expliqué pourquoi notre génitrice était aussi étrange. Après cette rencontre la moindre petite contrariété me donnait envie de me gaver à ne plus en pouvoir. A dix ans je faisais cinquante kilos (un peu moins que mon poids actuel) et à quinze ans j'avais largement dépassé la barre des cent kilos. Je n'avais que Papa Looser, Teddy et Jared, mon meilleur ami, avec qui parler de mes soucis...

3 - LES BRAS EN CROIX ▲Dernièrement le dernier clip du groupe Indochine intitulé "College Boy" réalisé par Xavier Dolan a fait couler beaucoup d'encre dans l’hexagone. Étant assez fan de ce groupe je me suis empressé d'aller voir ce clip qui faisant tant parler de lui et là ce fut le choc. Si pour beaucoup de personnes ce clip est une ode à la violence et j'en passe et des meilleures, pour moi il sert, comment dire... D'élément révélateur. Il montre à quel point l'école peut être dangereuse. J'étais pétrifié face aux images de ce garçon en train de se faire violenter et insulter par ses camarades de classe. J'avais l'impression de me voir quelques années auparavant. Les coups, les remarques, l’ignorance. La scène de la crucifixion m'a retourné les tripes. Le gamin crucifié dans cette vidéo, c'était moi il y a de ça quelques années.
Tant d'années à mordre la poussière à cause de mes soucis de poids.
A supporter le stress qui m'envahissait à chaque fois que je traversais les couloirs.
A raser les murs pour éviter les coups et blessures.
Bref, ma scolarité est synonyme de souffrance. Ces années m'ont marqué à vie, malheureusement.
Je crois que c'est la première fois que je chiale autant devant un clip... Ma sensibilité me perdra.

4 - JE NE T'AIME PLUS, MON AMOUR ▲ J'ai vécu plusieurs histoires d'amour, mais il y en a une qui m'a plus marqué que les autres. Ma première histoire, celle que j'ai partagé avec Stan. Nous nous sommes rencontrés un été alors que j'étais en vacances chez un oncle. Je venais juste de me remettre d'une opération chirurgicale consistant à me débarrasser de l'excès de peau que j'avais à cause de mon ancienne obésité. J'étais à l'époque déjà extrêmement sauvage, Stan a eu énormément de mal à m'approcher. Je le repoussais à longueur de temps, l'insultais, le fuyais. J'avais peur de lui alors que je savais pertinemment qu'il ne me ferait jamais rien de mal. Un soir je me suis enfin laissé approcher et tout est allé très vite. C'était évidant entre lui et moi, je m'en suis rendu compte dès le moment où ses lèvres ont rencontrés les miennes. A partir de ce moment nous ne nous sommes plus quittés des vacances. Je me souviens encore de ses paroles quand j'ai dû rentrer chez moi à la fin de l'été : " A bientôt mon Lou, on se retrouvera quand tu ne t'y attendras pas."
Trois semaines plus tard alors que je me rendais à la bibliothèque du centre-ville Stan est apparu. Il était là, à quelques mètres de moi, perdu dans la foule. J'ai bousculé tout le monde, fait tomber des enfants et trébucher des grands-mères pour venir me loger dans ses bras. Stan et moi sommes restés deux ans ensemble. Nous avons dû nous séparer quand j'ai commencé à faire le tour du monde pour me perfectionner professionnellement parlant. Chaque retrouvailles étaient synonyme de jour de fête.
Stan et moi c'était l'amour fou. Quelque chose de vrai et de fort que je n'ai jamais retrouvé.

5 - X-MEN ▲ J'ai un rêve, un truc peut-être absurde, mais qui me tiens à coeur. J'aimerais monter une sorte d'association pour les personnes dites "hors normes". Vous savez, ces personnes tapient dans l'ombre, qui rasent les murs, qui traversent la rue la tête basse à cause de leur différence qui les isolent du reste du monde. Que ce soit des personnes en surpoids ou anorexiques, d'autres avec des maladies ou des handicapes qui effraient les gens. Les personnes pourraient discuter ensemble, organiser des groupes de parole ou tout simplement venir se réfugier loin du reste du monde le temps de se changer les idées.


