Nom complet ▲ Louise Eva Beckett. Lieu de naissance ▲ Londres. âge ▲ 22 ans. nationalité ▲ anglaise. diplômes, études ▲ étudiante en danse. métier ▲ étudiante en danse. statut matrimonial ▲ célibataire. orientation sexuelle ▲ homosexuelle. situation financière ▲ aisée. idole(s) de vie ▲ Svetlana Zakharova. nombre d'amis facebook ▲ 267. moyen de déplacement ▲ Mercedes Classe A. groupe ▲ Un autre monde. avatar ▲ Phoebe Tonkin. crédits ▲ Bazzart & Tumblr.

DE 8H00 à 12H00▲ 7 heures tapantes je suis debout car à 8 heures je file danser! Brossage de dents, déjeunage, lavage, habillage et hop en voiture. Midi pause repas!


DE 12H00 à 14H00▲ après ma pause repas à 13 heures je repars danser!


DE 14H00 à 17H00▲ J'ai cours de danse jusqu'à 16 heures puis je file chez moi prendre un bon bain et boire un thé à la vanille bien chaud.


DE 17H00 à 20H00▲ Soit je traine chez moi, soit je vais chez des amis. J'en profite pour faire quelques courses et un peu de shopping, à 20 heures je suis en mode télé.


DE 20H00 à 24H00▲ Certains soirs je sors, d'autre je vais me coucher vers 22h30 seule... ou accompagnée.


DE 24H00 à 8H00▲ je fais un gros dodo... ou pas...

Ma vie commence il y a 22 ans à Londres. Mon père habile d'homme d'affaire et ma mère héritière d'une riche famille anglaise attendait mon arrivée comme celle du messie. J'étais voulue. Dés mes 5 ans ils déchantèrent. Véritable casse-cou je multipliais des mauvais coups. Ma mère m'inscrit alors à la danse, s'imaginant que cela me "dresserait". Hélas si je trouver en la danse une véritable passion je n'en restais pas moins un diable. Mais je ne remercierais jamais assez ma mère de m'avoir inscrite à ces cours de danse.

La danse devint le centre de ma vie. La seule raison pour laquelle je me levai le matin et pour laquelle je voulais tout sacrifier. Je n'en restais pas moins un fille difficile à gérer. Mon adolescence fut une période difficile pour mes parents. J'étais lunatique. Une heure j'étais euphorique et à la moindre remarque ou simple saute d'humeur je devenais infernale. J'étais impatiente. Il fallait que j'obtienne tout sur le champs. Mes parents n'en pouvaient plus. Ils étaient fatigués. Et ultime caprice : je demandais à partir pour Paris. La ville de la danse. Mes parents acceptèrent trop heureux d'être tranquilles. Ils subviennent à mes besoins, prennent des mes nouvelles, cela nous suffit.

Et alors que j'étais en pleine crise d'ado, je découvrais une nouvelle facette de moi : mon homosexualité. J'avais toujours trouvé mes Barbies sexy. Et me voilà que les filles me faisaient tourner la tête. Les mecs n'arrivaient même pas à m'attirer. Puis je rencontrais Naïs. Nous étions amies. Puis un soir nous dérapâmes, puis deux, puis tous les soirs. Bientôt nous devînmes jalouses. Je ne supportais pas un regard trop appuyé sur elle, un sourire adressé à une autre. Puis cela explosa, je l'ai jeté dehors. J'en avais assez.

Tout se détraqua d'un coup. Notre rupture ne me faisais pas sentir mieux et j'enchainais juste les copines d'un soir pour oublier. Et j'appris. Un maladie génétique. Trop de parathormones, ces hormones qui fixe le calcium. J'en avais trop et cela fixait le calcium à mes reins. Je risquais d'en perdre un tandis que je perdrais l'usage de la parole et qu'il y avait un risque d'AVC. Je repousse le moment de l'opération. Je crains les aiguilles, le sang. Naïs essaye de reprendre contact, j'en meurs d'envie. Et je vais accepter. Car au fond je n'ai jamais tourner la page.