Nom complet ▲ tino-luhan berger. Lieu de naissance ▲ londres. âge ▲ vingt-deux ans. nationalité ▲ français/anglais. diplômes, études ▲ écrire ici. métier ▲ écrire ici. statut matrimonial ▲ en coupleS. orientation sexuelle ▲ hétérosexuel. situation financière ▲ de quoi se faire plaisir. idole(s) de vie ▲ écrire ici. nombre d'amis facebook ▲ écrire ici. moyen de déplacement ▲ écrire ici. groupe ▲ écrire ici. avatar ▲ thomas davenport. crédits ▲ tumblr.

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T’es assis au beau milieu de la classe. Autour de toi, les gens sont bien différents. On t’avait dit que les français craquaient sur l’accent anglais. On t’avait dit que t’allais être un Dieu vivant quand t’allais débarquer dans le pays. Et tes rêves s’étaient très vite écroulés. T’avais toujours été naïf. T’avais toujours cru à ce que les gens te disaient. Qu’à un moment, on allait t’aimer pour ce que t’étais. Ce pauvre adolescent qui n’est pas agréable à regarder mais qui a un grand cœur. Tu te disais qu’un jour, on allait passer au-delà de ton apparence. Et si au début, t’étais passé inaperçu aux yeux des autres dans ce nouveau lycée, t’étais rapidement devenu le souffre-douleur des élèves. Tes camarades t’envoyaient dans les poubelles. Ils se moquaient de toi. Tu mangeais seul, en recevant les déchets des autres en pleine tête, ce qui faisait rire toute la cafétéria. Et tu prenais sur toi, tu te disais qu’un jour, tu prendrais ta revanche sur eux. Qu’un jour, certains bosseraient pour toi et tu leur ferais la même chose. Et oui, t’étais naïf. T’avais de grands rêves. T’espérais devenir un grand chirurgien. T’espérais être connu pour ton talent avec un bistouri. Mais pour l’instant, tout le monde te connaissait pour ton physique. On t’appelait « La Binocle ». Et tu subissais. En silence. Tu te renfermais sur toi-même.
Les filles ne faisaient pas attention à toi. Tu les trouvais toutes belles. Tu les complimentais. T’avais même offert un bouquet à l’une d’elles, et elle l’avait directement jeté dans la poubelle la plus proche. Les autres gars se moquaient de toi. Ils n’avaient aucune pitié. T’étais même la cible des paris, ou des plans foireux. Les filles se mettaient de mèche et montaient des plans pour t’humilier. Certaines ne connaissaient même pas ton prénom, et t’avais le droit à des « Ludo », des « Antho » ou encore des « Nico ». Et à chaque fois que tu voulais les corriger, elles n’écoutaient pas et refaisaient la même erreur plus tard.
Au final, tu te sentais mal dans ta peau. T’avais beau avoir ta petite bande d’amis, tu te sentais rejeté dans ton nouveau bahut. T’étais le dernier choisi en gym. Les soirées se passaient sans toi, et quand t’essayais d’y aller, tu te faisais refouler ou tu restais dans ton coin sans qu’on te remarque. T’avais jamais de cavalière. Et cette putain de vie, elle te cassait les couilles.


Elle t’a tellement cassé les couilles, que t’as décidé de changer la donne. Un jour, tu t’es levé, et tu t’es dit que c’était fini. T’avais à peine 16 ans. Et pendant un été, t’as tout fait pour ne plus être le mec que t’étais avant. T’as demandé à être relooké et t’as viré toutes les affaires de ton armoire. T’as mis les lunettes carrées et dégueulasses à la poubelle, et tu t’es acheté des lentilles de contact. Et t’as commencé à faire du sport. Au début, c’était dur. Et après, c’est devenu une drogue. T’as passé tout un été à suivre un régime super strict et un programme de remise en forme. T’as enchainé les séances de musculation, et petit à petit, les résultats ont été visibles. C’est là que tu commences à prendre de l’assurance. A te sentir bien. Que t’es prêt à prendre un nouveau départ dans la vie.
Puis quand est venu le moment de la rentrée, personne ne t’a reconnu. Les gens semblaient avoir oublié « La Binocle », et on a commencé à s’intéresser à toi. En gym, t’étais plus le dernier choisi. Du moins, c’était encore le cas au premier cours. Et quand on a remarqué que t’avais fait d’énormes progrès, que tu pouvais courir plus de cinq minutes sans finir épuisé et essoufflé, c’est là qu’on a commencé à te faire confiance. Le sport, c’est devenu une grande partie de ta vie. T’as fait tes essais pour l’équipe de Basketball, et à la grande surprise de toute l’école, t’as été pris, et t’étais un des meilleurs joueurs.

