Nom complet ▲ Je m'appelle Aéda Tess Debussy, mais appelez moi juste Tess, ça ira très bien. De toute manière, mon nom de famille ne représente plus rien pour moi, c'est presque une honte de le porter. Lieu de naissance ▲ Je suis née dans un hôpital de bourges, près des Champs Élysées. âge ▲ J'ai vingt-et-un ans, et toutes mes dents. nationalité ▲ Je suis française, cependant j'ai de lointaines origines russes du côté de ma mère. diplômes, études ▲ J'ai obtenu mon bac L grâce au rattrapage, et j'ai finalement réussi à entrer à l'école supérieur des beaux arts il y a deux ans. métier ▲ Sans emploi. J'ai bien trop d'argent pour ça. statut matrimonial ▲ Célibataire. Et j'ai vraiment aucune envie de devoir me traîner un boulet. De toute façon, l'amour c'est pas pour moi. orientation sexuelle ▲ Hétérosexuelle et j'en suis sûre et certaine, parce que j'ai déjà essayer avec une fille ou deux... situation financière ▲ Riche, car j'ai hérité de la fortune de mon père (une bonne quarantaine de millions d'euros). idole de vie ▲ J'adore Marylin Monroe, je la respecte énormément. nombre d'amis facebook ▲ Environ quatre cent soixante. moyen de déplacement ▲ En général je paie un taxi, ou sinon j'utilise mon scooter. groupe ▲ Tu t'laisses aller. avatar ▲ La magnifique Kaya Scodelario. crédits ▲ Tumblr et Queen G de bazzart.
mise en situation
ton personnage se retrouve en plein milieu d'un énorme open house où il ne connait qu'une seule et unique personne. alcool à volonté, musique beaucoup trop forte, etcétéra. sa réaction? ▲
Je vais commencer par prendre un verre, puis deux, tout en parlant à la personne que je connais et à ses connaissances, je vais prendre un autre verre, sortir fumer une clope, puis je vais engager la conversation avec des inconnus, certainement finir bourrée et dans le lit d'un de ces inconnus, pour me réveiller le lendemain sans savoir où je suis. Une soirée banale pour moi, entre autres.
ton personnage est en couple et l'occasion de tromper son/sa partenaire -en ayant l'assurance que personne ne le découvrira un jour- se présente à lui. sa réaction? sa décision? ▲
Je tromperais sans hésiter mon copain, pour une simple et bonne raison : je ne peux pas tomber amoureuse. Les sentiments n'ont aucune valeur à mes yeux, voire n'existent pas. Alors si j'avais l'occasion de tromper celui avec qui je suis si j'avais quelqu'un à l'heure actuelle, je dirais que je sauterais le pas. Et puis, si personne ne risque de le savoir, je ne vois pas où est le mal, franchement.
ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲
Je l'adopte, sans hésiter ! Moi et les chats c'est une grande histoire d'amour, je ne suis pas Mère Theresa et je ne serais pas prête à adopter tout les chatons du monde, cependant j'ai toujours rêvé d'avoir un petit chat rien qu'à moi - de plus une présence dans mon appart ne serais pas de trop - alors si l'occasion d'adopter ce petit chat trop craquant se présentait, je n'hésiterais pas !
digne du titanic, ton personnage se trouve à bord d'un navire qui coule. deux choix s'offrent à lui : aider la vieille dame qui galère dans l'eau avec sa jupe au risque de mettre sa vie en péril, ou la laisser tomber et avoir l'assurance de finir sain et sauf? ▲
Je la laisse tomber. Après tout elle est vieille, et de toute façon elle mourra avant moi, alors pourquoi risquer ma vie pour la sauver ? Certes ses petits yeux mignons de vieille pourraient me faire douter, mais je la lâcherais, je préserverais ma vie. J'ai encore tant à vivre - ou pas mais ça elle n'a pas besoin de le savoir - et, franchement, j'aime trop ma vie - malgré tout - pour tout laisser tomber maintenant.
