Nom Complet ▲ Romy Jac Di Augusto Lieu de naissance ▲ Cannes âge ▲ 23 ans nationalité ▲ Française. diplômes, études ▲ Étudiante en médecine (4ième année). statut matrimonial ▲ célibataire. orientation sexuelle ▲ hétérosexuelle. situation financière ▲ moyenne. idole(s) de vie ▲ la p'tite mémé qui vend encore des fleurs à 80 balais en bas d'chez moi. nombre d'amis facebook ▲ facequoi ? moyen de déplacement ▲ à pieds, transports en commun, vélo, train, tutti quanti sauf la voiture. groupe ▲ la javanaise. avatar ▲ Alexandra Chando. crédits ▲ bazzart.

ton personnage se promène dans un supermarché lorsque soudainement, un homme avec une cagoule pointe son arme sur les clients en criant qu'il s'agit d'un hold-up. sa réaction? ▲

Je crois que la première chose que je fais c'est crier, ou alors essayer d'étouffer un cri. C'est pas que j'suis une froussarde, mais y a des situations dans lesquelles je me contrôle plus, comme celle-là, exactement. Ca me rappellerait trop de mauvais souvenirs ; tout c'qui est arrivé il y a presque neuf ans. Parce que cette scène je l'ai déjà vécue, dans les moindres détails. C'était pas juste un petit hold-up comme ça, mais carrément d'une prise d'otage, et ma mère n'y a pas survécu. J'pense bien que je me verrais mourir dans ce cas là.

île déserte. pas de portable, pas d'ordinateur, pas d'amis, pas d'amoureux, pas vraiment de divertissement, et le tout pendant une semaine. sa réaction? se plaindre, se débrouiller? ▲

J'ai souvent fait un rêve dans lequel j'étais dans cette situation. d'après mon rêve, je pleure au départ, j'insulte le ciel en demandant ce que j'ai fait pour mériter ça. Ensuite je balance mes chaussures contre un arbre pour exprimer ma colère, et la gauche me revient en pleine tête. J'essaie d'écrire SOS dans le sable en essuyant mes larmes. Et vu que j'ai la phobie des poissons, je peux pas me résoudre à aller pêcher pour manger, je préfère bouffer des noix de cocos jusqu'à ce que je meure. Même une seule semaine, je pourrais pas y résister.

ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲

La décision serait rapide à prendre, parce que je suis allergique aux chats. J'oserais même pas le toucher, par peur d'être clouée au lit toute la soirée avec des yeux gros comme des pastèques et 30 boites de kleenex au pied de mon lit. Sorry dude, mais y aura certainement une autre âme charitable qui te prendra sous son aile.

aoutch, ton personnage se retrouve dans la rue. pas de job, pas d'appartement et pas d'argent.. et le tout du jour au lendemain. sa réaction? ▲

Je crois que je ferais toute une scène de théâtre, quitte à me trainer par terre, attraper le bas de la robe d'une dame qui passe, en pleurant à chaudes larmes. J'y survivrai pas, ça c'est clair. J'ai jamais eu l'habitude de me débrouiller totalement par moi même. Mon père, qui habite toujours à Cannes m'aide à payer mon loyer, donc j'ai pas vraiment de souci à me faire de ce côté là. Mais s'il arrête : ce serait carrément, COMPLETEMENT l'apocalypse. La fin du monde. J'irai certainement me réfugier dans un mac do, en gardant les yeux rivés sur une table pendant des heures en me demandant ce que je vais faire. Pourquoi ne pas séduire le papy au fond du resto là bas ? Ca me permettrait de gagner du temps tiens !

digne du titanic, ton personnage se trouve à bord d'un navire qui coule. deux choix s'offrent à lui : aider la vieille dame qui galère dans l'eau avec sa jupe au risque de mettre sa vie en péril, ou la laisser tomber et avoir l'assurance de finir sain et sauf? ▲

