► OOH LA LA PARIS.
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ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.
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 fuck it babe. possibly fuck me.

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MessageSujet: fuck it babe. possibly fuck me.    fuck it babe. possibly fuck me.  EmptyMer 28 Mar - 16:40


Twaggle-Jagger Creawley

❝ dans mon monde à moi, y'a que des poneys. ils mangent des arcs-en-ciel et ils font des cacas papillons. ❞




ye m'aime, pas toi?
oh si, j'm'aime, grave. Ö
J'suis né(e) à Santiago de Compostela, parce que j'trouve le nom bien plus flex, en Espagnol. Saint Jacques de Compostelle, sinon. il y a très exactement 21 ans et on m'a appelé twaggle jagger creawley.. Je suis une sexy bombe latine, même si j'en ait pas la gueule du tout.. Dans la vie de tout les jours, je suis dealeur, et strip teaseur, rien qu'ça. En dehors de ça, faut pas chialer hein, mais j’suis bisexuel, un trou reste un trou, j'suis également en partenariat domestique avec l'copain de dora et j’le vis bien, ou pas. Je fais parti des tapettes, en rose. non, joke of the year, les violets. TINKY WINKY. ** et j’en suis particulièrement fier. On m’dit que je ressemble souvent à jake cooper, avec mes dents du bonheur, où d'la chance, osef et je remercie mon père, ma mère, mon frère et tout l'reste de ma famille. et l'vieux tumblr, le grand père au coin du feu.
je veux en savoir un peu plus.

⇝ n'ayant pas été directement élevé en France, il garde un accent espagnol assez présent, et il s'est rapidement rendu compte que son prénom ressemblait énormément à une 'expression' en français, il utilise en général son second prénom. ⇝ si ses deux parents sont tout deux espagnols, twaggle n'a absolument pas le physique atypique d'un apollon hispanique, il estime qu'il a été conçu d'une infidélité de sa mère, ni plus ni moins. ⇝ comme la plupart des strip-teaseur, il a écopé d'un surnom. Panpan, exactement comme le lapin de bambi, c'est fucking sexy. ⇝ entres nous, tout le monde sait que c'est lui qui a le plus beau cul, en plus en tant que Panpan il mange des carottes, et ça rend les fesses roses. ⇝ même s'il est dealeur, il ne touche en général pas à sa came, sauf à la weed. ⇝ il a l'habitude de glisser sa cigarette derrière son oreille, et en général il lui arrive de l'oublier, il garde donc souvent une cigarette sur lui. ⇝ il est gaucher, 'fin ambidextre pour certaines choses.
OUI, FLEMME DE RÉECRIRE CETTE MERDE, ET FAUCK. MAIS J'PEUX VOUS CHANTER UNE JOLIE CHANSON, POUR ME RATTRAPER, SI VOUS VOULEZ.
et toi, et toi, et toi ?

Votre pseudo sur le net ⇝ gizmo caca, tu peux pas test. Où avez vous connu OLLP ⇝ entre mes pas-boobs. Age ⇝ 453 ans, et j'ai plus toutes mes dents. Présence sur le forum ⇝ un vrai geek, tékass. 'fin après, j'sais pas si j'peux rp tout les jours, j'ai quand même une vie, 'savez. Ö Votre avatar ⇝ cooper. Pour nous aider▬▬ jake cooper ◈ twaggle-jagger creawley





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MessageSujet: Re: fuck it babe. possibly fuck me.    fuck it babe. possibly fuck me.  EmptyMer 28 Mar - 16:47



ohlala paris
❝ il était une fois ... ❞




when you loose something, you can't replace.
Le marteau frappa contre le bureau d’ébène, extirpant l'assemblée d'une léthargie profonde. Je soupirai, observant ces abrutis finis qui ne trouvaient par cette réunion qu'une raison à leur virginité. Ils étaient tous aberrants d'inutilité, mais je m'en fichai profondément. J'avais moi-même été élevé dans une famille prônant le choix de l'abstinence avant le mariage, il était donc le plus naturel que je suive ce même chemin qu'ils me conseillaient, que dis-je, m'imposaient. Malgré tout, j'étais persuadé que j'aurai suivit cette voix de sainteté par mon propre chef, et pourtant... Glissant ma main dans mes cheveux, j'observai du coin de l’œil les tenues de chacun, vérifiant que chacune soit bien décente. Aucune tentation ne pouvait être tolérée, je n'avais aucune pitié pour les personnes qui cherchaient constamment à exposer leur corps, pour séduire. Avant, j'éprouvais une foule de sentiments pour ce genre de personnes, notamment de la haine, du dégoût. Je ne comprenais pas le sens de ce genre de choses, de rapports. Après tout, où était l'amour dans tout ceci ? On m'avait souvent enseigné d'aimer mon prochain, de paraître indulgent, sauf avec les personnes qui bafouaient la foie chrétienne. Je souhaitais comprendre pourquoi certaines personnes ne souhaitaient pas se rattacher à une croyance, une personne qui avait fabriqué ce monde qui était notre. Maintenant, je comprenais. Et si Dieu existait bel et bien, c'était un con, un vrai. Les mains jointes, je prenais finalement la parole, annonçant l'ouverture de notre trente-troisième réunion, plus les séances s’égrenaient, plus je m'avouais fier de mon propre parcours. J'étais à la tête du club de chasteté, j'avais refusé toutes avances qu'on m'avait adressé et je pouvait désormais marcher tête haute dans les couloirs sans que de multiples tentations de présentent à moi. Et j'étais l'enfant fétiche de mes parents, j'étais leur plus grande fierté. Ils m'avaient déjà prédit un avenir sain, aux côtés de la présidente qui gérait les scéances à mes côtés. Elle partageait les même convictions que moi, la même vision des choses. Notre relation ne s'était pas précipitée, tout nous était parvenu comme une évidence. Nos familles étaient proches, et notre union était plus que bien vue. Je n'ai jamais compris ces battements qui s'accentuaient dans ma poitrine quand je croisais son regard, je ne comprendrais probablement jamais. Je pensais pouvoir vivre une relation solide avec elle, attendre l'union sacré pour pouvoir approndir nos échanges. Je m'étais trompé, j'avais cru que je pourrais calmer mes envies, rester fidèle à mes croyances. Pourtant, je souhaitait rester le fils parfait, rester l'enfant adulé de mes deux géniteurs. Je ne pouvait tout leur dire, alors j'avais enfoui chacune de mes rencontres avec elle. Je pensais aussi pouvoir garder ce secret au plus profond de moi, mais lorsque je présidait les réunions du club d'abstinence, je me voyais comme un menteur. J'avais bafoué la parole de Dieu, mais je ne souhaitait pas décevoir ma famille. De plus, la place centrale que j'occupais avait été chamboulée par l'arrivée de mon frère, qui remarchait sur mes traces. Non, je resterais le meilleur, qu'importe le prix à payer, il ne serait que ma doublure.

