► OOH LA LA PARIS.
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ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.
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 collier de réverbères.

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MessageSujet: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 1:56

azaïs sylvère de sade


nom complet ▲ Azaïs Sylvère de Sade. nom à particule pour famille en manque de reconnaissance. lieu de naissance ▲ chez les résistants. âge ▲ vingt-deux ans. peut-être mille. il sait pas compter le temps. nationalité ▲ française. diplômes, études ▲ bac de français mention très bien. étude de philo terminé. à la recherche d'un autre diplôme qui ne lui servira jamais. retarder l'âge adulte. par tous les moyens. métier ▲ il erre sans grand but dans babylone, il enchaîne les stages et les échecs. statut matrimonial ▲ une petite amie qui l'attends à lyon. un monstre blond qui ne l'attend nul part. orientation sexuelle ▲ deuxième étoile, jusqu'au matin. situation financière ▲ bien trop bonne. idole(s) de vie ▲ gérard philipe. ian curtis. david bowie. nombre d'amis facebook ▲ facebook, il n'y est plus. moyen de déplacement ▲ son fixie rouillé et sa vespa qui crachote des volutes disparates de fumée. groupe ▲ à la javanaise. avatar ▲ pawel bednarek. crédits ▲ l'absorbeuse de vie.


et j'merde tout ça tout ça


ton personnage marche tranquillement dans la rue quand une personne l'interpelle pour les besoins d'un sondage de Paris. elle vous demande depuis combien de temps il y est, ce qu'il y fait, ce qui lui plait dans cette ville, les lieux qu'il fréquente habituellement. et pourquoi Paris et pas une autre ville, comme Marseille. il a du temps devant lui, alors il joue le jeu. ▲

un discret sourire en coin qui te déchire les lèvres. non. tu n'as rien choisi. c'est babylone qui t'as enchaîné dans ses volutes de lumière et d'fioul. c'est babylone qui t'emprisonnes. elle t'entoure de ses griffes métalliques. il faut que tu la quittes. mais tu ne peux pas. c'est la magie de la capitale. obnubilé par ses sept minutes de beauté. chaque soirs. tu les guettes. ce moment d'pur synergie. entre toi et la belle. c'est paris qui nous enchaîne.

ton personnage se retrouve malgré lui, bloqué dans un repas de famille qui dure plus de temps que nécessaire. comment le vit-il ? est ce que tout se passe bien ou cela vire-t-il au règlement de comptes ? si jamais il y a peu de chance que cela arrive un jour, dîtes nous pourquoi. ▲

insultes qui restent bloqués dans la gorge. oui, j'ai bien eu mon diplôme, oui. non, je ne me sens pas prêt pour le travail, non. oui, je me sens bien à paris, oui. oui, je me suis amaigri, c'est le travail. papa, maman. non, je n'ai pas revu astraé, non. pas eu le temps. je ne suis à lyon que depuis deux semaines. c'est de ma faute, oui? blâmez-moi, oui. j'aimerais faire les beaux-arts. c'était une blague. qu'on s'esclaffe. je ne serais pas libre pour les vacances. le cap-vert. si exotique. tellement de misère. oui. trop de délinquance. et puis tous ces étrangers. non. trop compliqué. partons pour la suisse. oui. non. je ne serais pas là. je l'ai déjà dit. écoutez-moi. trop loin. trop hauts. sur leurs trônes dorées. trop près du soleils. les cristallins qui fondent. les oreilles qui bourdonnent. ça fait tout oublier, l'argent qui foisonne. je n'ai pas faim. non. je n'ai pas soif. pas besoin d'un café. je vais rejoindre de vieux amis, oui. au revoir. génial de vous reparler. oui. j’appellerai. prochain train pour paname à quelle heure ? faites moi sortir de là.

ton personnage a la possibilité de pouvoir changer de vie, repartir à zéro ou du moins, changer quelques petites choses. serait-il prêt à faire le choix de tout recommencer ou aimes-t-il trop sa vie pour en changer ? dans les deux cas, expliquez nous son choix. ▲

il aurait tout fait pour être une plume. une plume qui s'envole. folle. une plume qui tombe. qui croise le chemin d'un poète. une plume noyé d'encre. qui écrirait la beauté. un instrument magique. une ode à la majesté.

