et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo)
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Sujet: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 18:02
apolline de ronsard
"[Apolline] c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. Elle pense qu'elle va être [Apolline]tout à l'heure, qu'elle va surgir soudain de la maigre jeune fille noiraude et renfermée que personne ne prenait au sérieux dans la famille et se dresser seule en face du monde, [...] . Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre." JEAN ANOUILH - ANTIGONE
nom complet ▲ hérité de mon père, personne ne s'arrête dessus. mon nom est inconnu est doit le rester. je veux qu'on m'oublie, je ne veux pas qu'on se dise "ah oui, apolline." je veux qu'on se dise "elle est toujours en vie?" lieu de naissance ▲ à paris. âge ▲ les rides au coin de mes yeux ne font pas mes vingt-et-unes années, mais mon sourire m'en donne dix. nationalité ▲ française, même si j'aurai souvent aimé être polonaise, ou hongroise, ou allemande, parce que ces jeunes filles là sont belles, et dansent bien. diplômes, études ▲ étudiantes en lettres à Sorbonne, même si Dieu sait combien j'aurai aimé faire de ma vie un ballet. métier ▲ aucun. statut matrimonial ▲ je n'ai pas le temps d'aimer. je dois d'abord réussir à m'aimer. orientation sexuelle ▲ homme ou femme, qu'importe, du moment que j'aime. situation financière ▲ on se débrouille pour se payer des broutilles qui encombrent. idole(s) de vie ▲ aucunes. nombre d'amis facebook ▲ une centaine, tous aussi pathétiques les uns que les autres. moyen de déplacement ▲ mes petites jambes fébriles, le bus, le métropolitain, et souvent, mes rêves. groupe ▲ les roses, les plus beaux, l'hymne à l'amour. avatar ▲ charlotte free crédits ▲ hipped.tumblr
dix points sur ton personnage
famille ▲ j'ai toujours aimé ma famille. j'ai eu un frère, un père, et une mère, et fort heureusement, personne n'est mort. je pense sincèrement n'avoir jamais haï aucun d'eux mis à part mon frère. je le hais injustement, c'est sans doute la personne la plus aimable au monde. j'habite chez lui justement, officiellement en tout cas. mais je le trouve trop présent, trop là, trop... attaché. je m'en veux parfois de faire du mal à ceux qui m'aiment. la danse classique ▲ j'en ai souffert. mais j'ai avant-tout adoré la danse classique. j'ai adoré, et détesté la danse classique. c'était ce qui m'aidait auparavant. et puis ensuite, j'ai détesté ce monde si renfermé, si stricte, si cruel. l'exigence de la perfection, c'était si tuant. on m'a refusé à l'opéra de paris, parce que je n'avais pas la corpulence requise. et j'en ai souffert, réellement, et j'en souffre encore de ne pas être ce qu'on attendait de moi malgré tout. anorexie mentale ▲ j'ai tellement souffert que j'ai complexé jusqu'à ne plus manger. petit à petit, la nourriture m'a dégoûté. je ne pouvais plus supporté la vue des aliments. je ne mange rien, me contente de coupe-faim, parfois je grignote un gâteau mais la plupart du temps, je ne mange que pour faire plaisir. l'amour ▲ ah l'amour. quelle triste invention. ça vous prend le coeur, le fend en deux, le compresse un peu, le lance loin loin, et vous le rend en trois milles morceaux. le pire, c'est l'amour disparu. vous savez, ce fantôme qu'on aime toujours un peu, mais qu'on ne voit pas. mon fantôme à moi s'appelle Raphaël. et mon fantôme à moi m'a fait plus de mal que l'amour. aidée ▲ raphaël, tiago, najia, (...), mon médecin : tous ont eu un but commun , me faire manger. peut-être qu'un jour j'y parviendrai avec autant d'aide, qui sait. discrétion ▲ personne ne me voit, cachée derrière mon simple air de satisfaite, personne ne remarque que je suis mal. même le fait que je ne sourie jamais ne choque personne, tout simplement parce que je fais parti du décor. il suffirait que vous fassiez attention à moi deux secondes, et je serai perdue, désorientée, j'essaierai de