Nom complet ▲ rebecca, salome sharon belinda eden ariel ava, romane elbaz. Lieu de naissance ▲ new-york, US. âge ▲ vingt-trois ans. nationalité ▲ française et américaine. diplômes, études ▲ si on vous demande, vous dites que vous ne savez pas. métier ▲ chez Vogue, pour le reste, c'est relativement flou. statut matrimonial ▲ bâtarde sensible. orientation sexuelle ▲ hétérosexuelle. situation financière ▲ aisée, très aisée. idole(s) de vie ▲ gabrielle chanel, gainsbourg et batman. nombre d'amis facebook ▲ j'aime pas facebook. moyen de déplacement ▲ aston martin. groupe ▲ l'hymne à l'amour. avatar ▲ ashley benson. crédits ▲ tumblr.

DE 8H00 à 12H00▲ Généralement, Romane se lève aux alentours de sept heures afin de se préparer pour aller au travail, styliste et rédactrice d'articles pour Vogue Paris, la jeune femme prend son travail très au sérieux et elle ne fait jamais d'excès lorsqu'elle doit aller travailler. En principe, elle ne quitte pas son bureau de la matinée si ce n'est pour aller voir des mannequins.


DE 12H00 à 14H00▲ Pause déjeuner pour mademoiselle Elbaz, avec sa mère le plus souvent ou des amies, au Ritz pour ne jamais changer. Très proche de sa famille, elle aime passer du temps avec sa mère et profite toujours autant des moments avec elle.


DE 14H00 à 17H00▲ De retour à son bureau jusqu'à quinze heures puis réunion avec les stylistes et la rédactrice en chef jusqu'à dix-sept heure voir dix huit heure trente entrecoupée de mainte pause clope et café.


DE 17H00 à 20H00▲ Rendez-vous au café de Flore avec sa meilleure amie, potins et debriefing de leur journée respective. Jusqu'à dix-neuf heure avant de passer prendre un repas à emporter et de partir chez l'une d'entre elle jusqu'à vingt et une heure.


DE 20H00 à 24H00▲ Bain chaud et relaxation puis, une heure de réflexion intense devant sa penderie pour choisir sa tenue de soirée, tournée de quelque bars sympathique de la ville jusqu'à minuit histoire d'être dans le bain d'une soirée mouvementée cependant, Romane ne bois pas beaucoup voir pas du tout en semaine, elle aime simplement l'ambiance.


DE 24H00 à 8H00▲ Entrée en boite de nuit histoire de voir ses amis, elle ne reste qu'une ou deux heures avant de faire un rapide passage au Queen afin de voir ses cousins puis de rentrer chez elle pour éviter de ressembler à un zombie devant madame Alt.

« Roman… Rooomaaaaaaan ! ROOOOOMAAAAANE ! » « Quoi ? » « Tu fais quoi ? » « Rien. » « Pourquoi t’as une bague comme ça ? » « Parce que ça fait la gonzesse qui a un mec trop bien qui lui offre une bague plus grosse qu’un pamplemousse. » La gosse – ma filleule en l’occurrence – elle me regarde d’un air étonné. Des yeux ronds comme des soucoupes. Elle me regarde avec un air étrange, genre : j’ai rien pigé. T’as pas pigé ? C’est pas plus mal. Tu auras le temps de découvrir les choses de la vie. J’aime pas les enfants. Ça braille dans tout les sens et ça pose beaucoup trop de questions. Ils se mêlent de ce qui ne les regardent absolument pas. Elle, elle est mignonne et puis elle me regarde toujours comme si j’étais le père Noël. Elle parle pas beaucoup sauf quand elle a une subite envie de se socialiser. Je préfère ça, j’aime pas parler non plus. J’ai toujours l’impression de parler avec une pote complètement bourrée. La môme essaye de descendre tant bien que mal de sa chaise haute. Parce qu’elle dit sans cesse qu’elle est ‘grande’, qu’elle peut tout faire toute seule. Évidemment elle manque de tomber sur le carrelage telle une poupée de chiffon et là je vois les larmes dans ses grands yeux noisettes. Alors je cours vers elle pour la prendre dans mes bras, la rassurer. Et v’la le torrent de larmes et de morve. Ne pleure pas ma princesse, ne te gâche pas à pleurer pour un petit genou bleuté. Quand tu seras vraiment grande, lorsque tu auras d’autres occupations que de vouloir te suicider de ta chaise haute, tu trouveras ça bien dérisoire. Quand tu te rendras compte que la vie n’est qu’une vaste fumisterie, tu comprendras pourquoi j’étais comme ça. Ben oui. Parce que quand nous, on est petites, qu’on regarde nos mamans avec une envie débordante de savoir ce que ça fait d’être comme elles, ben elles nous mentent. Les mamans c’est toutes des menteuses. Mais elles savent pas. Elles pensent pas qu’on puisse être perdues sans elles un jour. Elles veulent pas. Elles nous disent des choses qui ne sont pas vrais. Mais c’est pas leurs fautes, parce que nos mamans elles essayent toujours de faire au mieux. Parfois ça ne fonctionne pas, mais ça, c’est votre karma. Le karma ça ne pardonne pas. On arrive à nous faire croire qu’un mec gros comme une maison arrive à passer par notre cheminée et qu’en plus, le gus il fabrique des poly pocket à la pelle. C’est des conneries. Faut leur expliquer à ces mômes que la vie c’est pas le pays des Bisounours. Que non, les filles ne deviennent pas forcément des princesses et que les garçons ne les défendront pas d’un gros méchant dragon. Le pire de tout c’est qu’on nous enfume avec des histoires de poneys qui font des cacas papillons et des princes charmant qui nous ferons des tas d’enfants. Comme si à cinq ans on avait envie d’avoir une dizaine de nains avec un blond qui nous éblouit de son sourire. J’aimerais lui dire. Lui avouer qu’on l’a prend pour un jambon et que c’est pas prêt de s’arrêter. Mais je ne le fais pas. Je sais pas pourquoi, mais cette gosse elle arrive à m'attendrir. Alors pour éviter de dire des bêtises je sors une cigarette, au moins je serais occupée à éviter d’entretenir son cancer. Elle me regarde en souriant, c’est fou comme un gosse peut passer du rire au larmes en cinq secondes. J’aime pas les enfants. Ils pleurent tout le temps et ils comprennent beaucoup plus de choses que les adultes.

