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 JOA → des dominants ; des dominés

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MessageSujet: JOA → des dominants ; des dominés    JOA → des dominants ; des dominés  EmptyMer 15 Mai - 21:50

A. JOACHIM DANDURAND


Nom complet ▲ Abel Joachim Dandurand Lieu de naissance ▲ Amos, Québec, Canada. âge ▲ vingt-sept années. et à peine adulte, si c'est pour tout dire. nationalité ▲ Québécoise. diplômes, études ▲ Formation de pâtissier obtenu au québec métier ▲ Pâtissier, à la surprise du grand public. On imagine la gueule des intellos avec qui tu te trouvais, à l'école, quand ils entendent une connerie pareille. Ils doivent bien se marrer du mec qui les foutait dans les chiottes entre deux cours; peu importe, ton boulot, ça te fait clairement bander. statut matrimonial ▲ célibataire depuis ton déménagement pour un autre continent. orientation sexuelle ▲ On te dit hétéro, on te croit. On te crie tarlouze et gay pour rien car tu démarres au quart de tour, mais au fond, on n'y croit pas pour deux sous. situation financière ▲ Moyenne, de quoi avoir quelques billet dans les poches et ne pas mourir de faim à la fin du mois, juste avant la paye. idole(s) de vie ▲ Gaston Lenôtre; pour ses livres, pour son école et tout ce qu'il a fait. T'aurais aimer y étudier, au moins y faire un tour, mais t'as pas trop les couilles d'y poser candidature. nombre d'amis facebook ▲ Très peu, voir presque aucun. Ayant un mépris quelconque pour les réseaux sociaux, tu te contente de tes potes de l'autre mer, et puis des membres de la famille pour avoir de leurs nouvelles. Mais des gens rencontrés une fois ? Jamais. moyen de déplacement ▲ Le bus et le métro, à défaut d'avoir envie d'une bagnole française. Tu t'ennuie d'ta voiture perdue dans un garage dans son coin, à Amos, mais tu peux pas réellement la faire venir en bateau. groupe ▲ La Javanaise avatar ▲ Ben Haggerty crédits ▲ tumblr.

mise en situation


ton personnage se promène dans un supermarché lorsque soudainement, un homme avec une cagoule pointe son arme sur les clients en criant qu'il s'agit d'un hold-up. sa réaction? ▲

T’as une pinte de lait dans la main droite, et puis une autre dans la main gauche ; t’y peux rien, tu bois ça comme un con. Tu peux pas t’empêcher d’tiquer quand tu vois ce mec sortir ce flingue. Et merde. T’aurais dû rester à la maison ; t’avais assez d’lait pour passer la nuit, mais voilà, t’es branché balade nocturne pour acheter des conneries à la superette 24h du coin, et donc tu tombes sur un con pareil. Une seconde, tu t’dis qu’tu pourrais lui balancer une pinte à la gueule ; il est p’être allergique au lactose, avec d’la chance. Ça te parait con, au bout d’un instant, et puis tu ricanes. Le mec, il a les nerfs à vif, ça se voit franchement, parce qu’il tourne son foutu flingue dans ta gueule. Manque de bol, tu t’y attendais pas vraiment. T’es pas au cinéma, mec. Pas du coup. Énervé, tu sursautes, et puis les pintes de lait glissent entre tes doigts; la flasque que ça peut faire, au sol. Tu grimaces. Purée, c’était pour des gâteaux, ce lait-là. Au moins, t’avais pas encore payé. « Mec, la caisse, le fric, il est pas dans mes poches, tourne toi d’bord. » T’es bête, carrément, mais qu’importe. Ton lait est foutu. T’as cherché dix putains d’minutes dans le frigo pour trouver des pintes sympa avec une jolie date. C’est chiant, mine de rien.

ton personnage se retrouve en plein milieu d'un énorme open house où il ne connait qu'une seule et unique personne. alcool à volonté, musique beaucoup trop forte, etcétéra. sa réaction? ▲

