Балей .
Russie.MAMAN EST PARTIE.
PAPA EST TOUJOURS LA.
« Joyeux anniversaire Ephraïm ». Le petit ange blond ne comprenais pas vraiment ce que cette veille chouette était en train de lui dire, en fait il avait tout juste un an alors imaginé sont ressenties quand une vieille dame se penche sur vous en hurlant alors que quelques minutes avant vous dormiez profondément.
« Maman laisse le, il qu'un an, a cet âge-là on s'en fout ». Oui Ephraïm s'en fichait éperdument, lui tout ce qui pouvait l'intéresser à ce moment précis c'était son jouet en forme de cube. Olga regardait tendrement son fils en lui caressent le peu de cheveux qu'il avait sur le crâne
« Il grandit tellement vite ». Olga était le genre de femme complètement dévoué à sa famille, à son mari et à sa ville. Jamais un faux pas, jamais un mot plus haut que l'autre en bref : l'épouse idéal. Mais rien n'aller au fond d'elle et elle savait, cette situation ne durerait pas. Comme à son habitude Oscar arrivait très tard dans la soirée les enfants Sven était déjà tous endormis. La porte s'entrouvrit et une tête ornait d'un chapeau apparut
« Coucou ma femme ».. Oscar était aussi l'homme idéal, travaillent d'arrachepied pour nourrir sa famille modeste et malgré ces années de mariage il était encore fou de sa femme. Traversent le salon il attrapa Olga par la taille et lui offrit un baiser mémorable ,mais la jeune femme ne cessait pas de trouver des excuse pour que ça n'aille pas plus loin et ça il avait fini par le remarquer . S'accoudent à la cheminée il fronçait à présent ces sourcils noirs
« Y a-t-il un problème Olga ? ». La jeune mère semblait perdu et triste à la fois
« Je vais partir Oscar ». Oscar ne comprenais pas vraiment sa jeune épouse, ici il lui offrait pour qu'elle soit heureuse, elle n'avait même pas besoin de travailler comme c'était prévu au début
« Je ne comprends pas. Pense à Ephraïm , Yulia... » Le lendemain la jeune femme était partie, laissent derrière toute une vie et un mari triste, qui ne savait pas comment il aller pouvoir se relever d'une telle épreuve. La mère d'Olga passait régulièrement les voir et n'avait toujours pas compris le geste de sa fille unique. Alors de temps en temps autour d'une vodka Oscar et la vieille dame essayait de comprendre, de voir s'il y avait une solution pour qu'elle revienne
« Vous savez ou elle est partie Monsieur Sven ? ». Oscar regardait le sol, triste, perdu, malheureux
« Non mais elle je pense qu'elle ne reviendra jamais. » Sans dire un mot de plus les deux se regardèrent maintenant la priorité était les enfants.
Le temps était passé chez les Sven, l'absence d'Olga était plus vraiment présente du moins personnes n'en parlé puis pourquoi faire ? Comment décrirait-vous une femme qui abandonne ces cinq enfants et son mari sans raison ? Dites-le tout le monde le pense : Une salope. Le statut de mère n'aurai jamais dû lui être attribué. Le soucies chez les Sven c'est que personne n'a jamais su pourquoi elle était partie et s'ils l'avaient su es-que leurs jugements aurai été différent ? Peut-être bien que oui mais ça on ne le sera jamais. Aujourd'hui Ephraïm avait huit années, finit le petit monstre en couche culotte c'était à présent un jeune garçon découvrent la vie avec ces faille, ces travers et ces petites joies. Son père avait finis par se remariait pour son plus grands bonheurs, dans la foulée il eut aussi trois petits frères en plus des grand qu'il avait déjà.
L'hiver c'était abattu sur la Russie cette année-là, un froid glacial. Vous savez ce genre de froid qu'on maudit d'existé ,mais qui nous manque tant quand le soleil nous brûle la peau. C'était aussi l'anniversaire de son père.
« Joyeux anniversaire Papou » Criait en coeur cette grande famille. Ephraïm s'approcha de lui pour lui temps un paquet cadeau bleu a gros poids blanc
« C'est pour moi ? » Quelle questions idiote de la part de son père, pour qui ça pourrait être ? Oscar s'empressa de déchirer le papier à une vitesse folle ,mais il n'avait trouvé que du foin . Relèvent la tête, froncent les sourcils il fixa Ephraïm un sourire au coin de la bouche
« Ephraïm tu m'offres du...foin ? ». Le petit ange blond c'était à mit à rire bêtement.
« Mais non regard au fond » Oscar creusa au fond de la boite et y découvrit un billet d'avion ou il y avait inscrit « Moscou - France » Le vieux rêve de Oscar était d'aller justement en Europe est plus particulièrement à Paris.
