► OOH LA LA PARIS.
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MessageSujet: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 2:52

Valac Derp Miczariel


Nom complet ▲ Il s’appellerait Valac Derp Miczariel, du moins, c’est ce qui est inscrit sur son passeport et sa carte d’identité. Lieu de naissance ▲ Un peu plus loin, il est aussi indiqué qu’il serait né à Lyon, lui, serait probablement incapable d’en reconnaître la moindre rue. âge ▲ D’après ces mêmes documents, Derp serait né un beau matin d’hiver de mille neuf cent quatre-vingt onze et parce que vous avez probablement la flemme de calculer, cela lui confère l’âge de vingt-trois ans. Nationalité ▲ Il serait français, mais rien n’en est moins sûr, surtout si l’on s’en réfère à son patronyme aux sonorités exotiques. Diplômes, études ▲ Il a obtenu le baccalauréat série scientifique avec la mention très bien. Depuis, il n’a plus remi les pieds dans un quelconque établissement scolaire, au grand regret de ses anciens professeurs, persuadés qu’il aurait fait de grandes choses. Métier ▲ Il exerce le métier de hacker professionnel, c’est à dire qu’il tente (et arrive) à s’infiltrer dans un quelconque serveur en trouvant les failles et vous le payer pour que celui-ci vous en fasse la liste. Statut matrimonial ▲ Parfois, il lui arrive de tromper ma main droite avec la gauche. Pourtant, son cœur semble naviguer en eaux troubles, quoiqu’il ne se sente pas capable d’aimer. orientation sexuelle ▲ Derp se considère comme pansexuel, tant que vous êtes humain vous aurez votre chance, surtout lorsqu’il a sa poudre magique dans le nez. Situation Financière ▲ Y’a cette pointe de jalousie qui flaire dans l’œil du banquier et on se demande encore pourquoi il tient à travailler.  Idoles de vie ▲ Steve Wozniak,  Julien Assange. Nombre d'amis Facebook ▲ Trois cent trente trois Moyen de déplacement ▲ Ses deux jambes, transport en commun, il n’a pas assez confiance en lui-même pour conduire quoi que ce soit. groupe ▲  Un autre monde.  avatar ▲ boyd holbrook crédits ▲ Ce très cher tumblr qui m’a aspiré l’âme.

quinze points sur ton personnage

AMNÉSIQUE ▲ Tu oublies, amnésie. T’as beau essayé d’te rappeler, sans succès. Ils ont effacés les données. Que s’est-il passé ? Mémoire sélective, tout est aléatoire, une vraie passoire. T’as abandonné tout espoir. CLAUTROPHOBE ▲ Les portes qui se ferment, te laissant seul et confiné dans cette obscurité. La panique monte par vagues, se déchaine en toi. C’est la tempête dans ton esprit, l’ouragan dans tes yeux. Tu suffoques. Tu veux sortir. Tu cries à l’aide mais personne ne vient. Quel horrible cauchemar. MANIAQUE ▲ Tout est propre et rangé, rien ne dépasse. Pas un seul grain de poussière ne traine sur les meubles. Aseptisé. Le chaos n’a nullement sa place parmi cet ordre implacable. Tu es là pour y veiller. PARANOÏA ▲ Ombres menaçantes, rasant les murs. Méfiance extrême. Les complots sont tout autour, tu penses être le seul à les voir, à ne pas croire tout ce que ces satanés d’Amerloques vous racontent. Ils n’ont jamais marchés sur la lune mais seraient en train de développer des robots trop perfectionnés ou encore un virus pour tous nous zombifier. HÔPITAUX ▲ Ils sont là, te regardent, te surveillent, complotent dans ton dos. Masqués et cachés dans leur blouse blanche. Planqués dans les salles d’hôpitaux, ils attendent ton moindre faux pas, le moindre virus ou maladie. Mais ils ne t’auront pas. Tu n’iras pas. Tu vois clair dans leur jeu. VITESSE ▲ Haut le cœur. Paysage qui défile. Trop vite, trop rapide. Ton cœur bat trop fort. T’arrives plus à bouger. Yeux écarquillés, Doigts agrippés, corps crispé. Plus jamais tu ne refais. CEUX QU’IL OUBLIE ▲ On croise ton regard, on te souris, on te salue, on t’évite, on te jette quelques regards noirs. Tu hausses seulement un sourcil interloqué. Tu ne les connais pas, n’arrive point à les reconnaître. Leurs visages ne répondent pas. Rien ne vient. Tu te contentes de continuer ton chemin. CEUX QU’IL RECONNAIT ▲ C’est un visage parmi d’autre, un regard insolite. C’est l’illumination sublime dans ta tête. Souvenirs enchevêtrés, destin croisés. Mais tu ne lis que leur incompréhension, te heurtes à un mur brut de mépris. Mais tu continues à t’échiner dessus, inlassablement. JUNKIE ▲ Brusque sensation de manque. Ton corps tremble. Pupilles dilatées, doigts fébriles. Ligne de vie, ligne de coke. Il te faut ta poudre pour survivre. C’est si pathétique. SUICIDAIRE ▲ Poussé à bout dans tes retranchements. Recroquevillé au sol. Tout est difforme, transformé, informe. La vie n’a pas de sens. Seulement des questions, sans réponse. T’as le vide à tes pieds, à portée de mains. Tu voudrais le toucher, l’effleurer du bout des doigts. Tu vas t’y jeter, tête la première. Chute mémorable, mort indéniable. NARCOLEPSIE ▲ Douleur aiguë. Comme un million d’aiguilles plantées une à une dans ton crâne. Membres disloqués, tordus par l’inconfort. Les paupières qui s’ouvrent difficilement. Ton regard face à l’inconnu. Tu ne sais où tu es et encore moins comment t’es arrivé là. AZAÏS ▲ T’as le sommeil agité. Quelques bruissements de paupières, un faible gémissement. Le rêve a viré au cauchemar. Hoquet de surprise, tu ouvres brusquement les yeux. Tu cherches un point de repère. Tes bras s’y cramponnent. Ta tête se niche dans son cou, rassuré. Ses cheveux bruns mêlés aux fils d’or. Et au matin, lorsque tu te réveilles, il n’y a que son absence entre tes draps et toi qui l’a oublié. CŒUR ATROPHIÉ ▲ Murmure rassurant, mots de tendresse et d’amour. Tu ne les comprends pas. Électron libre, tu ne t'attaches pas. C’est purement involontaire. T’es incapable de relations durables. Comme un handicapé des sentiments. CONSCIENCE DÉGLINGUÉE ▲ mauvais discernement. C’est le monde à l’envers. Tu accordes ta confiance aux mauvaises personnes et ta méfiance aux bonnes. Tu bois leurs paroles, l’extase dans les yeux. Tu les laisses t’utiliser, te manipuler à leur guise. Joli pantin entre leurs mains.

