► OOH LA LA PARIS.
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ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.
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 suis moi, je te fuis.

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MessageSujet: suis moi, je te fuis.   suis moi, je te fuis. EmptyVen 2 Nov - 15:28


it happens sometimes
la vie est faite de choix douloureux.



T'aurais pu être n'importe où, avec n'importe qui, mais non, t'as préféré passer ta soirée en solitaire, dans un café pourri, à mille lieux de ton appart. Le plus drôle, c'est que Steve t'a gentiment proposé de te tenir compagnie mais plutôt que de mater Sex&the city sur son ordinateur portable, t'as préféré t'exiler. C'est clair qu'il est bon parfois de se retrouver un peu seul mais là, c'est extrême. Pourquoi ? Pourquoi t'as toujours besoin de faire la gueule seul dans ton coin ? T'es de retour depuis plusieurs semaines mais t'as toujours pas retrouvé le sourire. T'es morne, presque léthargique. Les journées se suivent et tu pompes l'argent qu'il te reste de côté pour survivre dans cette horrible jungle. L'enfer ! Mais tu supportes, t'as pas l'choix. Pourtant, ce ne sont pas les opportunités qui manquent… Regarde, à Disney, l'autre jour, on t'a approché pour te proposer un rôle de danseur dans les parades. Okay, passer d'une tournée américaine d'une célébrité mondialement connue à Mickey Mouse, c'est pas glorieux mais c'est déjà ça. Finalement, t'as l'air de te complaire dans ton rôle de martyr. Depuis que tu as retrouvé Celestin, à ton retour, tu n'as plus de nouvelles de sa part, tu n'as toujours pas retrouvé la trace d'Alee et on va carrément éviter le sujet Aaron, n'est-ce pas ? T'aurais pu être n'importe où, avec n'importe qui… T'sais que c'est pas les hommes qui manquent dehors, et puis, aujourd'hui, t'as plus de facilité à jouer les garçons frivoles qu'autre fois non ? Mais non, plutôt que de t'éclater au pieu avec un homme, tu préfères siroter tristement ta vodka, ta troisième vodka.

T'es installé au bar du Coffe Leeroy, entre tes mains, ton verre. A la bouche, ta paille ! Tu sirotes, tu tires, tu laisses l'alcool brûler ton œsophage et te tourner l'esprit. Face à toi, le serveur, les serveurs, et une glace. Une glace sur laquelle se reflète la foule derrière toi. Aucun visage connu, pas pour l'instant du moins. Tu te regardes et tu soupires, t'es dans un état cadavérique, c'est lamentable. Les cheveux en bataille, l'allure négligée, tu es tristement posé sur un tabouret, à boire. Dans ton sang coule déjà plusieurs verres d'alcool, ton esprit vagabonde à gauche à droite et t'as même pas l'air de te sentir plus enjoué. Tu scrutes les visages dans la glace lorsque brusquement, une frimousse te semble familière. Un jeune garçon, entouré de quelques personnes, des amis sûrement. Tu l'observes, attentivement. Si si, tu l'as déjà vu, mais tu parviens pas à t'en souvenir. Avant ton départ à Los Angeles ? Non, après, t'en es sûr. Et puis, il paraît jeune… C'est donc pas un plan cul, du moins, pas encore ! Tu finis ton verre et puis t'en commandes un autre. Quelques secondes de plus s'écoulent et brusquement, un tilt, une illumination. Tu t'souviens maintenant, c'mec, tu l'as croisé un jour en bas de ton immeuble. T'étais avec Steve et lorsqu'il vous a vu tous les deux, il a rougit, il a changé de trottoir. Est-il amoureux de ton colocataire ? Tu souris à cette pensée… Mais ça te paraît louche, Steve ne t'a jamais parlé de ce genre de chose, de ses sentiments, à proprement parlé ! Alors tu te lèves de ton tabouret, quitte à passer ta soirée seul, autant crever l'abcès non ? Sans gêne aucune, certainement dû à la quantité d'alcool que tu as dans le sang, tu te diriges vers lui. Tu titubes un peu mais tu t'en fiches. Lorsque t'es à sa hauteur, tu te permets de mettre sa main sur son épaule avant de regarder l'assistance. « Excusez moi, j'vous emprunte votre ami un instant. » Et là, tu plonges tes yeux dans ceux du jeune homme, tu lui fais le plus beau de tes sourires et tu le tires vers toi, tu l'entraines vers le bar. « Suis moi, bonhomme. J'ai des tas de choses à te dire. » T'aurais pu être n'importe où, avec n'importe qui… alors, pourquoi ici ?
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MessageSujet: Re: suis moi, je te fuis.   suis moi, je te fuis. EmptyVen 2 Nov - 19:07


