25 janvier 1990, Université de New-York.

Ce matin-là Maria se sentait mal, elle avait des nausées matinales inhabituelles et n'avais plus de règles depuis un bon mois maintenant. Elle décida donc d'aller faire une prise de sang avant de se rendre en cours pour retrouver Levis son petit ami du moment. La jeune femme âgée de 18 ans à peine attendit au moins une bonne demie heure avant de récupérer les résultats, une fois la feuille de résultats entre les mains ont pu observer le visage de la blondinette se décomposais d'un seul coup. « Positif. Ce n'est pas possible, je ne peux pas être enceinte. Non. Levis va me tuer. » se disais la jeune femme alors que son maquillage coulait sur ses joues à cause de ses larmes, son petit ami n'étais pas un tendre et en plus cela n'allait plus trop entre eux, mais là c'est la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. En se rendant à l'université la seule chose à laquelle Maria pensait c'était comment géré l'impulsivité et la colère de son petit ami ? Elle ne le savait pas mais c'est quand il vint l'embrasser, qu'elle se rendit compte qu'elle été face au mur et qu'il fallait lui dire tout de suite. « Levis ... » lui dit t-elle en se reculant. « Que se passe t-il bébé ? » demanda le jeune homme. « Faut que l'on parle. » lui répondit-elle en emmenant le brunet derrière un mur pour être au calme et à la vue de personne. « Oh mon coeur, derrière un mur ... » dit t'il d'une voix mielleuse en collant sa petite amie au mur et en embrassant son cou. « Non stop. Cela ne va déjà pas trop bien entre nous et ce n'est pas le sexe qui va régler tout ça. » dit t-elle déterminée. « Oh ta gueule Maria, le sexe règle tout ! » lui dit-il en riant. « Non Levis, le sexe est le problème là. Je suis enceinte. » lui avoua t-elle sèchement. Il la regarda un instant avant de se reculer avec dégout. « Espèce de salope, tu m'as trompé avec qui !? » lui demanda t-il ouvertement. « Mais... Levis avec personne c'est toi le père. » lui dit-elle déboussolée. « Ce n'est pas possible, je me suis toujours protégé espèce de garce ! Mais vu que je n'ai pas envie de te laisser dans la merde ce gosse je vais l'assumer mais, ce n'est pas mon gosse ! Et c'est juste parce que je t'aime mais, lui ou elle dans le ventre, je le hais ! Il me gâche ma jeunesse ! » dit t-il en forçant sa petite amie à l'embrasser. Maria aurais voulu se révoltée mais, elle ne l'a pas fait, car elle aime Levis et elle se dit que s'il reste pour elle, il finirait par aimer cet enfant.

13 mai 2005, chez les Mendoza.

Cela faisait maintenant quinze ans que Maria avait mis au monde ses deux petites têtes blondes du nom de Kova-Guilia et de Jaysen. Cela faisait aussi quinze ans qu'elle n'avait plus jamais revu leur père. Pour Guilia sa fille, il étais mort. Jamais elle ne veut entendre parler de lui, ni même le voir quant à Jaysen lui est plus réservé, il aimerait rencontrer son père au moins une fois dans sa vie, pour découvrir ce qu'est la complicité père et fils. Enfin bref, tout se passait très bien chez les Mendoza à part cette petite anomalie cardiaque rare qu'avais Jaysen qui l'empêchait tout effort physique intense ou plutôt qui l'empêchait de vivre sa vie d'adolescent mais, sa soeur jumelle Guilia était toujours là pour lui, elle ne le quittais pas d'une semelle. C'est bien simple ensemble il faisait les quatre cents coups. Et encore aujourd'hui par un bel après-midi de printemps Jaysen et Guilia étaient en train de trainer dans les rues de New-York, jusqu'à ce qu'ils décident de rentrer chez eux sur les coups de dix-huit heures. Une lumière bleue et une sirène alerta les deux jeunes qui se mirent à coururent. Les pompiers était au pied de leur immeuble, ainsi que la police. « Encore une vieille qui a passé l'arme à gauche. » dit Jaysen à sa soeur. Cette dernière rigola jusqu'à ce qu'un policier vienne les voir. « Que faites-vous ici les jeunes ? » leur demanda t-il. « On aimerait rentrer chez nous pour voir notre mère. » dit Guilia de sa douce voix. « Nom de famille s'il vous plait. » continua le policier. « Mendoza. » affirma Jaysen. Tout deux regardaient le policier quand son visage se blêmit. « Les jeunes allaient avec votre tante là-bas elle va tout vous expliquer. » leur affirma le policier. Jaysen entraîna Guilia vers sa tante. « Tata que se passe t-il ? » demanda Jaysen inquiet. « Oh mes amours vous êtes là. » dit-elle en les serrant dans ses bras. « Où est maman ? » demanda Guilia. « Kova-Guilia et Jaysen écoutez-moi, un tueur fou est rentré dans l'immeuble et il a pris en otage pas mal de personnes dont votre mère et cette dernière à était sa dernière otage donc il l'a descendu. » termina leur tante en pleure. Guilia regarda Jaysen. « Ce n'est pas possible Jaysen, on a plus personne. » dit-elle. Son frère vint la prendre dans ses bras lui aussi en pleure. Au bout de quelques instants, leur tante décida de ramenais les jumeaux chez elle.