l'heureux propriétaire

Prénom ▲ L’ancien pays qu’a inventé l’argent, patrie de Crésus. Pseudo ▲ AMIANTE, pour vous intoxiques âge ▲ dix-sept ans et (presque) toutes mes dents. pays ▲ Votre futur envahisseur, haha. (Chine) J'ai connu ollp grâce à ... ▲ Oulah, ça remonte à loin ça, il me semble que c’était du bouche à oreille quand même. Suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ Je suis un dinosaure, haha. Le type de lien que je préfère ▲ Le compliqué, le malsain, le bizarre, le saugrenu et tous les autres trucs tordus. Tout ce qui fait de merveilleux sujets. Ma chanson du moment ▲ Rhapsody Hongroise numéro deux de Franz Liszt Ma fréquence de connexion ▲ Tous les jours, je suis un bon geek, m’voyez ? Et mon super mot d'la fin... ▲ héhé ▲ DAFUQ ? 2684926262 recenser son avatar ▲
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<span class="pris">BOYD HOLBROOK</span> ◈ v. derp miczariel



Dernière édition par V. Derp Miczariel le Dim 26 Mai - 10:16, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 2:53



Il arrive quelquefois des accidents dans la vie d'où il faut être un peu fou pour bien s'en tirer ▲ De la Rochefoucaud

Chaque année, on dénombre environ un million trois cent mille décès parmi les accidents de la route ainsi que quarante fois plus de blessés, soit approximativement cinquante-deux millions, c’est-à-dire zéro virgule soixante-seize pourcent de la population mondiale de sept milliards d’humains. Imaginez un peu, tous les ans, l’équivalent de la population de l’Espagne et de la Suisse, respectivement quarante-six millions et sept millions, se retrouvent dans un accident routier. Ce qui nous donne environ cent quarante quatre mille neuf cent soixante sept personnes par jour, six mille quarante par heure et donc une centaine par minute. Certes, quatre-vingts dix pourcent des décès occurrent dans des pays à revenus faibles ou moyens. Cependant, en France, on compte tout de même trois mille neuf cent soixante-dix morts en deux mille onze ainsi que quatre-vingts mille neuf cent quarante cinq blessés dont vingt-huit mille cinq cent quarante six hospitalisations. Ce qui nous amène donc à zéro virgule zéro treize pourcent de la population française, qui s’élève à soixante-cinq millions d’habitants, qui se retrouvent chaque année blessés ou tués sur la route. Pour certains, tous ces nombres paraissent bien élevés. Pour d’autres, plus pragmatiques, cela paraitra relativement peu à l’échelle mondiale ou même nationale, comparé par exemple au taux de mortalité causé par les maladies infectieuses tel le sida, le paludisme ou encore la rougeole qui ravagent chaque année dix-sept millions de personne, soit un tiers de la mortalité ou même le tabagisme qui emporte à lui seul cinq millions de personnes. Mais tous ces gens là, qu’ils soient en train de décrypter l’article de journal qu’en parle, à écouter votre voisin d’une oreille distraite, ou payés pour recenser et apporter ces chiffres au grand public n’en savent rien, personne ne pourra jamais comprendre la réelle signification de tous ces nombres tournoyant dans les statistiques, tant qu’ils ne seront pas eux même recensés parmi les victimes. C’est aussi simple que cela.



