► OOH LA LA PARIS.
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ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.
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MessageSujet: [x] JOSKA ► i just want it all.   [x] JOSKA ► i just want it all. EmptyLun 29 Oct - 10:45


Je me décide enfin à m’allonger contre le matelas et je soupire presque de plaisir lorsque mes épaules endoloris en effleure la surface. C’est doux, comme une sensation faussé de paradis. J’ai la désagréable impression de m’être brûler la rétine en restant la nuit entière devant l’écran lumineux de l’ordinateur. L’allure trouble de la pièce me rappelle avec force les marlboro light qui se sont enchainés au cours des heures, me donnant assez de courage pour ne pas m’évanouir la face contre le bureau. Je renifle alors, retroussant le nez. Ça empeste la clope et étrangement, je déteste cette odeur. Je cligne doucement des paupières, observant un instant les volets clos. L’atmosphère de la pièce me semble viciée, comme si je n’avais pas ouvert la vitre depuis quelques semaines au moins. Ce n’est pas de ma faute pourtant. Avec le temps dégueulasse de paris, j’avais pris l’habitude de monter le chauffage. Ne serais-ce que pour avoir l’impression de vivre un véritable été et non une période qui en a que le nom. C’est horrible comme l’oxygène maritime de la Grèce peut me manquer, presque autant que ses ridicules commères. Je relève légèrement ma jambe, collant un bras contre mon visage alors que je souffle doucement. J’me plais à penser que j’pourrais y être avec joska, à profiter du soleil contre notre peau et à rire de lui, si jamais je le menaçais d’le jeter à l’eau. Je m’imagine assez bien nous paumer en plein milieu d’la mer, seulement pour avoir le plaisir d’le prendre dans la coque d’un bateau. J’aime cette idée que j’me fais des vacances à ses côtés. La niaiserie qui me traverse parfois l’esprit et à gerber. Mais c’est peux être mieux ainsi que baiser avec toutes les blondes voluptueuse que j’aurais pus me mettre sous la dent. J’me retourne doucement, serrant l’oreiller d’un bras alors que je tente de trouver le sommeil. Il tarde à venir le gentil bonhomme . A croire qu’il a décidé de déserter de plus en plus les lieux ces derniers temps. Le revers d’une vie auquel je m’accroche avec un vicieux désespoir. Il la déteste cette vie, le joska. Il ne le dit pas vraiment, mais j’le sens bien. À croire que je ne sois plus le seul fou qui guette les environs comme s’il y avait des flics de partout. J’tente doucement de remonter le drap avec une jambe, voulant ne serais-ce que couvrir la partie inférieur. J’hésite à prendre une nouvelle cigarette quand j’me souviens soudainement de l’odeur qui se balade déjà dans le studio. J’ai toujours aimé fumer avant de dormir. J’peux sans doute faire une exception cette fois-ci.
Tu ne comptes pas le temps qu’il t’a fallu pour trouver le sommeil, ni combien de fois tu te retourné dans le lit, grognant à l’écoute du boucan des environs. C’est dingue, comme les parisiens aiment le bruit et les klaxons. A Oia il n’y a pas de voiture, pas de moteurs, pas de fumée dégueulasse. C’était encore l’antiquité là-bas. L’bon temps en soi. C’est probablement le milieu de l’après-midi quand le son d’une serrure qui s’ouvre t’éveille légèrement. Légèrement, ouai. Assez pour t’faire changer de position, le torse à nouveau collé contre le matelas, levant simplement l’bras en guise de salutation. En vrai dire. Peu importe qui s’trouve là, tu t’en branles. L’sommeil chez toi c’est sacré. Surtout quand t’as bossé toute la nuit.


