Nom complet ▲ Félix Aloé Luca de Sarnac. Lieu de naissance ▲ Paris. âge ▲ 25 y.o. nationalité ▲ Française. diplômes, études ▲ Études en cinéma, presque inutiles. métier ▲ Dj, musicien, photographe, blablabla le mec polyvalent qui doit s'occuper. statut matrimonial ▲ Père célibataire. orientation sexuelle ▲ Bi mais plus hétéro qu'autre chose. situation financière ▲ Aisée. idole(s) de vie ▲ M.I.A. nombre d'amis facebook ▲ Un montant suffisant. moyen de déplacement ▲ Le métro principalement. groupe ▲ Gagnants Perdants. avatar ▲ Le plus beauww. crédits ▲ tumblr.

DE 8H00 à 12H00▲ En fait, tout dépends de mon "agenda", du jour, du mois, de la période, de tout ce que vous voulez. Si j'ai un truc à faire dans la matinée je me lève tôt, si non, je me laisse le plaisir d'hiberner sous la couette durant quelques heures de plus. Mais en général je ne me lève pas trop tard, j'suis plutôt du matin, j'préfère profiter de ma journée et ne pas avoir l'impression de la gâcher.


DE 12H00 à 14H00▲ Là c'est le début de l'aprèm, l'heure à la quelle j'veux bien sortir quand y'a rien à foutre, leur à la quelle j'vais au resto ou en tout cas que j'bouffe quoi. C'est assez plat comme horaire pour moi. Plat. Inintéressant. Inutile. Mais c'est le vrai début de la journée. On peut dire ça comme ça.


DE 14H00 à 17H00▲ C'est là que toutes les choses biens se déroulent. C'est la journée, le moment où j'peux vivre, où j'peux bosser, me promener, voir des potes, aller faire les magasins, m'éclater, avoir du temps libre pour moi ou même pour Alban. C'est l'moment d'la journée que j'préfère parce qu'il n'a pas de contrainte, alors je fais ce qui me plait.


DE 17H00 à 20H00▲ Il est l'heure de bouger, plus rien d'intéressant à faire. Soit j'rentre chez moi me poser, faire de la musique, pioncer, fumer, boire ou je ne sais quoi, ou alors j'vais chez des potes... faire la même chose. Exactement la même chose. Ou dernière option, peut être l'une des plus redoutée mais la plus agréable, c'est sûr, passer voir Fantine et par la même occasion Alban. Je n'peux plus passer beaucoup de temps avec elle, la voir me fais mal, alors je prends le gosse et je rentre. J'm'occupe de lui et j'le couche.


DE 20H00 à 24H00▲ Tranquille à l'appart. Seul ou avec Alban qui dort. Là aussi tout dépends des circonstances, mais en général quand je n'suis pas occupé je travaille sur ma musique et mes autres trucs jusqu'à pas d'heure.


DE 24H00 à 8H00▲ En général je ne me couche pas avant 1 heure du matin, alors je veille jusqu'à ce que je sente mes paupières devenir lourde et tomber, alors j'vais dans mon lit, au chaud, et j'dors, jusqu'au lendemain matin.