comprendre sans cesse pourquoi quelqu'un m'a regardé. soirées noires ▲ le soir je ne dors pas. je n'aime pas dormir, parce que je n'aime pas me réveiller. le soir je peux rester chez moi, avec mon chaton (que j'ai appelé BigMac, au passage), avec un film vieux comme le monde, parfois c'est un western, une autre fois c'est une comédie romantique muette, l'autre fois c'était Harry Potter. il m'arrive beaucoup plus fréquemment de sortir, soit avec des "amis", soit seule. plus souvent seule qu'accompagnée. je ne sais jamais où je vais, j'ai toujours l'impression de m'enfuir. césar ▲ mon frère s'appelle César, c'est un amour. je ne pouvais pas vous parler de moi sans parler de lui. c'est la personne la plus incroyable que jamais personne au monde ne puisse connaître. contrairement aux autres, il n'a pas cherché à me faire manger. il m'a soutenu dans chacune de mes démarches. même les plus stupides. je me souviens même une fois, il n'a rien mangé pendant deux jours pour me prouver que c'était un peu con. je dors chez lui. seulement j'ai toujours peur qu'il ne rentre pas, parce que c'est comme un appui, un besoin, alors je préfère dormir chez d'autres gens, parce que j'ai peur d'avoir peur. possessive ▲ je tiens trop rapidement aux gens. ne serait-ce que pour un sourire d'une certaine personne, je pourrai mourir. ça paraît certaines fois ridicule, mais le plus souvent, ça fait mal, très mal. je fais avec, je me dis que de toute façon, je n'aurai jamais dû m'attacher, mais ça continue, ça revient, ça me fous les jetons, je chiale et je ne mange plus. voilà. lose yourself to dance ▲ j'ai tenté deux fois de me tuer. ça a toujours échoué. je n'essaierai plus, j'y arriverai.
l'heureux propriétaire
prénom ▲ lalaina pseudo ▲ astéroide vagabonde âge ▲ treize ans pays ▲ france j'ai connu ollp grâce à .. ▲ google suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ un membre (ex de rien du tout, j'ai toujours aimé ollp :roger: ) l'type de lien que je préfère ▲ farfelu, qui fait évoluer, et qui est intéressant ma chanson du moment ▲ c'est beaucoup trop demandé. je dirais impossible de shontelle mais cover by james arthur. ma fréquence de connexion ▲ 3/7 mais en ce moment ma connexion internet dikoune. et mon super mot d'la fin .. ▲ PUTAIN CHU TELLEMENT HEUREUSE DETRE SUR OLLP LES COPAINS recenser son avatar ▲
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<span class="pris">CHARLOTTE FREE</span> ▲ Apolline de Ronsard
Dernière édition par Apolline de Ronsard le Lun 20 Mai - 20:33, édité 7 fois
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Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 18:04
L'HISTOIRE DE MA VIE
7 JUILLET 2004
On se grandit en tirant sur le cou, baisse les épaules Camille. Grand jeté en tournant, petite course, passage en grande quatrième, plié, pirouette et pose finale. (...) Bien, bravo à toutes les filles. C'était notre dernier cours, je vous félicite. Apolline je peux te parler ? Je souris en acquiesçant, puis retira mes demi-pointes avant de rejoindre mon professeur. La nouvelle qu'il m'annonça retira dès l'instant mon sourire.
" L'école va fermer Apolline. L'effectif est trop petit, tu comprends que 5 élèves dans une classe n'est pas suffisant, surtout pour 10 classes. On m'a demandé de cesser mes cours pour l'année prochaine. Cependant, tu as un niveau exceptionnel Apolline, et je veux vraiment que tu ailles t'inscrire à l'Opéra de Paris, tu as tout ce qu'il faut pour y entrer, j'en suis persuadé. "
Mes yeux brillèrent, humides. Je tenais à cette école, et surtout à ce professeur. Sans oublier mes camarades. Je ne comprenais pas vraiment en quoi le petit effectif gênait. Tout ce que je savais, c'était que c'était fini. J'ai donc serré le vieil homme dans mes bras puis une fois aux vestiaires j'ai annoncé la nouvelle aux autres. Ce que je ne savais pas, c'était que les années qui suivraient seraient les plus difficiles de ma vie.