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MessageSujet: Re: [x] JOSKA ► i just want it all.   [x] JOSKA ► i just want it all. EmptyLun 29 Oct - 11:23


J'me réveille avec cette putain d'angoisse. Cette boule au ventre. Cette anxiété qui ne me quitte presque plus depuis des mois. Depuis que je suis avec lui en fait. Je tâte le matelas à côté de moi. Vide. Je suis seul et en sueur. J'ai parfois le souffle court en me réveillant. Mon sommeil est ponctué de ces rêves de courses effrénées et de menottes aux poignets. Cette frayeur que demain soit un autre jour, un jour sans lui. Je ne me sens pleinement rassuré que lorsqu'il est avec moi. Quand je peux me perdre dans ses yeux, me blottir contre son torse et sentir sa main dans la mienne. Le reste du temps j'essaye de m'occuper pour penser à autre chose. J’assiste à des cours qui ne m’intéressent pas, je parcours en skate les rues désertes de la capitale, j’arnaque les touristes avec mon pseudo meilleur ami. Et même alors, tout me rapporte à lui. Le parfum d'un inconnu croisé dans les ruelles de Paris. Le restaurant grec du coin de la rue. L'allure d'un camarade de classe. Je sursaute à chaque fois que j'entends la sirène d'un car de police qui passe dans la rue. Je n'y prêtais même pas attention avant. Il y a cette peur au fond de moi, omniprésente. He’s a villain of the devil’s law. Je jette le drap au pied du lit et je me relève lentement. J’suis pas rationnel. Quand il s’agit de Bloko je n’sais plus ce que je fais. J’tente de me démerder avec mes sentiments. Toujours plus forts, toujours plus déraisonnés. J’me perds dans des trucs qui s’contredisent tout le temps. Quand on est ensemble j’ai cette impression que rien ne pourra nous séparer. Pendant un temps c’est comme si ses magouilles n’étaient que d’innocentes plaisanteries. Les fourberies de Scapin genre. Et pourtant, putain, elles sont bien là, bien vraies, bien moches. Je crois qu’il est treize heures. J’ai du louper tous mes cours de la journée. Tant pis. Pendant que j’me prépare un bol de frosties je pense à comment ça pourrait être si on partait. En vacances ou pour toujours. On sillonnerait les routes et on se poserait à même le sable blanc d’une crique sur je ne sais quel bord de mer. A l’abri des regards, on ferait l’amour. J’y pense souvent. Un exil loin de tout, loin de tous. Les minutes passent. Une heure même. Quatorze. Une voiture de police passe dans la rue. Je me dresse. J’ai peur. Pourtant j’essaye de prendre un air détaché quand j’arpente les rues jusque chez lui. J’me force à aller au pas. A ses côtés j’ai développé une sorte de paranoïa latente que j’ne maîtrise pas toujours. Parfois j’me dis qu’il vaudrait mieux que j’arrête tout avant de perdre la tête. Avant d’être tellement atteint que j’pourrai plus revenir en arrière. Avant d’me retrouver moi aussi derrière les barreaux pour complicité genre. (…) J’toque à la porte. Personne. Mon angoisse grandit et puis j’me souviens que j’ai la clé. Silence total. J’espère qu’il dort. Faites qu’il dorme. Il dort. J’le vois lever son divin bras dans ma direction, sans même me voir. Malgré moi je souris. tu m’dis plus bonjour mon amour ? Que j’murmure au creux de son oreille, penché sur lui. Mes lèvres frôlent les siennes avant de s’échouer dans son cou. Je souris contre lui alors qu’il se réveille doucement. C’est bon, j’suis submergé. J’vire mes chaussures et j’m’allonge à côté d’lui. Dieu si tu m’entends, fais un arrêt sur image et laisse nous comme ça pour l’éternité. Oui j’suis pathétique. Oui j’l’aime.
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MessageSujet: Re: [x] JOSKA ► i just want it all.   [x] JOSKA ► i just want it all. EmptyLun 29 Oct - 11:43


Sortir avec joska, c’est un peu comme passé du noir au blanc, du mastodonte à l’écran plat, du vinyle au lecteur mp3. Au début c’est étrange, on ne sait pas vraiment comment s’y prendre, on s’demande s’il n’y a pas une notice quelque part, puis petit à petit on s’y fait. Je n’avais pas eu besoin de mode d’emploi pour être fou de joska. Ça m’est tombé sur le coin de la gueule avant même que je puisse faire marcher arrière et j’étais assez égoïste pour le vouloir quoi qu’il en soit pour moi. Même s’il devait souffrir, même si j’devais finir en taule et même si ça risqué de pourrir quelques années de nos vies. Je n’en avais rien à foutre. J’ai rarement eu la capacité d’penser au bonheur des autres avant le miens et être en couple avec un type que j’aimais profondément n’y changera rien. Quoi qu’il en soit, j’étais épuisé, perdu dans mes songes entre le kenya et la Tanzanie. J’rêvais de safari et de petit africains, rien