Nom complet ▲ blaise léo maurice carthes. Lieu de naissance ▲ toulouse, france. âge ▲ vingt-trois ans. nationalité ▲ française. diplômes, études ▲ aucun. métier ▲ musicos de temps à autres. statut matrimonial ▲ single. orientation sexuelle ▲ bisexuel. situation financière ▲ stable. idole(s) de vie ▲ god. nombre d'amis facebook ▲ pas de fb. moyen de déplacement ▲ l'âne. groupe ▲ tu t'laisses aller. avatar ▲ rousine. crédits ▲ tumblr.
mise en situation
ton personnage se promène dans un supermarché lorsque soudainement, un homme avec une cagoule pointe son arme sur les clients en criant qu'il s'agit d'un hold-up. sa réaction? ▲
Dans les vieux coins où je traine, il n’est pas inhabituel de voir se pointer une arme mais si celle-ci est braquer sur moi, je pense que je serais à 80% pétrifié. Soyez en certain. Qui ne le serait pas ? Dans ce cas-là, j’irais me planquer par là mais hors de question que je joue le type qui s’prend pour un héros en essayant d’ôter l’arme au méchant. Je tiens à la vie. Par contre, peut-être que je lui proposerais un stick, histoire qu’il se détende ou alors, j’essayerais d’aller les flics.
ton personnage se retrouve en plein milieu d'un énorme open house où il ne connait qu'une seule et unique personne. alcool à volonté, musique beaucoup trop forte, etcétéra. sa réaction? ▲
OPEN HOUSE VOUS DITES. Seigneur dieu, le paradis oui. J’adore ce genre de soirée, que je connaissais une personne, une tonne ou même aucune, ça ne m’empêchera pas de me défoncer, de boire, de danser, de m’éclater quoi. Dans tous les sens du terme. Je crois que c’est une des seules choses dans laquelle j’excelle, parce que je n’aime pas les limites et que je ne m’en fixe pas. Ça répond à ta question darling ? En tout cas, si t’as écho d’une open house, fais-moi signe sexy.
ton personnage est en couple et l'occasion de tromper son/sa partenaire -en ayant l'assurance que personne ne le découvrira un jour- se présente à lui. sa réaction? sa décision? ▲
Franchement, rien à foutre de la fidélité. On est là pour profiter de la vie non ? Alors, je fonce dans le tas parce que l’amour, franchement, ça me passe au-dessus m’voyez. J’m’en bats les steaks quoi. Coucher toujours avec la même fille ou le même mec, c’pas trop mon trip mais big up à ce qu’il nique les même gens. Peace, respect, tout ce que vous voulez. En tout cas chez moi, je ne connais pas trop la notion de fidélité.
île déserte. pas de portable, pas d'ordinateur, pas d'amis, pas d'amoureux, pas vraiment de divertissement, et le tout pendant une semaine. sa réaction? se plaindre, se débrouiller? ▲
La weed, c’est naturel, ça pousse tout seul alors pas de problèmes. Je m’en fous d’être perdu au bout du monde, tant que j’ai toute ma tête et mon spliff de beu. Après, c’est vrai que sans allumettes ou sans briquet, je risque de galérer sévère pour m’griller quelque chose. Au pire, j’en reviendrais aux cailloux et aux brindilles. La bonne époque, ahah.
ton personnage se promène dans la rue lorsque soudainement, un chaton abandonné et maigrichon lui fait les yeux du chat potté. (you know what i mean). sa réaction? ▲
Oh mon dieu, pas les animaux, j’adore ça. Même si je ne jure pas que j’aurais le réflexe de lui donner à manger tous les jours, j’suis prêt à l’prendre sous mon aile. Après, un ou deux maximums. C’pas l’animalerie non plus. Je ne m’appelle pas Brigitte Bardot, j’suis pas blonde de toute façon. Bon, j’suis peut-être un toxico, un taré mais promis, je ne ferais pas d’expérience sur le chat. Alors, je peux le prendre ?
