Nom complet ▲ Heremoana Divine-Ewen Lieu de naissance ▲ Oslo/Norvège âge ▲ 22 ans nationalité ▲ Française & Norvégienne diplômes, études ▲ Étude de basemétier ▲ Écrivaine à temps plein dans sa chambre statut matrimonial ▲ Célibataire avec ses nombreux animaux orientation sexuelle ▲ Indécise situation financière ▲ Très bonne. Mais sans la fortune familiale très mauvaise.idole(s) de vie ▲ Ma grande soeur le modèle de l'enfant parfait pour mes parents. nombre d'amis facebook ▲ Je suis trop timide pour Facebook moyen de déplacement ▲ Bicyclette et sinon il a toujours le bus ou le métro pour dépanner en hiver. groupe ▲ Un autre monde avatar ▲Maddie Kulicka crédits ▲ Tumblr

DE 8H00 à 12H00▲ Je viens sans doute de me réveiller une fois de plus en dehors de mon lit à avoir écrit toute la nuit et je prends le temps de m'habiller convenablement pour ne pas avoir l'aire de zombie. Après je vérifie que chacun de mes reptiles vont bien et oiseaux et je me dépêche de me rendre à la maison familiale pour le déjeuner. Pour les heures qui restent cela dépend si j,aide ma mère dans le jardin pour ses fleurs. Je fais du ménage et je m'amuse à changer les meubles de place dans mon appartement.


DE 12H00 à 14H00▲ Je commence à écrire et je me distrais pendant mes pauses à faire des biscuits des gâteau. Je dis bonjour à citron mon oiseau préféré c'est une partie de la journée qui est un peu en temps mort.


DE 14H00 à 17H00▲ À ce moment là je dois transférer à un de mes lézards et j,aime bien me faire un bol de céréale pour le souper. Vous devinerez que je ne sors pas beaucoup la plupart du temps je faire une balade à vélo. Je passe me prendre un café en vitesse et j'évite les gens le plus possible comme je n'aime pas beaucoup parler.


DE 17H00 à 20H00▲ J'essaie de m'installer à mon travail comme une grande fille , mais je suis toujours distraite par quelque chose. Je brise deux trois trucs , car c,est ma spécialité . Je me bats avec mes cheveux et je me change en vêtement confortable . En dernier je regarde les passants pour certains personnages de mon roman.


DE 20H00 à 24H00▲ Et bien voilà à partir de cette heure je ne fais que écrire rien d'autres. Je déchire de feuilles si j'écris sur du papier. Je frappe mon ordi ou ma tête quand j'ai pas assez d'inspiration. Bref je fais mon travaille d'écrivaine


DE 24H00 à 8H00▲ Je m'endors quelque part entre ses heures.