« Je tiens a précisé que Ephraïm a travaillé une partie de son été pour ça. » Emu à la larme Oscar attrapa son fils dans les bras pour le presser contre lui tendrement. « Merci mon fils. »
Ephraïm était assis au bord du lac Baëi , c'était un de ces préférait en plein mois de février il était complètement glacé , ce qui le rendait incroyablement beau . L'ange blond avait la main posée sur celle de sa petit-ami aux longs cheveux bruns carbones, entre eux ça fessait déjà quelques mois. Ephraïm fixait bêtement le lac, ce qu'il allait annoncer à sa copine n'allait pas être facile ,mais il n'avait pas le choix, c'était ainsi.
« Irna... J'ai quelques choses à te dire ». La jeune Russe était loin de se douter que le jeune homme aller lui annonçait son départ, elle s'attendait plutôt à ce qu'il la demande en mariage comme c'était prévu que ça soit. Elle ne l'avait même pas laissé finir sa phrase et l'embrassa tendrement
« Oui, je le veux. Bien sûr ». Ephraïm fronça les sourcils un peu perdu, il lui avait encore rien dit.
« Non Irna ce n'est pas ce que tu crois ». Le visage de la jeune femme avait changé soudainement, prennent un air beaucoup plus grave
« Ephraïm ? ». Ephraïm reprit sont souffle mais l'air était si froid que ça lui fessait presque mal au coeur de respirer.
« Je vais partir en Europe. J'ai été accepté dans l'école d'architecture dont je t'avais parlé l'autre jour ». Irna ne c'était visiblement pas attendu à pareil nouvelle, elle était entre le bonheur qu'il réalise son rêve et l'horreur qu'il s'en aille loin d'elle. Ephraïm sentait bien qu'elle était déçue, triste ,mais aussi heureuse pour lui. Il la fixa longuement, remit une de ces mèches de cheveux bruns derrière son oreille et la prit dans ses bras
« Je suis désolé. Mais c'est la chance de ma vie ». Oui en effet cette chance ne reviendrait sans doute jamais, son père avait mis tout son argent dans cette école et Ephraïm avait travaillé de très long mois pour mettre le reste. Irna retira la main d'Ephraïm de ses cheveux et se leva du banc
« Sois heureux alors ». Sans un mot elle était partie, Ephraïm aurai pu la retenir lui demandait de venir avec lui elle aurait sans doute accepté ,mais non au fond de lui il n'en avait pas tellement envie sans doute.
PARIS.
France. Dix années c'était écoulé depuis son départ de la Russie, forcément il en avait fait du chemin. Tout d'abord il avait terminé ces études d'architecture et ouvert sa propre entreprise qui marché plus qu'il ne l'avait jamais espéré, il avait tellement d'argent qu'il ne savait presque plus quoi en faire. Sur le point professionnel il était certes comblé mais sentimentalement parlent c'était un homme très seul, sans amour, sans enfants. Vous savez quand vous grimper au sommet au fil de votre course vous devez sacrifier certaine chose pour ne pas chuté et c'était qu'il avait fait. Ce qu'il ne savait pas c'est qu'une fois dans son lit le soir ce n'était pas sa situation financière qui l'embrasse tendrement ou qu'il le prend dans ses bras. Pour évacuer cette frustration il sortait énormément, Ephraïm traîné dans le coin branché de Paris et à force il y avait ces petites connaissances. Qui aurait cru qu'un petit immigré comme lui débarquait à Paris dix ans plutôt, fils d'un bûcheron et cadet d'une famille de sept enfants serait là en train de draguer les plus belles filles de la capitale. Ce soir-là c'était la veille de Noël, il aura pu être avec sa famille ou tout simplement la faire venir à Paris ,mais elle avait refusé et lui par fierté n'avait pas voulue retourné dans sa ville d'enfance. En fait c'était bien plus profond qu'une fierté, c'était tout simplement la peur. La peur de voir que les autres sont peut-être moins riches ,mais plus heureux.
Pour ne pas voir les gens heureux en cette veille de Noël il avait invité quelques amis dans son énorme loft, c'était des gens comme lui. Ils avaient tous réussi professionnellement mais n'avait pas de famille ou très peu. Le champagne coulait à présent à flot et les rire fusé de toute part
« Ephraïm j'adoooooore ton loft, vraiment ». Un sourire hypocrite se lisait sur le visage de la magnifique brune qui lui avait dit ça, ici tous les gens sont des hypocrites et Ephraïm le premier.
« Merci Nabila, j'peux te faire visiter ma chambre elle est encore plus magnifique ». Tous rigolèrent à plein poumons, quand il s'agissait de sexe les Français étaient les premiers à rire ou à être intéressé.
La soirée passa rapidement finalement, les invités partirent les eux après les autres se promettent de revenir vite même si demains ils parleront déjà sur le dos des uns des autres. Seul la ravissant Nabila était resté.
« Tu voulais me faire visiter ta chambre ? ». L'ange russe avait finis sa nuit avec la poupée brune comme à son habitude.