6 - YOU TAKE MY BREATH AWAY ▲ Je l'ai croisé dans un rayon d'une vieille médiathèque, lui, le seigneur. J'étais confortablement installé sur un siège, ce dernier prêt à lâcher sous mon poids. J'avais quatorze ans et je m'étais décidé à me renseigner sur l'artiste préféré de papa looser qui est Freddie Mercury. La vieille dame s'occupant de la médiathèque m'avait conseillé une biographie de l'artiste qu'elle trouvait captivante. Je me suis donc plongé dans ce livre qui m'a tout de suite scotché. Il commençait par la renaissance du maître, par sa mort. Il commençait par le début d'une nouvelle chose, une chose qu'il devait de plus en plus appréhender. Il était présenté comme un prince solitaire dans un lit devenu beaucoup trop grand. Dépeint comme un lion qui utilise ses dernières forces contre un combat perdu d'avance. Et puis la fin, le vide, le silence, l'absence de sourire. Le narrateur parle du reste de la vie de Freddie après cette introduction coup de poing. Sous mes yeux se déroulait la vie du seigneur, de celui qui n'a jamais rien lâché. L'heure de la fermeture de la médiathèque n'a pas tardé à arriver, j'ai emprunté le livre et suis rentré chez moi, plus fort que jamais. J'ai fini le bouquin en une nuit. Cette nuit fût celle où j'ai décidé de me reprendre en main.
Où j'ai décidé de moi aussi être le maître.
Où j'ai laissé le lion qui tournait en cage depuis de longues années sortir.
Où j'ai commencé à vivre.
C'est Freddie qui m'a forcé à devenir ce que je suis aujourd'hui. C'est lui qui m'a aidé à dépasser mes limites, à montrer au reste du monde que je n'avais que mon prénom d’inoffensive. Lou est passé du chat de salon gras et ennuyeux au lion prêt à tout pour arriver à ses fins, se faire respecter et aimer de ses prochains.

Je crois que je ne remercierais jamais cet homme pour le bien qu'il a fait à ma vie.


 7 - WOMEN NO CRY ▲ Si j'ai peur d'une chose, c'est bien des femmes. Quand j'étais gamin ce sont les filles qui étaient les plus méchantes avec moi, surtout à l'adolescence. Ma scolarité a été pourrie majeure partie par ces petites pestes que je déteste tant. Ma génitrice? C'est la cerise sur le gâteau, la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Cette bonne femme m'a toujours angoissé. Elle est l'archétype de ce que je crains le plus chez une femme. Au travail je supporte les femmes, je suis bien obligé. Je reste poli et souriant alors que je n'ai qu'une envie : prendre mes jambes à mon cou. Bien entendu je vois un psychologue pour essayer de régler ce problème, mais ce n'est pas facile... Quand ce psychologue est une femme. Je fais tout de même de mon mieux pour me sortir de ce calvaire, pour faire entrer dans mon crâne que toutes les femmes ne sont pas les gamines qui m'ont tant fait souffrir en étant jeune.

8 - ENJOY MY SILENCE ▲ J'ai du mal avec les gens. Je suis sauvage au possible, je n'arrive pas à aller vers mon prochain sans craindre de me prendre une remarque désobligeante voir un coup. Les séquelles de ma scolarité me pourrissent totalement la vie. Quand quelqu'un m'aborde dans la rue soit je l'ignore soit je sors les griffes et commence à lui parler sur un ton assez déplacé, agressif. M'aborder dans la rue, c'est me donner une poussée d'adrénaline des moins agréables. J'ai peur, mes mains tremblent, deviennent moites, mes jambes trembles et la tête me tourne. C'est invivable, mais personne n'est arrivé à m'aider à "arranger" ça. Même Stan qui faisait de son mieux pour me socialiser un minimum n'est jamais arrivé à m'aider.
Heureusement il y a des fois où je suis plus doux,  où la pression me lâche, où j'arrive à parler sans trop de craintes. J'espère un jour rencontrer quelqu'un capable de m'aider à devenir...Normal?

