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MessageSujet: roll it up, light it up, smoke it up. △   roll it up, light it up, smoke it up. △ EmptyMer 28 Mar - 7:32


iseult-zélia w.-yager

❝ t'as beau gémir, je ne t'aime pas. ❞




ye m'aime, pas toi?

J'suis né(e) à Los Angeles il y a vingt ans et on m'a appelé Iseult-Zélia Wilde-Yager. Je suis d'origine franco-américaine. Dans la vie de tout les jours, je suis flar bartender et je fais une licence LLCE, spécialisation anglais. En dehors de ça, faut pas chialer hein, mais j’suis bisexuelle, j'suis également célibataire et j’le vis bien. Je fais parti des Quatre murs et un toit et j’en suis particulièrement fière. On m’dit que je ressemble souvent à Nina Agdal et je remercie Tumblr.
je veux en savoir un peu plus.

Iseult-Zélia W.-Yager n'est pas sa véritable identité. △ Au cours des cinq dernières années, elle a du changer quatre fois d'identité, de villes et même de continents. △ Fille unique et orpheline, elle a perdu ses parents à l'âge de seize ans. △ Ses parents ont été tués devant elle, par un gang de Los Angeles qui les avait en ligne de mire. △ Légèrement paranoïaque, elle a tendance a avoir du mal à donner sa confiance à des inconnus. △ Elle est complétement indépendante et déteste qu'on l'a prenne en pitié, de ce fait, elle s'est inventée une vie qu'elle raconte à la plupart des gens qu'elle croise. △ Elle est tombée amoureuse une fois mais vu comment ça c'est terminé, elle s'interdit de retomber amoureuse de qui que ce soit. △ Elle a obtenu son premier diplôme par correspondance mais il n'est pas valable en France, alors elle a passé une remise à niveau pour reprendre des études, et a intégré une licence LLCE. △ Depuis ses seize ans, elle enchaîne les petits boulots pour subvenir à ses besoins et ce pour avoir un minimum d'argent de côté si elle doit fuir, encore. △ Elle a du mal à s'attacher aux gens, pour éviter les au revoir. △ Elle aimerait pouvoir un jour construire sa propre famille, ne supportant pas tellement le fait d'être seule. △ Elle fume de l'herbe depuis qu'elle a perdu ses parents et il lui arrive d'en dealer pour arrondir ses fins de mois. △ Iseult a toujours un sourire collé sur les lèvres, et c'est sûrement du au fait qu'elle est défoncée en permanence. △ Elle ne se sépare jamais du collier où elle a accroché les deux alliances de ses parents. △ Elle parle quatre langues : l'anglais américain, le français, l'espagnol et l'italien; les deux dernières qu'elle a appris sur le tas, pour s'en sortir. △ Elle se mordille la lèvre inférieure quand elle est nerveuse ou mal à l'aise. △ Elle adore lire et possède un nombre incalculable de romans depuis qu'elle est à Paris. △ Iseult est mystérieuse, ne dévoilant que le strict minimum, des choses futiles et sans grand intérêt. △ Elle déteste qu'on lui pose trop de questions. △ Elle n'a rien de superficiel. △ Elle est franche, plutôt intelligente, très réfléchie, sûre d'elle même, un peu bordélique, un peu cynique sur les bords et possède un bon sens de la répartie. △ Elle a appris à manier les armes à feu, sait-on jamais. △ Elle a aussi appris le combat au corps à corps, autant dire que sous ses apparences de fille "fragile et malléable" se cache une combattante sans pitié. △ Elle possède certains contacts très pratique, surtout pour ses fuites. △ Sa véritable identité est : Cléia Ivy Ellis-Woods et elle lui manque. △ Elle fait encore des cauchemars par rapport au soir où elle a perdu ses parents et est devenue insomniaque pour arrêter de rêver. △ Elle est maman, mais a du laisser son enfant en Italie.
et toi, et toi, et toi ?

Votre pseudo sur le net ⇝ Latisla. Où avez vous connu OLLP ⇝ J'le connais depuis longtemps, aha. Age ⇝ Aha, quelle indiscrétion, non mais. 8D Présence sur le forum ⇝ Je vis dessus, en fait. Votre avatar ⇝ Nina Agdal. ** Pour nous aider ⇝ Voir le code.
Code:
[color=#FF0080]▬▬[/color] <b>Nina Agdal</b> ◈ Iseult-Zélia W.-Yager





Dernière édition par Iseult-Zélia W.-Yager le Mer 28 Mar - 7:36, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: roll it up, light it up, smoke it up. △   roll it up, light it up, smoke it up. △ EmptyMer 28 Mar - 7:34



ohlala paris
❝ il était une fois ... ❞



Le seul charme du passé, c'est qu'il est le passé.