ton personnage se promène dans un supermarché lorsque soudainement, un homme avec une cagoule pointe son arme sur les clients en criant qu'il s'agit d'un hold-up. sa réaction? ▲

soupir qui filtre tes lippes. doigts bagués tapotant nerveusement sur le jean levi's. les yeux ô ciel. perte de temps. des cagoulés sur paname, c'est aussi original que des clochards avec la mort dans l'âme. tous les mêmes. emplis d'paroles violentes. aucune couilles. aucun courage. un flingue non chargé qu'il s'plante parfois sur la tempe : tu l'imagines. tu laisses sortir un léger rire moqueur. ça l'attire. tu le sens. t'as l'habitude. tu pues l'argent. ça suinte. ça dégouline. alors il s'approche. te cries d'vider tes poches. de t'filer tes bagues. tu lorgnes la montre que tu ne reverras plus jamais. vingt-et-une heure. le film de la soirée à déjà commencé. il a fini d'te dépouiller. tu peux sortir. ça te fais rien. demain, t'iras avenue montaigne et tu rachèteras toutes ses merveilles. avec ton bout d'plastique qui te rends roi du monde. toujours.

ton personnage se retrouve en plein milieu d'un énorme open house où il ne connait qu'une seule et unique personne. alcool à volonté, musique beaucoup trop forte, etcétéra. sa réaction? ▲

il courra vers l'absinthe, sa chère amie. puis il sortira, sa bouteille sous l'bras. il fumera ses havanes et ses blondes sous la lune en éclosion. puis il ira se lover dans tous les paradis plastiques qu'il pourra trouver. aspirer quelques volutes d’éternité.

ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲

il se baisse et recueille l'orphelin. cet oliver twist félin. il l'emporte, le serre tout contre son coeur. écoute ses miaulements. les deux sons, à l'unisson. ça fait boum miaou boum. c'est tellement beau. les deux petits corps fluets et maigrelets qui se réchauffent. il a trouvé son nouveau compagnon.

aoutch, ton personnage se retrouve dans la rue. pas de job, pas d'appartement et pas d'argent.. et le tout du jour au lendemain. sa réaction? ▲

il retournera à lyon. pleurer dans les pantalons griffés de son père. il a l'habitude. c'est sa bouée d'secours.

digne du titanic, ton personnage se trouve à bord d'un navire qui coule. deux choix s'offrent à lui : aider la vieille dame qui galère dans l'eau avec sa jupe au risque de mettre sa vie en péril, ou la laisser tomber et avoir l'assurance de finir sain et sauf? ▲

il aide la vieille dame. il y tient pas tant qu'ça à sa vie. autant la gaspiller pour faciliter celles des autres. puis. il aime bien les vieilles. elles ont des histoires à raconter comme si elles avaient mille ans.

ton personnage se fait offrir 20 000€ .. que s'il dénonce le crime qu'a réalisé l'un de ses meilleurs potes. sa réaction? sa décision? ▲

il rit à la gueule des policiers. c'est bas, c'est malsain. soudoyer des témoins ? on se croirait dans une série télé con marché. il refuse. comme s'il en avait besoin.

je ne suis qu'humain

prénom ▲ larissa. pseudo ▲ ton corps astral. âge ▲ sept ans. pays ▲ mexique d'extrême orient. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ j'suis presque sûre d'avoir cliqué sur le lien. suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ ex-membre ectoplasmique j'dirais. l'type de lien que je préfère ▲ le genre de lien qui te gangbangue la tête, qui te déchire les pensées et qui font couler les mots comme la pluie. ma chanson du moment ▲ odezenne et leur taxi. fauve et leur sainte-anne. granville et leur adolescent. ma fréquence de connexion ▲ inch'allah. et mon super mot d'la fin .. ▲ tu pues l'intrus, tu pues, tu pues du cul. recenser son avatar ▲
Code:
<span class="pris">Pawel Bednarek/span> ▲ Azaïs Sylvère de Sade


Dernière édition par Azaïs Sylvère de Sade le Lun 20 Mai - 0:43, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 1:58

quel gaspillage


« bats-toi comme un lion. arrive, défie, construis, instruis. plus vite que les avions, plus vite que les tornades qu’une bulle de limonade noyées dans ton bourbon. j’oubliais de te dire qu’ici il faut souffrir avec le sourire pour pouvoir devenir. ».

