Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes.

Linoa Alba De Carvahlo

Nom complet ▲ De Carvalho, Linoa, Alba Lieu de naissance ▲ Lisbonne, Portugal âge ▲ 17 ans nationalité ▲ Portugaise. diplômes, études ▲ terminale ES. métier ▲bénévole dans un centre d'appel, les lignes que les dépressif appelle avant d'se tirer une balle. statut matrimonial ▲ célibataire orientation sexuelle ▲ ouverte à toutes propositions situation financière ▲ aisée, fin papa a de l'argent quoi idole(s) de vie ▲ Natalie Wood. Penelope Cruz. Amoldovar. Woody Allen. Quentin Tarantino. Marcel Pagnol. nombre d'amis facebook ▲ Linoa n'est pas une grande utilisatrice de FB, mais son blog compte des miliers de vues. moyen de déplacement ▲ le chauffeur de papa pour l'école, les transports en commun pour le reste. groupe ▲ un autre monde avatar ▲ taylor hill crédits ▲ les gentils gens de tumblr dont je connais pas le nom

dix points sur ton personnage

premier point ▲ fille d'un ambassadeur du Portugal, Linoa a beaucoup voyagé. Dernièrement, elle vivait à Buenos Aires mais papa a été muté à Paris au Nouvel An donc ils ont déménagé à son grand dam car la dernière qu'ils ont vécu à paris, la vie de la jeune fille n'était pas simple. deuxième point ▲ Linoa parle donc portugais et espagnol couramment, l'anglais également même si elle le pratique moins. le français est également bien maîtrisé même si elle ne l'a pas pratiqué depuis un moment troisième point ▲ elle a un chien, le genre de mini bestiole à poil qu'on écrase dès qu'on regarde pas où on va, le genre de bestiole qui rentre dans le sac à main, pourtant elle l'adore, allez savoir pourquoi. elle s'appelle son " caniche de pute " quatrième point ▲ c'est une dingue de jeu vidéo. elle est au courant que c'est absolument pas féminin mais elle s'en fout. d'ailleurs, si vous avez la chance de la voir chez elle, vous verrez qu'elle n'est pas aussi propre qu'elle le fait paraître. très franchement, si la journée doit se passer à la maison, autant rester en pyjama cinquième point ▲ Linoa a un caractère plutôt simple, même si forcément il ne faut pas non plus trop lui prendre la tête sous peine qu'elle change totalement de visage et qu'elle vous bouffe. elle a ce qu'on appellerait le " sang chaud " sixième point ▲ le cinéma, c'est sa passion. d'ailleurs, elle rêve de faire des études pour produire et réaliser un jour ses propres films. le souci : papa veut pas et la voit bien faire du droit septième point ▲ ses frères, c'est toute sa vie. notamment le plus jeune. atteint du syndrome de Dawn, elle le surprotège et a totalement conscience de le faire. huitième point ▲ c'est une fille très altruiste; du genre à faire du bénévolat dans des hopitaux. à buenos aires, elle travaillait dans un service de pédiatrie. à Paris, elle travaille dans un centre d'appel supposé soutenir des dépressif. bref, elle joue les psy au téléphone neuvième point ▲ enfant, elle était très persécuté à l'école ce qui est la source de sa haine pour Paris puisqu'elle n'a pas pu s'y intégrer. depuis, elle a développé un certain répondant capable de pétrifier sur place quiconque oserait se croise mieux qu'elledixième point ▲ sans son polaroïd ou sa caméra elle est perdue. d'ailleurs, la majeure partie du temps elle filme et photographie ce qu'elle voit pour les publier sur son blog dont elle s'occupe beaucoup. elle a plusieurs personne qui la suive d'ailleurs sur le net

l'heureux propriétaire

Prénom ▲ océane Pseudo ▲ princess.baby âge ▲ trop vieille pour que ça soit dévoilé. pays ▲ france Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 2892185779

Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 2892185779

. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ moi même suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ le DC de naïs l'type de lien que je préfère ▲ ceux qu'on rp ma chanson du moment ▲ sail, awolnation ma fréquence de connexion ▲ trop souvent et mon super mot d'la fin .. ▲ j'ai hyper faim. oh et on peut me réserver Taylor ? recenser son avatar ▲