Et, quand nous respirons, la Mort dans nos poumons Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes. ▲ Baudelaire

C’est fini. Y’a plus que ton corps sans vie. T’es plus qu’une enveloppe immobile. La mort t’attend par là. Elle t’accueille dans ses bras. Rythme berçant, rassurant, tranquillisant. Elle dépose un baiser sur ton front. Papa, maman, je ne vous aime plus. Mes frères, c’était sympa de vous connaître, mais maintenant j’ai mieux. Gouffre lumineux. Blanc. Blanc éclatant. Éblouissant. Ni mort, ni vivant. T’es le nouveau minou à Schrödinger. Tu flottes dans l’entre-deux. Un peu plus et tu verrais ta vie te défiler devant les yeux. À la place, t'as plus qu'une succession de visions plus cauchemardesques que les autres. Plus de paupières. Plus de moyens d'éviter cette galère. Tu ne sais à quoi rime ce carnage. Ce lent massacre de tout ce qui existe. T'es attaché. Forcé d'y assister. Spectateur impuissant et torturé. C'est toute la souffrances que t'as pu infligé. Ces millions de grains de sel qui se glissent dans tes plaies. Et tu te mets à trembler. La peur te prend aux tripes, te retourne les boyaux. La mort devient de plus en plus imminente. T'es au bord du précipice. Tu débloques. Tu suffoques. Papa, maman, je suis désolé. Venez me sauver. Je ferais tout ce que vous voudrez. Je veux juste tout oublier. Mais tes cris sont étouffés. T'as plus qu'à te recroqueviller. Et attendre que ce soit passé. Quelle décadence. Quelle déchéance. T’avais le monde à tes pieds. Tout t’était destiné. Tout ce que l’on n’a jamais désiré. La cour du prince et son argent. T’étais privilégié. Né avec une cuillère en or entre les lèvres. T’en as profité. T’en as usé et abusé. Le lycée avait été ton royaume. Là où tu régnais en maitre incontesté. Saluant la populace lors de tes passages. T’aurais pu avoir n’importe qui d’un claquement de doigts. Tout avait pris le goût de cette facilité gerbante et la couleur de l’ennui. Monstre délicat. Griffes acérés. Chair déchirée. Univers désenchanté. Sans intérêt. Tu gardais pourtant la tête haute, le port royal comme il se doit. Tu écoutais tes sujets d’une oreille hypocrite. Il ne fallait entrevoir aucune faille. Aucune limite. Le pouvoir est si éphémère. Si vite remplacé. Cruel monde où l'apparence est roi. T’en venais à regretter l’avant. Enfermé entre quatre murs, derrière un écran. Dans ce virtuel tout puissant. Ce monde en changement perpétuel qu’il fallait sans cesse s’adapter aux nouveautés pour ne pas devenir obsolète. T’y étais doué. Très doué. Acclamé. Surdoué. Tu t’infiltrais partout, aussi facilement qu’un couteau dans du beurre. T’y étais quelqu’un et non plus noyé dans la masse. C’est peut-être par là que tout à commencer. Cette formidable ascension jusqu’au trône avant de commencer cette lente descente aux enfers. Usé, brisé par la vie, par la folie. Cette irrésistible envie d’y entrainer quelqu’un avec toi. Tu ne sais pas pourquoi tu l'as choisi. Pourquoi ce fut lui. Peut-être était ce quelque chose dans son sourire. Trop beau. Trop faux. Trop hypocrite. Cette façon qu'il avait d'te regarder. Ou simplement parce qu'il était là. Mauvais endroit au mauvais moment. Azaïs. Le destin en a fait sa victime et la tienne. Le regarder tomber. Chute mémorable. Abysses inexorables. Spirale infernale. Phase terminale. C'était son corps contre le tien, abîmé, déchiré, déglingué. En état de pourriture avancé. La coke vous irriguant le système. Charognes vivantes. Les souffles qui s'entremêlent, se mélangent. Les lèvres qui se heurtent, s'entrechoquent. Les corps se cherchent, se provoquent, s'imbriquent. Annihilation d'toute cohérence. Y'a plus que lui. Deux corps en perdition. Embourbés dans leurs vices. Là où tout n’est plus que stupre, luxe et volupté. Plus que ce désir inextinguible. De l'anéantir. Spectacle éblouissant de son implosion. Jouissance brutale. Maîtrise totale. Tout son être sous ton emprise. Sentiment de puissance. Y’a rien de plus beau que la destruction. La démolition sans raison. De regarder le monde se déchirer, brûler dans les affres de l’enfer. Vision apocalyptique. Extatique. T’aurais pu crever sur le coup que tu n’aurais rien regretté. T’es parti trop loin. Trop vite. Trop haut. Pulvérisé à travers l’atmosphère. Tu erres. Quelque part, dans ce vide que constitue l’univers. Tu lèves ton verre à cette innocence perdue. Débauche distordue. Rire continu. Il se voilait la face. Tu lui as ouvert les yeux. Rien que lui et toi dans cette bulle décadente. Jusqu’à ce qu’elle explose. Que la comète percute le sol. Que tout vole en éclat. Que tout s’éparpille. Un million de petites lames tranchantes. Le sang qui éclabousse les murs. Tache les vêtements. Il prenait trop de place. Beaucoup plus qu’il ne devrait. Ce n'était que ton jouet, ta jolie poupée. Une distraction, un amusement. L'enfant grandit et se lasse, c’est bien connu. T’es seulement parti. Du jour au lendemain, sans prévenir. Tu devais explorer les joies de la capitale. Un autre monde. Une autre dimension. C’était sans compter le camion qui grille un feu. La fin du jeu. Impact violent. Comme un ralentissement de la vie. Tes dernières secondes de vie. La mort te sourit. Mais toi, tu oublies. Plus rien de cela n’a d’importance. C’est maintenant ta seconde chance. Cadeau empoisonné qu’une mémoire défaillante. Cerveau en bouillie. Chairs retournées. Squelette inanimé. Traumatisme qui te poursuit. Au plus profond des ténèbres. Un énième mauvais rêve. Le pire de tes cauchemars. T’as franchi la limite. La ligne du non-retour. Plus possible de faire marche arrière. T’es le seul survivant. Adieu, papa maman.