J'hésiterais un petit moment, c'est clair, au risque de me faire rattraper par ma conscience. Mais au final, j'la laisserai couler la sexy, jusqu'au fond, et j'lui ferai même un coucou avec ma main si ça pouvait m'assurer de rester en vie. Ca m'a suffi de regarder la mort dans les yeux une seule fois dans ma vie et je sacrifierai toutes les personnes qui ne sont pas de ma famille si ça pouvait me permettre de vivre. C'est égoïste non ?

ton personnage se fait offrir 20 000€ .. que s'il dénonce le crime qu'a réalisé l'un de ses meilleurs potes. sa réaction? sa décision? ▲

Heureusement que c'est précisé que ce serait un de mes meilleurs amis. On m'dit souvent que je suis une garce avec les gens, que je dis trop ce que je pense, mais j'aime pas vivre dans un monde de faux semblants, donc j'assume et j'assumerai toujours ce que que je dis et pense. En revanche, les meilleurs amis, c'est ces personnes qui sont là dans toutes les épreuves de la vie, bonnes ou mauvaises. Les miens ont été là à la mort de ma mère et après la prise d'otage. Pour moi l'amitié, la vraie, c'est sacré, et même si je trouve tout ça dégueulasse, je le garderai sagement pour moi.

CHAPITRE 1 - everybody told we had a happy family.
Quand j'étais petite, j'me disais que tout avait déjà été prévu pour moi dans ma vie, vraiment, comme si tout avait été décidé à l'avance, pour que je puisse vivre un quotidien pépère, sans avoir à faire de choix crucial. Mon père était gérant d'une agence immobilière dans une des rues les plus passantes de Cannes, et juste grâce à ça, j'ai jamais manqué de rien. Non j'étais une petite fille chanceuse, ce genre que tout le monde qualifie de princesse, même si j'ai jamais eu réellement le genre de comportement associé. Ma mère, quant à elle, ne travaillait pas. Elle se contentait de passer ses journées avec ses amies qui avaient elles aussi des filles du même âge que le mien. Ca fait un peu clan de bourges tout ça, non ? Ca m'a jamais vraiment dérangé, puisque je ne connaissais pas "ailleurs". "Ailleurs", c'est le mot qu'utilisaient mes parents pour parler des autres familles, celles dont les enfants vont en école publique. Le pire c'est que je ne me suis jamais considérée comme quelqu'un de riche. J'me dis que c'était seulement de la jalousie de la part de mes parents.

CHAPITRE 2 - he said he wanted to shot us all down.
Des fois, y a des trucs que tu vois aux infos, des trucs qui "n'arrivent qu'aux autres", comme pas mal de monde dit. En fait faut croire qu'on fait tous partie "des autres". Ce jour là, je m'en rappellerai jusqu'à la fin de ma vie et parfois, même les choses les plus nazes me le rappelle. J'avais pas envie de sortir, c'était clair, à 15 piges, un samedi matin je préférais clairement dormir plutôt que d'accompagner ma mère faire les courses. Mais à la maison, c'est bien elle qui avait le dernier mot. A chaque fois, que ce soit pour les courses ou pour un caprice à la con que mon père s'empressait de réaliser, pour pas qu'elle ne claque la porte et se barre loin, loin, loin. Mais ça je m'en suis rendue compte que bien après, parce que j'avais été naïve quant au comportement de ma chère mère. Même pas une vingtaine de minutes après notre entrée chez le petit épicier 'hype" et cheros comme tout chez qui ma mère se vantait d'aller, un gars était entré. Il aurait pu être carrément normal et juste vouloir un pack de bière à siroter devant un match du psg. Mais c'gars là, avec sa cagoule sur la tête et le flingue braqué sur la tête, c'était nos têtes qu'il voulait shooter. Evidemment, c'est à ce moment là, une fois qu'il nous avait demandé de nous mettre au sol, que ma mère a décidé de l'ouvrir. Elle n'aurait pas pu se taire non ? Penser à sa vie, à moi. A quelque chose quoi, je sais pas. Comme si la carte bleue de mon père allait tout régler. Elle se sentait carrément puissante, invincible avec ce fric, et ça s'est retourné contre elle. Il a tiré et elle est morte sur le coup. J'en rêve presque deux fois par semaine de cette journée. Avec son sang partout sur mes mains, son corps allongé sur le sol et moi complètement abasourdie. Aucun souvenir de comment je m'en suis sortie en revanche.