Tu n'es pas d'ici. Tu ne viens pas d'la terre. Trop en marge. Bien solitaire. Allô allô saturne, vous avez oublié un des vôtres. Allô allô, il est coincé là depuis plus de trois saros. Allô allô. Où sont les couteaux ? Un intrus. Une mauvaise herbe. Mise de côté. Disgracieuse. À écarter. À écarteler. À déflorer. À oublier. Bombe à retardement abandonné sur la berge. S'nourrissant d'la poudre des larmes. Elle zébrera, mutilatrice, le monde et ses alentours. Elle passera un grand coup de néant sur cette foutue race humaine en voie d'expansion. Petit kamikaze des sentiments. À approbative de l'univers. Dès le début de ta vie, t'as été qu'un objet. Un meuble qu'on trimbale. Qu'on balance. Qu'on offenses. Et tu l'laisses faire. Contre la bouche ta muselière. Protégeant tes yeux, des œillères ; ce qu'on ne voit pas n'a pas d'incidence. Amorphe. Mort vivant. Sans foi ni toi. T'es qu'une poupée d'chiffon. Un jouet. Une attraction. Amusant à détruire, à déglinguer, puis à jeter. À quoi bon jouer avec les vieux automate cassé ? La Vie, celle avec un grand V, tu la laisses passer. Elle file, là, entre tes doigts. Et tu fais rien pour r'fermer rapidement ta main. Pour grappiller ces quelques de plus. Ces quelques secondes de mort de moins. Tu t'en fous. Les images défilent en temps réel. Comme dans un train. Tu regardes le paysage monotone à travers le filtre d'la fenêtre de ton cœur. Les secondes, les heures et les minutes s'étirent. Et toi, comme un con : tu respires. Tu ne sais pas quoi faire d'autre. Pour combler l'vide. Figurant d'ta propre vie. Entre les limbes du monde réel. Coincé dans les affres de la routine. Tes qu'un cadavre en sursis, ta place t'attends à la morgue.
Mais toi. Tu t'y habitues. Au mal-être constant. T'as réussi à l'maîtriser. tu peux l'oublier, pendant quelques heures. Tu peux l'déplacer, dans un endroit de ta tête où il passera inaperçu. Tu peux le rendre invisible, incolore. Tu pourrais presque l'oublier. Ne plus l'entendre hurler. Mais. Il y en a toujours un p'tit bout, restant coincé dans ta trachée ; et il enfle, enfle. Il bloque ta respiration. Handicapé des cordes vocales. Condamné à tout garder à l'intérieur. Il en reste toujours un bout. c'est tapi là, au fond de toi. Ça fait parti d'toi. Ce petit bout e rien qui joue à cache cache dans ton intérieur. Le sang colore tes rêves. Le carmin inonde tes songes. Où tu vas quand tu pars ? Quand tu t'barres dans ton monde à toi. Celui où tu mêles la poésie et l’hérésie. Où le soleil ne brille que la nuit. Ton monde en bord de mort, en filigrane du monde réel. Là-bas, t'y es le roi. Personne n'est là pour te contredire. L'paradis impalpable. Mais La Noirceur aspire ton œuvre. La vide de sa substance. De ses couleurs. Alors tu t'obstines, à chaque fois. Reconstruire les mirages brique par briques. Tu t'évades. Tu fugues. Tu les fuis, ces putains d'malheurs qui rythment ta vie. Courant à contre-sens. Aucun espoir d'inverser la balance, de péter les rouages, ou encore d'avoir une deuxième chance. Le jeu est terminé. T'as juste à continuer sur ta lancée. Faudrait juste pouvoir crever avant d'voir le massacre arriver.

« ça me fout la gerbe de voir la merde alors je me perds dans le fond de tes yeux et je danse avec… avec les deux ».

