► OOH LA LA PARIS.
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ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.
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 bleuet. (c.e)

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MessageSujet: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyJeu 2 Aoû - 23:49


BLEUENN DEER FAURE

❝ i close my eyes and take a breath real slow. ❞




ye m'aime, pas toi?

J'suis née à Paris il y a 22 ans et on m'a appelé Bleuenn Deer Faure. Je suis d'origine française et anglaise. Dans la vie de tout les jours, je suis pâtissière, chocolatière. En dehors de ça, faut pas chialer hein, mais j’suis pansexuelle, j'suis également célibataire faut croire et j’le vis bien. Je fais parti des roses, l'hymne à l'amour et j’en suis particulièrement fier. On m’dit que je ressemble souvent à Charlavail Effron et je remercie tumblr, la grosse surprise.
je veux en savoir un peu plus.



→ Je suis née à Paris, dans la ville natale de ma mère. Tout de suite après ma naissance, on est allé habiter dans la ville natale de mon père, Londres. À l'âge de 21 ans, je suis revenue habiter à Paris avec mon frère en apprenant que j'étais enceinte. Après 6 mois de grossesse, je suis repartie vivre à Londres à nouveau avec celui que je croyais être le père du bébé. Finalement, quand mon petit trésor a eu 5 mois, je suis revenue vivre à Paris encore avec mon frère. Paris, Londres, vous devez retenir ça.

→ Je ne parle plus à mon père depuis mes dix-huit ans, en fait, lorsqu'il a essayé de revenir dans ma vie. À l'âge de cinq ans, il est partie de la maison pour ce faire une nouvelle vie, je suis restée avec maman, Ruben. Maintenant, j'ai mon beau-père que je considère comme mon vrai père, j'ai mon frère et ma demi-soeur. Sinon j'ai une belle-mère que j'ai vu une seule fois, une autre demi-soeur et un demi-frère, ils sont plus jeune que moi de deux ans.

→ Comme je dis plus haut, j'ai un bébé de sept mois, sa conception et sa venue sont très compliquées. J'étais en couple avec River depuis plus de trois ans et demi, je l'ai quitté en apprenant que j'étais enceinte de lui. Après quelques mois de vie du plus bel homme sur la Terre, il ne ressemblait pas à River, mais à Grayson. Après des tests, les médecins sont venus à la conclusion que j'avais perdu le premier bébé et que je suis tombée enceinte de Grayson quand on était en relation lui et moi, donc c'est un petit Langlois.

→ Je suis pâtissière. Je crois que c'était dans mon destin de travailler dans un truc avec de la bouffe puisque je mange tout le temps, c'est pas surprenant que mon patron me prend toujours avec un petit gâteau dans la bouche sur les heures de travail. Et je socialise beaucoup avec les clients, pas jusqu'à vouloir qu'il m'arrache la tête, mais les personnes âgées du dimanche sont très sympathique.

→ En plus des émissions débiles pour les enfants qui passent à la télévision, Yannie en voie de toutes les couleurs avec moi à la maison. Je dois dire que même avant la naissance du petit lapin des bois (oui, je donne des surnoms plus que con à mon bébé), j'avais de la difficulté à resté mature, alors avec le petit, c'est encore plus difficile, mais il ne se plaint pas.

→ Je sais dessiner plus que des bonhommes allumettes, surpris ? J'ai passé l'étape du soleil dans le coin de la feuille. Je faisais ce métier avant d'avoir Yannie et je me débrouillais pas si mal dans le domaine, sinon je n'aurais plus de tête aujourd'hui. Et je continue de dessiner, je me défoule dans l'appartement et sur le journal quand je parle au téléphone.

→ Malgré tout ça, je fais partie des gens timides de ce monde. C'est pour ça que je ne vais pas prendre la commande des clients au restaurant à moins que ça doit des habitués. Faut me faire la conversation d'abord, avoir un peu de patience et surtout, avoir de la discussion, sinon je reste muette comme ... je sais pas, j'allais dire comme un poisson hors de l'eau, mais c'est hors contexte.

→ Je suis insomniaque depuis que j'ai sept ans. Je dors que trois heures par nuit et je tiens parfaitement debout, sauf que c'est nul à trois heures du matin, il n'y a rien à faire, alors je m'occupe avec Internet, je fais mes achats en ligne, je fais le ménage, prépare de la nourriture à l'avance, donne le biberon à Yannie quand il pleure au milieu de la nuit.

→ Je suis timide, mais ça n'indique pas que je me laisse marcher sur les pieds, quand les choses deviennent sérieuses, mon côté timide part tranquillement et disons que les gens sont assez surpris de ce que peut faire un schtroumpf de 157 cm.

→ Je sais jouer du piano, je suis photographe amateur, enfin je me débrouille, j'ai un chat et un chien, j'ai deux tatouages, j'ai une peur folle des oies, je fais presque une obsession sur le bleu.
et toi, et toi, et toi ?

