Bon, par où devrais-je commencer ? Je dois vous avouez qu'il n'y a pas beaucoup de chose à dire sur moi. Je suis le genre de personne qui à eu une histoire banale sans beaucoup de rebondissements, mais bon, je crois que tout ça vous intéresse quand même ! Moi, Olivia Gwenaëlle Deschamps, je suis née le O1 mai 1993, à Paris. Inutile de mentionnée que je connais cette ville comme le fond de ma poche puisque j'y suis depuis que je suis haute comme trois pomme. Avant moi, ma mère à donnée naissance à trois enfants et heureusement pour moi, les trois enfants, sont des filles. J'ai donc trois soeurs et j'en suis bien heureuse. Je me suis toujours bien entendu avec elles. Je l'admet, ça n'a pas toujours été rose entre nous, nous avions eu des disputes, d'autres plus importante que d'autres, mais tout finissait toujours par rentrée dans l'ordre. Jeune, on passait nos après-midi à jouer à la poupée et aux coiffeuses. Imaginez un peu les coiffures qu'on avait sur nos tête. C'était vraiment n'importe quoi et on se trouvait tellement jolie ! Même si le résultat final était jamais satisfaisant, on s'amusait beaucoup. Des heures et des heures de plaisir. Sinon, de temps en temps, surtout le dimanche, moi et mes soeurs, on s'installait dans l'une de nos chambre et avec de petites tasses et de l'eau un peu chaude, on s'amusait à prendre le thé et à chaque fois, on essayait de parler de sujet sérieux comme les adultes le faisait. Normalement, nos conversations dérivaient toujours vers des trucs qui nous faisait bien rire ou encore sur des trucs qu'on aimait bien. Il faut dire que quand on est enfant, les conversations d'adultes, c'est pas fait pour nous, logique ! Et si on parlait des parents maintenant ? Alors, mes parents eux, sont des parents en or. À l'époque, quand j'étais enfant, mes parents ne gagnaient pas vraiment beaucoup d'argent. Mon père et ma mère avaient chacun deux jobs pour joindre les deux bouts. C'était pas toujours facile pour eux. Déjà, leur journée de travail était bien chargée, ils revenait tard le soirs, après que notre babysitter soit parti et ils étaient crever. De plus, ils devaient s'occuper de nous. Je disais tout à l'heure que mes parents étaient des parents en or parce qu'ils travaillaient dur et fort pour nous donner ce qu'on demandait et pour nous faire des cadeaux. Nous étions leur priorié et ils cherchaient toujours à nous faire plaisir. Je crois que malgré tout, j'ai eu l'enfance dont chaque enfant rêve. On était peut-être pas riche et notre bain n'était peut-être pas en or massif, mais l'important était qu'on était aimée de nos parents et qu'on s'aimait tous beaucoup. Malheureusement, les choses ont bien changés quelques années plus tard ! Mes parents étaient le genre de gens qui croient dur comme fer aux jeux de hasard. À chaque semaine, ils achetaient un billet de lotterie en espèrant gagner le gros lot. Un jour, la chance leur à sourit. Le matin, quand nous étions installés devant la télévision à dessiner pendant que mes parents regardaient le bulletin télé du matin, mon père avait le billet en main et il regardait avec attention l'écran qui diffusait à ce moment les numéros gagnant de cette semaine. Je me souviens avoir vu mon père ce lever et sauter de joie comme jamais ! Nous avions gagné le gros lot ! Plus de seize millions, on avait gagné, enfin, ils avaient gagné plus de seize million. Inutile de dire que mes parents sont très vite parti réclamer leur prix. Peu de temps après, mes parents étaient rendu snob, vraiment snob ! Ils avaient tout les deux lâcher leur boulot et ils ne faisaient plus rien de leur journée. Ma mère était toujours dehors, à se faire bronzée sur le bord de sa grosse piscine et mon père c'était trouver une nouvelle passion ; le poker. Il était jamais à la maison, il était à gauche et à droite en train de jouer au poker avec des amis. Si il revenait, c'était tard le soir ou sinon, il se payait une luxueuse chambre d'hôtel. Nous, les enfants, on avait l'impression que pour eu, on était plus rien. Leur monde tournait autour de l'argent et c'était la babysitter qui était devenu notre '' mère '' puisqu'elle s'occupait toujours de nous du matin au soir. Même que parfois, elle restait dormir pour une ou deux nuits. Bref, on arrive à mes seize ans. Mes soeurs étaient majeures et elles avaient déjà commencer leur vie de leur côté. L'une était devenu dentiste et l'autre professeur d'histoire. J'étais donc la seule qui était restée à la maison, avec mes parents. Pour me rebeller, je m'étais mise à faire toute sorte de connerie. Même qu'un soir, la police était venu me reconduire à la maison, mes parents n'étaient pas tellement contents , mais ça, on s'en fou. Je prenais de la drogue quasiement à toute les soirs, je buvais et je couchais avec tout ce qui bouge. Grave erreur, car dans la même année, je suis tombée enceinte. Oui oui, je suis tombée enceinte à seize ans. À l'époque, je ne prenais pas la pillule et le préservatif que mon partenaire portait avait percé, donc le résultat était évident. Ça m'a pris trois semaines avant de le découvrir. C'est en quelques sorte mon secret, car peu de gens le savent. Ma mère ainsi que mon père ne le savent même pas et c'est mieux comme ça. S'ils l'auraient su, j'aurais sans doute été mise à la porte, dehors de chez moi sans nulpart où allez. Je n'ai pas gardée l'enfant. À seize ans, je ne me sentais pas du tout prête à avoir un bébé. J'avais une vie sociale, l'école et tout, donc c'était pas pour moi. De plus, je veux que mon premier enfant soit voulu ! Normal, oui, je sais. Aujourd'hui, j'ai un mode de vie beaucoup plus saint. Je m'entour de bonnes personnes à qui je peux faire confiance, mais vous savez, on ne fait jamais trop confiance à quelqu'un et c'est très facile de jouer un jeu... j'essaie de me méfier du mieux que je peux. Je ne parle malheureusement plus à mes parents, d'ailleurs c'est de leur faute. À mes dix-huit ans, quand je me suis lever, ils m'ont donner, dans une enveloppe, la moitiée de leur forture, ce qui est quand même beaucoup étant donnée que mon père était devenu champion de poker et qu'il gagnait beaucoup d'argent grâce à ça et ils sont parti je ne sais pas trop où, dans un autre pays, me laissant seule, comme une merde. Désolée de l'expression, mais bon... Je me suis donc inscrite à l'université, en droit, dans l'espoir de devenir avocate.