aoutch, ton personnage se retrouve dans la rue. pas de job, pas d'appartement et pas d'argent.. et le tout du jour au lendemain. sa réaction? ▲
Aoutch, comme tu dis. C’pas la joie et je suis bien placé pour le savoir. J’ai vécu un peu plus de deux ans dans la rue, comme un chien. Maintenant, je m’en sors et dieu merci. Jamais au grand jamais je ne souhaite y retourner. C’est dur, croyez moi. Le regard des gens, l’hiver, la faim, et le fait que vous ne pouvez faire confiance à personne. Même pas les types avec qui vous créchez par ci, par là. Vous m'avez refroidi là.
digne du titanic, ton personnage se trouve à bord d'un navire qui coule. deux choix s'offrent à lui : aider la vieille dame qui galère dans l'eau avec sa jupe au risque de mettre sa vie en péril, ou la laisser tomber et avoir l'assurance de finir sain et sauf? ▲
Je serais prêt à la laisser se noyer. Elle a profité de la vie elle alors que moi, je n’ai que vingt-trois ans. Je sais que c’est horrible ce que je dis mais je n’ai pas essayé de survivre pour mourir noyé en sauvant une vieille grand-mère. Elle a qu’à mettre des pantalons et prier Dieu tiens. Dieu notre sauveur, et bien qu’il vienne la sauver. Si elle meurt, c’est qu’elle devait mourir. La vie est faite ainsi.
ton personnage se fait offrir 20 000€ .. que s'il dénonce le crime qu'a réalisé l'un de ses meilleurs potes. sa réaction? sa décision? ▲
Je n’ai jamais été attiré par le blé. Je préfère sauvegarder une amitié plutôt que de gagner 20 000 ronds. Qu’est-ce que vous voulez que je fasse avec ? À part me pourrir encore plus la vie en achetant encore plus de fumette. Donc, non je ne prends pas l’argent. Cette phrase me fait penser à ce jeu télévisé débile avec les boites là. La banque appelle et vous propose une somme d’argent en échange de votre boite. Enfin bref.
l'heureux propriétaire
Prénom ▲ lucie. Pseudo ▲ resume. âge ▲ dix-neuf ans. pays ▲ france. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ je ne sais plus oula. suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ j'suis ton ex. l'type de lien que je préfère ▲ tordu. ma chanson du moment ▲ finder keepers, you me at six. ma fréquence de connexion ▲ réduite en période scolaire. et mon super mot d'la fin .. ▲ cdbizvuobazpbv. recenser son avatar ▲
Dernière édition par Blaise Carthes le Dim 6 Jan - 14:48, édité 7 fois
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Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 1:47
L'HISTOIRE DE MA VIE
PREMIERE PARTIE les vieux, faudrait les tuer dès la naissance. J’suis un sudiste de pure souche, même si mes cheveux sont roux comme ceux des irlandais. Mais je vous jure, je n’ai rien à foutre avec ces lilliputiens refoulés. Mes parents sont toulousains, et leurs parents aussi. J’suis un français de la pire espèce, j’suis une pure race, un entier. J’ai le sang chaud, tu veux goûter ? Mes parents n’ont jamais été vraiment là. Ils m’ont juste fait et puis c’est tout. J’crois même que je suis un accident qu’on n’a pas voulu tuer, parce qu’on n’est pas des meurtriers et que l’avortement, c’est toujours mal vu. Surtout dans une famille catho comme la mienne. Moi, ça ne m’a jamais intéressé ces conneries. Alors j’étais un peu le poil de carotte de la famille, le rebelle, celui qui voulait pas prier le soir au pied de son lit, celui qui sautait dans les flaques, celui qui rotait pendant la messe et celui qui refusait de ne pas poser ses coudes sur la table. J’en ai reçu des coups de savates mais je m’en foutais, j’étais qu’un môme. L’école, je m’en foutais aussi. Tout c’que je réussissais le mieux c’était le lancer de cailloux par-dessus les grilles de l’établissement. La voiture du dirlo, l’autobus, quelques crânes à mon compteur. Et une montagne de rendez-vous parents-dirlo-moi aussi. C’est la partie moins drôle. Mes parents croyaient qu’à force de me corriger et peut-être qu’en grandissant, je m’assagirais. J’suis devenu plus calme, ou pas. En fait, je faisais les coups en douce maintenant. C’était encore pire, mais c’était aussi tellement plus excitant. Excitant de voir tes parents douter, se demander si c’est vraiment toi qui fout la pagaille parce que t’es si