SEPTEMBRE 2004
Ma mère m'accompagnait, j'avais besoin de soutien. Il était très tôt, 8h30. Une jolie dame toute fine nous fit entrer chez la directrice. Elle m'expliqua en clair ce qu'on attendait de moi et me demanda si j'étais sûre de mon choix. J’acquiesçais, heureuse d'être ici. Puis on me fit entrer chez l'infirmière de l'école, pour me soumettre à des test pour vérifier que j'avais bien le corps qu'ils attendaient.
Ce fut le pire rendez-vous de toute ma vie. " Je suis désolée mademoiselle, mais vous avez un IMC supérieur à celui qu'on exige. Vous ne pouvez pas suivre de cours ici. "
C'était fini. Plus rien. Tous mes complexes jusqu'ici inexistants firent surface, et me tuèrent à petit feu.
De retour chez moi, en pleurs, ma mère ne sachant que dire, César me voyant décomposée me serra fort et me dit que ça n'était pas grave, qu'on trouverait une autre école de danse pour moi, que j'étais quand même douée, et que ça n'était pas de toutes petites erreurs qui faisaient de moi une mauvaise danseuse. Discours incroyables pour un garçon de 12 ans. Et j'ai répondu affreusement mal : Qu'on me foute la paix. Y a plus de danse, c'est fini. Je vous en foutrez moi des kilos en trop. De là, le cauchemar a commencé.
Tout débuta par un simple dégoût des aliments gras. J'avais perdu un peu de poids. Mais pour moi, ça n'était pas suffisant, alors j'ai arrêté de manger. Comme je n'avais pas été prise à l'Opéra, j'ai dû prendre des cours normaux dans un collège normal, avec des gens normaux aux IMC normaux.[
Je n'avais pas envie de me faire d'amis, et je n'avais pas envie de m'en sortir. Mes bulletins étaient désastreux, et mon corps malmené. On voyait mes côtes. J'ai plusieurs fois dû aller chez l'infirmière scolaire, mais je ne suivais aucun de ses conseils, je n'avais pas envie de grossir. Malgré mon antipathie incroyable, j'ai fait la connaissance de Raphaël Maugendre. Un garçon mignon, voir beau, que je pense toutes les filles auraient voulu à cette époque. Grâce à lui, grâce à son visage d'ange et son caractère à l'époque parfait, j'ai recommencé à manger. Oh ce n'était rien, deux trois grains de riz par-ci par-là, une demi pomme de terre, mais c'était déjà ça. Je me suis fait plus d'amis à partir de ce moment-là. Comme si la nourriture avait un pouvoir. J'ai connu Tiago. Une personne formidable. J'aurai peut-être dû faire plus attention à lui.
Puis en cinquième, j'ai vécu le rêve de toutes les autres filles, je suis sortie avec Raphaël. Certains nous qualifiaient des plus mignons, d'autres du couple de l'année. Aujourd'hui on appellerait ça des fouteurs de seum. Mais à l'époque, l'amour était bien plus mignon. Puis tout allait bien, on vivait notre vie à nous, jusqu'au lycée.
SEPTEMBRE 2008 Le lycée ne me faisait pas peur, j'avais repris un poids normal, j'avais sorti la danse de ma tête, César et Tiago étaient dans ma classe, tout semblait parfait. A un détail prêt: pas la moindre trace de Raphaël. J'ai alors perdu la raison. Je passais mon temps à l'appeler, sans avoir de réponses. Je l'harcelais de messages vocaux ou écrits. Je lui envoyais des centaines de lettres, j'allais chez lui après les cours, je passais la nuit devant chez lui même parfois. Mais rien, pas le moindre Raphaël. J'ai fini par croire qu'il me détestais. Alors j'ai de nouveau arrêté de manger.
Mon poids entreprit une chute libre. J'étais finie, je le suis encore.
Un jour c'en était trop. César n'était pas rentré, il était en voyage scolaire, mes parents dormaient. Alors j'ai fait comme d'habitude, je me scarifiais. Mon bras était entièrement occupé par des cicatrices immondes. Mais ce soir-là, c'en était trop, je ne tenais plus. Je me suis ouvert les veines. Manque de chance, mon père se rendait aux toilettes quelques secondes après, et il entra dans ma chambre pour vérifier que mes volets étaient fermés. Moi qui était si proche de la mort, j'ai vite dû atterrir. J'ai passé quelques jours à l'hôpital, et une fois sortie, tout le monde n'a plus cessé de me surveiller. Quelle atmosphère pesante.