Votre pseudo sur le net → RIOT, ouais comme l'album d'Paramore. (aa) Où avez vous connu OLLP → Je communique écureuil. :heartt: Âge → 17 ans, déjà. Présence sur le forum → Ma vie complète est dédiée au geekage. bleuet. (c.e) 3041377103 Votre avatar → Charlavail Effron. bleuet. (c.e) 583886846
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[color=#FF0080]▬▬[/color] <b>Charlavail Effron</b> ◈ B. Deer Faure
Le code → Pringles (Original de préférence, j'aime pas les autres sortes. bleuet. (c.e) 2732560352 )





Dernière édition par B. Deer Faure le Ven 3 Aoû - 0:12, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyJeu 2 Aoû - 23:49



ohlala paris
❝ il était une fois ... ❞




CHAPITRE UN.


J’entends pour la vingt-troisième fois cette semaine ma maman crier après papa. Je me bouche les oreilles avec mes mains, je ne veux rien entendre, mais c’est très difficile puisque les cris sont très stridents et qu’il y a des gros bruits qui surviennent parfois. Je crois que c’est des objets que maman jette contre les murs parce qu’elle est en colère. C’est la première fois depuis les trois derniers mois que ça tourne aussi mal. J’ai mal aux jambes, car ces dernières sont collées contre mon corps depuis maintenant une heure et je n’ose pas faire un mouvement ou de sortir de ma garde-robe. Je pleure en silence en tenant mon ourson contre mon cœur. Dans les cas normaux je crierais et j’appellerais mon père pour qu’il vienne me réconforter, mais je sais que ce n’est pas le moment. J’entends des pas dans ma chambre et je retiens ma respiration, car j’entends toujours mes parents crier. C’est Ruben. Il rentre dans la garde-robe en me disant que tout allait bien, que papa et maman se disputaient et qu’ils allaient finir par tout se pardonner et que tout allait revenir comme avant. Mon grand frère prend place à côté de moi et me serre fort dans ses bras. Mon petit cœur bat vite et je me cache dans les bras de Ruben. Je respire fort et je chuchote que je veux que tout s’arrête. J’entends mon père dire à ma mère qu’il regrette d’avoir eu deux enfants avec elle, de ne pas avoir écouté ses parents et de l’avoir épousé. Il ne m’aime pas ? Je l’entends dire qu’il quitte la maison à l’instant. Je sors en courant au même moment où j’entends ses mots et je cours vers le premier étage tellement vite que je manque une marche, mais je réussis à me rattraper avec la rampe. Je vois mon père passer la porte de la maison, ma mère pleure et m’appelle en tentant de m’attraper, cependant je suis plus vite. Je passe devant mon papa et je m’arrête directement devant lui ce qui le force à s’arrêter. Je suis en pleure, je suis petite alors je frappe dans ses jambes en lui demandant pourquoi il part, pourquoi il ne m’aime pas et pourquoi qu’il m’abandonne. Mon père a les larmes aux yeux et me prend dans ses bras. Il m’explique qu’entre lui et ma mère ça n’allait plus et ce que j’ai entendu sur le fait qu’il ne m’aimait pas moi et mon frère n’était pas vrai, qu’il ne le pensait pas et que c’était totalement faux, qu’il avait parlé sans réfléchir. Il m’embrasse sur le front et me dépose sur le sol en me disant que nous allions nous revoir. Il s’est retourné et a murmuré à mon frère qu’il l’aimait et balance