Code:: <span class="pris"> taylor hill</span> ◈ Linoa A. DeCarvalho

LE BLOG DE PRETTY FACE

Les jambes qui trépignent d’impatience se balancent dans le vide sans que je ne puisse m’en empêcher. Je vois bien que ça énerve Estéban, qui est assis en face de moi. Je ne suis qu’une petite fille mais lui est plus âgé et n’hésiteras sans doute pas à m’en coller une pour me faire arrêter de bouger dans tous les sens. De plus, je suis sous sa surveillance ce qui veut dire que je suis comme dans une cage au lion, il peut faire ce qu’il veut et moi j’obéis. Un regard noir de sa part et j’arrête de balancer mes jambes ; enfin pendant deux minutes seulement, ce geste qui revient quand je suis anxieuse, je ne peux réellement m’arrêter de le faire. Il ne faut pas croire que j’ai une relation mauvaise avec mon frère aîné. Je sais qu’il tuerait n’importe qui à mains nues si je lui demandais, sans hésiter parce que c’est comme ça qu’un frère doit agir pour sa sœur. Mais ça, c’est maintenant. Avant, il était bel et bien le grand frère chiant que tous les mecs ont été quand ils ont eu dix ans. Je n’avais jamais le droit de regarder la télévision. Bien sûr, s’il estimait qu’il avait besoin de mon dessert il le prenait et quand il avait envie de quelque chose, il se servait naturellement sans que je n’aie rien à dire. Enfin, si je râlais mais à un moment je crois que j’ai compris que ça ne servait juste à rien alors quand il me dit de ne pas bouger, malgré la difficulté, j’essaie de ne pas bouger. Je dois préciser qu’à ce moment-là – celui où je balance mes jambes - je ne savais pas ce qui se passait autour de nous. J’étais âgée de quatre ans et ma mère venait d’être amenée d’urgence à l’hôpital pour la naissance de ce que j’espérais de toutes mes forces être ma petite sœur. Pour moi, c’était uniquement de ça qu’il retournait, aurais-je une alliée contre Estéban ou bien n’en aurais-je pas ? C’était mon monde d’enfant, cette guerre fraternelle qui de toute manière allait bientôt prendre fin. Seulement, tout a changé ce jour-là. Je ne savais pas à ce moment, mais si Estéban ne pouvait pas supporter que je fasse un mouvement ce jour-là, c’est tout bonnement parce que maman aurait dû accoucher beaucoup plus tard. Quelques semaines avant, elle nous avait dit que le bébé serait malade. Je n’ai rien compris à ce moment-là, c’est dingue comme tout devient limpide quand on grandit. La vérité, c’est que ce jour-là, ma mère a fait une hémorragie, que mon petit frère est né et que ma mère ne s’est jamais réveillé.