like a deer in headlights
Il ne fallait jamais réveiller contre son gré un Primael revenant de soirée. Jamais. Des gens étaient morts pour moins que ça, ou avaient passés un temps significatif à l'hopital suite à un réveil en fanfare. C'était p'tet pour ça qu'ils l'avaient pas kiffé des masses dans cette famille d’accueil, d'ailleurs. Mais bref, le breton était bien enroulé dans sa couette comme un sushi, l'air béat. Il était dans les 15h, il avait encore loupé les cours, mais rien à foutre. La veille, il avait réussi à soudoyer un centralien pour se retrouver à l'une de leurs soirées vip, et il s'était mis une grosse race. Vive les intercentrales, ouais. Mais du coup, il n'était absolument pas en état de bouger, de se lever et encore moins d'aller marcher.
C'était sans compter sur son abruti de frangin et ses idées recues sur le sport et les mecs de vingt ans. Aussi, sans peur, il avait sauté sur lui, tel un rugbyman, et Primael avait poussé un cri capable de réveiller les morts en mangeant son coussin. Quoi, une attaque nucléaire ? Non ? Zombies ? Non ? Bah alors fais pas chier Hyuno !! Mais trop tard. L'asiatique, une fois son méfait accompli, effectua une retraite stratégique dans la cuisine et démarra la machine à café, sachant bien qu'il allait falloir au moins un cappuccino pour se faire pardonner. Il avait bien raison, ouech. L'adolescent se ramena enfin, en caleçon, la mine cadavérique, pour boire son ambroisie personnelle, et l'écouta distraitement parler d'une quelconque sortie. Hm, hm, hocher la tête, ne pas se rendormir, hm hm, deux messages d'Aaron, hm hm, on supprime comme ça pas vu pas pris... Avant de relever brusquement les yeux vers son frangin.
« C'est aujourd'hui la sortie?! » Le Miller s'interrompit, le regarda de travers avant de soupirer en se massant la tête – tant mieux, ils étaient deux maintenant à avoir la migraine – puis le poussa vers la douche. Et shit. Toutes les semaines, toute leur bande « d'amis », ou tous les amis de Hyuno pour être plus précis, venaient les chercher vers 17h, pour prendre un verre, manger en ville, aller au ciné ou voir une expo, comme les riches oisifs qu'ils étaient. Et Primael n'aurait manqué ça pour rien au monde, puisqu'ils étaient aussi pour la plupart les seules personnes qu'il aimait bien.
Se lavant les dents sous la douche pour gagner du temps, il fut près juste à temps pour acceuillir les premières filles, avec un sourire charmeur, et commencer à discuter – persifler – sur le reste de la famille. Ouais, l'autre frangin arrivait le mois prochain, ouais, il était libre, non, il était pas gay, un ça suffisait amplement... Et non, lui n'avait pas de copine mais il comptait pas, il était en médecine, et trop jeune, à l'aide, cougaaars ! L'esprit encore embrouillé de Primael le rendait plus vulnérable à la panique, et elles étaient quand même trop proches à son goût. Heureusement, les autres mecs arrivèrent, et le temps d'enfiler son manteau, il se sentait mieux. S'ensuivirent deux petites heures de balade à travers Paris, à critiquer les vélibs et les tags, à partager une clope et un starbuck, à discuter de tout et de rien.
Sans trop savoir comment, ils avaient atterri dans le huitième, devant un café. Primael se serait bien assis ou endormi, au choix, mais ils étaient en train de décider à qui c'était le tour de payer son coup, et comme lui était fauché – héhé – il n'avait plus qu'à attendre.
Une main soudain le tira de son ennui, et le cœur battant de toutes ses forces, il se retourna à temps pour voir une tête connue l'arracher à ses amis sous leur regard amusé. Imitant parfaitement une biche devant des phares, Primael ne put que le suivre, totalement incapable de résister. Non, c'était faux, c'était pas parce qu'il lui avait souri et que son gay intérieur avait fondu et dégouliné sur le sol, pas du tout... Ou si. Oops. « De... t'es le mec à Steve Walker, c'est ça? » Aussitôt, des tas de pensées envahirent son esprit et il perdit un peu plus de couleurs. « Promis, j'ai rien fait avec lui hein !! Je sais pas ce qu'il t'a raconté mais on a pas couché ensemble je.. » Bon il ne pouvait pas dire qu'il n'avait pas fantasmé dessus, ni expliquer réellement ce qui s'était passé, parce que si ce mec était le copain de Steve, il n'aimerait surement pas savoir que c'était le frère de Prim qui se l'était fait. Calm down Prim ! Tu pars dans des délires tout seul...
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MessageSujet: Re: suis moi, je te fuis.   suis moi, je te fuis. EmptyLun 5 Nov - 11:44