Ah bah voilà ; un lapin. T’aurais vachement du le sentir ; la meuf, elle avait une sale gueule. Un beau cul, mais une sale gueule quand même. Tu grimaces en entendant une chanson s’entamer; c’est de la merde, franchement, ce qu’ils écoutent, les gens, par ici. Ou alors, t’es juste carrément entouré d’incultes qui connaissent rien à la musique. Tes bras se croisent sur ton torse, après avoir bu une gorgée d’ta bière. Ton dos s’accote contre un mur quelconque. Ils sont jeunes ; elle faisait plus vieille que son âge, la minette. Pff, les filles maintenant ; elles portent du maquillage avant de savoir remplir du soutif comme il faut. Tu regardes l’heure, une seconde. T’es là depuis…trente minutes. Tu bois ta deuxième bière. Mouais. Demain, tu dois être levé à cinq heures du mat’ pour faire les pains d’la boutique. Encore une grimace sur tes traits ; rendu là, autant rester ici, te taper une sale nuit blanche, p’être goûter les lèvres d’une de ses jolies filles, et puis aller travailler avec une sale tête. C’pas un peu d’alcool et une nuit blanche qui vont te tuer, de toute manière. P’être la sale musique qui passe au max dans les haut-parleurs, mais bon ; une bière en plus, et t’oublieras probablement la merde qui joue à fond dans l’appartement inconnu.

ton personnage est en couple et l'occasion de tromper son/sa partenaire -en ayant l'assurance que personne ne le découvrira un jour- se présente à lui. sa réaction? sa décision? ▲

Tu peux pas t’empêcher de froncer des sourcils; elle danse carrément comme une allumeuse, celle-là. Encore une fille à papa qui a pris des cours de danse poteau pour être « en forme ». Ta meuf, elle sait pas faire ça. Faut dire, t’es pas trop le genre de mec à triper sur les filles qui dansent comme si elles voulaient rentrer dans tes vêtements ; en fait, aucunes de tes précédentes p’tites amies savaient vraiment danser ; t’aimes les filles sans prises de tête, pas les idiotes avec vingt pouces de maquillage sur la gueule. Elle te lance un regard bien chaud. Tu lui adresses un sourire moqueur. Elle a un joli cul, quand même. Dilemme; t’es prêt à lui faire la gueule sans maquillage, au levé? Tu peux toujours te barrer avant qu’elle ouvre ses prunelles; ça serait pas vraiment une première, après tout. Dans ta poche, pour portable sonne; tu délaisses la fille des yeux pour voir qui t’as texté. Deux minutes plus tard, après un dernier regard dans sa direction, tu fiches le camp ; tes potes t’attendent, et c’est bien mieux ainsi.


ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲

T’as un mépris un peu trop profond pour les boules de poils ; gamin, y’en avait des tonnes à la ferme du voisin et ils te traînaient toujours dans les pattes. Pire; comment ces trucs peuvent hurler fort, quand ils ont leur chaleur ou qu’ils se battent. T’as jamais aimé les chats, et puis c’est comme ça. Et puis, t’es là. Comme un con, arrêté au milieu d’une quelconque rue, avec ta foutue pinte de lait du soir dans les mains, et puis ce chat qui te fait une sale tête. T’es plutôt mal barré, vu la gueule qu’il te tire. Soit il y a un truc enfoncé là où tu penses, soit il a senti l’odeur de ton lait. Ou alors il est chiant. Tu fais claquer ta langue dans ton palet, une seconde, avant de faire un pas, t’éloignant. Il miaule, ce gentil bonhomme . Tu tournes les yeux vers lui ; il tire la gueule. « Ah non. » Tu le sens ; il va te faire le même coup que la plupart des meufs. Te faire les yeux doux pour obtenir ce qu’il veut. Et le pire, c’est que tu vas céder. Comme un con, comme un bon garçon. « Va te faire voir, saloperie de chat. » Il miaule encore ; il a la causette facile, c’que tu détestes le plus. Tu peux pas t’empêcher de grommeler avant de continuer un peu ta route. Il te suit; tu le sens. Tu continues quand même. Il est toujours là, tu le sens. Au bout d’deux minutes, tu peux pas t’empêcher d’te retrouver. Il est là, encore. Tes sourcils se froncent. Il est chou, quand même. « Tu… bordel. » Tu soupires lourdement, passant une main dans tes cheveux. La créature, elle miaule encore. « Oh, tais-toi. » Sa tête se penche sur le côté ; elle te fait de ces yeux, c’pas possible. Tu penses pas qu’une de tes ex est faite une pareille tête pour obtenir quelque chose, c’est pour dire. Un grognement te prend. « Pffff. » Tu finis par te pencher, prends la chose dans ton bras, et matant autour de toi voir si personne t’a vu vers un truc niais; tu le glisses sous ta veste et tu rentres chez toi.