Nous n'avons qu'un moyen de survivre à notre jeunesse, à notre maturité, à nos actions essentielles, le seul digne de ce nom : l'oubli. ▲ Arnoux

Rien. Tu ne te souviens plus de rien. Y’a rien de plus que ce vide intersidéral qui t'emplit. Qui te bouffe de l'intérieur comme un vulgaire rat. Ça te laisse un arrière goût amer, au fond de la gorge. T'es comme un disque dur que l'on aurait reformaté pour en supprimer toutes les données. T'as beau creuser, il n'y a plus rien à explorer. Tu ne sais plus rien de ton identité à ta localisation, des derniers évènements, à ce qui t’a conduit ici, entre ces quatre murs résolument blanc. Trop blanc, trop pur que ça te donne envie de gerber. Bordel, tu veux te tirer. Tu te sens faible à en crever. À peine la force de respirer. Replié, recroquevillé. Ta main tremble. T’as beau serrer le poing, de te retenir, mais rien ne va plus. T’as perdu le contrôle de ton propre corps. Colère sourde. La rage t’envahit, en vagues successives. Une espèce de grognement s’échappe de tes lèvres. De rage, ton poing va se figer dans la couette. Tu réalises que tu ne sais pas même à quoi tu ressembles. Conneries. Es-tu blond, brun, roux peut-être ? Ni âge, ni visage. T’es rien qu’un inconnu. Tes mains se posent sur ta figure, cherchant à en deviner les formes. Sculpteur aveugle. Il te faudrait un miroir, bordel. Les yeux plissés à scruter. Parois éclatantes de blancheur, lumière trop éblouissante, tu t’y brûle la rétine. Mais voilà les deux portes d’ta délivrance. Le bout d’ta souffrance. La fin de ton ignorance. L’espoir s’empare de ton corps. T’es redevenu un nouveau-né qui sait à peine marcher. Tu glisses un pied à terre avec toute la précaution du monde. Le sol est froid. Tu restes cramponné. Futur noyé à sa boue. Lenteur exaspérante. Instabilité énervante. Tu tiens à près debout, tu tentes de marcher. Tu chancelles. Tu titubes. Tu vacilles. Tu frôles la chute à chaque pas. Mais tu tiens bon. Tu parviens enfin jusqu’à la porte la plus proche. Les doigts sur la poignée. L’espoir fou dans les yeux. Une pression. Rien. Elle est verrouillée. Merde. Tu te vois obligé de te trainer jusqu’à l’autre. Tu reprends de l’assurance. T’as plus l’air d’un clochard imbibé d’alcool. Elle s’ouvre cette fois, à ton plus grand émerveillement. Tu te retrouves nez à nez avec ton reflet. Confrontation perturbée. Interrompue trop tôt. Un intrus. Un homme. La quarantaine. Les cheveux grisonnants. Blouse blanche et stéthoscope autour du cou. Un médecin, sans aucun doute. Tu te braques. Tu recules. Biche effarouchée. Il te veut du mal tu le sens. Méfiant. « Ah, tu es réveillé, Derp ! » Derp ? C’est ton prénom ? Tu le regardes avec un air d’incompréhension « Derp... ? » Ta voix est un murmure plaintif. Coincé au fond d’ta gorge, sans parvenir à en sortir. « Tu ne te rappelles de rien, mon garçon ? » Négation. Ta tête se secoue de droite à gauche. « Ça doit être dû au choc cérébral que tu as reçu lors de l’accident. Tu n’en conserves aucun souvenir ? » Tu fermes les yeux, tentant de trouver le souvenir d’un quelconque accident. De voitures qui s’entrechoquent. Mais rien ne vient, encore une fois. « Ça risque d’être problématique ça... » Tu ne lui feras plus l’honneur d’ta parole. Voix trop craintive, chétive. Tu te contentes d’arquer un sourcil intrigué. « Vois-tu, mon garçon, nous n’avons absolument rien trouver sur les deux autres personnes qui t’accompagnaient dans cette voiture, ce jour-là. Mis à part que ce soit un homme et une femme et probablement tes parents. Je suis désolé. Par contre, on a pu retrouver tes papiers et même ton adresse. » Il se rapproche, voulant poser ta main sur ton épaule. Geste rassurant. Tu l’évites de justesse. Lui et sa pitié dégueulasse qui te fait gerber. T’as pas besoin de ça, tu veux juste te barrer. Pourquoi ne le comprend-t-il pas ? Tu voudrais le blesser, le faire payer. Avec le premier objet que tu trouveras. Mais tu n’en as pas la force. Foutaises. Regard noir. Tu l’ignorer superbement. Roi sans terre, prince sans couronne. Les paupières clauses, tu le laisses dégager. Il est inutile.