L'année suivante, j'ésperais encore que Raphaël soit là. Il n'était pas dans ce lycée, et ne le serait jamais, j'en avais presque conscience. J'en avais assez d'exister seule sans Raphaël, sans compter que de petites imbéciles me rappelaient souvent que Raphaël n'était pas là, jalouses de ma relation avec lui. J'ai haï la terre entière.
Alors une deuxième fois, c'en fut trop. Cette fois, j'ai essayé après les cours. J'ai marché à une allure normale, pour que personne ne se doute de rien. J'ai dit à César que j'allais m'acheter à boire que je rentrerais après. Il n'a rien dit, simplement de faire attention à moi. Ce que je n'ai pas vu, c'était Tiago. Je comptais sauter dans la Seine du haut d'un pont, c'aurait été une belle fin. Tiago était au courant pour ma première tentative, César lui avait dit, sachant que Tiago était la personne qui m'aidait le plus après lui. Alors peut-être que lui n'avait pas oublié de me surveiller. Je crois qu'il a couru, je n'en suis pas sûre. J'étais assise sur le rebord du pont, j'avais le coeur qui battait vite. Et ma main froide et maigre fut saisie par le garçon. Tiago. J'ai pleuré, je ne voulais pas qu'il vienne, mais je voulais quand même. Je me suis retournée, et j'ai posé mes pieds sur le trottoir. Arrête Apolline, ne recommence pas. Je n'ai plus jamais recommencé, je ne savais pas que ça pouvait faire autant de mal à quelqu'un. Ce que je ne savais pas non plus, c'était que Tiago en pinçait pour moi. Je ne l'ai jamais vu, aveuglée par ce cher Raphaël. Je m'en veux toujours aujourd'hui.
Mais quoiqu'il en soit, aujourd'hui je suis quelque peu heureuse, du moins j'arrive à sourire. J'ai écouté mon médecin et recommencé à manger un peu, j'ai pris un kilo en un an, et tout va un peu mieux.
Dernière édition par Apolline de Ronsard le Lun 20 Mai - 20:29, édité 1 fois
Louise Toscan du Plantier membre
✧ ÂGE : vingt quatre ans. ✧ JOB : éleveuse de chats. ✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique. ✧ MESSAGES : 3600 ✧ HERE SINCE : 27/10/2012
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 18:38
oh oui, les roses sont les meilleurs. bon retour.
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Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 18:45
oui oui oui
merci beaucoup Sephora
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Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 19:20
Rebienvenue
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Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 20:14
Bienvenue à Paris
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 20:42
toi, toi, toi. bon retour à la maison. et j'ai hâte de te lire. :*-*: pis, t'es belle.
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 21:04
bon retour '-'
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 21:08
merci beaucoup les copains
Laurie, merci beaucoup j'ai commencé à lire ta fiche, ton Tiago est tellement parfait
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 21:33
Bienvenuuuuuuuuuuue
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Ven 17 Mai - 21:45
bienvenue parmi nous.
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Sam 18 Mai - 7:57
bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Sam 18 Mai - 8:26
Bienvenue parmi nous
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Sam 18 Mai - 10:08
merci tout le monde
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Sam 18 Mai - 12:25
rebienvenue ta fiche promet
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Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Sam 18 Mai - 12:41
merci toi
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Sam 18 Mai - 21:58
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Sam 18 Mai - 22:58
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche t'as free, t'as tout compris
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Sam 18 Mai - 23:25
welcommeuuuhh et bonne chance pour ta fiche
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Dim 19 Mai - 18:13
Bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Lun 20 Mai - 21:07
BIENVENUE SUR OLLP
jolie histoire, jolie fiche et j'suis fan du chat. (les chats sont nos amis sur ollp de toute façon)
T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.
Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.
Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad.
Invité Invité
Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo) Lun 20 Mai - 21:10
merci mathilde
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Sujet: Re: et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo)
et par leurs brutales bourrasques, elle court au-dessus de l'abîme marin (apo)