d’bien excitant dans le fond, mais c’était assez intéressant pour m’rendre aigris si on venait à me réveiller. Et c’est ce qu’on tentait de faire. Des lèvres contre les miennes, un baiser dans le cou et un murmure qui me semblait aussi lointain que les nuages qui embrument mes songes. Je vis disparaitre le paysage désertique de ma vue pour laisser place à quelques formes flou, ressemblant vaguement aux meubles de ma piaule. J’émis un léger grognement, m’étirant alors que je me sentais trembler légèrement. J’enfonçais mon visage dans l’oreiller, espérant retourner dans d’autres contré lointaine à shooter dans un sol fait de poussière. En vain. C’que je peux détester le réveille, j’me sens si faible. Mes doigts se glissent à côté de moi et mon bras entoure rapidement des hanches, les siennes, celle de joska. Je décide de migré vers le creux de son cou, soufflant doucement alors que mon esprit s’éveille petit à petit. « salut toi. » j’ai la voix rauque, l’accent bien trop prononcé pour être compréhensible mais j’m’en foutais, je n’avais pas encore tout à fait atterris. Je me relève légèrement sur un coude et passe les doigts dans mes cheveux, les paupières encore closent. Ma main se glisse vers mon visage, le frottant légèrement alors que j’accepte d’ouvrir à nouveau les yeux. C’est la même rengaine. Un silence religieux à chaque levé pour éviter que je me lève du mauvais pied et la présence de joska en catalyseur brûlant. Mes doigts entourent un instant sa mâchoire, j’approche mon visage du sien et souffle à nouveau, articulant non sans difficulté « t’as manqué, t’sais ? » Et je pose alors mes lèvres sur les siennes, me relevant un peu plus pour m’étaler contre lui, ma main caressant doucement la peau de son ventre plat. J’ai toujours les doigts autours de sa mâchoire que je refuse de lâcher, légèrement sévère lorsque je viens de m’éveiller. Joska, ou l’homme qui me fait oublier le kenya en l’espace de quelques secondes. « ça me fait chier de ne pas m’endormir à côté de toi, t’sais ? Je comprends que tu veuilles ne pas être là si j’me fais choper, mais c’est assez handicapant, surtout au réveille. » Je bénis d’ailleurs le manque d’érotisme de mon rêve. Je lâche enfin son visage et me relève, à califourchon au dessus de son bas ventre tendis que je me penche vers la table de nuit pour m’emparer de ma bouteille d’eau, j’bois quelques gorgées, la repose et pince presque aussitôt une clope entre mes lèvres. Me rattrapant sur celle que je n’avais finalement pas prise avant d’me coucher. Faut pas abuser non plus, et j’emmerde profondément l’odeur de volute qui filtre l’air. Je l’allume et inspire profondément, regardant un instant la fenêtre close. J’devrais l’ouvrir ouai, j’devrais l’ouvrir. Mais j’ferais ça plus tard. Je pose à nouveau les yeux sur joska et joue, distrait, avec la limite de son bas, tirant à nouveau sur ma cigarette. je souris légèrement. M’réveiller sans lui serait vraiment, vraiment handicapant. « t’sais à quoi j’pensais tout à l’heure ? » je recrache la fumée vers le plafond et reprend presque aussitôt. « à m’tailler une semaine en Grèce et t’emmener avec moi. » le soleil, l’eau de mer et la coque d’un bateau. Ouai. Ce serait définitivement l’idéale. J’attrape le cendrier et y écrase ma cigarette, laissant mes deux mains jouer avec les coutures de son bas dès que l’autre se libère. Je n’ai pas envie de converser, pas envie d’causer météo, ni boulot. Il s’doute bien de ce que j’ai fais cette nuit et j’suis pas sur qu’il veuille en savoir plus de toute façon. « T’sais bébé, c’pas que je manque de conversation mais hier soir j’avais envie et tu n’étais pas là…tu trainais où ? Avec l’autre abrutit là ? Comment il s’appelle déjà…» J’fais une pause, presque songeur et laisse quelque doigts se glissaient sous le tissus, un peu moins distrait. Si ça tenait qu’à moi, j’y aurais déjà plongé la main. Mais il parait qu’il faut faire durer le truc. Soit. « jamz, un truc du genre ? » son nom, j’le connais très bien mais c’pas le genre de gars dont je veux vraiment me souvenir. J’assume mon passé amoureux mais je ne supporte pas celui de joska. C’est égoïste. Quoi qu’il en soit, si ne croise plus mes ex j’ai un peu d’mal à accepter que lui les fréquente encore. Ça m’agace. Je relève légèrement son haut et caresse à nouveau sa peau. « bref, faut que tu te rattrapes. T’sais à quel point je n’aime pas l’boulot mal fait. »


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MessageSujet: Re: [x] JOSKA ► i just want it all.   [x] JOSKA ► i just want it all. EmptyLun 29 Oct - 12:26