mignon devant eux et que ça les change de l’époque du primaire. Maintenant, j’étais au collège, et ouais. Mon comportement était plus respectable, je faisais moins de conneries mais mes notes n’augmentaient toujours pas. Sacré dilemme. Les corrections, j’en avais marre. J’étais plus mûr et du coup, j’prenais un peu plus conscience du mal que ça m’infligeait. Certes je diminuais les conneries mais j’avais toujours le dessus sur mes parents, sans qu’ils s’en rendent compte. À présent sage, l’absence recommençait alors je suis parti. Oui c’est le mot. Je n’ai jamais eu mon brevet des collèges. Ni même mon bac. J’ai fait de la musique, beaucoup de musique. Au lieu d’être sur les bancs de l’école, je trainais dans les bars. J’chantais, j’jouais de la musique, je buvais et j’me droguais. Des joints, des joints et encore des joints. Les cathos étaient sur le cul, l’école m’a renvoyé et mes parents ont rappliqués. Encore une fois. J’ai pris la raclée de ma vie. La tôlée du siècle. Oh oui j’ai ramassé mais je n’en avais rien à foutre de ces vieux coincés du uc. C’était horrible pour moi de vivre dans cette famille, vous n’imaginez même pas. Interdit la musique, interdit les joints, interdit les filles, interdit l’alcool, interdit les cds de rock, interdit les tatouages, interdit tout. Tout était interdit, c’était l’enfer. Mes parents s’étaient gâchés la vie alors ils voulaient gâcher celle de leurs enfants. Pour moi, c’était hors de question alors à vingt ans, me voilà à la porte de chez moi. Un maigre sac sous la bras et ma guitare sur l’épaule. Je n’avais nulle part où aller, toute ma famille était ici, à Toulouse et tout le monde était aussi catho et hypocrite partout. J’étais perdu. Certes, j’avais appris à me démerder seul mais là, c’était réellement différent. J’étais un sdf, un homeless.
SECONDE PARTIE un milliardaire vit de ses rentes alors qu’un sdf vide ses poches. Je moisissais, réellement. Je me trainais, je n’avais pas de maison, pas d’argent. Personne ne m’aidait. Je n’avais pas d’amis parce que le peu de personnes que je connaissais m’avait littéralement tourné le dos. C’est fou ce qu’on peut compter sur les gens. Alors, j’ai pris mon cabas, ma guitare, et j’ai quitté le sud de la France. J’me lavais quand je pouvais. J’ai dormi sur des cartons, dans les toilettes du métro, à même le sol, sous des ponts, dans de vieux entrepôts, et je ne vous raconte pas la suite. C’pas vraiment cool à entendre puis je ne suis pas là pour me plaindre. Au début, ça allait parce que j’me disais que je n’allais pas rester dans cet état indéfiniment mais plus le temps passait et plus mes espoirs d’une vie meilleure s’estompaient. Ouais, je perdais carrément espoir, je me laissais aller. Je mangeais de la merde, il m’arrivait même de faire les poubelles. Je cherchais des petits boulots mais vous vous voyez engager un sdf ? Je remontais la France, jour après jour, toujours homeless. Mon moral était éteint, je devenais un peu taré mais au moins, j’apportais un peu de gaieté à mes confrères. À part quand je m’énervais, là j’étais violent, impulsif, je tapais partout, dans tout le monde. Je fuyais toute compagnie au bout d’un moment, je devenais asocial, colérique. J’étais en manque tout le temps, les petits joints d’avant n’étaient plus de mon quotidien et j’en pâtissais. J’me sentais mourir, jusqu’à ce jour. J’errais dans la ville Estampes, ma guitare sur le dos. J’en étais jusqu’avoir vendu mon sac et quelques vêtements pour me payer à manger. Je soupirais, trainant des pieds dans cette grisâtre ville près de Paris. La capitale, c’était mon but premier, mon eldorado, ma liberté. J’étais persuadé que là-bas, tout irait mieux. J’m’asseye sur le trottoir, le village était animé aujourd’hui. Tout ce mouvement, ces gens, ces sourires, les enfants qui jouaient, ça m’inspirait. Je sors ma guitare de mon étui, le laissant ouvert devant moi. Mon allure montre bien que j’vis dans la rue, mes tatouages sont encore plus bad boy. Je les ai tous fait gratos. Entre frères de rue, on peut tout se permettre. Je soupire, gratte quelques notes avant de me lancer dans une totale impro. Des gens s’arrêtent, ça me gêne, je