Valac Derp Miczariel. Rien que des mots sur des papiers. Des lettres qui n’ont pas de sens. Tu le tournes dans les sens. Tu le prononces de milles façons. On te dit que c’est ton nom. Mais qu’en savent-ils vraiment ? On te dit que t’es français. Mais t’as rien pour l evérifier. Rien qu’un bout de papier et une photo. Une carte d’identité. Refilé par les hommes en blanc. Aucune fiabilité. Ils auraient tout aussi bien pu t’appeler Médor et te faire naturaliser égyptien que t’aurais dû faire avec. Angoisse passagère. Tu vas devoir t’y faire. Vivre dans cette perpétuelle ignorance d’ta véritable identité. Tu te questionnes sur leurs intérêts. S’ils t’ont échangé avec un autre. Toutes les conneries possibles et imaginables te traversent l’esprit. Tous les jours, tu supportes leur optimisme dégueulasse. Leurs inepties rassurantes. Que c’est que temporaire. Que la mémoire te reviendra. Tu n’aimes pas te faire prendre pour un idiot. Ils font de toi une oie qu’ils tentent de gaver, de sorte qu’elle soit plus grasse lorsqu’ils voudront te bouffer. Paranoïa généralisée. T’évites de leur parler et même de les regarder. Tu penses que ta bouffe est empoisonnée. Tu réduit ta consommation au minimum, dégueule le reste aux toilettes. Peau sur les os, squelette ambulant. La faim te crève l’estomac. Le cerveau crie à la famine. On te dit que t’es dans une clinique privée, tes géniteurs étaient friqués. Ils n’ont pas eu le temps de dépenser. Te voilà pleins aux as. Ô joie ! Ô allégresse passé ! Tu dois les laisser te guérir, te stimuler. Tu ne peux même pas refuser. D’un œil morne, tu regardes ces films et images qui défilent à l’écran. Souvenirs soigneusement concoctés par leurs soins. Hypocrisie du début jusqu’à la fin. Alors, tu t’évades dans ton monde. Rêves éveillés. Couleurs chatoyantes. Ivresse de liberté. Mais parfois, y’a ce quelque chose qui t’enserre le cœur. Un déclic dans ta tête. Un geste que tu saisis à la volée pour s’échapper aussitôt. Tu te prêtes à leurs jeux, cobaye consentant. Faut bien leur faire plaisir, de temps en temps. Ou pas. T’espères seulement partir au plus vite. Tu n’es pas atteint. Tu n’es pas fou. Tu veux juste ta liberté. Pas de ce putain d’institut. Tu inventes. Tu tisses toute une toile de mensonges. Une nouvelle vie. Toute droite sortie de ton imagination. T’y réfléchis les yeux fermés. Mimant le sommeil dans ton lit. Tu sais qu’ils te surveillent, même la nuit. Les caméras sont partout. Les murs ont des oreilles. Tu dois être crédible. Pas de suite décousue de balivernes. Quelque chose de construit. De logiquement structuré, qui se suit. Manquerait plus qu’ils s’aperçoivent de ta mythomanie. Le manège a l’air de marcher. Les blouses blanches n’y voient que du feu. Leur chef te félicite même de tes progrès remarquables. Qu’ils envisageaient de te relâcher dans la nature. Tu retiens le rictus narquois. C’était plus facile que prévu. Ils ne te donnent pas vraiment de fil à retordre. Qu’ils sont dupes.