J’étais pas comme ça avant. Je veux dire, pessimiste et sans cœur. C’est la faute de ce foutu prince charmant. Je l’attendais pas moi, il est venu tout seul comme un grand planter sa voiture dans ma clôture. Le pire, c’est que cet imbécile il en était heureux. Genre : ‘woa ravi de te rencontrer poupée’, j’lui en aurais donné moi des poupées. J’aurais dû le voir venir, savoir qu’un mec pareil ça ne pouvait pas être sincère. Mais que voulez vous, lorsque l’on rencontre un garçon on se retrouve à avoir douze ans et on ne sait plus comment on s’appelle. Nous devenons idiote. Ça doit être dans les gênes, une sorte de pathologie. Toujours est-il que j’étais peinarde dans mon jardin quand cet abruti a perdu le contrôle de sa voiture. Une audi, je me gausse, je suis morte de rire. Forcément il a foncé dans MA clôture. Je vous ai déjà dit que c’était un abruti fini ? Et il est resté dans ma vie durant un an. Une longue année. Engueulades, amour, engueulades. Parfois j’avais envie de faire la trêve. De signer un pacte nous interdisant de nous cracher à la tronche tout les deux jours. Mais il était rare que Josh accepte. Il n’acceptait pas grand-chose. Le genre de mec qui pense qu’à sa tronche parce que c’est la seule chose qui lui parait approprié. J’ai finis par baisser le rideau, j’en avais ma claque de tout ça. Mais voyez vous, cette bague plus géante qu’un pamplemousse je l’ai gardé. Parce qu’elle est belle, qu’elle fait fashion. Qu’en plus elle me va bien. C’est un truc de gonzesses ça encore. Vous voyez, le regard de ma filleule me fait penser à tout ça. A toutes mes erreurs – Josh donc – parce qu’elle est encore si innocente. Parce qu’elle arrive à tout comprendre du haut de ces quatre ans. Les mômes ils nous donnent l’impression d’être des petits de dix ans, mais ce n’est pas le cas. Parce que sinon on se retrouverait à jouer aux barbies en moins de deux, des couettes sur la tête et les posters de Justin Bieber pour prouver notre débilité. Mais vous voyez, eux, ils ne réfléchissent pas comme nous. Ils ont cette pureté qui nous a quitté plus vite que prévu. Eux ils vous regardent et ils savent de suite ce que vous avez. Alors que nous, déjà à dix huit ans, on s’inscrit pour vingt cinq ans de psychanalyse pour comprendre pourquoi le soleil se lève tous les matins. J’aime pas l’amour. Les papillons dans le ventre, les bisous dans le cou. Les regards amoureux et les promesses. Le besoin de contact et les envies subites. Les bouquets de fleurs à la saint Valentin, du style de dire : « je t’offre un bouquet et un cadeau aujourd’hui parce que je suis obligé, parce que si je ne le fait pas je sais que tu vas me casser les co*lles jusqu’à la fin de l’année CONNASSE. » Charmant. Mais les mecs c’est tous les mêmes. Ceux qui disent le contraire sont des menteurs où alors vous êtes tombée sur LE mec. Cela dit, je ne suis pas psychorigide. Peut être qu’un jour y en aura un qui sortira de derrières les fagots. Il à juste intérêt à laisse son fier destrier blanc et sa cape derrière lui.