sa valise dans sa voiture et embarque à l’intérieur pour ensuite faire gronder le moteur et partir. Je crie son nom plusieurs fois et ma mère vient me prendre dans ses bras en s’excusant. Elle m’emmène à l’intérieur de la maison et m’assit sur le canapé et m’entoure d’une couverture en séchant mes larmes de ses pouces. Je n’avais que cinq ans à l’époque et j’ai compris que j’avais perdu mon père. Des larmes coulaient sur ses joues et se lève rapidement avant de disparaître dans la cuisine pour faire des crêpes. Ruben rentre alors dans la maison et disparaît dans sa chambre. Je décide de monter à l’étage et j'ouvre la porte de sa chambre avant d’y pénétrer et d’aller me coucher dans ses bras. Moi et mon frère ont a deux ans de différence et pourtant. Je continue de pleurer, mais en silence alors que lui me chante des chansons de vieux groupes avec la voix tremblante. J’ai peur. Ma mère apparaît quelques heures plus tard et se couche sur le lit derrière mon frère, tous les trois ont est couchés en cuillère et tout en flattant doucement les cheveux de Ruben, elle nous dit que tout va mieux aller à la maison à l'avenir, que notre père nous aime et que c’est le destin. Elle tente de se montrer forte pour nous, mais je sais que dans son cœur et dans sa tête elle pleure. Pendant plus de quatre heures d’affilées, ont reste comme ça et pendant tout ce temps je n'espère qu’une seule chose, que mon père traverse la porte avec un large sourire me demandant si je veux aller jouer au baseball dans la grande cours à l’arrière de la maison. Non mon père est plutôt à l’aéroport pour retourner dans la maison de riche de ses parents à tenter de se convaincre que c’est pour le mieux. Ma maîtresse et mon frère me disait souvent que lorsque deux gens se marient c’est parce qu’ils s’aiment et qu’ils veulent rester ensemble pour leur restant de leurs jours, c’est ce qu’on appel le vrai amour. Je ne comprends pas pourquoi mon père a quitté la maison s’il s’est marié à ma mère. Ruben s’est levé alors du lit et a disparu dans la maison dans l’arbre. Ma mère me prend dans ses bras et me change pour me mettre en pyjama en me disant que c’était des choses qui arrivent sans qu’on sache pourquoi, que je ne dois pas penser que c’est de ma faute et qu’encore une fois tout va finir par bien se passer. Je la crois et de toute façon, les parents ne sont pas sensés de dire toujours la vérité ? Il est tard et je prends la main de ma mère en lui demandant si elle veut dormir avec moi. Elle me sourit en disant que oui et m’emmène dans sa chambre avant me border et me colle contre son corps. Je sens sa respiration dans mes cheveux et puis mon frère entre et se couche en face de moi en me souriant et me disant qu’il sera toujours là pour moi et que quoi qu’il arrive, il ne m’abandonnera jamais. Le téléphone n’arrête pas de sonner dans la maison et à chaque fois c’est ma grand-mère qui laisse un message ou ma tante. Je ferme finalement les yeux en me répétant qu’un jour j’allais le revoir sans me douter que non, je ne vais jamais le revoir et que sans le savoir, il s’est remarié deux ans après, deux autres enfants et une belle-mère. Je ne comprenais pas, mais maintenant, je crois que c’était la meilleure décision.