Quand on cède à la peur du mal, on ressent déjà le mal de la peur ▲ Beaumarchais

La nouvelle est enfin tombée. Dans quelques heures tu retrouves ta liberté. Sans jamais plus regarder en arrière. Pour le jour de ton anniversaire. Une année passe vite. Les jours, les semaines, les mois se succèdent à une vitesse affolante. Au final, ça ne veut rien dire. Dix-huit ou dix-neuf années que ta pauvre mère t’a expulsé de son ventre. Dix neuf tours de soleil. C’est subjectif. Tout est factice. De ta vie à ce centre que tu ne reverras plus. Mais pour le moment, tu te contentes de sourire consciencieusement au crétin qui te donne quelques derniers conseils pour survivre dans le monde extérieur. Ils veulent peut-être te faire croire qu’ils se sont attachés à toi. Te montrer leur inquiétude inutile quand à ta réinsertion. Ils n’ont pas le luxe de la sécurité en te plaçant dans une gentille famille d’accueil sous leur joug. Pas de nouveaux parents pour toi. Tu devrais te contenter de ta misérable solitude. Ses lèvres bougent, débitent les mots à une vitesse fulgurante. Phrases que tu ne daignes écouter. Trop heureux à l’idée que c’est la dernière fois que tu devras te coltiner sa présence. Quelques maigres possessions dans un sac et te voilà embarqué dans la voiture. Tu regardes le centre s’éloigner avec une certaine satisfaction. Celle de l’abandonner. Conscience tranquille. Plus de blouses blanches à craindre, au détour d’un couloir, qui hantent ton sommeil. Tu ne veux plus jamais en revoir un. Plutôt crever de la pneumonie. T’as bien eu ta dose à vie. Ils t’ont assez massacré le cerveau comme ça. Tu fais tes adieux aux étoiles. Tu redescends dans le réel. Le sbire essaie d’engager la discussion. Tu te débrouilles pour lui en faire passer l’envie. Discours monosyllabique. Ton froid, peu avenant. Il est temps de cesser l’illusion. De briser la vitre. Tu ne leur dois plus tien. Il n’a qu’à mieux se concentrer sur la route, s’il se fait chier. Un accident ça te suffit. T’as déjà assez de mal à digérer le fait qu’ils savent où t’habites. Qu’ils pourraient débarquer quand bon leur semble. Dans ta tête, tu te fais déjà des listes, le serrurier que tu vas dégoter, la caméra que tu vas acheter. La prudence n’a pas de limites. Tu sais qu’ils sont déjà venus. Qu’ils se sont fait un double. Entrer et sortir à leur guise. Lorsque le véhicule s’arrête. T’as déjà déguerpi. Sans prendre la peine de faire le poli. Pas d’au revoir, ni merci. T’avais tes affaires à porté de mains, tout au long du voyage. T’arrives à l’étage indiqué, en montant les escaliers. L’ascenseur était peut-être truqué. Tintement de clé. Déclic de la serrure. Porte qui s’ouvre. L’intérieur se dévoile à ton regard fasciné. C’était grand, spacieux et luxueux. Supposé être à toi. Jamais rien ne revenait. Tu te rappelais que les blouses blanches sont venues. Ils ont dû toucher, replacer, saccager. Détruit et reconstruit. Rien qu’à voir le frigidaire vide. Bonnes intentions reniées, relégués à l’arrière plan. Ils ne voulaient pas que ton bien-être, en te débarrassant des pourritures dégueulasse. Tu visites et t’explores, gamin émerveillé. Deux chambres. Deux grands lits doubles. Même marque. Même matelas. Même murs. Même tapisserie. Vierge de tout poster ou image. Impersonnel. On ne saurait même pas si tu vivais seul ou avec tes vieux. Seul un ordinateur trône sur une des tables. T’y repasseras plus tard. Tu redescends dans la rue. Le Paris gris devant tes yeux. La pollution dans tes poumons. L’euphorie grisante de la liberté. Des nouveaux horizons qui te demeurent inconnus. Billets dans les poches. Carte bancaire bien rangée. Tu parcours le supermarché. Le long des rayons abondants. En évitant les chariots remplis. Tu te reçois la société de consommation en pleine gueule. Tu te rend compte que tu ne sais même pas ce que tu aimes. Tu prends un peu de tout. Curiosité obligée. Tu te trouves même une bonne âme pour te changer la serrure. Devoirs accomplis, te peux enfin rentrer chez toi. Que c’est bon de pouvoir manger sans devoir recracher. Rien que des choses saines. Ça te manquait. Pas de téléviseur. Pas d’abrutissement. Pas de neurones qui grillent comme à la clinique. Tu te tournes quand même vers le deuxième écran. L’appréhension au creux de l’estomac. Tu le laisses la bécane démarrer. Là t’as la révélation. Des réflexes, des gestes qui te reviennent. Pour la première fois, depuis longtemps, tu sais exactement ce que tu fais. De longues retrouvailles mouvementées. Tu n’es presque pas surpris de le trouver quasiment vide. Ni jeu, ni applications, ni historiques. Tout effacé. Violé dans ton intimité. Un goût amer au creux de la langue. De rage, tu veux tout abandonner. Tout envoyer balader. À la place, tu le reformates totalement. T’es à l’aube d’une nouvelle vie et lui aussi. Que les virus et chevaux de Troie rejoignent ta vie passer. Tu connaissais que trop bien l’existence de programmes qui permettent une surveillance directe de la personne. De tout ce qu’il peut taper sur son clavier ou visiter sur internet. Le processus qui se lance sous tes yeux avertis. Sonnerie stridente. Tu sursautes sur ton siège. Manquant de peu la perte d’équilibre. Tu te lèves quand même mi méfiant, mi intrigué. Tu entrouvres la porte. Juste assez pour pouvoir la refermer vite fait, en cas d’attaque d’hommes en blanc. Échange de regards. Jeune homme brun de plus ou moins de ton âge. Le bellâtre te parle. Il te connaît. Il t’attendait. Tu restes interloqué. Sourcil arqué. Le regardant sans comprendre. Il semble réalisé que tu ne le reconnais pas. Il se présente. Azaïs. Le prénom résonne dans ta tête. Rebondit contre les parois. Mais rien ne vient comme d’habitude. Ton regard se perd dans ses traits, à la recherche d’une familiarité, un détail connu. Oublié le souvenir de ses lèvres contre les tiennes. De vos corps entremêlés. De l’extase que vous partagiez. Y’a rien que le néant de ta solitude. T’as pas le temps de décider, de peser le pour et le contre, qu’il est déjà rentré. Faufilé dans ton appartement. Très bien éduqué. T’étais un peu désœuvré. Tu penses à toutes les perspectives qui s’ouvrent. À tous vos souvenirs que tu retrouves. Tu ne sais pourquoi tu lui as fait confiance. C’était peut-être quelque chose dans son sourire. Sa façon de te regarder. Cette lueur dans son regard. Grossière erreur. Si seulement t’avais su dans ce que tu t’embarquais. Il ne serait pas dans ton canapé. C’est le démon de ton passé.