Épaules voûtées. Côtés saillantes. Cicatrices qui zigzaguent sur ta peau. Gribouillis d'enfant. Les pastels étaient des couteaux. Dos courbé. Jugulaire marquée. Peau diaphane. Cratères carmins qui entrent en éruption sur ton front. Quasimodo des temps modernes. Pas beau. Pas beau. Pas beau. T'as envie de le briser, c'miroir. À cauchemars D'l'éclater en des milliers de petits morceaux. De le faire exploser en mes milliards de minuscules couteaux. Besoin d'une douche. Tu te sens sale, sale. Nettoyer la crasse. Qu'on l'éradique. Qu'on l'efface. En dehors comme en dedans. Pieds nus sur le carrelage glacé, une serviette t'entourant la taille pour protéger ta nudité. Tu frissonnes. Sentiment d'appréhension qui s'actionne. Tu te prépares pour aller au lycée. Comme hier et avant hier. Rien de nouveau, aucune issue. rien n'a changer. Mais pourtant, t'as toujours peur. D’affronter le monde. D'ouvrir la porte et d'hurler ''j'existe''. Tu voudrais rester chez toi. Pour à jamais. T'étourdir dans les mots, de te lover à même les syllabes, de couler ton âme entre les pages. T'as pas besoin d'autre chose. Tu veux juste lire, t'abreuver de la vie des autres. Rien ne t'attends dehors. L'univers continue sa folle course vers le renouveau. Mais, tu dois y aller, au lycée. Il faut comprendre, c'est on avenir. Aucune envie d'te confronter avec les géniteurs. Tu te tais. Tu dépenseras ton énergie ailleurs. Lassante routine qui tue la vie. L'eau coule en cascade sur ton corps. Presque apaisé. Dansez dansez, gouttes d'eau sur mon corps nus. Les larmes dégringolent. C'est le shampooing. Acide à mordre l'âme. Tu t'en persuafes. Et si t'y restait pour l'éternité ? Dans cette prison d'humidité.Ne rien voir d'autre que les gouttes d'eau qu'ont l'air de tomber du ciel. T'aimerais tant de choses. Mais pour l'instant, t'as rien. Alors tu patientes. Tu t'allongeras jusqu'à ce que les choses changent. Lâche, stupide, poltron. Sale con. L'eau chaude est épuisé. Ton bus va bientôt passer. Tu te prépares à la va-vite, fais attention à ne croiser aucun miroir, t'attrapes ton sac de cours, puis tu t'en vas. La boule qui t'arrache le foie. L'appréhension quotidienne. Routine. Les écouteurs à fond. Et tu t'oublies dans les accords. Ça pulse. Boum boum. La guitare, les chœurs, ton cœur, à l'unisson. Le temps d'trajet n'est pas assez long. Ça existe des routes à l'infini ? Tu dois sortir. Les jambes tremblantes et le souffle court. Le vent fouette ton visage. Respirer. Expirer. Tout faire pour être invisible. Ne pas se faire remarquer. Tu commences à marcher, la tête rentré entre les épaules. Tu regardes les gravillons sous tes pieds. Toujours la musique dans ta tête. Tu te sens presque bien. T'as l'impression de flotter. Les yeux fermés. Tle chemin dans l'cœur. Comme un aveugle. Pas besoin de voir pour avancer. C'est comme si tu marchais sur un fil. Équilibre précaire. Mais. Parfaite fusion entre toi et l'extérieur. Funambule en carton. Marchant sur c'fil d'Ariane en béton. L'impression d'être observée. Tu rouvres tes yeux et regarde autour de toi d'un air effarouché. Sourire. Soleil. Cliché. Pub colgate en contreplaqué. Dents trop blanches. Sourire trop parfait. Le cœur qui tambourine dans ta poitrine. Boum Boum. C'est pas vrai. On peut pas t'adresser quelque chose d'aussi beau. Un bref hochement de tête, puis tu t'en vas. T'as du te tromper. Tu te retournes. Ne plus y penser. Puis une voix t'apostres. hey ! azaïs, c'est ça ? comment les gens font pour respirer déjà ?

« ça dure depuis tellement longtemps, 
je sais pas comment tu fais pour dérouiller autant.
même si je crois quand même, qu’à la longue, ça t’a un peu abîmé. en dedans 
».