CHAPITRE DEUX.


Je sépare l’une des feuilles de l’examen en deux à l’aide d’une ligne de crayon à mine. Je m’amuse à dessiner, la tête contre mon bras, couché sur le bureau. Je déteste les contrôles de mathématiques, je suis nulle dans ce domaine et je crois que c’est pour cette raison que je n’aime pas cette matière. Je soupire et lève lentement la tête vers mes compagnons de classe. Ils sont tous en train de calculer ou de réfléchir, bref, ils sont concentrés. Moi je poirote attendant que la grosse aiguille atteigne le cinquante. Je compte par bonds de cinq, il reste trente-deux petites minutes. Je laisse tomber lourdement ma tête contre le pupitre et je tourne la tête un peu sur le côté pour remarquer que mon professeur passe entre les rangées. Je me dépêche de me rendre à la troisième page pour faire comme si j’ai fait le reste et que je suis rendue là alors qu’en faites, je n’ai rien complété. Il passe, regarde ma feuille et j’attends qu’il continue son chemin pour le remettre à mon dessin. Je dessine ce qui me sort par la tête. Je tapote du pied et j’entends mon amie me chuchoter mon nom juste derrière moi. Je me retourne et elle me demande si j’ai déjà terminé, je lui dis que je n’ai même pas commencé, elle me sourit en me disant que c’est pareil pour elle. Je lui fais un clin d’œil et me retourne. La demi-heure passée, la cloche du midi vient de sonner. Je sers mes choses et je sors en vitesse de la classe remerciant le bon Dieu d’avoir fait en sorte que la cloche finisse par sonner. En me précipitant vers ma case pour avoir le temps de me prendre une place à la cafétéria à la table habituelle, un mec me fonce dedans comme s’il ne m’avait pas vu. Je sais que c'est de ma faute alors je lui souris en m’excusant et il fait de même. Première fois que je le vois depuis le début de l’année. Je hausse les épaules en me disant que ça doit être un nouveau. Je prends mon sac et me dirige vers la cafétéria. En haut des escaliers, je cherche mes trois copains et je les trouve, comme je me disais, à la même table. Je m’assis en disant que l’examen était nul et mon amie de toute à l’heure me dit qu’elle est d’accord. Cinq minutes plus tard, le reste de la bande arrive. On se colle pour que tout le monde rentre et un copain me passe son écouteur pour que j’écoute une nouvelle chanson. Je connais alors je chante en tapant des mains. Je regarde au loin et je vois le même mec qui m’a foncé dedans, il semble chercher une place. Un nouveau c’est claire car personne ne semble, dans la bande, le connaître. Il passe près de notre table et je l’arrête en faisant aller ma main. Il se retourne et je lui demande s’il veut s’asseoir avec nous. Le nouveau me sourit en disant que si ça ne nous dérange pas, il peut bien accepter. Même pas les fesses sur la chaise que les autres commencent déjà à lui faire la conversation. Moi je suis en retrait à écouter ma musique et à rire aux questions que les copains lui posent. On peut en apprendre beaucoup lorsqu’on écoute. River de son prénom, américain, nouveau de deux semaines, musicien. Les principales informations dont je me souviens. Joshua, mon meilleur ami, l’invite à notre soirée feu de camp dans le champ dans la ville voisine et s’il veut, on l’embarque dans la caravane hippie d'un copain. River a accepté. Le soir, on passe la prendre.On est stupéfait de la grosseur de la maison que sa famille possède. River nous demande si ça nous dérange que sa famille possède autant d'argent ou si ça change un truc, on lui a dit que non tant qu’il ne fait pas celui qui achète les autres avec la fortune de son père. Comme à son habitude Brandy a dit que lui ça ne le dérange pas de se faire acheter avec une voiture de l'année. Nous avons finit par atteindre la ville suivante et notre fameux champ qu'on utilise à toutes les fois. Nous sommes au minimum une cinquantaine à se retrouver. Déjà en arrivant, il a une quinzaine de personnes qui avaient déjà plantés leurs tentes un peu partout. Ça risque d’être une soirée hautes en couleurs. J’ai bien hâte de tout photographier et de mettre ça dans l’un de mes albums. Les gens commencent à arriver, il y a un énorme feu au milieu où la majorité des gens sont à manger de la guimauve, à boire et à fumer. Moi, je ne fume et je ne bois pas, à part de l’eau, moi à la place, je me gave de guimauves à m’en donner mal au cœur. River arrive et prend place à côté de moi en me demandant s’il peu prendre des guimauves. Je le regarde avec des joues comme un hamster qui remplie ses joues de nourriture. Je lui fait signe que oui. Après un temps, je finis par réussir à faire disparaître ma bouchée en l’avalant. "Deer c’est ça ?" "Oui c’est ça." rire. Je lui souris. "Je voulais encore m’excuser de t’avoir bousculer ce midi, c’est que, … euh … je ne savais pas vraiment où aller et je ne t'avais pas vu." Il joue avec ses mains. "Tu es tout pardonné, ce n’est pas grave tu sais." "Je n’ai pas vraiment l’habitude d’être dans un lycée publique, c’est ma première fois." "J’espère que tu vas aimer l’expérience." "J'aime bien déjà." Je lui souris encore. Il me sourit à son tour. "Brandy m’a montré le tatouage que tu lui as fait, alors comme ça tu es tatoueuse ?" "O ... oui je suis tatoueuse, enfin apprentie jusqu’à ce que j'atteigne l’âge adulte." "Est-ce que tu accepterais de me tatouer ?" "Avec plaisir." River se met à rire. […] "Tu n’as jamais visité l’Amérique ?!?" "Non, j’ai habité en France et l’Angleterre et j’ai beaucoup voyagé, mais jamais en Amérique." "Je ne peux pas y croire." "Si, si je te le dis." "Alors si tu pouvais un jour aller en Amérique, de ce que tu connais, où aimerais-tu aller ?" "Californie." "Alors, même si on vient à peine de devenir des amis, qu’on va aller ensemble un jour en Californie, je te le promets." "C’est une promesse, tu n’as pas le droit de briser une promesse." "Je n’ai qu’une parole Deer." "Je te fais confiance." Je sens que notre relation sera spéciale entre lui et moi.