ton personnage se fait offrir 20 000€ .. que s'il dénonce le crime qu'a réalisé l'un de ses meilleurs potes. sa réaction? sa décision? ▲

« Va te faire mettre. » T’as pas besoin de fric ; t’as tes pâtisseries, le reste, tu t’en tapes pas mal. Et puis les potes, ça passe avant tout. Clair, net, précis. T’en as rien à foutre de son blé, peu importe le montant. Tu saurais même pas quoi en faire.


l'heureux propriétaire

Prénom ▲ Mélanie Pseudo ▲ .NEObelzebuth âge ▲ 19 balais, mon chou pays ▲ Québec, parce que Canada, j'trouve ça d'un moche. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ bazzart, j'crois. ça date, quand même, l'temps d'la rencontre. suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ on va dire p'tit nouveau, étant donné que j'suis arrivé avant la pause huhu l'type de lien que je préfère ▲ les liens fifous, ceux qui cassent la tête, ceux qui nous pognent aux tripes, qui nous font chialer, qui nous font crier. bref, les liens comme dans la vraie rue, mais toute l'intensité d'une tornade de sentiments. ma chanson du moment ▲ là maintenant, j'suis droguée à la sexy voix d'mon charmant avatar, donc j'dirais thrift shop. ma fréquence de connexion ▲ tous les jours, encore, à jamais, pour toujours. et mon super mot d'la fin .. ▲ Toi. Moi. Nous baby ♥ recenser son avatar ▲
Code:www.flemmardise.com
<span class="pris">Ben Haggerty</span> ◈ a. joachim dandurand

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MessageSujet: Re: JOA → des dominants ; des dominés    JOA → des dominants ; des dominés  EmptyMer 15 Mai - 21:51