9 - SEROPO' ET FIER DE L'ËTRE▲ Mon grand frère, Teddy, est séropositif. Si ce dernier le vie incroyablement bien il en est tout autrement pour moi. Ted' est toujours à Montréal, trouvant le climat là-bas plus agréable "pour les pédés de mon genre". Je l'ai longuement sollicité à venir ici, d’emménager avec moi et continuer sa vie de tapette séropo' à mes côtés. Mais il a toujours refusé.
"Loulou, je suis tout aussi fringant qu'avant, mais il y a des choses que tu ne dois pas voir."
La distance qui me sépare de Teddy me ronge au quotidien. Il ne passe pas un jour sans que je me demande comment il va, sans que je me dise "à cette heure il doit faire telle ou telle chose" sans que j'ai envie de l'appeler pour savoir s'il n'a pas changé d'avis, s'il ne veut pas me rejoindre. Je ne suis pas amoureux de mon frangin, oula non je suis spécial comme mec, mais pas à ce point, mais il y a un lien plus fort que celui du sang qui nous unit lui et moi. Les hommes avec qui je suis sortie n'ont jamais compris cela et m'ont, en général, quitté pour cette relation qu'ils trouvaient "obscène au possible".
Devenir ami avec moi ou me fréquenter plus intimement c'est accepter la présence de Teddy, aussi envahissante soit-elle.

10- TOUJOURS PLUS LOIN ▲J'ai un véritable esprit de compétition. J'adore être le premier dans tout, être toujours plus fort que les autres. Avant je n'avais pas ce besoin de me surpacer un peu plus chaque jours, la vie me semblait fade et sans importence. Maintenant c'est tout le contraire. Cet esprit de compétition est aussi un espèce de handicap pour moi. Il est assez difficile d'être sociable alors qu'au fond on a qu'une envie : écraser son prochain et lui montrer qui est le meilleur.

Teddy, grand-frère : Lou? C'est un ange, un ange qui s'est prit de sacrés mandales dans la gueule. Il est mon petit protégé, celui que je défendrais contre vents et marées. Je me souviens encore du jour de sa naissance. Il était prématuré. J'attendais dans le couloir de l'hôpital avec notre père et puis Lou est passé, dans une couveuse. Il était relié à tant de fils, de tuyaux... C'était choquant. Dieu merci Lou a eu une enfance normale, enfin...

Bridgette, petite camarade en maternelle : Ah oui, Lou. Il était très peu aimé à l'école à cause de sa différence. Quand nous étions dans la cours de récréation Lou ne faisait rien. Il restait dans son coin, assit à nous regarder jouer les autres élèves et moi. Il était tout maigre, frêle... Je me souviens avoir sauté dans ses bras un jour où il y avait beaucoup de vent. J'avais eu peur que son pull trop large devienne une sorte de montgolfière et qu'il s'envole. C'était stupide, je sais. Puis il y a eu les vacances et à la rentrée j'ai retrouvé Lou qui avait pris énormément de poids.

Sam, camarade de classe en primaire : C'était un gros lard. Il n'arrivait presque pas à bouger. Il mangeait en cachette et était premier de la classe. Il avait tout pour déplaire et pourtant les gamines étaient folles de lui... Peut-être à cause de sa gentille, vous savez, la gentillesse propre aux gros. Je me souviens qu'on l'avait attrapé mon groupe de copains et moi, on lui avait mis des claques pour qu'il fasse nos devoirs de mathématiques. Il avait dit oui, c'était pathétique.

Jared, meilleur ami : J'ai connu Lou au collège et la première fois que je lui ai parlé je me suis dit " Wow. Quel gros tas d'amour". Ce mec a un cœur en or, il est tellement gentil, serviable... Lou a toujours été là dans les moments difficiles. Il a beaucoup souffert de son surpoids et c'est énormément renfermé sur lui-même. Lou a fini par avoir peur des gens... Surtout des filles. C'était de véritables garces avec lui. Elles passaient leur temps à l'insulter, le critiquer, l'humilier. Au final Lou n'avait qu'un ami et cet ami, c'était moi. On a continué nos études ensemble car nous avons une passion en commun : la pâtisserie. Si pour moi il 'y a rien de choquant à aimer les douceurs, pour mon Lou c'était autre chose. Un mec en sur-poids qui veut devenir pâtissier. Le clicher ultimes pour le petit peuple.