CHAPITRE 3 - no choice, you gotta live with it.
J'ai pas envie de m'enfermer dans ce genre de souvenirs, devenir une asociale complet. Mais y a des choses qu'on contrôle pas, même si on les désire pas, ça sert à rien de lutter. J'suis pas du genre à passer ma journée sans sourire, ça c'est clair que non, mais je cache pas non plus ce qui m'est arrivé, même si certains m'accusent de profiter de ce qui m'est arrivé pour me mettre en avant. J'en parle qu'en j'en ressens le moyen d'en parler c'est tout. Mais y a aussi des moments où j'ai envie d'avancer d'oublier, mais t'sais qu'y a bien des trucs qui paraissent insignifiants pour les autres qui font tout ressurgir. Ce gars là, celui qui j'ai rencontré à l'arrêt de bus, c'est pas le premier à en avoir fait les frais, mais c'est sûrement le premier qui a cherché à comprendre. Alex, il s'appelle. Il a littéralement cru que j'allais le frapper quand je l'ai vu. Enfin, c'est pas lui qui m'a carrément rendu hystérique à cet arrêt de bus; c'est son bonnet noir. Il ressemblait en rien à une cagoule, mais j'ai été prise de hauts le coeur et le pire, quand il a vu que j'étais mal et qu'il a essayé de m'aider. J'ai pas pu lui expliquer, je suis juste partie en courant, je pouvais pas le regarder en face sans voir la tête de ma mère explosée au sol. Pourtant il m'a suivi et il l'a enlevé son bonnet. Quel con. Croire que c'est lui qui a pris de mes nouvelles pendant plusieurs mois, c'est juste incompréhensible. Evidemment, c'est allé plus loin entre nous, mais je temps des séparations a sonné quand je suis partie pour Paname. J'sais bien que les comptes de fées n'existent pas, et que je cours le risque de recroiser c'gars au bonnet à chaque coin de rue.

CHAPITRE 4 - paris, love, you're killing me deep inside.
C'est à Paris que je tente ma vie. Loin de mon cocon familial. C'est clair que mon père n'a pas voulu terminer sa vie complètement seul. A cinquante and le voilà marié à Svenja, 27 ans et beau père de ses enfants. Certes, j'vois pas du tout ce mariage avec cette immigrée russe d'un bon oeil, mais au moins, j'me dis que mon père profite. Il a raison, il en a bien chié, autant au boulot qu'avec toutes nos merdes, avec moi, essayer de me comprendre et de maintenir un semblant d'ambiance familiale. Alors mon bac en poche, je suis partie via Air France à Paris, la ville lumière, celle des bateaux mouches. Heureusement, mon père me dégage pas, il me paie un appart' et j'le lui rend bien en réussissant mes études, même si j'ai du retaper ma première année de médecine. Je dirais pas que je suis entrain de me reconstruire, parce que ça, c'est déjà fait. J'essaie seulement de combattre mes vieux démons, de profiter, sans qu'on me prenne pour une folle.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent.

LA BASE
bottin ▲ vérifie si il n'y a pas d'erreur.
demandes de logement ▲ il te faut un toit man !
liens ▲ si t'as pas d'amis, prends un curly.
évolution du personnage ▲ on veut tout savoir.
demandes de rps/liens ▲ i have an idea.
flood ▲ fait parti de la famille !
chatbox ▲ fait parti de la famille²

SPÉCIFICITÉ DE OLLP.
jeu des équipes ▲ ta team a besoin de toi !
fake lover ▲ partenariat exclusif !
il parait que ▲ les nouvelles vont vite sur ollp.
facebook ▲ je facebook, tu facebook.
lieux de paris ▲ rester dans la réalité.
mini rp ▲ tout en vitesse !

Pour finir, n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. Les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.

Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.

Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi.

Tay, Ella, Camel, Ana, Elie, Sephora et Rio.