L'HISTOIRE DE MA VIE


T’es né, c’est tout. C’est arrivé comme ça, sans prise de tête. Deux gens en couple, une paire valsant. Ils étaient bien, ils étaient beaux. Ils ont dû subitement changer d’beat, par contre, parce qu’une valse peut pas vraiment se danser à trois. Une grimace s’est plainte sur leurs traits, mais ils ont pas pipés mots. T’es né dans un trou, t’es né dans un coin loin d’tout. T’as un accent qui fait un peu paysan, qui fait profond. T’as une voix creuse, un murmure d’une autre terre. Tu sais pas vraiment parler ; tu fais d’grommeler, et puis soupirer. On t’dit un peu con, un peu bête ; t’es le grand con qui foutait la tête des gens dans les chiottes. T’es le grand musclé qui, ayant eu sa poussée d’croissance avant les autres, faisant frissonner les idiotes et trembler les intellos. Tu jures plus souvent que tu respires ; tu te prends pas la tête, c’est tellement insupportable, comme situation. tu vis, c’est tout. T’as grandi là, dans un coin là les ours étaient bien plus nombreux que les habitants ; t’as grandi dans un coin où le dealer, c’était l’facteur. C’était moche, c’était grand. C’était petit, c’était beau. Les weekends dans l’bois à chasser les poilus, t’as connu ça. Plus p’tit c’tout, t’as vu un ours s’faire fusiller avant de connaitre l’alphabet au complet; c’était comme ça, par là-bas. Chemise de bucheron, grosse barbe et botte à cap d’acier. Ton portrait, c’était ça. Du moins, celui d’la foule autour d’toi. Tu t’en es contenté. T’as porté les bottes de ton père alors que tu savais à penser courir, et puis t’as planté en pleine gueule, non pas parce qu’ils étaient trop grandes pour toi, mais pour la claque qu’il te balançait derrière la tête. « C’pas à toi, touche pas, morveux. » Les gens, on les frappe. Pour tout, pour rien. Gamin, t’as capté ça. C’était con, mais dans ta tête de jeune, dans ta tête de gamin, ça a bien rentré, et puis ça a pris vachement du temps à en sortir, faut dire.
[…]
T’étais con. Ouais, t’étais con. Juste à cause d’une claque, d’une philosophie à deux balles, t’étais con. T’as été à l’école. Comme tous les autres, la seule école d’la ville. L’école secondaire d’Amos. T’étais certainement l’un des plus grands; ça t’est venu de ton père, ce distributeur à coup. Cette cage, cette école-là, c’était ta jungle, c’était ton royaume. Ton monde à toi. Si chez toi, tu te faisais tout petit, là-bas, tu te faisais bien grand. T’étais con ; tu frappais les faibles aussi forts que ton père pouvait bien l’faire avec toi. Mais ça te faisait du bien, tellement d’bien. T’avais l’impression d’vivre. T’avais l’impression d’être. À l’époque, t’aurais clairement dit que c’était des belles années. Maintenant, en y pensant, tu peux rien faire d’autres, à part grimacer d’dégout.
[…]
Et puis un jour, tu t’es éveillé. Parfois, faut un choc un peu trop fort, un truc un peu trop intense, pour s’ouvrir les yeux. Ça a été ton cas. Un putain d’accident d’voiture. T’étais pas au volant, mais ça change rien au fait que c’était d’ta faute. Parce que t’avais bu comme un sale trou. T’avais tellement bu qu’ton père est venu d’chercher un putain d’party, parce que ton pote, trop con, a décidé de l’appeler. Vous aviez vingt-et-un ans, vous agissiez comme des adolescents. T’as jamais voulu grandir ; à croire que les coups de pieds à ton cul, les claques trop fortes dans ton dos ou alors les bras enserrant ton bras ont quelque chose à voir avec ça. N’empêche, tu tremblais comme un rat, quand ton père s’est pointé, un peu bourré lui –aussi, pour venir te chercher. Les cris, tu les avais entendus envie même qu’il ne s’ouvre la gueule. T’avais envie d’en faire dans tes pantalons, tellement il te faisait peur ; c’était ça, ton homme. Un p’tit bonhomme chauve, trop grand, trop maigre, mais avec une sacrée puissance dans les bras. Il a froncé des sourcils quand il t’a vu tangué comme un con, alors que tu marchais jusqu’à la voiture. Sa rage, elle était partout dans les airs. Ton pote tremblait sans gêne ; toi, t’essayais de faire le dur, comme toujours. Comme jamais… mais t’étais con, alors, tu t’en foutais un peu. t’as ignoré les saletés qu’il t’a lancé, t’as pris place à l’arrière de la voiture. Le mec derrière, il a dit des trucs comme quoi ton père était p’être un peu bourré, lui aussi. Tu l’as chassé d’une main ; peu importe. On s’en fiche. T’aurais pas dû. T’aurais dû rentrer à pied. N’empêche que le poteau téléphonique, vous l’avez vu de près. N’empêche que ton père, il y a laissé la vie.
T’as eu honte. Au travers de toute cette histoire, t’as eu honte. Parce que c’est un soulagement qui a pris place en ton cœur, et non une peine. Parce que, mine de rien, ça a été un élément plutôt positif, dans ta foutue vie. Si ses yeux se sont fermés, les tiens, ils se sont ouverts cette journée-là.
[…]
Les poings serrés, t’as décidé de changer. Parce qu’il était parti, avec ses saloperies. Parce que tes yeux se sont ouverts, et que t’en avais marre de travailler au dépanneur du coin. T’en avais juste marre, du coin. De ta mère qui chiale, malgré l’amour que tu lui portes. Alors t’as pris ton sac, t’as pris des choses, et t’es parti. T’es parti pour Montréal, la ville, la civilisation. T’es parti faire ta vie. Avec son caractère de merde, l’acidité d’tes mots et la maladresse de tes gestes, t’as pris place chez un cousin quelconque connu d’vue, et t’as cherché une vie à t’faire. T’as trouvé cette formation là par hasard, comme ça, sans vraiment y penser. En voyant le dépliant, ça t’a paru d’une évidence flagrante. Parce que t’as toujours aimé voir ta mère faire du pain, ou alors sentir l’odeur, tôt le matin. Parce que ta curiosité a été piquer, et donc tu t’es lancé. Tu faisais un peu con, au début, à rien connaitre de tout ça, mais au final, t’y es parvenu; une fois les informations comprises, les techniques expliquées, le talent s’est dévoilé. Et puis t’as été mordu, tout simplement.
[…]
Cette foutue mer, tu l’as traversé. T’y as pas cru, à la fin d’ta formation. T’y aurais cru pour un autre, pour tous les autres, mais certainement pas pour toi. Pourtant, l’professeur, c’toi qu’il est venu voir. C’est à toi qu’il en a parler, d’son boulot, d’son voyage, d’son retour dans son pays, au-delà d’la mer. Un peu vaguement, pour voir ta réaction, mais un peu quand même. Et tu l’as observé, les sourcils froncés, sans réellement comprendre. Parce que t’avais un p’tit boulot dans une boulangerie d’quartier, parce que t’avais la jolie Julie, dans ton lit. Mais après des mois d’conversation, après des mois d’interrogation, t’as décidé d’suivre. Parce que dans la vie, y’a des choses qu’on peut tout bonnement pas refuser; travailler à paris, ça en fait partie. Une année à expérimenter ; une année à décider si t’y restes, ou si tu retournes chez toi.
[…]
Et maintenant, t’es là. Carrément perdu au beau milieu de la rue, tu te trouves là. À paris. Près de deux mois déjà que tu te trouves ici et que t’essaie d’survivre. Deux mois dans des rues plus ou moins inconnus. Deux mois que t’es entouré d’un accent encore plus différent du tien ; déjà que t’en avais un pour ceux d’Montréal, ça doit être bien pire ici. Mais qu’importe. Qu’importe. T’es là. T’es à Paris.