t’as manqué, t’sais ? rituel du réveil. Comme un doux refrain à l'accent prononcé, fredonné contre mes lèvres. J'laisse sa bouche s'écraser contre la mienne avec délice. Je suis faible. Le contact de ses doigts brûlants contre ma mâchoire m'arrache un frisson de plaisir. Quand est-ce que je suis devenu si faible ? Quand est-ce que j'ai décidé que j'pouvais me permettre de tomber pour un mec comme lui ? Est-ce que c'était la fois où il m'a pris sur le siège de son pseudo bureau ? Ou peut-être que c'était carrément avant. Peut-être que ça remonte à notre premier baiser. Peut-être que ça remonte si loin. Loin. Je sais même pas comment j'ai fait pour tenir aussi longtemps. J'sais même pas comment lui il a fait pour tenir aussi longtemps. J'savais même pas que j'pouvais tomber amoureux d'un mec. J'savais même pas que j'pouvais tomber amoureux tout court. Oué parce que la petite Charlotte en moyenne section ça compte pas. Bloko, c'pas un mec bien. Sortir avec lui c'est jouer avec le feu. C'est comme traverser les chutes du Niagara sur un fil de funambule en plein tempête. C'est un voyage merveilleux mais semé d'embûches. C'est beau mais c'est dur. C'est quelque chose dont on se dit qu'on aura vachement de mérite si on arrive jusqu'au bout, tout en sachant qu'on le fera pas. J'suis pas défaitiste, juste réaliste. Et si c'est pas notre amour qui se fane alors c'est les flics qui vont le cueillir. Mais je sens ses caresses à l'orée de mon bas ventre. Un voile que je pose sur les difficultés. Je me délecte. Je ferme les yeux sur une échéance qui n'est pas encore arrivée pour les ouvrir sur la décadence merveilleuse qu'il me fait miroiter. Sa main entoure encore ma mâchoire, ferme et résolue. Bloko, le seul devant lequel je courbe l'échine. Bloko, le seul pour qui j'pourrais presque mettre mon orgueil de côté. désolé d'pas vouloir me retrouver en taule. j'suis trop beau gosse, j'risquerai d'me faire violer tsé. et puis j'suis toujours là quand tu t'réveilles nan ? C'est vrai en plus. On vit pas ensemble mais quand il ouvre les yeux en se réveillant, les premières formes floues qu'il distingue, ce sont les miennes. J'suis plus souvent fourré chez lui que dans ma propre piaule. A vrai dire c'est ptète pas plus mal. Dès que j'fous le pied chez moi, c'la misère. J'vis en coloc'. Ca convient à ma vie d'jeune étudiant. Ca fait pas suspect ça au moins. Bref. Il m'a lâché. J'ai plus de recul pour admirer sa divine anatomie. J'suis un putain d'chanceux. Quand j'pense qu'il aurait pu avoir la quasi totalité des filles de paname. Les mecs aussi d'ailleurs. Mais c'moi qu'il a choisi. J'me sens flatté. Je l'observe alors qu'il recrache sa fumée vers le plafond. J'déteste l'odeur de la cigarette. Mais j'la supporte quand c'est lui. J'le vois jeter un coup d'oeil à la fenêtre. Je sais à quoi il pense et oui, il devrait le faire. Mais il le fera pas. La flemme. C'est pas plus mal. J'n'aurais que moyennement apprécié qu'il se détache de moi. J'me relève doucement sur mes coudes. J'baisse les yeux vers ses doigts qui triturent mon pantalon. J'arque un sourcil et lui sers un sourire aguicheur. Je n'sais pas s'il l'a remarqué ou s'il est trop occupé avec sa clope et mon futal. J'sens monter comme un vague désir mais j'me retiens. à m’tailler une semaine en Grèce et t’emmener avec moi. J'relève la tête et croise furtivement son regard. Ah ben ça. Les images en patchwork que j'me figurait ce matin m'reviennent en tête et j'ai l'sourire aux lèvres. J'dépose un baiser sur son épaule en guise d'approbation. j'prends une demi heure pour faire mes valises et j'pars où tu veux avec toiJ'hésite à lui dire qu'on pourrait carrément s'barrer pour toujours. Vivre d'amour et d'eau fraiche, juste lui et moi et le soleil au d'ssus d'nos têtes. On aurait plus d'emmerdes et j'pourrais m'coucher à ses côtés tous les soirs. Mais j'veux pas lui faire peur. C'est limite si j'me fais pas peur à moi-même avec mes plans sur la comète. N'empêche ce s'rait l'pied. Oué. jamz est pas un ab... ouais si en fait. bref. il s'est tiré pour vendre ses bibles hier soir. j'me suis frité avec erin toute la soirée... c'tout. t'aurais du appeler. Les joies d'la colocation. J'prends un malin plaisir à la taquiner la erin. Elle monte vite sur ses grands chevaux, ça m'plait. Il suffit que j'la traite d'asperge pour qu'elle s'braque. Bon l'truc chiant c'est qu'après j'ai l'aut' sur l'dos. Harry. C't'idée génial d'partager ma piaule avec un petit couple. J'sais même pas c'qui m'a pris. Question d'pognon. Et la fin d'ma phrase qui s'perd dans ma gorge alors que j'sursaute au contact des doigts d'bloko qui s'glissent sous mon calbute. Et j'le sens qui grimace quand j'prononce le nom d'celui qui s'rapproche