IVRESSE

Début de soirée, les gens sont calmes, timides et mal à l'aise. Ils ne faisaient rien d’extraordinaire. Ils ne faisaient rien tout court. Nous étions tous là, assis les un à côtés des autres à attendre que quelque chose se passe, quelque chose qui mettrait de l'ambiance, quelque chose de bien, de mal, peut importe, quelque chose qui ferait bouger les choses dans tous les cas. Tout le monde avait son petit verre dans la main, d'un simple verre d'eau au verre à un monaco, il y avait de tout. J'avais décidé de commencer la soirée doucement en me contentant d'une bière. Évidemment même si l'ambiance n'était pas à son comble, le peu de musique chatouillait nos oreilles pendant que nous commencions à nous parler les un les autres. Tout le monde n'était pas arrivé, c'est sans doute pour cela que rien ne se passait réellement. Nous étions tous chez un gars qui avait décidé de faire une soirée on ne sait pourquoi. Mais ce que nous savions c'est qu'on y était et qu'on allait s'éclater. Enfin, c'est ce que tout le monde voulait du moins.
J'étais assis sur l'accoudoir d'un canapé, adossé au mur, à attendre que quelque chose se passe. Je faisais passer le temps à ma façon en buvant quelques gorgées, en jouant avec mon verre, en observant les gens qui arrivaient. Mon verre vide, je décidai d'aller le remplir d'une boisson au hasard, le premier truc que je trouverais, quelque chose qui me rendrait euphorique, quelque chose qui me ferait sourire, quelque chose qui me rendrait bavard. J'avais donc laissé mon canapé pour aller remplir mon verre. En revenant une place s'était libérée, mais une fille alla la prendre avant moi, alors je retrouvai mon accoudoir. Cette fille était à ma gauche. Je ne voyais que ses cheveux brillants, je n'entendais que sa voix angélique et je ne sentais que son odeur si douce. Puis la personne à qui elle parlait me salua. Elle se retourna donc pour voir qui j'étais, tout simplement. Ses yeux. Son nez. Sa bouche. Ses traits. Son visage tout simplement. Elle semblait venir tout droit des cieux. Elle me sourit, je lui souris en retour. Je me glissai alors plus bas, sur le canapé, faisant partir l'autre personne à sa gauche. Je m'assis à côté d'elle. « Tu... tu veux boire quelque chose ? » Je ne su lui dire que ça, niaisement. Elle acquiesça de la tête toujours en souriant. Je me leva pour attraper une bière, puis revint en lui tendant. Je vis à son sourire que ce n'était pas ce qu'elle voulait. « Ah ouais.. j'suis désolé j'suis un mec j'connais que la bière. T'aimes pas l'alcool, n'est-ce pas ? » Elle acquiesça là encore. Je me sentais mal à l'aise. « T'sais tu peux toujours boire... j'sais pas.. un cocktail, ça a pas trop l'goût d'alcool.. 'fin.. ouais. » Je ris alors nerveusement. Je ne la connaissais absolument pas, je ne savais même pas son prénom, mais, j'avais envie de la connaître, de passer la soirée avec elle à lui parler, dans une ambiance plus... détendue. C'est peut-être pour ça que je voulais la faire boire, pour qu'elle soit détendue, qu'elle soit euphorique comme moi. Je ne faisais que lui sourire. « Et sinon tu t'appelles comment ? » Question bête. J'étais encore plus mal à l'aise. Fantine. Son prénom commençait aussi par un f. Je lui dis alors que nous étions fais pour nous entendre, pour ne pas dire l'un pour l'autre. Elle commençait à parler. Elle commençait à se lâcher un peu. Elle était plus détendue. Sa voix résonnait dans ma tête. Je me perdais dans les traits de son visage, dans le blanc de ses yeux, dans le rouge de ses lèvres. Ses lèvres. Je lui demandai une dernière fois si elle ne voulait pas un cocktail. Elle accepta enfin. Elle porta le verre à sa bouche. Et c'est à partir de ce moment là, oui, juste là, que tout commença. Je lui souris, elle me sourit.

DETRESSE

La musique était devenu plus forte, la lumière normale avait disparue pour laisser place à des lasers et des lampes de couleurs. La soirée était à son apogée, tout le monde s'éclatait, tout le monde rigolait. Mais nous, nous étions là, encore assis sur ce canapé, à discuter, à sourire à rire. Ma tête appuyée sur dossier, je regardais en l'air tout en l'écoutant rigoler. Son rire me transportait, il était si doux et si communicatif. Je détournai la tête pour la regarder, mais son regard croisa le mien. C'est comme si nos yeux étaient reliés par ce fil invisible. Ce fil brûlant, ce fil incassable. L'alcool nous avait rendu heureux. Nous ne pouvions pas nous empêcher de nous regarder. La tension était forte. Les effets de l'alcool me parcouraient. Je sentais la chaleur monter. Je sentais le mal de tête venir. Je sentais que tous les verres que j'avais bu faisaient leur travail en moi. J'étais détendu mais mal à la fois, et la seule chose que j’espérais c'était qu'elle ne le voit pas. Et je le croyais jusqu'à ce que je commence à me plaindre du bruit et de la lumière. J'étais pitoyable devant elle, alors qu'elle était parfaite. Elle n'avait pas autant bu que moi. Je posai ma tête sur son épaule tout en essayant de lui chuchoter quelque chose à l'oreille. Elle approcha sa tête près de moi. « Viens. » Elle me prit le bras puis m'emmena jusque dans un endroit plus calme. Une chambre. Elle me dit de m'allonger, de ne pas m’inquiéter et de dormir. J'étais malgré tout, agité. Je ne pouvais pas fermer les yeux. Elle se mit à chanter, comme on chante une berceuse à un enfant. J'écoutais sa voix. C'était sensationnel. Magique. Je me mis sur le côté pour la regarder. Son chant s'arrêta aussitôt. Je la regardais, elle me regardait, puis je l'embrassa avant de sentir mes paupières se fermer toute seules.