l'heureux propriétaire
Prénom ▲ julie. Pseudo ▲ mrs nobody. âge ▲ 15 ans. pays ▲ france. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ bazzart. suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ une p'tite nouvelle. l'type de lien que je préfère ▲ les liens tordus importants pour les personnages. ma chanson du moment ▲ skrillex - bangarang. ma fréquence de connexion ▲ 4 jours sur 7. et mon super mot d'la fin .. ▲ j'ai pas de mot de fin recenser son avatar ▲
Code:
<span class="pris">kaya scodelario</span> ◈ a. tess debussy
Dernière édition par A. Tess Debussy le Mar 26 Fév - 15:40, édité 7 fois
Je suis née un seize janvier, dans cet hôpital luxueux de Paris qu'est l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Mes parents m'ont souvent racontés que ma mère était la femme la plus heureuse du monde lorsqu'elle à pu me tenir dans ses bras pour la première fois, et je la crois, vu tout l'argent qu'ils ont dépensés et tout le mal qu'ils se sont donnés pour réussir à m'avoir. Il paraît même qu'elle a pleurer tellement elle était contente de m'avoir. Mais bon, j'ai compris bien plus tard que j'étais surtout un atout commercial pour la boîte de mon père. Un PDG d'une multinationale ayant une famille, ça fait tout de suite plus charmant et vendeur qu'un couple qui arrive pas à avoir d'enfants. J'ai grandit dans la plus luxueuse maison du 13ème arrondissement, seule avec mes parents, ou plutôt seule avec ma mère. Mon père était bien trop occupé par son boulot de directeur pour s'occuper de sa famille, il fallait s'en douter. Malgré ça j'étais une petite fille heureuse, pleine de vie et destinée à un grand avenir d'avocate, de médecin ou de journaliste. Oui, pour mes parents, ma vie allait ressembler à ça. Mais plus les années passèrent et plus je me rendit compte que je n'avais pas envie de vivre ça. Les dîners dans des grands restaurants, les maîtresses que l'on voit en cachette dans une chambre d'hôtel miteux. Oh, oui, j'avais oublier de le préciser, ça. Je ne l'ai découvert que trop tard, mais mon père se tapait des putes quasiment tout les soirs dans des motels délabrés. Après tout, il avait des millions à dépenser, mais de faire ça à ma mère.. C'était écœurant. Moi ce que j'aimais, c'était dessiner. Comme toutes les petites filles me direz-vous, mais moi j'y passais mes journées. C'était mon rêve de dessiner dans des livres, ou de faire des tableaux, j'en savais trop rien mais de toute manière je ne disais rien, puisque que ça n'aurait pas plus au monde dans lequel j'évoluais. Bref, j'ai grandit dans ce monde de bourges, ce monde de faux-semblants. Seule ma mère - la femme la plus respectable au monde - était un bon exemple à suivre pour moi. Elle avait su rester simple et charmante, malgré mon père et ses innombrables défauts. Je n'ai jamais compris d'ailleurs, pourquoi elle restait avec lui. Certes j'ai appris que l'amour rend aveugle, mais à ce point là je ne pensais pas. J'ai bien essayé de lui ouvrir les yeux lorsque j'étais en âge de comprendre ce qu'il se passait dans la vie, mais maman me répétait sans cesse que j'étais trop jeune. Je pense qu'à douze ans, on sait assez de choses pour savoir qu'un homme ne traite pas sa femme comme il le devait. Les mois sont passés, les années, j'ai encore grandit, mes parents se sont rendus compte que j'étais bien différente d'eux. Je n'étais pas comme tout ces gosses de riches qui pètent plus haut que leurs culs, ces jeunes dépensiers qui s'achètent des choses chères et inutiles ; non, j'étais sage, aimante. Et bien que personne ne savait vraiment pourquoi, j'étais bien consciente au fond de moi que c'était uniquement grâce à l'amour que ma mère me procurait. Si je ne l'avais pas eu, je serais devenue une peste. Vous savez, ce genre de blondasses en robe rose que personne ne supporte parce qu'elle est trop garce et qu'elle veut toujours être parfaite en tout, et la meilleure quoi que ça puisse lui coûter. Parce que mon père voulait me pousser à devenir ça. Il voulait que je devienne l'une de ces jeunes riches qui finissent par mourir étouffé sous ses billets. C'était vraiment un homme qui ne jurait que par l'argent, la reconnaissance et le sexe. Ce genre d'homme qu'on ne veut surtout pas avoir dans sa vie. Même le fait d'avoir eu une petite fille n'avait jamais réussit à le calmer. Comme quoi il était fait pour mourir con et détesté. en cours
Dernière édition par A. Tess Debussy le Mar 26 Fév - 16:17, édité 2 fois