Les paillettes consumées de l'espérance. Les scories inutiles de ton innocence. Le feu ardent, brûlant, cuisant. Fluorescent /incandescent / adolescent. Ton corps brisé. Taché. Vicié. Destruction programmée. Bombe à retardement dans le vide. Tu vas bientôt imploser. Le monde devient folle. Il dégringole. Son corps sous le tien. Le mélange de paradis plastique qui jouit dans tes veines. Tes halètements. Les cris que tu voudrais réprimer. Y avait sa faim insatiable, de ton corps. De t'le briser. Y avait cette sensation ovni ; dégoût mêlé à la passion. Plaisir mêlé à l'horreur. C'besoin et cette terreur. Maelström de sentiments. Merde. T'es encore un enfant. Amiante salé qui coule de tes yeux. Puis. Y avait ce sourire. Narquois, en coin. Satisfait de t'voir pleurer. Faiblesse, impossible de lui résister. Et bordel. Y avait l'anamour. Dégueulasse, douloureux à en gerber. Tu l'aimais. Comme la sensation du métal aiguisé sur ta peau. Comme t'aimes voir ton sang doucement couler, onduler. Tu l'aimais comme sentir ta gerbe remonter, vers ta gorge, refluer. Tu l'aimais comme une bouffée de cigarette, tes poumons enfumés. Tu l'aimais comme tout ce qui te fais crever. Comme tout ce que tu devrais arrêter. T'étais sous sa coupe. Pantin désarticulé. Il maniait les cordes, te contrôlait. T'étais son expérience. Son champ d'mine. Punching-ball grandeur nature. Il t'as façonné pour que tu puisses contrer ses coups. Pantin taillé dans le bois brut de la souffrance. T'étais son clébard. Fidèle et naïf. Un connard de cabot. Tu remuais la queue au moindre de ses désirs. Ta laisse entre ses mains. T'aurais avalé des lames de rasoirs pour lui. T'aurais fisté dieu, à sa demande. Tu lui aurais mâché la lune, pour la recracher en poussière d'étoiles à ses pieds. T'aurais danser sur des braises. T'aurais envahi Tombouctou. Brave toutou. Mais t'en redemandais. Manque. Besoin. Gravés dans ton cœur ces mots damnés. Mais, tu te sentais relié à lui grâce à un fil invisible, insaisissable, indestructible. Il y avait cet espèce de code tacite entre vous deux. Les limites c'est pour les cons. Foutons nous allègrement de nos vies de merde. Faisons taire les bruits du monde. À ses côtés tu te sentais grand. Tu te sentais existant. Immortel. Comme portés par une force éternelle. Tu te sentais Dieu. Maître du chaos. Pas de chance, connard, ton rêve il était déjà KO. Parce que ton bonheur, il était artificiel mon ange. C'était rien qu'une illusion. Une sacrée belle illusion. Une putain d'belle douleur. Il voulait juste te ken. Te tordre le cœur. Il t'as transformé en loque. Réduit en poussière les nous. Déglingué ta vie. T'as encore sur l'épiderme, la brûlure de ses doigts. t'as encore sous la peau les douleurs dégueulasses de ses mots. L'oubli. Tu cours après. Insaisissable trésor. Tu l'cherches mais il te fuis. Introuvable. Inodore. Incolore. Derp. Il sera toujours dans ta tête. Il aura toujours sa place. Condamné. Tes yeux le chercheront toujours dans l'obscurité. Retrouver son visage en filigrane. Poursuite d'un songe. Addiction à un mirage. Masochiste des sentiments. Même son fantôme te meurtri la vie. Tu voudrais tant l'oublier. Cracher une bonne fois pour toute l'acide. Le reléguer à l'état de néant. Mais son image flotte dans tes pensées. Psychédélisme envoûtant de son sourire. Oublier. Oublier. Éclater ton crâne entre deux pierres et sentir les sentiments s'envoler. La douleur évacuer tout le reste. Expiation par la souffrance. Tyran. Despote. Tu t’oppresse. Tu te jettes dans le four. Tu voudrais rêver, comme avant. Mais il t'as rien laissé. T'arrives plus à t'évader. Dans ton cortex, plus que le vide. Le noir. Le sombre et le carmin, qui se mêle au sinople rageur de tes cris silencieux. Idéal qui n'est plus. Rêves avortés. Espoir mort né. Emprisonné dans les limbes de ton cortex défoncé. Cric crac boum. Et t'as tellement mal, putain. Tellement mal. Papillons d'aciers dans l'estomac. Leurs ailes sont coupantes, aiguisés, affûtées. Créés pour tuer. Elles te cisaillent les tripes. Les boyaux. Les chaires. Illusions. Intérieur en charpies. Bouffé par des papillons imaginaires. L'absurde rythme ta vie. Alors, tu récites son prénom comme une litanie. Encore et encore. Amère symphonie.