ETE, 16 ANS

Trente-cinq degrés à l’ombre. La chaleur est pesante, et avec ce calme résidant dans la villa de ton père, tu te fais bien chier. T’es seul, ton paternel et ta belle-mère étant tous deux au boulot. Tu t’accordes un bain dans la piscine de la résidence, vêtu d’un simple short de bain blanc. Ce que tu voulais, cet été-là, c’était te trouver un boulot saisonnier comme tous tes amis de seize ans, histoire de ne pas rester seul toute la journée. Ton père avait refusé, et du coup, tu te fais chier, en solitaire. Et à part jouer à la console et profiter du beau temps, t’as rien d’autre à faire. Et après avoir fait plusieurs longueurs dans la piscine, tu te calles sur l’un des matelas gonflables qui flottent dans l’eau. Les rayons du soleil t’agressent la peau, mais un petit vent frais te frôle pour te rafraichir. Et ce mélange de chaleur et de fraicheur t’aide à t’endormir paisiblement au milieu de ce bleu chloré.
Tu sais pas combien de temps tu t’es endormi, mais quand tu ouvres les yeux, tu n’es plus seul. Au bord de la piscine est étendue une femme de vingt-sept ans, les cheveux dorés et le teint halé, une paire de lunettes de soleil posée sur le visage. La tête dans le coaltar, il te faut quelques secondes pour percuter qu’il s’agit de la nouvelle femme de ton père. Elle te fait un sourire, accompagné d’un signe de main pour te saluer. Tu lui rends la pareille, et descends de ton perchoir, te mouillant une dernière fois de la tête au pied avant de sortir de l’eau. Les gouttes ruisselant le long de ton torse en suivant les courbes de tes abdos, tu ne peux que remarquer le regard insistant de la jeune femme qui a retiré ses yeux de mouche, protégeant ses globes oculaires de la brutalité du soleil, pour l’occasion. Tes joues s’empourprent malgré le bronzage. T’es mal à l’aise, et t’as qu’une envie, c’est courir vers l’intérieur de ta chambre. Dos à elle, tu te diriges vers ta serviette mais sa voix te stoppe dans ton élan. « J’ai toujours pensé que t’étais plus attirant que ton père, même de dos ! » Ta mâchoire se serre, mais tu reprends ta marche vers la serviette. Tu te sèches le plus rapidement possible pour fuir cette situation désagréable, mais t’as même pas le temps de repartir qu’elle est déjà derrière toi. Son doigt frôle ton dos jusqu’au creux de tes reins. Tu te retournes brusquement. « A quoi tu joues ? » « Me dis pas que c’est pas ton fantasme à toi aussi. C’est votre truc aux jeunes, maintenant. Se faire une femme plus âgée. Je t’en donne l’occasion. » Ses mains se font beaucoup trop baladeuses, et au moment où elle effleure ton entrejambe, tu t’écartes le plus possible. « C’est quoi ton problème ?! » T’énerves-tu en la regardant méchamment. Tu tournes à nouveau les talons et avance d’un pas pressé vers la villa, mais la voix de ta belle-mère t’arrête à nouveau. « Ne pense même pas à te barrer comme ça. Quand je veux quelque chose, je l’ai et tu vas pas t’en tirer comme ça. A part si tu veux que je raconte à tout le monde que ton père vend de la drogue pour arrondir ses fins de mois. C’est ce que tu veux ? » Le chantage, y a rien de pire. Et pendant des mois, t’as été son jouet sexuel.