J'ai le syndrome de la page blanche. Oui je le sens au profond de mes veines et les articulations de mes mains ne répondent plus. L'écriture fine ne veut plus coopérer avec moi et tout me dépasse. Plusieurs boîtes ne sont pas encore déballer et je n'ai sortie pratiquement les feuilles blanches immaculés , le bureau d'ébène suivit des tasses de café.Encore il a mon lit dans la pièce du fond qui a eu le droit à ses draps. Mais il faut croire que j'ai décidé de le bouder pour m'endormir par accident aux petites heures du matin en pleine écriture invisible.How long before I get in Before it starts, before I beginPolly brosse ses cheveux pendant que la petite caresse le visage de sa poupée dont un bras lui a été arrachée.«Il est arrivé un accident à ton amie ma belle?» L'enfant regarde sa gouvernante dans la glace avec un demi-sourire et lâche de sa voix cristalline.«Non c'est Sally qui ne l'aimait pas donc...»Elle reste muette à la suite de cette phrase. Polly n'a jamais vue cette fameuse fille dont Heremoana lui parle tant tout les jours , mais voilà elle a déjà la réponse : c'est l'âge de l'imagination. «Bien entendu.». Cette dame était tant à l'écoute de cette progéniture si jeune dont on apportait peu de temps. Elle écoutait ses moindres questions. Elle se demandait pourquoi ses parents ne s'embrassaient pas comme dans les films. Et bien ce que en réalité il ne s'aimait et n'était que relié par un simple mariage entre deux familles. La chance était là puisque les chicanes n'étaient jamais de la partie et ils s'entendaient bien comme deux amis. Mais voilà faut croire qu'ils ont eu des moments de tendresse pour avoir eu deux enfants. Elle aimait bien les observer tout les deux veiller à leurs occupations distingues. Oui parfois on pouvait entendre Ermina rire de bon cœur dans la luxueuse demeure après quelques mots de Abraham. La gouvernante replaça la robe d'un bleu cyan et donna un fin baiser sur son front. Une grande femme sage qui ne portait pas la langue dans son sac et un caractère totalement bouillant dans son 1m60. Heremoana craignait souvent de se faire chicaner par cette dernière et restait ainsi droit comme un piquet. «Polly est-ce que tu me peux faire une tresse aussi ?»C'est à ce moment que l'aînée rentre en jeux. Aela âgée de deux ans plus elle a toujours su mener la cadette par le bout du nez. Elle a toujours pris plus de place et éveillé la perfection pour sa sœur. Je caresse le cadre qui orne la photo. Une famille bien unie . Nos liens sont si fort que je le sais que au prochain matin de ma mauvaise nuit j'irai manger les délicieuses crêpes maternel. La maison familial à seulement deux coins de rue elle expire un apaisement que mon appartement ne m'apporte pas. Je me rappelle de cette grande cours arrière , les poupées retombaient dans l'herbe suivit de moi et ma soeur qui s'amusait dans l'étendue vert. On avait le droit à des mécontentement de la part de Polly qui lavait nos robes tâchée. Les défauts étaient bien présent dans la luxueuse demeure , mais on en oubliait leur présence oubliant nos embuches par les jolies plaisirs de la vie.Look up, I look up at nighs Planets are moving at the speed of light«Tu devrais pas leur parler»Son nez se plissait et ses traits se tordaient. Hero n'apporta aucun regard vers son amie qui s'énervait à cotée d'elle. Elle continuait d'avancer à pas lent. La seule chose qu'elle espérait à ce moment c'est d'être apprécié. Les jeunes filles riaient au éclat assise sur un banc. Belles , elles étaient tous bien coiffé et bien vêtu . La jeune fille ne leur ressemblait pas et pourtant elle venait du même quartier.Progénitures mesquines des femmes dont détestait sa mère et elle aimait bien en faire part de son mépris autours de la table de verre extérieur.«Recule Heremoana»La tension montait et ses poings se crispaient , mais la distante continuaient de se rétrécir. Sa voix continuait à frôler les parois de son crâne et bientôt ce n'était qu'un file qui séparait son calme et l'énervement qui montait à l'intérieur d'elle.«Non n'y va pas!»«LAISSE MOI TRANQUILLE !» L'image de Sally venait de s'évaporer , mais un nouveau bruit se faisait entendre. Leurs rires , leurs moqueries à ses tympans. Et la voilà qui déboulait jusqu'à chez elle , perles dégoulinantes sur son visage. La barrière éternelle qui siège dans ma tête. Cette dame aux cheveux blonds. Je me penche pour regarder mon oiseaux citron dans sa cage blanche pour le déposer sur mon épaule. Je la vois qu'elle se penche de la même façon me tirant un jolie sourire. Je lui rends , mais je l'ignore le plus possible comme je le fais depuis quelques années. Cette folie fut accepté comme normal pour mes progéniteurs qui refusaient de voir que j'avais peut-être un problème. Les humiliations sont trop grandes dans les endroits publics lorsque tout se déchire dans ma tête. Pas normal , oui c'était vraiment le cas . ma mère préférait clouer les grands becs des dames plutôt d'accepter une seule seconde que j'avais besoin d'être examiné. And all that noise, all that sound All these pieces that I have found And birds go flying at the speed of sound«Tendez les bras mademoiselle». Son regard de braise détournait vers les carré de glace. Ses doigts fins touchaient la chaire violentée et on appliquait de fins bandages blancs. À sa joue il lui déposait une douce caresse.«Il faut arrêter ça mademoiselle»«Pourriez-vous m'appeler par mon prénom comme vous pourriez me tutoyer.» Il se mit à rire de bon cœur sous ses traits de sage. Ses cheveux grisonnants sur son crâne qui ramassait les tâches de vieillesses. Il finissait de fermer les bandages et remontait son long doigt tordu en étirant ses lèvres défraichies d'un sourire.«Non puisqu'il n'est que question de bonne politesse comme votre mère vous l'a appris. » Elle baissait ses prunelles triste de la réponse. Mais dans l'ombre d'une seconde elle projetait son regard plus loin dans la pièce. Le vieillard faisait un signe de tête. Il savait tout ce qui se passait au plus profond de sa complexité. Ce qu'elle observait au fond de la pièce que bien des gens auraient haussé un sourcil.Ce secret qu'elle porte en elle. Cette clef qui échappe à tout le monde. Cette situation qui lui mérite des mépris . La porte toujours grande ouverte , la jolie brune rentrait et sortait de son mutisme de silence connu par sa famille. Il n'est pas question de miracle. Les choses ont toujours paru plus simple dans les confortables sofa rouges de monsieur Sørensen. Le liquide chaud qui roule à l'intérieur de la tasse , je regarde par la vitre et j'oublie le volume et voilà que je me brûle lorsque le contenant déborde. Je soupire. Perdue encore dans les souvenirs , le mutisme revient à ma porte accompagné de la douleur et des blessures sur ma peau. Il me semble que je puisse entendre encore mes pleures à mes tympans. Ces larmes qui ébranle mon âme à chaque éclosion sur le coin de mes yeux. Le breuvage noir charbon à déjà pris une couleur plus tendre chocolaté avec le goût sucré d'un bon parfait chocolat chaud. Quand les choses venaient trop dure à supporter je me poussais à la maison voisine. Je n,avais pas besoin de m'expliquer rien , je pouvais entrer comme il me bon il me semble chez monsieur Sørensen , il avait toujours ce sourire si accueillant et sa politesse inégalé. Le son de ma voix était devenu un bien précieux et rare qui n'était plus accordé qu'à des êtres peu présent. Tout était reposé sur Sally. Je lui parlais pendant de longues heures pendant la nuit lorsque que je me nichais sur le toit proche de ma fenêtre pour observer les étoiles.Mon cas est devenu plus stable quand la petite famille à mit les pieds sur la France. Un grand retour aux sources au rendez-vous pour le paternel. L'horloge sonne et me rappelle que je me suis égarer et mon roman m'attends


«Dritt !» Le petit pot se fracassait sur le sol laissant les débris s'envoler un peu partout dans la pièce. Elle le sentait comme un mauvais signe. Quelque chose de tordant dans son estomac et la seule chose qui lui restait à faire c'est d'expirer un bon souffle. De mains tremblantes , elle en voyait même presque flous et se mordait la lèvre inférieur. Les segments rouges sur ses avant bras brûlaient encore de mille feux et avoir son chez soi n'annonçait pas un nouveau départ.

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Yannie, Grayson, Ella, Lumen, Bloko, Glwadys, Albane & Anaëlle