« on aurait pu construire. écrire des poèmes sur les murs. faire un potager du champs d’mars. noyer tous les flics dans la seine. on aurait pu arrêter d’boire. ouvrir les cages des animaux. on aurait pu s’ouvrir les veines. et paris serait beau. ».

Miasme fiévreux qui te fais sursauter. T'ouvres les yeux. La douleur t'as réveillé. T'as la tête encore dans les songes, tu sais pas où tu es. Tiens, y a une silhouette avachie dans tes bras. Elle bouge. Le cadavre est vivant. Des cheveux d'or qui dansent sur l'oreiller. Au rythme suave du vent. Des cils de paille, qui renferment le trésor de ses cristallins. C'est ta vision d'la fin du monde. Beauté terminale. Un silence à tordre l'âme. Sa respiration brise l'aphonie. Dans ses traits, la plus fabuleuse des galaxies. Étoiles de platine. Éclipse. Éclipse parfaite. La lune et le soleil en fusion. La lumière et l'ombre. Un arc-en-ciel qui s'allume et qui clignote. Mélopée monotone de son souffle. Boum boum. T'observes ce spectacle, presque avec tendresse. Oisillon chétif entre tes bras. Ivre. Ivre du bleu pâle de ses yeux invisibles. Chimères divines. Ses chaires sont-elles de verre ? Tu serres sa main un peu trop fort. Talisman naïf. Gris-gris inutile. Il te tue les yeux. Et c'est là que tout s'enchevêtre et s'entremêle. La joie et la tristesse. Le transparent et l'opaque. L'infini et l'éphémère. Les cercles trop parfaits et les triangles rageurs. Sa peau sur la tienne devient cloques et ecchymoses. Ô saoul de douleur. Ô enivré d'artifices. C'est ton corps qui se meure à chaque instants. Vengeur rageur. Tic tac. Boum boum. Hey gars, t'as donc peur de rien ? T'as pas peur des monstres qui font froid dans l'dos ? T'as pas peur de t'faire dévorer les os ? T'as pas peur du temps qui passe ? Des souvenirs qui s'effacent ? Des maux qui durent des saros ? T'as même pas peur de lui ? Bien sûr que si. Et peur, aussi, des fils que t'as dans les épaules. Relié à la manette qu'il tient dans ses mains. Pantin. Semblant de contrôle. Son emprise, douce comme de la soie. Supernova des sentiments. Ça fait combien d'temps que tu joues à ce jeu malsain ? Tu t'y brûles les ailes. Pourtant, t'as presque réussi. À l'égoûter d'la vie. Toile vierge que t'as raturé et déchiré. Il était sans souvenirs. T'en as créé. De bons comme de mauvais. Tout faire pour le regarder sombrer. Les rôles se sont inversés. T'es devenu le chasseur. Carnivore. Tu veux l'dévorer. Te gaver de ses larmes. le faire pêcher. Il aura pas ses droits au paradis. Il t'suivras en enfer. Vos deux corps enlacés, léchées par les flammes envoûtantes de l'empire du mal. Ça sera presque sexuel. Plaisir charnel. Transformé en énorme plaie luxuriante. Même dans la mort, être accompagné. Autophobie avancé. Angoisses qui pourrissent le temps et accélèrent la déroute. T'aimerais te rendormir, éviter de penser. Mais Morphée est en grève ; t'essayes de te lever -pas l'réveiller. Tu te tires des draps et tu marches vers la salle de bain. Envie de gratter ta peau jusqu'au sang. Corps impur. Ton amour, ta haine. Il te reste plus qu'ça. Dire que tu pensais être guéri. Ça existe la mort pendant la vie ? L'eau fond sur ton corps. Apaise le feu que t'as sous la peau. Tu sais pas quoi faire. T'as perdu l'contrôle. Tes larmes. Elles coulent. Malgré l'onde de tristesse qui t'secoue, tu vois bien qu'les gens vivent à l'extérieur. C'est l'printemps et la nature est en rut. Parce que l'asphalte se réchauffe et que les oiseaux, avec leurs ailes nacrés, recommencent à chanter. Et ta renaissance à toi, elle arrive quand ? Et elle se cache où, la vie, cette antique catin ? Tant de questions. Tourbillon dans ta tête qui en absorbent les réponses. Vide abyssal. Présent à l'imparfait. L'eau est froide, pourtant elle te brûle la peau. T'as même pas la force de te dégager. Faire corps avec la glace. Vomir la douleur. Elle n'existe pas. Tu ressens rien toi. Rien, ni personne ne te brise. T'es intouchable. Armé jusqu'au dents. T'as les armes en toi. Kit de survie pour un monde de merde. Armure de kevlar autour du cœur. Rongé par l'acide de ses rires. Soupir. T'as envie d'vomir. T'as trop inhalé d'volûtes de réalité. Tu veux hurler. Mais tu t'retiens; faut pas le réveiller. Tu veux sortir sans avoir à l'affronter -fuir. T'as arrêté l'eau et tu t'habilles en vitesse. Tu pries pour qu'il entende pas tes pas, ni l'bruit de ta clé dans la porte. Tu pries pour qu'il e t'apostrophes pas. Pour que les bras de morphée l'enlace trop violemment. Mais, il faut croire que dieu ne t'aimes pas. Il est dans le salon. Les jambes croisées, regardant l'affligeante situation de babylone au jt. Il ne t'attends pas. T'en serai presque déçu. Il n'esquisse pas un mouvement à ta vue. Même pas surpris d'te voir près à partir. Il connaît tes habitudes. T'ignores. Alors tu pars, vêtu de la cape noire de ta déception. Il s'en fiche au fond, de ta présence. Un déchet, un encombrant. Tu t'en vas. Le ventre en bouillie. Dehors. t'es seule encore. Le vent te souffle sur le visage. Danse avec tes cheveux. Rafraîchis ta peau. Exfolie l'brouillard de tes sentiments. Tu marches. Tu te fonds dans le jour.  Et comme un refrain qui tourne et tourne. Comme un mélopée infini. Comme un peur écrasante. Comme un demain qui jamais ne finit. Comme une éternité mortuaire. Comme une morgue à ciel ouvert. Comme une brûlure d'acide éphémère. Comme la fin d'une aventure dans l'air. Comme son étrange sourire qui file dans l'air. Comme une silhouette déjà à terre.
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 2:08