Et avec tout ce sport, tu finis par passer du vilain crapaud au prince charmant. Avant, tu courrais après les filles et maintenant, c’est elles qui te courent après. C’est elles qui t’approchent et qui te proposent de sortir, qui te demandent d’être leur cavalier, ou qui t’offrent des trucs sans importance. Au début, t’es flatté. Puis, tu repenses aux deux années que t’as subi durant lesquelles elles t’ont humilié. T’avais rien demandé, à l’époque. T’étais le gars le plus adorable, t’étais attentionné, et elles t’envoyaient bouler, elles ne retenaient même pas ton prénom ou pire encore, elles se foutaient de ta gueule. Elles ont monté des plans contre toi. Alors, tu perds toute sympathie pour elles, et t’inverses les rôles.
Et en peu de temps, tu deviens l’inverse de qui tu étais. Si avant, tu avais plus de respect pour elles que pour toi, aujourd’hui, c’est bien différent. Aujourd’hui, elles sont devenues tes marionnettes, et tu tires les ficelles avec une grande facilité. Tu les manipules. Tu te dis qu’elles l’ont mérité. Alors, tu commences à en voir une. Puis deux. Et très vite, t’as plusieurs petites amies en même temps, et tu les mènes en bateau. Elles n’y voient que du feu. De toute manière, t’as ton excuse qui marche plutôt bien, et que t’utilises depuis la terminale. T’utilises la figure paternelle comme échappatoire. Tu leur dis qu’il veut que tu te concentres sur ta carrière de futur médecin, et sur le sport, et qu’il juge que tu n’as pas le temps pour avoir une petite amie. Et elles y croient. Et c’est là que tu leur fais croire que tu tiens à elles, que tu veux continuer à les voir en privé parce que t’imagines pas vraiment ta vie sans elles. Et elles gobent encore plus tes mensonges.
T’es pas complètement un connard non plus. T’as un caractère plutôt versatile. Tu mens aux filles, mais t’es toujours le même avec tes proches. T’es toujours ce gars adorable et drôle qui aime déconner. Sauf que t’as de nouveaux amis. Les gens s’intéressent un peu plus à toi et ceux qui autrefois te foutaient dans la poubelle viennent te manger dans la main. T’es invité aux soirées maintenant. Tu passes plus inaperçu, et les gens t’adorent, parce que t’es naturel et que tu te prends pas la tête. Mais maintenant, t’as plus peur de tout garder pour toi, et t’es devenu franc. T’hésites pas à leur dire ce qui va pas.

L'histoire avec ta belle mère, ça a duré des mois, puis ton père vous a grillé. Il a rien voulu entendre et t’as viré de chez lui. Alors, tu vas habiter chez ta mère. L’ambiance est complètement différente. Pas de piscine. Pas de grande villa. Mais un appartement en piteux état, et après la belle-mère nympho, t’as le droit à un beau père violent. Chaque jour, ça gueule. Chaque jour, ça casse. Chaque jour, ça cogne. Et chaque jour, j’ai droit à des excuses bidons de ma mère, se la jouant fautive de la colère de mon beau père, et prétextant des anecdotes pourries du genre « je me suis cognée contre le meuble de la cuisine » ou toute autre connerie du genre. T’y crois pas, et au début, tu dis rien. Mais à force, ça te saoule, et t’es dégouté de vivre dans le même espace que ce mec. T’as à peine dix-huit ans, mais niveau carrure, l’autre con ne te fait pas peur. Il est plutôt sec, n’étant pas un fan de sport, mais plus de bières. Les nerfs, ils sont montés quand t’as vu la scène en direct. Tu rentres des cours, et tu tombes sur ton beau-père en train de passer à tabac ta mère. Sans réfléchir, t’as foncé sur lui et tu lui as rendu les coups qu’il lui mettait. Il a la gueule en sang, il n’a pas pu réagir face à la situation plus que rapide. Et toi, tu l’as menacé de recommencer s’il ne prenait pas ses affaires tout de suite, sans jamais revenir. C’est comme ça que le calvaire de ta mère s’est achevé. Plus d’homme violent, juste vous deux, pour une vie beaucoup plus tranquille. Du moins, avant que tu rentres chez toi et que tu trouves un mot de ta mère qui disait « Je suis parti le rejoindre. Je suis désolé. » Le lycée finit, tu t'es tiré pour venir dans Paris même. Au revoir la banlieue.