Nous sommes tous obligés pour rendre la réalité supportable, d'entretenir en nous quelques peites folies ▲ Proust

« Allez, viens, on sort... » Sa voix te parviens. Tentation doucereuse. Délicieux poison. Tu résistes à l’appel. Le regard fidèle à l’écran égaré parmi les lignes de codes. Tu te sens proche de la finition. Tu tiens la piste du bout du clavier. La faille se découvre. La brèche s’ouvre. Tu forces le passage, un vrai travail de brut. « Derp ! » Ton nom résonne partout. Ses bras autour de ton cou. Ses cheveux bruns chatouillent ta peau. Soupir extirpé de tes lèvres. « Je travaille. » Vague grommellement. Tu parles dans le vide. Il sait que c’est qu’une partie de plaisir. Que t’en as pas vraiment besoin. Qu’en l’état de ta fortune, tu pourrais faire rentier jusqu’à la fin de ta pauvre vie. Que ce n’est pas demain la veille que tu risques de te retrouver à la rue. Tu bosses à ton comptes. Tes horaires. Tes prix. Contrepartie de longues heures devant l’ordi. T’es un des meilleurs du milieu. « On s’en fiche. Ramène-toi maintenant. » Tu te demande parfois ce qui te lie encore à lui. Pourquoi tu lui reviens toujours et inversement. Aura mystérieuse. Azaïs te fascine. Azaïs t’échappe. Tu sais qu’il n’abandonnera pas. Que tu devras sortir de ton antre. Nouveau soupire. Fenêtre irréelle qui se ferment. Tu finiras plus tard, demain, un jour peut-être. L’air brave, t’affrontes son sourire vainqueur. T’enfiles vite fait quelque chose de portable dehors. Il t’attend, la poudre magique dans les mains. Trou noir où se vide toutes tes économies. T’es rien de plus qu’un putain de camé. Un rejet de la bonne société. T’arrives plus à t’en passer. La coke dans le nez c’est devenu aussi indispensable que le sang dans les veines. C’est de sa faute. C’est lui qui t’a entrainé dedans. Ce tourbillon infernal de la drogue. Aspiré vers le bas. Destruction de l’intérieur. L’implosion au bout du couloir. Mais plus rien n’a d’importance. T’es importé par le courant. Ce maelström de couleurs, de sons qui t’assaillissent. Ces corps qui se déhanchent en rythme. Tu ne sais plus ce que tu fais. Tu t’en fiche. L’extase dans les yeux. L’apothéose du cerveau. Les neurones qui crèvent. Plénitude momentanée. Jusqu’à ce que tu le vois. Le fouteur de troubles. La blouse blanche. Vent de panique. La peur qui te gangrène. Tu le cherches des yeux. Ton ange, ton démon. Mais il n’est plus là. Disparu dans la foule. T’es de nouveau seul. Empreint de ta lâcheté. Tu t’éloignes. Tu le fuis. Mais il te suit, te poursuit. Il te veut du mal. Tu le sais, t’en es persuadé. Ils en ont tous après toi. Tu fais parti de leur complot, bon gré mal gré. Tu ne sais pas où tu vas. Elle est là elle aussi. En temps normal, tu lui aurais tourné autour. Insecte attiré par la lumière. Persuadé de la connaître de quelque part. Seulement, elle te déteste. Elle ne coopère pas. Intentions tout à fait louables. Plus elle refuse, plus tu persévères. Un brin de masochisme. Sans doute pour ça que tu te retrouves sur le toit. Merde. T’es coincé. T’as dû te fâcher avec la logique, ces derniers jours. Trop défoncé pour être sensé. T’es de nouveau au bord. Le vide à tes pieds. Gouffre sans fin. Abysses sans merci. Les ténèbres s’avancent. Gagne du terrain. Tu vas bientôt sombrer. Englouti. Tu finis dans son estomac. Tu rouvres les yeux, accrochés à lui. Comme si tu t’étais endormi dans ses bras. C’est presque un cliché de comédie romantique. Cocon de chaleur rassurante. Parfum envoutant. Tant et si bien que tu ne tardes pas à retrouver Morphée. Ça te change de lorsque tu te trouves dans les endroits les plus improbables de Paname. Ce qui n’arrive plus souvent qu’il ne le faudrait. Mais le froid te réveille. Il est parti. Laissant à peine le souvenir de son odeur, une trace dans les draps. T’es de nouveau seul dans ce lit trop grand. Ce silence trop oppressant. Abandonné. Laissé à toi-même.