Tu le tires par le bras, comme une évidence. Pire que ça, tu l'entraînes avec toi comme si tu le côtoyais depuis toujours alors qu'au fond, la vérité, c'est que tu ne le connais pas du tout. T'es juste trop allumé pour t'arrêter à ce genre de détail. Et puis, la solitude te pesait, t'en avais marre de broyer du noir au bar, au moins, là, t'as trouvé de la compagnie. Le regard que te lance Primaël lorsqu'il te voit l'interpeler te fait sourire. Ouais, l'en faut peu pour te faire sourire, encore moins quand tu as dans le sang de l'alcool qui coule. Il a une bouille à en faire pâlir le plus damnés des saints. Il paraît médusé, presque surpris par ta venue mais te suit, comme captivé, capturé, par tes sens. T'es pas un mec spécialement sexy, du moins, ce n'est pas de cette manière que tu te perçois. Ces dernières semaines à Paris t'ont pourtant prouvé le contraire. Au vue des nombreux hommes qui se sont succédés dans ton pieu ces derniers temps, ce serait un euphémisme que de te trouver seulement potable. Cependant, la manière dont te regarde le jeune homme à le don de te faire frémir, secrètement, évidemment. Non, tu n'as pas un cœur d'artichaut, tu n'en as plus ! Il y a une époque, le regard de biche t'aurait fait fondre à la seconde, t'aurais même sauté sur l'occasion pour tomber amoureux, en grand naïf que tu étais. Mais aujourd'hui, t'es un mec moins sensible, surtout plus distant. Les sentiments, très peu pour toi… tu en as déjà trop souffert. Tu restes à l'écart des histoires d'amour car tu sais que tout ne te ramènera jamais qu'à lui. Alors Prim' à beau te regarder avec cet air agar, tu ne bronches pas, tu te contentes de sourire. Tu ne t'es jamais montré aussi entreprenant, même si le terme ne convient pas forcément à la situation. Tu as juste envie de mettre les choses au clair, d'une manière ou d'une autre, juste envie de savoir pourquoi cet homme a baissé les yeux en rougissant lorsque tu l'as croisé, avec Steve, quelques jours plus tôt. S'il y a un secret à y découvrir, tu en salives d'avance. Tu sais qu'à Paris, les rumeurs courent plus rapidement encore que les démentis, et tu sais aussi que ton cas n'est pas à part, au contraire. Tu sais que beaucoup de gens ont entendu parler de toi pour tes exploits en danse mais aussi pour ta vie amoureuse catastrophique. Et si Steve et Prim' ont eu une aventure, tu es bien la dernière personne à en quémander les droits, mais tu es trop curieux et trop allumé pour en rester là. A peine à l'écart du groupe, tu n'as pas le temps d'ouvrir la bouche que déjà Prim' se confond en excuse. Tu reste stoïque, tu écarquilles les yeux légèrement sans le quitter du regard un instant. A peine eut-il terminé que tu ne peux t'empêcher de rire doucement. Ainsi dont, il n'a jamais couché avec Steve, mais qui plus est, il pense que tu es son mec. Ironique, vous avez dit ? Tu le regardes, et brusquement, tu te rends compte que tu n'as pas lâché son épaule, au contraire, tu lui a même agrippé, de ton autre main libre, son deuxième bras. Cette proximité ne t'effraie pas, au contraire, mais lui ? Tu hausses un sourcil, et tu ne peux t'empêcher de lui dire en souriant. « Calme toi dude, j'vais pas t'bouffer… même si t'as l'air incroyablement rassasiant, c'est pas mon genre. » Tu lui adresses un clin d'œil en te repoussant discrètement. Tu ne le quittes toujours pas des yeux, tu souris toujours. Légèrement allumé, tu ne te rends même pas compte que cette situation t'amuse plus qu'autre chose. Ce n'est pourtant pas ton genre d'être aussi imprévisible et impulsif, au contraire. T'as toujours été du genre à attendre que les choses t'arrivent sans que tu n'ailles à lever le doigt. Tu aimais tes acquis, tu n'étais pas un aventurier. Aujourd'hui, t'as adopté la philosophie du - j'ai plus rien à perdre - et tu n'hésites plus à te lancer dans la gueule du loup sans en craindre les conséquences. « Steve et moi, on n'est pas ensemble, alors si tu craques sur lui… ce serait un plaisir de t'aider à l'mettre dans ton pieu ! Mais j't'assure, c'est pas vraiment compliqué. » Tu lui souris plus encore, ton colocataire est un garçon assez simple à allumer, contrairement à toi. Ses exigences sont plus légères, tant qu'il passe du bon temps. Si Prim' paraît aussi gêné, tu ne peux t'empêcher de penser qu'il craque pour lui et, en bon samaritain, tu n'hésites pas à proposer ton aide. Pas une seule seconde dans ton esprit tu ne te demandes si c'est pour toi qu'il craque, ça, ça te paraîtrait trop improbable. Tes yeux ne se détachent pas des siens tandis que tu rajoutes. « Et puis avec ta gueule d'ange, tu devrais pas avoir trop de problèmes à le convaincre de te suivre. » Au fond, t'as rien pour toi Nelson ! T'es seul dans un bar, tu t'permets d'aborder un inconnu et tu cherches à l'corrompre, qui plus est ! Tu dois vraiment t'emm*rder pour arriver à de telles extrémités non ?