A la maison, j’ai toujours été une petite fille très sage. J’écoutais ce qu’avait à dire la gouvernante et comme personne n’avait besoin de mes disputes avec Estéban, nous nous entendions pour favoriser l’entente dans la maison. De plus, il y’avait Ruben qui était arrivé dans notre famille et nous nous étions juré de ne jamais rien faire qui pourrait lui faire croire que nous ne nous aimions pas. En revanche, à l’école, j’étais loin d’être aimée de tous et j’étais seul face aux autres. Les autres enfants se plaisaient à dire de moi que je sentais mauvais, que je n’étais pas belle, que j’étais stupide, attardée, un monstre. Des insultes que j’ai eu du mal à supporter au début, puis l’habitude est venu. Dans la cour de récré les enfants se mettaient en cercle autour de moi pour me railler et je restais recroquevillée au milieu à encaisser chaque méchanceté dite à mon égard. Cela a duré un moment avant que je commence à décider que cela devait s’arrêter. J’ai mis du temps, et j’ai finalement compris que je n’étais pas la principale visée par mes camarades. Les enfants sont méchant, cruels même et le fait d’être en groupe, tous ensemble contre une seule personne renforce leur sentiment de supériorité. J’aurais facilement pu faire partie de leur groupe si quelqu’un d’autre à l’école s’éloignait plus que moi de la normalité. Mais non, j’étais celle que personne n’aimait et pourquoi ? Sûrement parce qu’il avait besoin de haïr quelqu’un, sûrement parce que la haine commune est le meilleur ciment social, mais l’excuse que j’avais était toujours la même. « Ton frère est un monstre. Alors tu en es un aussi, à l’intérieur. » C’est ce que m’a répondu une de mes camarades de classe quand j’ai finalement demandé pourquoi. Après ça, j’ai beaucoup cherché dans le dictionnaire ou dans les livres ce que les autres voulaient dire. Puis c’est Maria, ma gouvernante qui m’a répondu. Le plus clairement du monde, j’ai grandie ce jour-là. « Linoa, tu sais que ton petit frère est malade ? » Un froncement de sourcil, je ne donnais aucune réponse mais j’attendais mon explication. « Linoa, Ruben ne sera jamais un enfant normal comme toi ou tout ceux de ta classe. Il est différent et la différence, c’est ce qui effraie le plus les autres et quand les autres sont effrayés, ils deviennent méchant. Ils pointent du doigt sans comprendre. Tu ne dois pas faire attention à eux d’accord ? Toute ta vie tu rencontreras des personnes comme eux et tout ce que tu dois faire, c’est protéger ton frère. La solution, c’est l’indifférence. » C’est seulement plus tard que j’ai pu mettre un nom sur la maladie de mon frère : Syndrome de Dawn. C’est ce qui faisait que tout le monde était méchant, à travers moi il se moquait de mon frère, et tout ce que j’avais compris ce jours-là du discours de Maria, c’est que coûte que coûte, je devais protéger Ruben. Et je l’ai fait, sans user de l’indifférence. Plus tard donc, je suis devenue une enfant très agitée. J’ai mordu plus d’une personne à la récré. Je me suis battu avec plus d’un garçon. J’ai arraché les boucles d’oreille d’une petite fille une fois. Les moqueries ne se sont pas arrêtées pour autant, je suis restée un monstre mais je me disais qu’au moins, je n’étais plus là à pleurer. A partir de cette époque, j’ai pris la décision qu’on ne me reprendrait pas à laisser quelqu’un penser qu’il est meilleur que moi ou mon frère. J’ai frappé et avant que cela n’aille trop loin, nous avons déménagé. Le même schéma se reproduisait peu importe le pays où papa nous emmenait, les moqueries, la violence. Tout ça a continué peu importe où nous allions, enfin jusqu’à ce que l’on quitte Paris pour Buenos Aires du moins.

Sa main caresse mes hanches. Emportés dans une danse plutôt langoureuse, je me laisse totalement bercée par la musique latino qui laisse planer une atmosphère très animée dans la boîte de nuit. Quelques vapeurs d’herbe se font sentir autour de moi, je dirais que même avant cela, je commence à planer. C’est ma vie. Mes soirées. Buenos Aires. Parmi toutes les villes où le travail de papa nous a conduits, je dirais que celle-ci qui me marquera le plus et qui restera très certainement dans mon cœur. J’aime la simplicité de ces soirées, même s’il vient toujours un moment où la réalité nous rattrape. « On va chez toi ou chez moi ? » Malheureusement, il y’a toujours qu’une seule réponse et elle ne figure jamais dans la question. « Ni l’un, ni l’autre. Je dois rentrer, et tu ne peux pas venir. » Je me détache de lui. Plus loin, mes amis me regardent en rigolant sur le fait que je suis en train de jouer ce qu’ils appellent pour me taquiner : Le coup de Cendrillon. Je les laisse parler et me contente de leur faire signe tout en retournant aux vestiaires, laissant derrière moi mon prince charmant d’un soir. Jouer à la Cendrillon n’est pas quelque chose qui m’amuse spécialement. Très franchement, j’aimerais que les garçons arrêtent de penser que parce que j’ai accepté une danse avec eux, j’irais forcément plus loin. Aussi idiot soient-ils, j’ai des principes et je n’aime l’idée d’être intime avec quelqu’un que je reverrais très certainement jamais ou que je ne pourrais jamais présenter à ma famille. De toute façon, ça se vérifie, je n’ai jamais revu un de mes princes charmant et je fonctionne très bien comme ça. Ma vie privée est mon bien le plus précieux. Jalousement, je la préserve aux yeux de tous, même ceux de mes amis qui sont curieusement nombreux. Je ne veux juste pas que les histoire de Paris ou d’ailleurs se reproduisent. J’aime trop ma vie ici. Sauf qu’elle va prendre fin à la fin de cette soirée. « Linoa, tu tombes bien j’ai à te parler. » Papa a l’air grave. J’aurais pu m’inquiète si Maria n’avait pas été elle aussi dans la pièce, si elle est là c’est que Ruben va bien. Ruben, c’est encore et toujours ma préoccupation numéro un. « Nous repartons à Paris, je vais être remplacé ici. » Peut-être qu’il aurait pu être moins brutale dans l’annonce de la chose. Ou peut-être qu’il n’aurait pas du dire « nous. » mais juste « je ». J’en sais trop, je ne parviens pas à penser. J’étais sur un nuage et là. « Comment ça Paris ? D’habitude, on le sait en avance. On ne peut pas rester jusqu’à la fin de l’année. Tu peux toujours refuser. » Jusqu’à ce que je sois diplômée. Qu’on s’entende là-dessus, je déteste Paris. Je déteste ses habitants, son climat, ses écoles. Papa le sait, il a eu a géré tellement de chose quand y vivait. « Je le sais depuis plusieurs semaines. J’ai réflechis et on part au Nouvel An. » Brutal. L’annonce et le mensonge. Ou plutôt l’omission. C’est pas comme si j’avais répété pendant des années que j’étais heureuse d’avoir quitté la France et que probablement, je n’y retournerais jamais. « Quoi ? Non mais non, je refuse. Tu crois quand même pas que je vais troquer ma vie ici contre celle que j’avais là bas (…) » Discours en vain, j’aurais beau m’énerver à tenter de rester, le calme de papa me fait comprendre que la décision est prise et que je devrais la suivre. De plus, il n’a pas eu de mal à me résigner. « Les hôpitaux parisiens sont meilleurs que ceux d’ici. Ruben ira mieux et Estéban a un trouver un emploi à Paris, on sera à nouveau ensemble. » Comme toujours, je suis faible quand on mentionne le bien-être de Ruben. La chaleur de l’Argentine n’avait fait aucun bien à sa santé qui se dégradait depuis plusieurs mois. Et puis Estéban… J’ai à peine le temps de me résigner que nous voilà dans l’avion avec toutes nos affaires. JE me dis qu’après tout, ce n’est que l’affaire de quelques mois.