PARIS, 20 ANS

T’enchaines alors les petits boulots. Serveur dans un restaurant. Mécano. Vendeur dans un magasin de fringue. C’est là que ta vie prend un tournant. T’es tranquillement en train de ranger des habits sur les portants, quand tu te fais accoster. « Excusez-moi de vous déranger. On doit pas vous poser souvent ce genre de questions, mais je cherche un cadeau pour mon neveu et physiquement parlant, il a à peu près votre carrure. Est-ce qu’il serait possible que vous essayiez deux trois trucs pour moi ? Pour voir si c’est la bonne taille tout ça. » « Vous savez, sinon, votre neveu peut venir l’échanger si c’est trop grand ou trop p… » « Oh Maddhox, y a plus personne à cette heure-ci, tu peux bien faire plaisir à la dame ! ». Derrière toi, ta collègue a un sourire moqueur. Tu lui lances un regard insistant avant d’accepter la proposition de la dame en haussant les épaules. Pour une femme d’une quarantaine d’années, elle était plutôt bien conservée. Des cheveux bruns ondulés lui arrivant en dessous de la poitrine laissait entrevoir une poitrine généreuse mise en valeur par un soutien-gorge push-up et un décolleté plongeant. Sa robe lui moulait parfaitement ses formes et manquait beaucoup trop de tissus au niveau des jambes. Et là, tu captes que c’est pas très poli de dévisager une personne comme ça, même si elle semble flatter vu son sourire.
Tu la suis jusqu’aux cabines d’essayage et elle te tend une chemise blanche cintrée et un pantalon de la même couleur. Tu fermes le rideau et enfiles rapidement les affaires, constatant que celles-ci te moulaient beaucoup trop. « Alors ? » Tu ouvres le rideau un peu gêné et t’avances vers elle. A son tour de te détailler de haut en bas en faisant le tour de toi. Tu lèves les bras en avant pour lui montrer que les habits sont trop serrés. « J’espère que votre neveu est plus maigre que moi, sinon il faudra passer à la taille supérieure. » Tu lui offres un sourire, que tu ravales bien vite quand elle devient plus tactile. Sa main se pose sur ton biceps. « Je vous voyais pas aussi bien bâti, en fait. » Tu te recules, t’as l’impression d’avoir ta belle-mère en face de toi. La gêne s’empare de toi et tu retournes dans la cabine. « J’ai un dernier petit truc s’il vous plait. » Elle ouvre les rideaux de la cabine et toi, dans la gêne, t’avais commencé à te dessaper pour retrouver des vêtements beaucoup plus confortables. Tombant nez à nez sur ton corps vêtu d’un simple boxer, la cliente ne peut s’empêcher de mater ce qu’il s’offre à elle à nouveau. Tu places nerveusement tes mains devant ton entrejambe qu’elle scrute depuis quelques secondes. « Je comprends pas pourquoi vous travaillez ici avec un corps et des attributs pareils » Elle descend à nouveau son regard vers ton sous-vêtement, et tu resserres un peu plus tes mains contre le morceau de tissus. « Je bosse pour un club, le Tonga Hut Nightclub. Vous devriez passer un jour pour voir ce qu’on y fait. Je serais ravie de vous faire faire le tour de l’établissement pour vous présenter au reste des employés et on serait ravi d’avoir quelqu’un d’aussi beau et musclé dans l’équipe. Et puis, sincèrement, vous gagnerez le triple de ce que vous pouvez faire ici, en faisant moins d’heures et en vous amusant plus. A vous de voir. » Elle ponctue sa phrase d’un clin d’œil et glisse son doigt le long de ton torse jusqu’à effleurer tes mains qui tenait ton entrejambe bien fermement afin de le cacher. « J’en connais des clientes qui seraient ravies de voir ça. » Finalement, t’y es allé à cet endroit. Et si au début, t’étais réticent à l’idée de prendre un job de stripteaseur, t’as fini par accepter, jusqu’à même arrondir tes fins de mois en couchant avec certaines clientes friquées en échange de plusieurs billets, sous la responsabilité de ta patronne qui est satisfaite de sa nouvelle recrue.