Spoiler:
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MessageSujet: Re: suis moi, je te fuis.   suis moi, je te fuis. EmptyJeu 15 Nov - 10:05

Son pouls avait augmenté jusqu'à atteindre une rapidité légèrement inquiétante. Comme une victime de choc, le jeune brun s'était laissé trainé, incapable de penser, de se débattre, jusqu'à une table où le regard de son « agresseur » lui avait fait cracher le morceau avant que ce ne soit lui qui l'y oblige. Ne se sentant pas mieux pour autant devant l'air ébahi et franchement moqueur qu'il croyait voir sur son visage, il avait continué à rougir, maudissant pour une fois son teint pâle qui ne laissait absolument pas de place à l'imagination quand à la provenance de cette coloration soudaine. Nan, il a pris un coup de soleil en plein paris, juste sur les joues, cherche pas. Le silence n'est pas long mais pour Primael c'est une éternité qu'il passe coincé entre les bras du jeune homme. Et quand il lui dit de se calmer, tout en lui lançant une insinuation qui brille comme un phare, il ne peut rien faire d'autre que de pencher la tête sur le coté, gêné. Il n'est pas... rassasiant ? C'est quoi ce compliment chelou ? On lui avait encore jamais dit qu'on le boufferait bien, ou du moins, pas de cette façon. Là il commence à se demander s'il n'est pas tombé sur un fétichiste du nutella ou d'un autre truc sur le corps, il en a croisé certains mais il a toujours fait de larges détours pour les éviter. Jusqu'à aujourd'hui, bien évidemment. Cette chance de cocu hein ? « J'suis pas... enfin t'es gentil mais c'est pas si simple de se calmer.. » Et maintenant il marmonne, ultra gêné. Parce qu'il l'a toujours pas lâche, le super beau mec, et que ça commence à être un peu problématique. Il ne pensait pas aimer ça, être plus ou moins à la merci de quelqu'un, mais ses fantasmes ont une façon bizarre d'apparaitre, de toute manière.
Enfin ces mains le lâchent et il se frotte le bras en sentant la chaleur et la douleur diffuse résister un peu encore. Avec un peu de chance, ça ne laissera pas de marque. Ou pas. Il a une peau tellement sensible qu'on peut retracer ses journées sur son corps heure par heure en suivant les traces bleutés qui l'orne.