t'es bonne

t'es belle Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 2684926262

et sache que ton nom me perturbe énormément, mais que j'vais faire avec Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 3846838978

(et t'es d'autant plus sexy avec !)
j'ai hâte de voir c'que tu vas nous faire moh

rebienvenue ici Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 713858961

Rebienvenue. Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 3846838978

t'es bonne

Taylor

Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 891098728

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Bienvenue parmi nous Razz

Welcome demoiselle ! Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 811500621

Bienvenue par ici Razz

nais mon amour Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 3846838978

bon courage pour ta nouvelle fiche. Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 713858961

Bienvenue à Paris

(re)bienvenue Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 3846838978

taylor est super jolie Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 2684926262

bon courage pour ta fiche !

Bienvenue à toi sur OLLP :)

Ton nom de famille me perturbe légèrement, c'est le même que mon meilleur ami IRL

rebienvenue avec ce nouveau personnage.

merci beaucoup à tous
désolée pur le stress du prénom, j'trouve que ça sonne tellement bien que j'ai la flemme d'en chercher un autre :roll:

autrement, j'aurais besoin d'un petit délai, parce que je m'absente ce week end et j'aurais pas le temps de finir ma fiche avant lundi, et j'voulais savoir si maintenant que taylor est libre, on pourrait me la réserver juste le temps qu'elle me passe pas sous le nez le temps où je ne suis pas là.

j'te met un délai jusqu'au 29 et la réservation dure trois jours donc, jusqu'au 28.

c'est parfait, j'aurais fini d'ici là

BIENVENUE SUR OLLP

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement ~~tebouffer~~, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici ou de liens si tu as une idée précise juste ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et une fiche d'évolution pour ton personnage. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore un facebook. tu as également la possibilité utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
De plus on te conseille fortement de te rendre régulière sur il parait que pour suivre les potins et en poster à ton tour.
pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé n'hésites pas à participer à l'intrigue du moment pour être directement dans le bain. les intrigues commune se trouvent toujours en annonce globale, donc tu peux la trouver n'importe où.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp sont grand ouverts, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes. 2684926262

Tay, Ella, Camel, Ana, Elie, Sephora et Grace.

» alex ❖ dans la vie il faut croire en ses rêves, peu imprte les difficultés (end)
» (M) Au choix ✗ j'ai décidé de détruire quelqu'un. briser une existence.
» + et mes rêves s'accrochent à tes phalanges
» #Linoa De Carvalho
» Linoa ▲ Divine décadence

Linoa ▲ Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes.

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