TENDRESSE

Sommeil agité. Je l'ai senti quand je me suis réveillé. Il faisait toujours nuit, il n'y avait plus aucun bruit à l'extérieur de cette chambre. Il était quatre heures et douze minutes du matin. Je n'avais pas franchement beaucoup dormis, mais je me sentais bien mieux. Je n'étais pas seul. Je sentais ses mouvements à côté de moi. Elle était allongée à côté de moi, dans un lit. Mon regard plongea sur elle. Elle ne dormait pas, elle me regardait avec un petit rictus. « T'as... t'as pas dormis ? » Elle me répondit que non, qu'elle ne voulait pas dormir, que me regarder était beaucoup mieux. Ok. Elle était vraiment parfaite, ce n'était qu'une des nombreuses confirmations. Je me redressai tout en soupirant. Je la regarda puis je mis ma main sur son visage. A partir de là tout se déroula très vite. Le baiser volé, le baiser donné, le baiser demandé. La tension et la chaleur montaient au fur et à mesure que nos corps se rapprochaient, au fur et à mesure que les baisers se faisaient plus longs et passionnés. Tout allait très vite. Mes mains sur sa peau, mes lèvres sur les siennes. Elle semblait à l'aise. Elle souriait. Tout ça la rendait encore plus belle. Les vêtements commençaient à glisser jusqu'au sol. Cette ambiance douce était devenu plus sauvage. Tout était parfait. Cette nuit était parfaite. Son corps contre le mien. Nous ne faisions plus qu'un. Tout était parfait.

VITESSE

Trois ans. Trois de bonheur, trois ans de joie, de partage, d'amour. Trois putain de parfaites années. C'est ce qu'elle m'avait donnée. Trois années avec ses nombreux hauts et ses quelques bas. Trois années parfaites, intenses. Jusqu'au jour où elle su qu'elle était enceinte. Les premiers mois furent normaux. L'ambiance n'était plus à son comble mais l'amour était toujours présent. Puis vint mai. Mai et Alban. Alban, notre fils. Oui, notre fils, à elle et moi. Elle avait dû arrêter ses études. Elle avait dû faire des sacrifices, mais ce qu'elle ne voyait pas, c'est que moi aussi. Elle me reprochait sa défaite. Elle me reprochait tout. Je ne pouvais pas vivre ainsi. C'est pourquoi ça a duré trois ans. Et pas plus. Trois ans. Trois belles années. Trois belles années parties en fumée.

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va, si tu peux dès à présent rp, tu peux et dois également gérer les différents services et demandes à ta disposition dans le coin approprié comme faire une demande de logement ou participer à la vie du forum si tu as des idées à proposer. Histoire de ne pas être forever alone, on te conseille de ne pas hésiter à envoyer des MP aux autres membres afin de commencer un sujet ou de se trouver un lien. D'ailleurs, si tu as envie de laisser faire le hasard, n'hésites surtout pas à faire une demande de RP ici. Tu peux également avoir une fiche de lien et répertorier tes différents sujets. D'ailleurs, n'oublie pas qu'en choisissant ton groupe tu as été automatiquement placé dans une équipe et que tu vas ainsi pouvoir gagner un tas de points pour elle, si tu veux plus d'information, viens donc faire un tour ici. Si tu as envie de rendre la vie de ton personnage plus excitante tu peux posséder un téléphone, un journal intime ou encore utiliser le système de mini-rp pour aller plus vite.
De plus on te conseille fortement de te rendre régulière sur il parait que pour suivre les potins et en poster à ton tour.
pour finir et parce qu'on t'as vachement assommé (mais là on veut bien te soigner ) consultes régulièrement le tumblr du forum pour être au courant des news.
Pas besoin de te préciser que la chatbox, le flood et notre boite mp est grande ouverte, surtout n'hésites pas, le plus important, c'est vraiment que tu sois bien et heureux parmi-nous.
aller encore bienvenue, on est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi

Tay, Ella, Camel, Harriet, Ana, Elie, Sephora et Grace.