14 juillet 1993, Chez un ami à Beverly Hills.

La demoiselle fêtais le 14 juillet chez l'un de ces amis mais surtout avec son frère jumeau. Ces deux là on toujours était super proches mais encore plus depuis la mort de leur mère il y a quelques mois, c'est leur tante qui les élèves. Alors, pour une fois au lieu d'aller voir un feu d'artifice sur la plage, ils avaient décidé de s'éclater entre une bande de bons potes avec de l'alcool et de la drogue enfin tout ce qui peut y avoir dans une fête avec des adolescents de 15 ans. Mais ce soir là Hadès oublia beaucoup de choses, elle oublia surtout que son frère était atteint d'une maladie cardiaque assez rare dont il est gravement atteint. Il dois donc éviter toute sorte d'efforts physiques. Les adolescents fêtait donc la prise de la Bastille comme il se doit quand un de leur amis, sortis un joint. « Allez, les amis venait vous amuser autour de cette petite merveille. » dit t'il en tendant le joint à Kova. Guilia le pris doucement entre ses deux doigts et tira dessus quand son frère arriva et la vit. « Lia' tu fous quoi avec cela dans les mains ? » lui demanda t'il légérement énervé. « Bah, j'ai un joint dans la main et je le fume mon cœur ! » dit t'elle en souriant à son frère jumeau. Celui-ci soupira alors que la jeune femme s'approchait de lui et lui soufflait toute la fumée de beuh à la figure. Son frère ne voulait pas la repousser mais cette fumée lui allait droit au cœur mais surtout dans le cerveau. Le jeune homme se mit à tousser fortement et se mit à se tenir le cœur mais la jeune femme était tellement défoncer, qu'elle ne fit absolument pas attention à son frère et lui fit passer le joint sous le nez mais la fumée en était trop pour lui et il tomba net en se tenant le cœur. Mendoza le regarda un instant avant de balancer le joint « Merde mon amour ! Non ! Je suis là. »lui dit t'elle en venant lui soulevait la tête. « Apeller une ambulance ! » Cria t'elle en pleure alors que son frère mourrait peu à peu dans ses bras. Au bout de quelques minutes de pleurs et de cris, le samu arriva enfin mais cela était trop tard. Blondie venait de perdre le seul être qu'elle aimait plus que tout au monde. Son frère venait de mourir dans ses bras à cause de la jeune femme.

A Paris.

La jeune femme est une parisienne endurcie maintenant. Cela fait quasiment deux ans qu'elle est sur Paris, elle a décidé de partir après sa majorité. Mais autant vous avouez que la vie de Paname n'est pas la vie de la Grande Pomme tout est différent. A New-York la jeune femme voulais tester ses limites avec l'alcool et la drogue mais à Paris Guilia teste ses limites avec les hommes.

Alors cap ou pas cap ?