Dernière édition par B. Deer Faure le Ven 3 Aoû - 1:47, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyJeu 2 Aoû - 23:49



ohlala paris
❝ il était une fois ... ❞




CHAPITRE TROIS.


Je me réveille. Je sens quelqu’un coller contre mon dos. Je souris et je me retourne. C’est River et il dort comme un vrai petit bébé. Je souris et je l’embrasse sur les lèvres avant de me lever de son lit. Je l’entends grogner. Je lâche un petit rire, j’enfile quelques vêtements que j’ai emmené chez lui qui m’appartiennent et je l’embrasse sur la joue avant de partir vers chez moi. En descendant les escaliers, je remarque Gena, la nounou de River depuis qu’il a cinq ans, elle me salue et je fais de même avant de franchir l’immense porte de chez lui. Il est environ treize heures. Plusieurs rues plus loin, j’aperçois ma maison. Il y a une voiture de riche qui est stationné juste en face. Je hausse un sourcil en m’arrêtant deux petites secondes me demandant qui ça pouvait bien être. Je me dis que c’est sûrement un visiteur pour un de mes voisins. Je continue et je rentre dans la maison. J’entends ma mère parler, mon frère Ruben, ma demi-sœur et mon beau-père. Pourtant ils ne sont pas seul, il y a un autre homme, une autre femme et deux autres jeunes je crois. J’entends la voix de l’autre homme. Mon cœur se contracte. Je reconnais cette voix. Mes yeux deviennent noirs, je suis en colère et des larmes apparaissent. Je rentre lentement dans la cuisine. C’est lui, mon père avec sa femme et ses deux autres enfants. Il se retourne en voyant que tout le monde s’est arrêté de parler. Je le vois sourire et il se lève. Je laisse mon sac tomber sur le sol et je m’avance vers lui. Je ne me suis jamais battu, je n’ai jamais ou presque été en colère, mais là, je suis devenue noir. Rendu proche de lui, je le frappe au visage. Il est surpris et ma mère me crie après. Moi je n’entends rien et je lui saute dessus comme une sauvage en le frappant où je peux et en criant. Mon frère Ruben me prend et m’entoure les bras pour ne pas que je me débatte et m’apporte ailleurs. Je me mets à pleurer. Je finis par me calmer et je monte à l’étage. Je barre ma porte et je me couche dans mon lit. Quelques heures passent et j’entends quelqu’un cogner dans ma porte. C’est lui et il veut entrer. "DÉGAGE!" "Deer s’il te plaît laisse moi te parler." "Tu aurais plus le faire avant, tu avais le temps." "Chérie… je" "PAS DE CHÉRIE !" "Je sais que tu es en colère contre moi." Je me lève et j’ouvre la porte. "En colère? Tu crois que je suis juste en colère? Tu m’as abandonné, pas une seule fois tu m’as appelé en treize ans, pas de nouvelles, pas de signe de vie, PENDANT TREIZE ANS! Et tu crois que je suis seulement en colère ?" "Tu as le droit de m’en vouloir, je ne cherche pas non plus à donner raison à mon acte, je veux juste revenir dans ta vie et celle de ton frère, c’est tout. J’avais peur que si je serais revenue bien avant, que vous ne me pardonnez pas, c’est pour ça que j’ai attendu que toi et ton frère grandissiez. Deer, j’aimerais juste revenir dans ta vie." "Tu ne fais plus partie de ma vie depuis que tu as franchi la porte de la maison et tu n’y reviendras jamais, je ne vais jamais te pardonner Robert parce que pour moi tu es m-o-r-t." Je l’ai dit. Je ne voulais pas qu’il revienne dans ma vie, il a choisi de m’abandonner, qu’il assume les conséquences, il a eu ma mère et mon frère, mais pas moi. Qu’il retourne avec son autre famille et qui nous fou la paix. Pendant, je ne sais pas combien de temps j’ai espéré qu’il passe la porte de la maison et que tout redevienne comme avant, mais ça n’est jamais arrivé et j’ai enfin réussit à passer au travers, accepter que mon père revienne dans ma vie pour me faire souffrir encore une fois, jamais. Je l’ai regardé dans les yeux et j’ai pris mon sac avant de descendre en bas. Je suis allé voir mon autre famille et j’ai enfin vu ma demi-sœur et j’ai vu mon demi-frère et ma belle-mère. J’ai regardé les enfants de mon père. "J’espère que vous savez que votre père c’est un enfoiré de première classe." Et je suis partie. Je ne me reconnaissais plus. Je n’ai jamais dit de propos méchant, mais là … j’ai mal. En marchant dans la rue, je pleures. Mon frère Ruben court derrière et finit par me rattraper et me prend dans ses bras. Je m'écroule sur le sol en pleurant. Je lui demande pourquoi qu’il a décidé de revenir maintenant, pourquoi que lui, mon frère, a pris la décision de le pardonner. Je ne comprends rien. Mon frère me fait asseoir sur le trottoir et sort sa bouteille spéciale réconfort. Il prend une gorgée et me tend la bouteille. J’en avale plus de la moitié ce qui donne comme résultat une drôle de face. Ruben passe un bras au tour de mes épaules et fait en sorte que je pose ma tête sur son épaule. Je continue de verser des larmes. Mon frère me dit que je ne vais pas détester notre père toute ma vie et que je vais comprendre … un jour. "Je ne le sais pas, j’aurais préféré qu’il ne revienne jamais." "Deer c’est ton père, tu l’aimes, c’est génétique, un jour tu verras que tu as besoin de lui." "Pas pour l’instant, je veux juste qu’il reparte dans son beau château avec ses autres enfants et qu’il nous fou la paix pour un autre treize ans encore." "Tu sais moi aussi, ça m’a fait quelque chose de le revoir et je ne dis pas que je l’ai détesté pendant toutes ses années, mais aujourd’hui, j’ai compris que je n’en pouvais plus de ressentir cette haine et … que ça n’allait rien changer sur les actions qu’il a fait." "Ruben ?" "Quoi ?" "Je t’aime …" "Je t’aime aussi petite sœur et je vais toujours être là pour toi, je ne t’ai jamais lâché et ce n’est pas aujourd’hui que je vais le faire, et prend le temps que tu veux pour détester papa, mais un jour, tout comme moi, tu vas être fatigué de le détester et cette journée tu vas te rendre compte que malgré tout, tu l’aimes." Je lui prends la main et j’enlace mes doigts avec les siens. Je me suis promis que je n’agirais jamais plus de cette manière et que j’allais laisser le temps filer comme l’éclaire, mais que je ferais tout pour ne pas revoir mon père.


CHAPITRE QUATRE.


Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi certaines personnes fuyaient leur problème ou certaines situations. Je ne les juge pas loin de là, sauf c'est un truc que j'ai toujours eu du mal à assimiler, mais maintenant, je comprends. Ma mère m'a toujours appris que je devais être forte, de ne jamais fuir, toujours me battre. Cependant, à ce moment précis, je ne suis pas capable de vraiment me battre, je suis en territoire inconnu, un petit problème vient de s'ajouter à celui que je fuis déjà depuis trois ans. Je sers nerveusement mon billet d'avion entre les mains en attendant que l'avion soit prêt à décoller. J'ai des cernes sous les yeux démontrant que je n'ai pas vraiment dormi ces trois dernières semaines. J'évite River le plus possible et ... je soupire. Je suis une idiote, je sais que je devrais l'appeler, le voir, lui annoncer que je suis enceinte, qu'il va être papa, car malgré la décision qu'il allait prendre, j'allais garder ce bébé. Je ne sais pas quelle réaction il aurait eu et je crois que c'est pour cette raison que je pars vers la France dans un appart que je me suis pris là-bas. Je joue avec le coin de mon billet. Je suis nerveuse et j'ai peur. Même un inconnu aurait pu le deviner facilement. Je regarde autour de moi et je me dis qu'à partir du moment où je vais franchir la fameuse ligne, en même temps de donner mon billet à la dame, je vais être toute seule et je vais devoir me débrouiller. C'est mon choix et je ne m'en pleins pas, c'est seulement que pour une fois dans ma vie, je ne vais pas avoir quelqu'un sur qui m'appuyer pendant le temps d'un instant, que je vais devoir compter sur moi. Je replis mes jambes contre mon corps et ferme les yeux pendant un moment. Il y a deux choix qui sont à ma disposition, je me lève, prends mes bagages et retourne chez moi et faire face à ce qui m'attends, River, mon père, ma famille, mes amis ou je prends cet avion et je quitte le temps de me mettre les idées en place, de disparaître pendant quelques temps et après je reviens après avoir réfléchi à tout ça. La deuxième solution me semble acceptable puisque je suis ici à attendre, car je me connais. Je sais que si je retourne à l'appartement de moi et River, je sais que je vais m'enfermer et garder ça à l'intérieur. Les larmes me montent aux yeux. Voilà, je commence à paniquer. Je m'assois en indien, je replace une mèche de mes cheveux et gratte mon jean. Une main vient prendre la mienne. Ruben. Encore et toujours là. Je lève le regard et il me sourit. Je lui demande ce qu'il fait là, il n'a pas le temps de répondre que la réponse me vient déjà, maman. Je souris, je lui avais demandé de ne pas lui dire, surtout à lui. Je lui demande ce qu'il fait ici. Il ne répond rien et lève un sac à dos à côté de lui. ''Je t'ai toujours dit que je vais être là pour toi, que jamais je n'allais t'abandonner, alors tu crois vraiment que je vais te laisser aller toute seule, comme une grande, dans un endroit inconnu, en plus avec toutes les choses qui t'arrivent en ce moment ?'' ''Il faut toujours que tu sois là, au bon moment n'est-ce pas ?'' ''C'est ça quand la seule personne qui compte pour moi, c'est toi.'' ''Qu'est-ce que tu vas faire à Paris, la famille, ta copine, tes études, ton travail, ne lâche pas tout ça pour moi ?'' ''J'ai demandé un transfert et de toute façon, les mathématiques ne me plaisaient pas, moi et Violette ça ne fonctionnait plus, la famille ... depuis le temps que maman veut que je fasse ma propre vie et elle était heureuse que je l'informe que j'allais te surveiller de près et pour mon travail, je vais en trouver un autre et en plus de veilleur sur toi, je veux veilleur sur mon neveu ou ma nièce.'' ''Maman ...'' ''Non, ce n'est pas maman, tu sais, même si je suis un homme, j'ai remarqué quelques changements.'' ''Tu n'étais pas censé remarquer, je te déteste.'' ''Non, tu ne me détestes pas, tu m'aimes.'' Je le pousse en souriant. J'ai le meilleur grand frère au monde et personne ne peut me dire le contraire. Mon ange gardien. Un poids s'est enlevé sur mes épaules, maintenant que je sais que je ne vais pas être seule. J'étais loin de m'imaginer que la vie serait aussi compliquée lorsque nous grandissons, je ne me faisais pas des films, mais ... je pense que ça serait plus simple si je retournais au temps où mes seules inquiétudes étaient de connaître mes multiplications et mes divisions pour l'école. Je soupire et je sens mon portable sonné. La sonnerie de River. Je perds mon sourire et lâche la main de Ruben. Est-ce que je dois répondre ? Je n'ai pas arrêté de l'éviter, même dans notre appartement et puis là je pars sans rien lui dire. Je ne sais même si partir sans un mot, c'est mettre fin à notre relation de trois ans et demi. Je vais pour répondre, mais comme dans les films, une voix à l'interphone nous dit que notre vol est prêt. Je laisse mon portable sonner et je me lève et j'entoure mon bras au tour de celui de mon frère. Soupire et sourire. Une fois assise dans l'avion, la communication est toujours bonne. ''Je vais revenir ... avec une surprise. Je t'aime et je m'excuse, vraiment.'' Je ferme mon portable. Je sais, je fais ça à la rapide, je ne lui ai pas écrit pas un message de long en large, ne lui laissant pas le temps de me poser des questions, j'ai décidé de partir pour la France sur un coup de tête, je ne sais pas si je vais le regretter, je ne l'espère pas, dans ma tête, j'ai juste en vie de fuir, je ne sais pas ce que l'avenir me réserve, je fonce dans l'inconnu tête première avec la ferme intention de m'en sortir comme une grande, de grandir et de comprendre mon père, enfin et de penser à comment le dire à River, ça va peut-être prendre cinq semaines ou cinq mois, je n'en sais rien.