Dr. Robinson, médecin généraliste : Lou est venu me voir alors qu'il avait seize ans. Il voulait perdre du poids naturellement. D'après lui j'étais la seule personne capable à l'aider à perdre son poids en trop. Il ne voulait voir aucun spécialistes, rien. Juste moi. Nous avons donc commencé ensemble un régime assez simple. Je lui ai fait passer une batterie de tests pour savoir où il en était, les résultats parlaient d'eux-mêmes : Lou devait impérativement perdre du poids. En moins de deux ans Lou a perdu plus de la moitié de son poids... Mais son état de santé devenait inquiétant. Lou est devenu maigre. Beaucoup trop maigre.


Stan, ex petit ami : Mon Loulou... J'étais son premier petit copain... J'étais son premier tout à vrai dire. Il avait dix-neuf ans et moi vingt-deux quand nous nous sommes rencontrés. Lou était incroyablement maigre, j'avais du mal à me dire que le petit bout d'homme qui se trouvait face à moi. Les seules choses qui prouvent chez Lou la souffrance qu'il a enduré pendant de longues années à cause de ses kilos en trop sont les fines cicatrices qui ornent les endroits où le surplus de peau a été retiré et... Son caractère. Lou est si sauvage, indomptable. Il a peur des autres, il m'a été très compliqué de pouvoir l'approcher sans avoir droit à un "tu veux quoi, connard?" qu'il m'a longtemps craché au visage, même s'il savait que je ne lui ferais rien.
Je me souviens de sa première fois avec moi, il avait peur et... Moi aussi. Certes, ce n'était pas la première fois que je couchais avec un mec, mais Lou était si fragile. Il a absolument voulu faire l'amour dans le noir complet, ce qui pour moi n'a pas été facile. J'avais constamment peur de lui faire mal, de serrer ses hanches de trop, d'être trop brutale... Mais tout s'est bien passé au final... Si on oublie le fait que je suis arrivé à lui casser le bras en me laissant tomber à ses côtés comme un gros cachalot alors qu'il s'étirait.

Monsieur Bonten, professeur principal :Lou était mon meilleur élève, il est arrivé premier de sa promotion. J'ai rapidement compris qu'il pouvait être mieux qu'un simple pâtissier dans un petit village. J'ai encouragé le jeune à voyager, aller voir ailleurs ce qu'est la pâtisserie.
Voyant que Lou ne pouvait pas se permettre de voyager je lui ai payé l'intégralité de son voyage autour du monde. La dernière étape de ce grand voyage fut Paris. Apparemment il est tombé amoureux de la capitale. Il s'est fait rapidement remarquer par les plus grands noms de la pâtisserie française et travail aujourd'hui dans un prestigieux établissement. Ce gamin, c'est ma fierté.

Je voulais être le meilleur. Le mec que tu désires, qui te prend et qui te jette. Le mec de tes rêves pendant quelques heures. Ton Dieu. Le mec devant qui tu t'agenouilles, le mec que tu implores. Je voulais être ce mec pour qui tu ferais tout et n'importe quoi. Je voulais être ce qu'étais mon frère : le Dieu suprême, celui qui faisait baver tous les pédés des clubs gays de Montréal. Mais j'étais gros, moche, timide, pas sûr de moi. Et le temps a passé. J'ai pris du poids et Teddy a choppé le SIDA. J'ai traversé un moment d'anorexie, il apprenait à vivre avec la trithérapie. Finalement je suis devenu plutôt mignon, Stan est entré dans ma vie. On s'est aimé, on s'est retrouvé, on s'est perdu de vue, on s'est reperdue de vue. On s'est aimé, on s'est réchauffé et il m'a espéré. J'ai fini par voyager. Le monde n'a plus de secrets pour moi. Les toits du monde, le vieux continent, le nouveau monde, l'orient... J'ai tout vu, tout entendu. Et je suis retourné au Canada. J'ai retrouvé Stan. On s'est retrouvé, on s'est réchauffé et on s'est séparé. J'ai décidé de quitter définitivement Montréal, "elle" m'appelait, la seule "femme" de ma vie. Paris et ses lumières, Paris et son mauvais caractère. Ses courbes légères et harmonieuses, ses couleurs, ses parfums.

Je suis tout et je ne suis rien. Je suis Lou. Juste Lou.

j'aime beaucoup ce Lou. :*-*: et comme j'ai rien à redire à ta fiche, j'te valide sans aucun problème. bienvenue parmi nous et amuses toi bien.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
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Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Ella, Camel, Ana, Tiago.