C’est un certain 4 décembre 1986 que je montre le bout de mon nez sous la neige qui recouvre la belle ville de Los Angeles, illuminé par les belles décorations de noël. Cette même année, j’ai même eu le droit de faire la rencontre du père noël. Si ce n’est pas de la chance ça ! Bref, je viens d’une famille aisée, d’un père médecin et d’une maman travaillant à mi-temps dans la restauration. Je suis fille unique. J’aurais aimé avoir une petite sœur, malheureusement le destin en a décider autrement… J’avais seulement cinq mois, lorsque mon paternelle se fit arrêter à la maison, pour un crime qui n’a pas commit. Le juge décida qu’il fut coupable et qu’il devra faire une quinzaine d’année de prison. Vous l’aurez compris, j’ai grandit sans père, même si je le voyais une à deux fois par ans, un lieu que je n’apprécier guère. A Vrais dire, c’est un lieu qui me terrorisé… Malgré cette absence, j’avais l’impression de connaître mon père depuis toujours. Ma mère m’a toujours expliqué ce qui s’était passé, mais elle me raconter des anecdotes et j’en passe. J’adorais quand elle me les racontait. Je lui rends réclamer toujours. C’était ma berceuse le soir. Elle m’avait également placé une photo de lui et moi à ma naissance, histoire que je n’oublie pas à quoi il ressemblait.Ma mère à toujours crut à son innocence, elle se battait mains et armes pour le faire sortir de là. Elle ne l’a jamais trompe et lui a toujours prouvé son amour.
Pendant ce temps, je faisais ma vie sans paternelle… Je dois avouer qu’il me manque beaucoup, même s’il reste à mes yeux qu’un étranger. Je fais ma petite vie d’écolière. Pas très doué à l’école, malgré mon travaille et mon sérieux, peu d’ami. La seule vrai amie que j’avais à finit par me tourner le dos en me faisant mille et un coup. J’appris très vite à m’occuper seule, à la maison ou a l’école. Un bouquin pendant les récrés et ma passion à la maison. Ma passion ? La photo, du moins, posé pour les photographes. Je m’amuse à créé les décors dans ma chambre, j’enclenche le décompteur et je pose. C’est peut-être banale mais au moins j’oublie tout mes soucis de la vie quotidienne, je me refuge dans ma bulle afin de me faire plaisir. Malheureusement, je n’en ferais jamais mon métier, mais je continue à y croire ! Peut-être qu’un jour je ferais la pub pour une nouvelle marque de maquillage dans les grands magazines. Après tout, qui sait ?
Le jour j arriva, un jour que j’ai appréhendais plus que tout ce jour… Le téléphone retentit dans le salon, ma mère avait la tête dans ses factures et moi dans mes devoirs. Ce coup de file allé changer nos vies ! De nouvelles preuves sur l’enquête de mon père s’est rajouter, l’accusant non-coupable. Il allait donc venir s’installer à l’appartement avec nous. Cette idée ne me plaisait guère. Et si rien n’allait avec mon père ? Et si ma mère m’oubliait ? Tans de questions auxquels je n’avais aucune réponse. Une crise de panique m’envahissait. Le jour où il a remis les pieds chez nous, J’étais timide, mais il a fini par me donner sa confiance. J’avais enfin un père qui pouvais s’occuper de moi, me prendre dans ses bras pour rôle de protéger sa petite fille. Malheureusement, les choses prient une autre tournure… Quelques mois plus tard, mon père me fit des attouchements sexuels.C’est peut-être difficile, mais j’ai maudis le jour où ce dernier fut sorti de prison. Je me renfermai dans ma bulle, m’isolant deux fois plus du monde !
Il aura fallu trois ans avant que ma mère n’ouvre les yeux pour voire que j’étais une enfant maltraité par son paternel. A mes quinze ans, le divorce se prononça et nous nous envolons toute les deux, dans le quartier natal de ma mère. Très vite, elle se mit avec un jeune homme à peine plus vieux ayant une fille aussi. Malheureusement le contacte n’est jamais passé, voulant continuellement me faire concurrence… Elle chercher les moindres détails pour m’humilier et que ma mères et toutes ses attentions sur elle.
Malheureusement, un nouveau drame s’abat dans ma misérable petite vie ! Alors que ma mère était venu me chercher de cours, elle perdit le contrôle de la v voiture, et nous fonçons toute les deux dans un arbre. Je n’avais que dix-sept ans à l’époque… Je restai six mois dans le coma. A mon réveil personne n’étais présent de ma belle-famille. Heureusement que mon meilleur ami l’était ! Les médecins m’annoncèrent que ma mère était décédée sur le coup… Ce fut un choc terrible pour moi. A la sortit de mon hôpital, seulement mes valises avec mes affaires m’attendais… Damien, me prit par les épaule, me déposa un baiser sur la chevelure, avant de me prendre soins son ail, notamment pour me loger. Mais pourtant, ca n’empêcher pas à mademoiselle parfaite de demi-soeur de me faire vivre la miséré au lycée, notamment en me lançant un sale réputation.
L’insuline, s’est ma vie ! Depuis mes huit ans, on a découverts que jetais atteinte du diabète, une maladie génétique. Mon arrière-grand-père cote paternel en avait. Comme quoi, il m’aura embêté jusqu’au bout celui-ci… Ma mère m’a toujours aidé pour me payer les soins. Elle n’en avait pas parlé à son nouveau petit ami. Mais à mon accident, je perdis un toit, l’argent que j’avais… Je n’avais plus rien pour me payer mes soins… J’ai finis par arrêter mes études à contre cœur, pour pouvoir travailler en commerce le jour et strep teseuse la nuit, afin d’essayer de me payer les soins qui soit dit en passant son très cher !