CHAPITRE CINQ.


Yannie est assis sur mes genoux et je le tiens pour ne pas qu'il tombe. Je ne pensais pas qu'on en serait là, j'ai rien vu venir, j'étais tellement certaine. Après le stresse, c'est la peur, j'ai peur de ce qui va arriver, peur des conséquences que ça va emmener. Je croyais en avoir fini avec tout ça, je croyais que c'était du passé. Du coin de l'oeil, j'observe attentivement River, il secoue nerveusement la jambe. Je sais qu'au fond de lui il est déçu, même si la réponse n'est pas encore tombée, juste le fait qu'on se trouve dans cette salle le déçoit. Pourquoi fallait que les trois mois à Paris viennent s'en mêler ? Je me mords l'intérieur de la lèvre jusqu'au sang. J'entends la porte de la salle s'ouvrir. Le médecin s'assit et nous regarde. Il enlève ses lunettes, pas ça non. Je tends ma main vers celle de River, je ne veux pas qu'il me lâche quoi qu'il arrive. Les secondes passent, j'ai l'impression que l'infini vient de s'installer. J'espère de tout coeur que c'est un cauchemar, que je rêve éveillée. 'Le test de paternité est négatif, je suis désolé.' Je sens la main de River quitter la mienne. Il se lève, je lui lance des regards, je lui lance un désolé qui ne sort pas, qui reste coincé au fond de ma gorge. Une autre étape à franchir Deer, un autre truc qui vient de s’effondrer. Ça sera pas simple. 'Avec les tests, la naissance prématurée de l'enfant, nous sommes venus à la conclusion que vous avez perdu le premier bébé dans le premier mois de votre grossesse. À la suite d'un rapport sexuel avec un partenaire, vous êtes tombé enceinte à nouveau sans vous en rendre compte Mademoiselle Faure.' Grayson bordel t'es le père de cet enfant. Une larme coule sur ma joue et j'embrasse la tête de Yannie. 'Merci Docteur.' Je me lève et je prends le sac du petit. River est déjà à l'extérieur appuyé contre le mur. Une boule dans l'estomac c'est tout ce que je ressens, aucun mot, aucune expression faciale, juste cette boule. River est au courant que je suis sortie avec Grayson, mais ne s'attendait pas, je m'attendais pas à ça non plus et je crois pas que Gray va s'attendre à ça. Je sais pas quoi faire. Pourtant je me suis rendu compte dès le début que Yannie ne ressemblait pas à River, mais à Gray. J'ai fait mon aveugle, comme si je voulais pas y croire.


Je le regarde faire à manger, on ne s'est presque pas parlé depuis une semaine. Je me demande ce qui se passe dans sa tête. Je me lève tout doucement et je viens le rejoindre dans la cuisine et je passe mes mains au tour de sa taille avant de me coller contre son dos. 'Deer, je veux qu'on se sépare.' Je m'y attendais, je savais que ça l'allait se terminer ainsi. Sauf, que je croyais au fond de mon petit coeur, qu'il allait finir par passer au travers, pas tout de suite, mais plus tard. Je voulais qu'on forme quand même une famille, mais c'est au bout de ses forces, pas après notre première séparation, pas après que je sois partie la première fois. Je le lâche en reniflant. 'Tu ne veux pas essayer ?' Juste essayer, juste voir si t'es capable de voir Yannie comme si c'était ton propre fils, comme tu le faisais il y a plus d'une semaine. Je sais que c'est pas aussi simple, je sais que faut que je mette quand même Grayson au courant de sa paternité, mais je veux seulement que tout s'arrange, je veux pas le quitter à nouveau. 'Non, je ne peux pas. Tu vois, apprendre que Yannie n'est finalement pas mon fils, c'est de trop.' River regarde le petit chou couché sur le sol à regarder ses jouets suspendus. Je sais qu'il l'aime, ça se voit. 'Je suis désolée River, tellement.' Il me prend dans ses bras. Je le repousse, j'ai pas envie qu'il me prenne dans ses bras, il sait très bien que je pleure à tous les coups, c'est aussi pire qu'une mère qui t'accueil dans ses bras quand t'es triste d'avoir perdu ton animal en peluche et qu'elle sait que t'es sur le point de pleurer, mais tu te retiens. Ma petite voix depuis le début me disait de ne pas retourner à Londres, de ne pas revenir avec River, de ne pas quitter Grayson et pourtant c'est ce que j'ai fait. À croire que j'ai fait qu'à ma tête. Je me retourne et je vais prendre place sur le canapé. Je repense à Paris et je me demande si c'est une bonne idée que j'y retourne, si c'est une bonne idée que j'annonce à Gray sa paternité. On s'est plus donné de nouvel depuis que je suis partie, alors il est peut-être en couple finalement et je viens lui annoncer ça. C'est tellement compliqué.