violence is glamour, i'm glamourous.

« Le téléphone sonne, c'est la troisième fois. Tu ne bouges pas, tu fixes l'appareil ébranlé par la sonnerie répétitive. Ce son t'agresse, il t'emmerde. Pourtant, tu finis par te lever du siège que tu empruntes depuis de bonnes heures, et décroche finalement le combiné d'où tu prononces quelques mots, bonjour, non, au revoir. Le simple fait d'entendre une voix te répugnes, tu ne veux pas parler, tu ne veux pas l'entendre. Pas elle, pas maintenant. Pourtant, tu espères toujours, toujours tu penses avoir la force de parler, d'écouter cette voix bien trop familière. T'as fait une croix dessus, c'est terminé. T'es plus rien, t'es déjà mort. Depuis, tu regardes juste la pluie marteler tes vitres, tu regardes les gens dans la rue, t'observe ce foutu monde qui t'as pas attendu. Je déjecte à la face de la société. Toi, simple être humain qui s'est senti supérieur, qui a cru déjouer les lois de la nature. Tu n'est rien, tu n'as rien. » Les mains jointes, j’observai les lignes étroitement tracées sur la feuille jaunie, déchirée. J'avais souvent eût l'occasion d'écrire, pourtant je me fichais totalement de ce genre de choses. La porte grinça légèrement, m'extirpant de mes pensées tandis que mon regard se posait sur la silhouette se découpant sur les parois pourpres. Ses jambes fuselée manœuvraient pour se rapprocher de moi, tandis que j'agrippe son poignet pour briser cette foutue distance entres-nous. Les lèvres finalement plaquées, je la sentais entrouvrir la bouche, approfondissant ce contact intense, que j'espérais sans fin. Les mains contre ses hanches, je l'attire contre moi encore plus, tandis que je me retrouve allongé. Les choses se bousculent, je ferme les yeux, je sens mes mains parcourir sa peau diaphane, je perds mes moyens. Brusquement, le grincement sinistre de la porte résonne, plus fort, plus rapide, découvrant un jeune garçon qui nous observe en maintenant la chaînette suspendue à son cou. Mon putain de frère, merde. Mon palpitant s’accélère, je stoppe brusquement tout geste et plante mon regard dans celui du blond, posté dans l'ouverture de la porte. Ses lèvres bougent, il esquisse un pas de recul. Non. Bondissant, je me jette sur lui en le propulsant au sol à ma suite. Comme possédé, je le martèle de coups violents, tandis qu'il lâche des hurlements. Ta gueule, putain. Continuant de m'acharner contre lui, mes phalanges se colorent d'une couleur ocre, mais je m'en tape. J'entends vaguement des paroles, des cris, des mains qui m'attrapent les poignets, me relèvent brusquement. Je n'entends que le sang qui martèle mes tempes, que les battements rapides de mon cœur qui me déchirent la poitrine. Sous moi, mon poids semble s'accentuer, je sens mes jambes bien plus faibles, et sans que je n'ai le temps de prononcer quoique ce soit, je m’effondre au sol.
kiss my ass and my anus, 'cause it's finally famous.

Tu observes avec dégoût la scène, le public qui semble t'acclamer, qui empli la salle bondée de monde de bruits qui te défoncent les tympans. Mais tu dois t'y faire, tu dois les oublier. Tu dois survivre. Bordel, rien que de voir tous ces billets qu'on te donne, ça te regonfle le cœur. Tu vas pouvoir te défoncer, avec tout ça, passer une nuit de folie. Brusquement, tu entres sur scène, tandis que les claquements de paumes augmentent. Tu entends la musique, mais tu as trop l'habitude pour t'attarder dessus. Les gens t'observent, observent ton corps qui se dénude peu à peu, au rythme que tu les ôtes au rythme de la musique. Ton cœur bat fort, il t'explose la poitrine. Mais tu as l'habitude, tu fais les mêmes gestes, toujours. Toujours, tu danses sur cette même piste, devant ces même mal baisés. Mais tu ramasses plein de fric, c'est bien l'une des choses qui te motives, le fric. C'est con, mais sans cette connerie, tu peux pas vivre. C'est de la merde, ta vie. Alors tu vis, tu survis. T’encaisse tout les coups que tu prends de la gueule, tu te relèves. T'encaisse, encore et toujours. Toi, Twaggle Creawley, alias « Panpan ». Un vieu surnom, il parait que ça excite, les surnoms de strip-teaseur de ce genre. Mes vêtements glissent contre ma peau, la foule s'agite. Je suis un putain de dieu, c'est sûr.
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