le plus d'un meilleur pote pour moi. Jamz. J'lui ai jamais vraiment posé d'questions sur ses exs. J'sais que y'a eu des filles. Beaucoup d'filles. J'aime à croire que j'suis l'premier mec. Mais avec lui on sait jamais. J'pourrais pas dire. Lui il sait qu'il est pas l'premier. Et ça le fait chier. C'qui le fait chier c'est surtout qu'on soit restés potes et qu'il squatte mon canapé aussi souvent qu'il peut. Jaloux. J'aime bien ce mot. D'un sens, j'préfère ça plutôt qu'il réponde aux avances à peine voilées de c't'abruti. Mais ça risque pas, il s'en rend même pas compte. Ca m'rassurerait presque. bref, faut que tu te rattrapes. T’sais à quel point je n’aime pas l’boulot mal fait. Je souris. S'il y a bien un truc que je sais. vraiment ? de si bon matin ? C'est l'milieu de l'après-midi. J'm'en fiche, il a très bien compris. J'le regarde encore quelques secondes, j'profite des caresses dont il me couvre le torse. J'me relève contre lui et enlève mon haut pour lui donner plus de terrain à tâter. D'mon côté je parsème sa peau encore chaude de la nuit qu'il a passé, de petits baisers farouches. Suivant son exemple, j'glisse mes mains fraiches sous son caleçon, les laissant s'échouer sur ses fesses rebondies. J'les boufferais. J'me rattrape comme il dit. En tous cas j'fais tout pour. J'en ai autant envie que lui après tout. J'ai bien envie de rester ici toute la fin de journée. J'ai bien envie d'm'endormir à côté de lui ce soir. J'ai bien envie d'rester. Faire une exception à la règle. Juste une fois, juste cette fois. Et j'm'en bas les couilles d'la police. FUCK LA POLICE. J'termine ma course aux baisers sur sa bouche entrouverte. J'murmure son nom. toi aussi t'as manqué.. Je le veux. La tout de suite maintenant. Mais j'fais durer le plaisir. On dit que l'meilleur moment c'est l'attente avant le baiser, l'attente avant de baiser.
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MessageSujet: Re: [x] JOSKA ► i just want it all.   [x] JOSKA ► i just want it all. EmptyLun 29 Oct - 12:35


Je pourrais décrocher la lune pour toi, symphonie niaise suivis de trois petits points. J’ai toujours ressenti un profond dégout pour les déclarations d’amour à peine voilé et les mots doux soufflés comme un bonjour. C’est laid, fade et ridicule. Je n’aime pas le ridicule, je n’aime pas la douceur. Et je le suis pourtant, là, alors que mes doigts caressent la peau de son ventre avec tendresse. Je pourrais faire pour lui, tout ce que j’ai toujours détesté entendre jusqu’à aujourd’hui et aller jusqu’à lui parler d’attrape-lune si cela pouvait lui faire plaisir. Je suis devenu d’un ridicule déconcertant depuis que je le connais, réellement. De ces types qui avouent sans grande honte pouvoir passer des heures à regarder l’autre dormir et être de mauvaises humeurs s’ils ne se réveillent pas avec un baiser. Que puis-je y faire de toute façon ? Je ne suis rien d’autre qu’un homme qui est tombé amoureux et c’est probablement l’une de choses les plus agréable qui me soient arrivé. Je ne suis pas dieu, je ne peux pas supporter le poids de mes conneries tout seul, à prier pour que je ne sois jamais attrapé. Et c’est tellement plus facile d’avoir à penser un ‘pitié qu’ils ne nous séparent pas’ plutôt qu’un ‘laissez-moi courir encore un peu’. toi, te faire violer ? tu déconnes, si t’es en taule, on le sera ensemble et tu seras ma propriété, les gens penseront que t’es mon objet. Simple fantasme d’une réalité beaucoup plus difficile. Je ne veux pas de joska avec moi en taule. Oui, il y a la télé, la bouffe et le couvre feu, rien de bien différent d’une baraque classique, le net et la liberté en moins. Seulement, la seule connerie qu’il a fait celui-là, c’est de sortir avec moi et je ne veux pas qu’il aille détruire sa vie pour mes beaux yeux, pas à ce point-là en tous cas. Je continue de caresser son ventre, asphyxiant la pièce avec les volutes de ma cigarette. Je sais que joska déteste ça, même s’il me le dit pas mais c’est bien le seul truc qui m’empêche de trop stresser. Je me révèle être quelqu’un qui a un mal fou à contenir ce qu’il ressent, c’est un peu comme avoir le Vésuve au creux de l’estomac, je suis toujours et constamment au bord de l’implosion et la cigarette agit sur moi comme un retardateur. Il devrait heureux que je me sois pas décidé à ouvrir une plantation miniature dans mon appartement. Seulement je suis incapable de prendre le risque de me griller le cerveau à ce point. Je n’ai pas besoin de me pourrir un peu plus la santé. J’parle sérieusement tu sais, j’veux vraiment qu’on aille quelque part, juste toi et moi. Qu’on soit tranquille, tu vois c’que je veux dire ? Paris m’énerve. Je souffle doucement va falloir que tu me rappelles quand est-ce que tu reprends les cours. Mes doigts jouent avec les coutures de son bas alors que je me penche légèrement, mordillant alors la peau de cou. J’pourrais presque l’imaginer avec la saveur de l’eau salé, c’est fou. Tu te prends souvent la tête avec erin toi, non ? Je ne voulais pas t’emmerder. Puis tu sais bien…j’étais occupé. Quoi qu’il en soit, ce n’est plus le sujet. Je me décide à oublier erin et l’autre con pour me concentrer sur le corps de joska que je me contente de surplomber depuis beaucoup trop longtemps à mon goût. Je ne sais plus vraiment ce qui m’a fait craquer lorsque je l’ai rencontré pour la première fois néanmoins je sais pourquoi j’ai envie de lui, là, à cette instant précis. Sa nonchalance m’a toujours rendu lubrique. Savoir que je suis actuellement le seul à pouvoir le dominer entièrement sans craindre un retour de sa ma part égaille ma fierté. Et je ne ferais aucun commentaire sur son corps. Il n’y a pas de blonde en ce monde qui puisse l’égaler. Mes doigts se glissent doucement sous le tissus de son boxer et je peux sentir le commencent de son ainé à mon touché. J’ai presque envie de ne pas perdre mon temps en cérémonie et autre préliminaire afin de le déshabiller en quelques secondes pour le sentir nu contre mon bas ventre. Je suis plus doué au réveille et tu le sais très bien. Je retire mes mains de son boxer et les laissent doucement glisser le long de long de son ventre, insistant longuement contre la limite de son boxer. J’aime me contenter de caresses chastes lorsqu’il voudrait plus. Je souffle longuement, serrant presque la mâchoire. C’est fou ce que je peux aimer son touché à cette endroit précis, décidément. Ma langue effleure sa gorge avant de le parsemer de léger baisés, remontant doucement sans prendre la peine de l’embrasser réellement. L’amour est plaisant lorsqu’il rend fou. Je pourrais paraitre presque accro, mais comment voulez-vous montrer à l’autre tout ce qu’il se passe au creux de votre poitrine lorsque les mots manquent ? C’est lorsque je me sens aller contre lui que je sais qu’il me restera fidèle pendant encore longtemps. Je me relève quelques instants alors qu’une main repousse brusquement joska contre le matelas de mon lit, écartant ses cuisses sur lequel je ne suis plus pour les placer de part et d’autre de mes hanches. Je me colle contre lui, me déhanchement contre son ainé que je sens encore plus clairement contre le mien, ça m’arrache un gémissement ce bordel, j’ai toujours aimé cette position. Mes doigts remontent jusqu’à ses cheveux que j’empoigne tendit que j’approche mon visage du sien, plaçant un coup de rein plus brusque contre lui pour mieux délecter de ses expressions. Ce que je peux l’aimer, ce type-là. Je ne veux pas que les choses s’arrêtent entre lui et moi, ni maintenant ni jamais. Je finirais sans doute par m’en lasser un jour mais je crois que je perdrais à ce moment-là, l’une des rares choses qui me motive sincèrement. Le sexe sans sentiment, c’est bien, le sexe avec l’angoisse et le Vésuve amoureux qui double tout ce que tu ressens, c’est mieux. Toi aussi t'as manqué… Et je l’embrasse, le frottement de nos bas ventres m’inspirant à fermer les yeux. La poigne dans ses cheveux se fait un instant plus brute avant que je le relâche. Je consente à glisser ma langue contre la sienne, me perdant dans un instant de douceur, c'est doux et brûlant à la fois. Tu sais bébé… Je retire un instant mes lèvres des siennes pour me débarrasser de son pantalon alors je jette un regard lubrique à son boxer, mes doigts glissant un instant contre le tissus pour reprendre notre position précédente. Je ferme les yeux et chuchote doucement contre son oreille, recommençant à me déhancher contre lui. Nue ce serait beaucoup mieux. Mais trop rapide aussi, je ne veux pas venir sans avoir eu le loisir d’être en lui. De tous ceux que j’ai connus, je crois que t’es celui qui me fait le plus d’effet. Je souffle, embrasse son cou et reprend c’est peux être parce que t’es différent d’eux, que tu me rends aussi accro... J’ai gardé mes doigts contre son boxer auquel j’offre des caresses plus appuyé, retraçant doucement la forme de son ainé. Je me fais insistant. Ou alors c’est parce que tu n’as rien à m’envier, pour ce qu’il y a là. Quoi qu’il en soit… mes lèvres remontent jusqu’aux siennes et je souris doucement, abandonnant son boxer pour empoigner ses cuisses et les coller un peu plus contre moi. C’est qu’on simulerait presque l’acte. Je compte bien te faire l’amour avec assez de violence pour que tu veuilles et ne puisse pas rentrer chez toi.