Je suis née à New York. J’aime la Grosse Pomme. C’est cool, c’est classe, c’est américain. J’aime les américains, ils sont différents des français. Je suis née un vingt huit décembre, il neigeait à ce qu’il paraît. J'étais pas toute seule à naitre. Non, j'ai un jumeau. Caleb, le mec le plus génial de la terre. C'est même un euphémisme. Nos parents se sont quittés le vingt neuf décembre. Si ça ce n’est pas être réglé comme du papier à musique. Il faut croire que notre tendre géniteur ne s’est pas senti envahi par la fibre paternelle. Encore un qui à pris les jambes à son cou. Remarquez c'est pas plus mal. J'aime pas mon père. Je le connais pas mais je ne l'aime pas. Sur les photos ils avaient l'air heureux et tout et tout. Ils avaient le sourire colgate comme si c'était le couple modèle. Les pères ils devraient pas filer. Ça non. Ils devraient être là pour les spectacles de fin d'années, pour être là quand on fait du vélo pour la première fois. Ils devraient aussi pouvoir nous rassurer lorsqu'on tombe d'un arbre ou ce genre de trucs. Les pères ils devraient être attendrie par leurs enfants et puis s'en occuper. Mais pas le mien. Le mien à filé à l'anglaise. C'est le cas de le dire en fait. Tout ça c'est un complot. Ouais. Un complot. Mon psy m'a toujours dit que si j'avais un soucis avec les mecs c'était à cause de lui. J'aime pas les psy. Parce qu'ils essayent toujours de remonter dans votre enfance. Ils vous trouvent toujours des excuses pour toutes les choses que vous avez faites. La mienne, elle disait que j'étais une petite plante qui ne cherchait qu'à s'épanouir. Vous voyez un peu le délire de cette femme. J'étais tout sauf une plante. Parce qu'une plante c'est là juste pour faire beau. J'ai une tête à être là pour faire beau ? Je ne crois pas non. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai quitté New York, j'ai tout quitté, mon frère jumeau, mon copain tout. Parce que pour mon adorable mère j'étais là juste pour faire beau. La potiche en gros. Ah parce que c'est vrai, je ne vous ai pas présenté ma mère. Judith, hystérique. Ma psy à même voulu me faire enfermer sous prétexte qu'en faisant de très grands gestes je l'avais giflée. Même pas vrai, roh l'autre. Passer de New York à Paris c'est assez spécial. J'aime bien les français. Ils sont cool, ils sont pas vraiment chiants. Les mecs sont sympatoche. Je sens que je vais bien me plaire. Enfin j'espère. Parce que j'sais pas si vous avez remarqué mais j'suis du genre chiante comme nana. J'ai un caractère spécial. Parce que je fais confiance à personne. Alors j'suis distante, hautaine, j'ai une carapace quoi. Je plais ou je plais pas. Y en a qui disent que mes yeux changent la donne. Ils sont beaux à ce qu'ils parait. Ils sont foutrement bleu quoi. Mon frère est censé me rejoindre à un moment donné. J'sais pas trop si il le fera. Mais il me manque ce con alors qu'il magne le mouvement. Bref, en attendant je me retrouve à Paris. Advienne que pourra.

Félicitation, tu es désormais officiellement un Ooh la la Parisien. Nous t'invitons maintenant à faire grandir ton personnage parmi nous à travers les liens et les topics. Évidemment, la chatbox et le flood sont deux moyens très efficaces pour t'intégrer aux autres et nous vous encourageons à y participer pour connaître l'ambiance de fou qui règne ici. Si les moyens cités plus haut sont inefficaces, n'hésite surtout pas à demander à un administrateur ou à un habitué d'ollp de te parrainer. N'hésites pas à t'inscrire à l'intrigue en cour : le festival de musique ! Nous recherchons des groupes, des danseurs mais aussi des spectateurs et même des bénévoles pour veiller à l'encadrement de la fête (a) Nous te souhaitons de merveilleux moments parmi nous et nous espérons que tu pourras trouver ton bonheur ici.

Yannie, Grayson, Ella, Cora, Bloko, Albane & Anaëlle