Le colocataire, ou le mec, ou n'importe quoi de Steve ouvre encore la bouche et Primael se prépare à une nouvelle drague ou quelque chose d'autre, mais surement pas à ce qu'il lui propose de l'aider à coucher avec Steve. Whaaat ? Clignant des yeux comme une chouette, le breton tente un instant de faire fonctionner sa bouche mais rien ne sort, alors qu'il a malheureusement devant les yeux un de ses films persistants impliquant le Walkers et un lit. Damn. « Je..j'veux pas coucher avec ! J'suis pas... enfin ca veut pas dire qu'il est pas ultra beau ni rien mais... » Oh allez Primael un peu de courage ! C'est quoi ces phrases sans queue ni tête ? Inspirant profondément, il finit enfin de retrouver confiance en lui, même s'il a toujours ce rougissement persistant, et plonge ses yeux dans ceux de son acolyte avec un tout petit peu plus de fermeté. Voilà, faut rester de marbre face à l'ennemi. Ou le très beau mec qui vous accoste. Bref. « Il a couché avec mon frère, et... disons que je récupère pas les restes, tu vois? » Yep, c'est peut-être idiot mais il y a des limites à tout, et pour Mael, c'est de passer après son frère. Que ce soit pour la bouffe, un mec, une fille (enfin ça ca risque d'être compliqué), même quand leur père appelle, s'il demande d'abord à parler avec Hyuno, alors il peut toujours se faire foutre pour qu'il lui parle après.
En tout cas, il trouve un peu étrange que ce mec cherche à le caser avec Steve. Même pour une nuit, il a rarement vu des entremetteurs aussi étranges ; d'habitude ils viennent vous voir parce que la personne en question l'a demandé, pas parce que eux veulent vous aider à prendre votre pied. C'est spécifique quand même, à moins qu'il ne veuille mater ? Non, ça paraît pas être son genre, ou du moins Mael refuse de croire qu'un mec pareil soit réduit à ce genre d’extrêmes. Il n'a qu'à claquer des doigts pour avoir le monde à ses pieds !
Ses dernières paroles le refont plonger dans un monde de déni et de rougissement alors qu'il ne sait plus ou se mettre, et il ne comprend plus rien. Pourquoi les compliments ? Pourquoi tout ça s'il veut juste le caser avec un pote ? Il n'est pas assez audacieux pour penser que tout ça est une sorte de drague tordue, mais il commence à penser qu'il y anguille sous roche. Et son cerveau se met en route, puisque son corps lui envoie bien trop de signaux contradictoires.

« Merci... enfin excuse moi mais s'il est aussi facile à allumer comme tu dis, il peut trouver bien mieux que moi et plus rapidement. Alors... Alors pourquoi l'accoster lui ? Pourquoi le regarder comme ça ? Juste pour fournir un coup à Steve ? C'est quoi leur relation bizarre ? Là, voilà déjà une question à laquelle il veut une réponse. Mais en fait.. je me suis trompé sur toute la ligne en pensant que tu sortais avec, désolé, vous êtes quoi ? Si c'est pas indiscret... » Si c'est pas de la curiosité mal placée pour savoir s'il a une chance, aussi. Et même si le malentendu est dissipé, il aimerait bien que ce ne soit pas la seule raison qui ait fait que ce mec l'ait trainé de cette manière ici. Dans tes rêves Prim.
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MessageSujet: Re: suis moi, je te fuis.   suis moi, je te fuis. EmptySam 15 Déc - 16:34

il y a t'il des âmes qui vivent ici ?

yo. suis moi, je te fuis. 2684926262 désolée de devoir intervenir de cette manière là dans votre rp. mais.. n'ayant vu aucune réponse depuis le 15/11 (ou avant), on voulait savoir si ce rp était toujours actif? dans l'cas où il le serait toujours, envoyez moi un mp pour que j'puisse effacer mon message. ou dans l'cas contraire, déplacer votre rp dans la corbeille. sans aucune réponse d'ici le 22/12, votre rp atterrira dans automatiquement dans la corbeille. ce qui serait dommage. ;_; alors manifestez vous mes amours! suis moi, je te fuis. 3681609067
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MessageSujet: Re: suis moi, je te fuis.   suis moi, je te fuis. EmptySam 22 Déc - 14:22

    pas de réponses, j'archive. suis moi, je te fuis. 3846838978
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