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MessageSujet: Re: JOA → des dominants ; des dominés    JOA → des dominants ; des dominés  EmptyMer 15 Mai - 21:56

je m'sens comme une pucelle, ma culotte tombe. je te viole pauv plouc. ♥️ JOA → des dominants ; des dominés  583886846
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Louise Toscan du Plantier
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Louise Toscan du Plantier
✧ ÂGE : vingt quatre ans.
✧ JOB : éleveuse de chats.
✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique.
✧ MESSAGES : 3600
✧ HERE SINCE : 27/10/2012

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MessageSujet: Re: JOA → des dominants ; des dominés    JOA → des dominants ; des dominés  EmptyMer 15 Mai - 22:00

rebienvenue. JOA → des dominants ; des dominés  3846838978
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MessageSujet: Re: JOA → des dominants ; des dominés    JOA → des dominants ; des dominés  EmptyMer 15 Mai - 22:23

Welcome ! Razz
Très bon choix et bon courage pour ta fiche ♥️
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MessageSujet: Re: JOA → des dominants ; des dominés    JOA → des dominants ; des dominés  EmptyMer 15 Mai - 23:11

BIENVENUE SUR OLLP



Ta fiche est toujours aussi kiffante mow de wiwe et bien écrite. J'ai rien à redire quoi. JOA → des dominants ; des dominés  3846838978 J'te souhaite la rebienvenue à la maison et éclates toi bien. JOA → des dominants ; des dominés  2684926262

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent. JOA → des dominants ; des dominés  3846838978

LA BASE
bottin ► vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ► il te faut un toit man !
liens ► si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ► on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ► i have an idea.
flood ► fait parti de la famille !
chatbox ► fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
mises à jour ► se tenir au courant.
guide d'ollp ► ne pas se perdre.
guide de paris ► rester dans la réalité.
parrainage ► se faire aider.
mini intrigues ► mets du piment dans ta vie.
jeu des équipes ► ta team a besoin de toi !
il parait que ► les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ► je facebook, tu facebook.

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous. JOA → des dominants ; des dominés  3846838978

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi. JOA → des dominants ; des dominés  2684926262

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad. JOA → des dominants ; des dominés  3681609067
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