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MessageSujet: Re: [x] JOSKA ► i just want it all.   [x] JOSKA ► i just want it all. EmptyLun 29 Oct - 16:04



Je déteste la clope. C’est un fait avéré, établi. Mais quand je vois ces volutes de fumée monter lentement au plafond, je me surprends à les apprécier. Ce nuage grisâtre qui stagne au dessus de ma tête ne peut signifier qu’une chose : qu’il est là. Sa putain de clope avec son odeur dégueulasse, ce cancer à ingérer par voix orale, c’est une preuve de plus qu’il ne m’a pas encore été enlevé, pas encore. Et rien que pour ça, j’pourrais presque m’en griller une. J’pourrais abandonner tous me principes pour lui. J’l’aime, j’l’aime à en crever et putain, qu’est-ce que ça fait mal. J’pourrais m’jeter sous un train, j’pourrais tuer pour lui. Toutes ces belles idées, toutes ces règles, les bafouer dans l’instant s’il me le demandait. Tout pour un regard, le monde pour un baiser. Il m’hypnotise, m’intrigue, me fascine. Je suis arrivé à un point de non-retour. Son objet. Je grimace à cette idée. J’ai trop de fierté pour accepter d’être sa chose. Son protégé m’aurait mieux convenu. Et là encore, je me permets d’émettre quelques doutes. Ses caresses sur mon bas ventre m’empêchent de me lancer dans un combat de coqs et je laisse tomber. Je ferme les yeux pour les rouvrir sur le visage d’adonis de celui que la société a nommé mon ami, parfois mon compagnon, encore trop prude pour parler d’amant, d’amoureux. Je laisse échapper un râle de plaisir sous sa main experte qui détaille les contours de mon boxer. Il se penche dans mon cou et les couleurs du rêve qu’il m’a laissé entrevoir explosent dans mon esprit. « rien ne me ferait plus plaisir que de t’avoir à moi tout seul loin d’ici. » Je toussote alors qu’il me souffle la fumée de sa cigarette dans le visage. Et j’ajoute nonchalamment. « je reprends en octobre. Mais j’ai pris des cours particuliers avant la rentrée, j’t’ai dit… ça s’termine la semaine prochaine. » Je hausse un sourcil puis les épaules à l’idée de ces cours particuliers ne m’ont rien apporté, que j’en ai loupé la moitié pour le voir lui. He’ll be the ruin of me. J’me tâte à faire ma licence mention bloko, bonjour comme je cartonnerais. Je le sens mordiller mon cou et je soupire encore. Si on partait, si on se taillait est-ce que c’est à ça que ressembleraient toutes nos journées ? Est-ce que c’est possible de vivre d’amour et d’eau fraîche ? J’apprécie l’idée en tous cas. Et pendant que bloko tâtonne encore en dessous de ma ceinture, je me perds dans des rêveries inconsidérées de soleils nouveaux et d’horizons lointains, de soirées dans ses bras et de journées sans sirènes de police. Là, très franchement, je ne sais pas ce qui me retient de plaquer mes lèvres contre les siennes et mon corps au dessus du sien. Pourtant je me laisse faire. Pour une fois. « partons. Partons vite. » Que j’arrive à murmurer entre deux soupirs. Oui, le plus tôt sera le mieux. Et ouais j'me prends souvent la tête avec erin. En même temps, c'pas comme si les occupations fusaient en c'moment à la coloc'. Il y a que quand son harry est pas là qu'on peut s'parler. Du coup c'normal, j'la taquine. Et ça part en sucette. Moi j'aime bien ça, ça met d'l'animation au moins. Pis c'est pas comme si j'pouvais compter sur bloko toutes les nuits. Il me le rappelle bien d'ailleurs... Il est "occupé". J't'en foutrais des "j'suis occupé" moi. Si au moins il squattait l'ordi pour mater du porno, comme tous les mecs, là il y aurait moyen d'faire quelque chose. Mais nan. C'te foutu machine c'son outil d'travail. J'peux décemment pas la foutre par la fenêtre. J'ai l'impression d'être une de ces desperate housewives à qui on fait pas assez attention. Et très franchement, ça m'emmerde. Même si... même si il sait s'faire pardonner. C'est foutrement vrai, il sait s'faire pardonner. Que j'pense en sentant que ses doigts frais se sont lassés sur tissu d'mon boxer et viennent faire coucou à ce qu'il y a en dessous. Ce mec me rendra fou, j'le jure. J'le sens aussi pressé que moi. Je ne sais même pas ce qu'il se passe dans nos têtes pour qu'on se retienne de se sauter sauvagement dessus. Cela dit, j'aime ça. c'bien pour ça que j'adore venir te réveiller. Il y met tout son coeur à m'faire languir. J'vais