Ta franchise, tu peux quand même la remettre en question. Parce que t’as à peine 22 ans, mais tu possèdes plusieurs vies. D’abord, t’es étudiant à la fac en médecine, pour la cinquième année. T’es un des meilleurs de ta promotion parce que tu te donnes les moyens d’être au top. T’étudies beaucoup, tu connais tout par cœur. Et en même temps, tu fais des gardes à l’hôpital du coin. L’hôpital est d’ailleurs devenu une de tes excuses quand t’as plusieurs copines. La médecine, c’est trop truc. T’es doué, tu le sais, et tu fais tout pour avoir les meilleurs cas. Tu fais aussi des études de sport, parce que ça fait toujours autant partie de ta vie. T’es capitaine de l’équipe de basketball, et ça aussi, t’en fais ta fierté.
Pendant ton temps libre, t’as ton délire à toi. Quand tu vis seul, et que t'es en galère pour subvenir à tous les besoins, tu te dois de trouver du fric. Alors, tu fais croire que t’as un boulot en dehors de la ville. Mais réellement, tu bosses pas. T’utilises tes talents de menteur et de bon comédien pour trouver de l’argent. T’es tellement doué que t’es devenu l’Arsène Lupin des temps modernes. Une version encore plus jeune de Rocancourt. T’es le plus bel arnaqueur que la Terre compte , et avec ta tête de gentil que t’as depuis que t’es jeune, et ton beau sourire, tu peux avoir tout ce que tu veux. Tu te fais du fric sur le dos des gens, et tu fais croire que tu bosses pour un bourge. Et on te croit.
Le mensonge, c’est devenu ta vie. Et dans tous ces mensonges, tu t’égares. Tu crois que tout le monde peut être manipulable, et t’en viens à ne plus dire la vérité aux gens qui comptent pour toi. Mais tu te rends plus compte de l’ampleur de tes mensonges. Tu sais pas où tu vas, et tu sembles pas remarquer que tu t’égares. Que t’es plus du tout qui t’étais au départ. Parce que ta vie, elle repose sur le mensonge. Tu couches pour le fric. T'arnaques des gens. Et on pense que t'es ce gentil gars qui bosse pour un friqué. La Binocle, elle existe plus.

et alors, qu'est-ce qui t’arrive ? c'est l'inspiration qui n'est plus au rendez-vous ? c'est mal, vraiment, c'est mal, ça mérite limite une punition . n'empêche on est cool, regarde, on vient même te prévenir à l'avance. il te reste donc plus que deux jours pour finir ta fiche, passé ce délai, on se retrouve obligé de la déplacer dans la partie des présentations en danger. si c'est une question de temps, n'hésite surtout pas à nous demander un délai supplémentaire, on t'en accordera un avec plaisir. allez courage, on sait que tu peux le faire. n'hésite pas à contacter le staff si tu as d'autres questions.

c'est bientôt la fin, ça fait dix jours que tu as commencée ta fiche et celle-ci n'est toujours pas terminé. nous sommes donc obligé de la déplacer dans les fiches en danger. sache qu'à partir de maintenant, il te reste seulement deux jours pour te manifester, si on n'a pas de nouvelle de toi d'ici là, après quelques larmes et une belle cérémonie, on mettra ta fiche à la corbeille. n'oublies pas, tu peux toujours nous demander un délais supplémentaire. aller, on prie pour toi.