Il faut que je m'habitue à nouveau au français. J'ai perdu un peu le rythme. J'ai décidé finalement de revenir à Paris. Yannie lâche un crie strident avant de ce mettre à rire. Je sors de ma rêverie et je lui souris. C'est tellement le plus beau de tous. Même sourire, même yeux. Je me laisse tomber sur le dos dans l'herbe du parc en soupirant. Je vais me foutre dans la merde, je suis certaine sans compter que je n'ai pas hâte de voir sa réaction. Maintenant deux mois que je suis arrivée et je n'ai pas encore osé d'aller cogner à sa porte. Tous les scénarios qui sont passés dans ma tête, du pire au meilleur. Surtout que je vais l'empêcher de voir Yann jusqu'au moment où il arrête de consommer, enfin s'il veut le voir. Je roule jusqu'au petit chou et commence à lui faire des bruits de pète sur le ventre. Malgré tout ce qui peut arriver, malgré ses cacas qui puent, je l'aime plus que tout sur la planète et c'est la meilleure chose qui me soit arrivé. 'Je me dis en même temps que je dois faire des petits gâteaux pour le travail en revenant. 'Maman t'aime bébé, tu le sais ?' Je l'embrasse sur le nez en lui souriant. Ouais et maman s'excuse des erreurs qu'elle a commise qui pourrait te toucher de loin ou de près et s'excuse aussi de te parler dans une langue que tu ne dois pas totalement comprendre. Il va être bilingue, je le sens. Je me demande s'il va finir musicien comme son père et son oncle Yannie. J'ai une pensée pour lui, en fait, je pense à lui à chaque fois que je prononce son nom. Qu'est-ce qui t'as pris de partir comme ça ma petite Deer ? Faut croire que j'ai un côté impulsif. C'est un bien pour un mal, ça n'empêche pas le fait que le reste va bien, c'est juste ce gros détail qu'il faut régler. Ruben doit me conseiller, c'est son rôle de grand frère me conseiller.





Dernière édition par B. Deer Faure le Dim 5 Aoû - 8:21, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyJeu 2 Aoû - 23:51

MA PETITE CHOSE TOUTE BLEUE. moh

Ca y est, Grayson est papa de deux garçons ahahahaha. bleuet. (c.e) 3458505197

Re-bienvenue grosse pomme d'amour, hâte de lire toute ta fiche. 8DDD
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyVen 3 Aoû - 0:15

MARIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE moh moh moh bleuet. (c.e) 3458505197 Bleuet en plus !
( mais je te hais encore ! ) Arrow Arrow
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyVen 3 Aoû - 0:20

Neeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeem moh

T'as vu, en plus je viens te souhaiter la bienvenue avec Fien en plus What a Face

On aura notre lien cette fois-ci hein ? bleuet. (c.e) 1564138967
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyVen 3 Aoû - 0:22

Je suis fan de l'avatar ! moh

(Re)ienvenue chez les fous nous et bon courage pour ta fichouille !
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyVen 3 Aoû - 1:54

Gros Nounours ► Ouuuuuais, ça risque d'être beau à voir. (aa)

ET MERCI BEAUCOUP MON GROS NOUNOURS D'AMOUUUR. ♥️ moh


Gabulle ► Arrête blablabla, tu sais que je vais t'y emmener. bleuet. (c.e) 1839924927

Fien ► MERCI (aa) ♥️♥️♥️

Ooooh oui on l'aura en plus Sam/Charla, pas trop le choix. bleuet. (c.e) 675700275

Melissa ► C'est très gentil de ta part, un gros merciiii. moh


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Tay Januário
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Tay Januário
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✧ JOB : animateur tv.
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyVen 3 Aoû - 2:07



bienvenue sur ollp
❝ tu es maintenant officiellement sexy. ❞


Félicitation, tu es désormais officiellement un Ooh la la Parisien. bleuet. (c.e) 239769179 Nous t'invitons maintenant à faire grandir ton personnage parmi nous à travers les liens et les topics. Évidemment, la chatbox et le flood sont deux moyens très efficaces pour t'intégrer aux autres et nous vous encourageons à y participer pour connaître l'ambiance de fou qui règne ici. bleuet. (c.e) 3846838978 Si les moyens cités plus haut sont inefficaces, n'hésite surtout pas à demander à un administrateur ou à un habitué d'ollp de te parrainer. Lumen N'hésites pas à t'inscrire à l'intrigue en cour : le festival de musique ! Nous recherchons des groupes, des danseurs mais aussi des spectateurs et même des bénévoles pour veiller à l'encadrement de la fête (a) Nous te souhaitons de merveilleux moments parmi nous et nous espérons que tu pourras trouver ton bonheur ici. bleuet. (c.e) 3909417325

Yannie, Grayson, Ella, Lumen, Bloko, Priya, Albane & Llywelyn
hystérie



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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyVen 3 Aoû - 2:17

Merci Clau'. :heartt:
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyVen 3 Aoû - 2:24

    ohmondieu. charla. je t'aime et je serais ton esclave. bleuet. (c.e) 2684926262
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MessageSujet: Re: bleuet. (c.e)   bleuet. (c.e) EmptyVen 3 Aoû - 2:28

Rooooh merccccci. bleuet. (c.e) 2176505670

Mon esclave hein ? bleuet. (c.e) 2684926262
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