rebienvenue toi collier de réverbères. 2684926262
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 4:05

Bienvenuuuuuuuuuue moh
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 7:48

rebienvenue collier de réverbères. 713858961
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 8:14

Bienvenue à toi Very Happy
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 8:55

tu sais ce qu'il te dit, le monstre blond ? Arrow
non en vrai, je t'aime bien quand même collier de réverbères. 2684926262 pis, pawel est juste magnifique collier de réverbères. 1564138967
j'me lasserais jamais d'lire et relire ta fiche, en long en large et en travers, j'vais bientôt être capable d'la réciter si ça continue collier de réverbères. 277638789
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Victor Trompette
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 10:26

fauve et granville Evanoui
rebienvenue ! ta fiche est belle.
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 10:57

Bienvenue à Paris Razz
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Louise Toscan du Plantier
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✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique.
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 11:39

Bon retour. collier de réverbères. 3846838978 C'est toujours aussi bien écrit. collier de réverbères. 2763270137
(J'sais que t'as pas fini ta fiche, mais au cas où, tu as bouffé une partie du code pour l'avatar.)
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 11:45

rebienvenue parmi nous ♥
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 12:34

Bienvenue par ici Razz
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 12:38

fauve.

rebienvenue Razz
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 12:47

j'suis sarbacane, j'suis baobab, toi arbre à canne. JE TE BAISE.
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Ella Maresquo
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 21:30

bienvenue parmi nous. collier de réverbères. 2684926262
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptySam 18 Mai - 23:01

    Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche collier de réverbères. 2176505670
    beau gosse que je ne connaissais pas collier de réverbères. 891098728
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptyDim 19 Mai - 12:45

welcome here. collier de réverbères. 2176505670
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptyDim 19 Mai - 17:36

naïs. et remerci, toi. collier de réverbères. 2684926262 tiens, fan de guerilla poubelle ? collier de réverbères. 2628946855
fleur. meeeeeerciiiiiii. moh
aelan. très beaucoup merci. collier de réverbères. 713858961
cyprien. merci à toi. collier de réverbères. 107161247
derp. il dit "je t'aime et je te vénère" le monstre blond. collier de réverbères. 2684926262
hinhinhin. c'est réciproque. (azi ça me rappelle la chanson de ben l'oncle soul "j'te connais par coeur, en long en large en travers petite soeeeur -> nous sommes d'accord : c'est illégal collier de réverbères. 2684926262) mais merci. ça me touche dans le tréfond d'mes moi. collier de réverbères. 2628946855

théotime. c'est bien le poème insulte dans ton profil, je n'me trompe pas ? et puis les chansons d'amour dans ta présentation. et puis référence à laurence anyways pour ton titre ? en plus on a les même goûts de la musique. moh épouses-moi. steuplait.
hermès. merci. moh
sephora. oh merci, jolie. quelle buse je suis. j'ai changé, c'est tout bon là, je crois. collier de réverbères. 713858961
joanne. bien merci. collier de réverbères. 1564138967
capucine. merci à toi. collier de réverbères. 239769179
luàna. on les appelle dieu par chez moi.
dieu en mieux.
merci. collier de réverbères. 2628946855

ali. toi tu connais les baills, negro. collier de réverbères. 2684926262
ella. gracias. collier de réverbères. 713858961
plum. elle est mignonne zippo. merci. :*-*:
pauline. cimeeer. collier de réverbères. 3681609067
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptyDim 19 Mai - 17:42

les baills, c'est la vie.
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Victor Trompette
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptyDim 19 Mai - 17:53

aimons-nous Evanoui
c'est bien Malzieu, c'est bien Honoré, c'est bien Dolan ! tous des Dieux.
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptyDim 19 Mai - 18:11

Bienvenue collier de réverbères. 2684926262
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptyDim 19 Mai - 18:15

Azaïs Sylvère de Sade a écrit:
naïs. et remerci, toi. collier de réverbères. 2684926262 tiens, fan de guerilla poubelle ? collier de réverbères. 2628946855

c'est toute mon adolescence guerilla poubelle. collier de réverbères. 277638789
d'ailleurs, ça m'a surpris de voir ma signa dans tes citations.
je pensais pas que ça s'écoutait toujours.
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptyLun 20 Mai - 0:50

ali. j'ai jamais su ce que ça voulait dire, d'ailleurs.
mais ça parfait mon aura sistah/gansta/michtonneuse/jogging adidas-chaussettes. tout ça.

théotime. oui, j'accepte qu'on s'éprenne. collier de réverbères. 2628946855
non. dieu est nul par rapport à eux. c'est qu'un sale barbu qui regarde le massacre de là haut. eux, au moins, ils servent à un truc : ils savent nous donner la beauté. l'plus canon des supers-pouvoirs.

matteus. merci. collier de réverbères. 713858961
naïs. c'est mon côté adoratrice des groupes toxicos/gauchos/marrants. collier de réverbères. 277638789
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MessageSujet: Re: collier de réverbères.   collier de réverbères. EmptyLun 20 Mai - 2:35

BIENVENUE SUR OLLP



je confirme que t'aime te faire du mal, à mélanger les deux formulaires. collier de réverbères. 277638789 anyway, j'ai rien à redire à ta fiche. tout est nickel alors j'vais pas te faire attendre plus et te valider. rebienvenue à la maison et bon jeu. collier de réverbères. 3846838978

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent. collier de réverbères. 3846838978

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ► on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ► i have an idea.
flood ► fait parti de la famille !
chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
mises à jour ► se tenir au courant.
guide d'ollp ► ne pas se perdre.
guide de paris ► rester dans la réalité.
parrainage ► se faire aider.
mini intrigues ► mets du piment dans ta vie.
jeu des équipes ► ta team a besoin de toi !
il parait que ► les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ► je facebook, tu facebook.

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous. collier de réverbères. 3846838978

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi. collier de réverbères. 2684926262

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad. collier de réverbères. 3681609067
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