me stoppe. Ne vous arrêtez donc pas ! Je souris brièvement et me remet à jouer. De plus en plus de monde, certains mette jusqu’à dix euros dans l’étui de ma guitare. À l’origine, elle n’était pas là pour ça mais je ne vais quand même pas refuser ça. La petite flamme s’était rallumée et je quittais ensuite la ville pour la capitale. Paris, la belle Paris. Des mecs comme moi, y’en avait un paquet, réellement. Je ne voulais pas rester avec eux, je voulais avance moi, me sortir de là, enfin. Chaque jour je me battais, je cherchais du travail puis l’idée de faire la tournée des bars, pour chanter et ramasser de l’argent me vint à l’esprit. C’est ainsi que tou s’arrangea. J’amassais de l’argent que j’économisais. Puis j’ai rencontré Hortense, ma petite ortie. Ma vie a changé. Certes je vis dans un petit 12m² mais je vis de ce que j’aime et ma situation est stable. Seul hic, je me drogue beaucoup trop. J’crois même que j’suis accro à ces putains de sticks de weed. Merde, je profite de la vie, rien à battre.
Dernière édition par Blaise Carthes le Dim 6 Jan - 15:23, édité 5 fois
Tay Januário administrateur
✧ ÂGE : vingt-six. ✧ JOB : animateur tv. ✧ MESSAGES : 6930 ✧ HERE SINCE : 17/05/2011
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 7:24
comme t'es classe
Louise Toscan du Plantier membre
✧ ÂGE : vingt quatre ans. ✧ JOB : éleveuse de chats. ✧ COEUR : perdu au dessus du pacifique. ✧ MESSAGES : 3600 ✧ HERE SINCE : 27/10/2012
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 8:10
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 10:09
moi j'aime mettre des bâtons dans les roux -out- re sinon
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Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 10:59
re-bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 11:48
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 12:21
Bienvenue :)
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 13:07
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 13:26
j'ai cru lire baise après tout, c'était peut être une invitation secrète, non ? ouai, sinon, t'es bien bon donc bienvenue
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Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 13:46
derp, tu me tues. sinon bienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 13:55
j'vous sexe toutes mes petites puputes préférées. merci à vous, et merci à derp pour son sublime jeu de mot. bipbip
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 14:03
Blaise Carthes a écrit:
et merci à derp pour son sublime jeu de mot. bipbip
t'as vu ça et tout en subtilité en plus
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 14:14
c'était tellement beau, j'en ai la larme à l'oeil.
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 14:20
c'est ma verve lyrique quoi mais garde moi un lien au chaud va
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 14:22
ta verge oui. y'a pas de soucis mon chat.
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 16:15
rebienvenue
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Ven 28 Déc - 22:34
reBienvenue!
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Sam 29 Déc - 0:19
merci beaucoup.
Ella Maresquo membre
✧ ÂGE : vingt et quatre. ✧ JOB : assistante sociale dans une association ✧ COEUR : célibataire. ✧ MESSAGES : 11185 ✧ HERE SINCE : 07/05/2011
Sujet: Re: blaise Δ Sam 29 Déc - 15:39
bienvenue parmi nous.
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Lun 31 Déc - 12:53
merci ella
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Mar 1 Jan - 0:30
Moi qui l'avais pris pour mon premier DC, ça va me faire bien bizarre. Bonne chance pour ta fiche et hâte de voir ce que tu vas en faire.
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Mar 1 Jan - 14:40
T'es mignon toi aussi Bienvenue à Paris
Invité Invité
Sujet: Re: blaise Δ Mar 1 Jan - 14:54
j'espère que je te ferais honneur cas. , hâte de terminer cette fiche.
cassaaaaaaaaaandre (c'alee) tu es bien mignon toi aussi
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Sujet: Re: blaise Δ Mer 2 Jan - 13:33
Blaise Carthes a écrit:
cassaaaaaaaaaandre (c'alee) tu es bien mignon toi aussi