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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 2:59

TOI ▲ DAFUQ ? 583886846
t'es à moi. ▲ DAFUQ ? 2684926262 rebienvenue.

* marque son territoire *
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 3:00

*fait pipi partout pour marquer son territoire face à naïs*
à moi ▲ DAFUQ ? 2684926262
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 3:12

* chie sur la gueule de Joa *

j'ai dit à moi, pauv gnouf. ▲ DAFUQ ? 2684926262
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 3:29

oh gosh, la longueur de ta fiche. mow de wiwe
anyway, bon retour. ▲ DAFUQ ? 3846838978
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 4:33

bonne chance pour la lecture ▲ DAFUQ ? 166564858
re-bienvenue, toujours aussi canon, dommage y a le territoire mow de wiwe
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Ella Maresquo
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 7:03

bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche. ▲ DAFUQ ? 3846838978 ▲ DAFUQ ? 2684926262
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http://www.oohlala-paris.com/
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 7:25

Bon retour. ▲ DAFUQ ? 3846838978
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 10:33

bienvenue parmi nous et très bon choix ▲ DAFUQ ? 713858961
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 11:44

Bienvenuuuuuuuuuuue moh
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 13:00

naïs et jojo lapin ; oh oui battez-vous pour moi ▲ DAFUQ ? 583886846 mais sinon, j'ai investi dans un très grand lit assez grand pour tout le monde.
tiago ; roh j'en ai déjà fait des trois fois plus longues (littéralement) :roll:
aelan ; oh tu sais ça peut s'arranger pour le territoire ▲ DAFUQ ? 2684926262

sinon merci aux autres, ça fait plaisir d'être de retour ▲ DAFUQ ? 2684926262
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MessageSujet: Re: ▲ DAFUQ ?   ▲ DAFUQ ? EmptyJeu 16 Mai - 13:36

BIENVENUE SUR OLLP



Amen, j'en suis venue à bout. mow de wiwe J'ai rien à redire à ta fiche, elle est nickel. J'ai beaucoup aimé comment t’amènes la paranoia tout au long de ton récit. Bon j'te fais pas patienter plus et j'te valide. ▲ DAFUQ ? 2892185779 Bon retour et bon jeu. ▲ DAFUQ ? 3846838978

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent. ▲ DAFUQ ? 3846838978

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ► on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ► i have an idea.
flood ► fait parti de la famille !
chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
mises à jour ► se tenir au courant.
guide d'ollp ► ne pas se perdre.
guide de paris ► rester dans la réalité.
parrainage ► se faire aider.
mini intrigues ► mets du piment dans ta vie.
jeu des équipes ► ta team a besoin de toi !
il parait que ► les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ► je facebook, tu facebook.

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous. ▲ DAFUQ ? 3846838978

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi. ▲ DAFUQ ? 2684926262

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad. ▲ DAFUQ ? 3681609067
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