mourir sous ses caresses. J'vais exploser. J'en ai des frissons tellement c'est bon. J'ai envie de plus, de tellement plus. J'le sens sourire contre mon cou, je sais qu'il sait ce que j'ai en tête. Il le fait exprès l'enfoiré. Sa main qui remonte sur mon ventre, ses bref baisers dans le creux de mon cou. Bordel. J'suis tétanisé. C'est limite si j'arrive à garder mes mains sur son torse alors qu'il me fait fondre. On pourrait rester là des heures. Dans ces moments là, j'me dit que j'en ai plus rien à foutre des autres, de la police, de mes parents, de nos connaissances, de tous ces cons qui passent sous nos fenêtres et qui connaitront jamais notre existence. J'sens qu'on pourrait rester ensemble pour toujours. C'est naïf mais c'est l'effet qu'il me fait. Il est fort. Brusquement j'me sens collé au matelas et ses mains empoignent mes cuisses pour les écarter violemment. Je laisse échapper un petit cri. Oui, j'adore quand il vient comme ça sur moi. Il se frotte contre moi et je remonte le bassin pour plus de sensations fortes. J'attrape sa nuque en même temps que lui mes cheveux et je me délecte de ce baiser fiévreux. Bordel, est-ce que j'ai déjà ressenti ça ? J'ai beau chercher, ça vient pas. Jamais autant d'plaisir n'a émané de ce genre de contact. J'suis amoureux putain. Et c'est réciproque. Ca décuple tout. Je sens mon boxer se tendre sous la pression de ma turgescence. Il est à moi. Mes mains passent de sa nuque à ses fesses que j'agrippe violemment alors qu'il passe sa langue contre la mienne. Jamais l'on a reçu de si doux baiser. Je l'entend à peine me parler. Les yeux fermés je sens vaguement son souffle chaud contre mon oreille sans comprendre le moindre mot de ce qu'il me raconte. J'ai cru entendre "bébé". Il m'élève mon pantalon. vitesse supérieure. J'le vois qui mate mon boxer avec ce regard que je lui connais bien. Je lui envoie un clin d'oeil lascif. Je ne sais pas s'il l'a vu mais qu'importe. A présent mon contact se fait plus intime. Je tourna la tête vers la fenêtre fermée. A travers les volets qui sont restés clos, quelques rayons de soleil viennent mettre en lumière nos ébats. Je me relève quelques secondes le temps de baiser son cou, laissant une petit marque rougeâtre qu'il gardera quelques temps. Je souris. Je crois que ses paroles ont encore plus d'effets que mille caresses. Je souffle bruyamment. Je suis complètement passif, je bois ses paroles qu'il interrompt par des baisers et des caresses plus appuyés. Je ne tiendrai plus longtemps. Ce qu'il y a là. Oui vas-y, continue. qu'est-ce qu'il y a là ? J'n'en peux plus. Il sourit et ses lèvres retrouve les miennes. Je plaque mes mains dans son dos et passe ma langue sur ses dents. Il plaque ses mains contre mes cuisses et se rapproche encore plus. Je compte bien te faire l’amour avec assez de violence pour que tu veuilles et ne puisse pas rentrer chez toi. ooh ta gueule ! Que j'réussis à hurler avant de craquer. De son dos, mes mains descendent vers ses fesses et j'enlèves son boxer plus vite que Lucky Luke n'attrape son colt. Son sexe claque contre son ventre et je sens qu'il est à point. Je me débarrasse aussi de mon boxer et me relève doucement, réduisant la distance entre nos deux corps nus. Bordel, c'que je l'aime. Je continue de me frotter contre lui et je lâche un puissant râle rauque. Dans quelques minutes, c'tout l'immeuble qui profitera de not' plaisir. J'ai qu'une envie, rouler au dessus de lui et prendre les devant, mais j'sens qu'aujourd'hui il 'men voudrait. Alors j'me contente de caresser doucement son sexe d'une main pendant que l'autre prend appui sur son dos. Il ne va pas résister longtemps. C'dingue toute cette tension. J'ai jamais autant pris mon pied qu'avec bloko et pourtant, c'pas les occasions qu'ont manqué. Mais de toutes les activités à sensations fortes, être dans un lit avec bloko, c'est de loin la meilleure. Ca pourrait convaincre un camé d'abandonner sa dope, un alcoolo d'lâcher sa bouteille, ça pourrait guérir le cancer tellement c'est puissant. J'me sens bien avec lui comme jamais. J'aimerais que ça dure indéfiniment. J'suis bercé d'douces illusions et j'prie pire qu'mes rêves se réalisent. je... t'aime. que j'murmure à son oreille dans un soupir.

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