Un rire. Le tien. Tu ris comme si ta vie en dépendait. Et tu ris même jusqu'à en pleurer. Jusqu'à en avoir mal au ventre. T'es encore qu'une gamine. Une gamine qui ne sait pas ce que la vie lui réserve. Et tu profites. T'as raison, profites-en tant que tu en as encore le temps. Parce que bientôt, ton rire ne sera plus le même. Plus aussi spontanée, plus aussi vrai. Des éclats de rire comme celui là, t'en connaîtra plus. Bien sûr que tu rira encore. Mais ça sera juste un rire forcé. Un rire que tu ne reconnaîtra même plus. Et personne fera gaffe, parce que personne saura. Non, personne saura que t'as arrêté de rire. Alors vas-y, ris ma jolie. Ris à t'en péter les cordes vocables. Ris jusqu'à ce que tu n'es puisses plus. Ris, encore et encore. Parce que demain, tu rira jaune. Demain, tu ne sera juste plus la même. Cléia Ivy Ellis-Woods.


Color my life with the chaos of trouble.

Indie-Dafné Crow. Tu comprends pas comment t'en est arrivé là. Comment en quelques minutes, t'es devenue orpheline. A bien y réfléchir, tu comprends pas les derniers évènements passés. T'as perdu le fil. T'as juste suivi le chemin. Sans rien dire, sans poser de questions. C'est dans ton esprit, qu'elles défilaient les questions. Et t'imaginais toutes les situations possibles et imaginables. Parce que tu comprenais pas la raison pour laquelle vous aviez déménagé de Los Angeles. Changez d'identités. T'arrivais pas à te faire à l'idée qu'on t'appellerait plus Cléia mais Indie. Et tu savais pas combien de temps cette mascarade durerait. Des jours, des semaines, des mois, des années ? Toute ta vie ? On voulait rien te dire, pour te préserver. Pour pas te faire peur. Mais il y a rien de pire que de ne pas savoir. Que le silence auquel on te confronter. Le silence, les regards fuyants et les raclements de gorge. Toutes les tentatives de changement de sujets. Tout ce qui t'éloignait de la vérité. De ce que tu estimais, avoir le droit de savoir. Et puis, en quelques minutes, t'as compris. Alors que t'étais dans ta chambre et que t'as entendu la porte d'entrée s'ouvrir et puis claquer quelques minutes après. Quand les rires des étrangers te sont parvenu. Et que la voix de ton père s'étonnait de tout ce bruit. Et quand t'es descendue, doucement et que t'as découvert la scène qui se jouait chez toi. Quand t'as vu défiler ta vie devant tes yeux. Quand t'as capté le regard suppliant de ta mère. Et son mouvement de la tête, si imperceptible pour ceux qui l'a torturai. Seulement destiné à toi. Quand ton père ne criait plus et que tout le monde riait. Tu t'es barrée. T'as juste couru, comme si ta vie en dépendait. Ils savaient même pas que t'existais. Ils ont pas mis beaucoup de temps à comprendre qu'il y avait trois personnes cette nuit là. Et non deux, comme ils le croyaient. Quand ils ont fouillés toute la maison pour piller l'argent, les bijoux et des tas de choses importantes. Il y avait plus rien. T'avais tout pris. En quelques minutes. Le cœur broyé, la peur au ventre. T'as fuis le plus vite possible. Le plus loin possible. Tu savais pas où allait. Qu'importe, tant qu'ils ne te retrouveraient pas. Pendant des semaines, t'as erré. Dans tout les États Unis. Changeant d’itinéraire tout les trois jours. Parce que t'avais peur. Peur de mourir. Peur de les rejoindre. Au bout de quelques semaines, quelques mois, tu sais plus, tu t'es posée. Sur New York. Toi et la caisse de tes parents. Que t'avais refait faire immatriculer, par peur de te faire reconnaître. Toi et ce qu'ils te restaient : de l'argent, des bijoux, un pauvre sac de vêtements et un bouquin. Et une nouvelle fois, t'as changé d'identité. Ornella Lyn Foster. Toi qui pensait avoir la paix, t'avais pas encore vécut la moitié de ce qu'il allait t'arriver. Et tu sais pas encore combien ça sera difficile, combien tu va t'y faire à ce nouveau changement d'identité, à tout les changements qui te seront imposés.


La vraie vie est si souvent celle qu'on ne vit pas.

Pour la famille Parker, t'étais juste Ornella Lyn Foster. Jeune fille de dix sept ans et demi. Jeune fille au pair qui voulait mettre un peu d'argent de côté, pour le faire le tour d monde. Pour eux, t'étais la cadette d'une famille de quatre enfants. Qui n'aspirait qu'à s'échapper de l'emprise de cette trop grande famille. Tu voulais apprendre les langues et pourquoi pas devenir traductrice. Tu voulais une vie paisible. T'étais une fille tranquille, une fille naturelle, une fille qui sourirait tout le temps. Mais une fille plutôt mystérieuse et froide quand certaines questions ne te plaisaient pas. Lors de tes temps libres, tu faisais des choses que jamais ils n'oseraient imaginer. Tu fréquentais des quartiers pas vraiment conseillés pour ton jeune âge. Mais t'avais pas peur. Plus maintenant. Du moins, pas d'eux. La seule chose qui t'importait quand tu allais là bas, c'était d'apprendre à te défendre. L'avantage, c'est que là bas, on t'a jamais posé de questions. On t'a juste demandé quelques petits services, des livraisons dans d'autres quartiers de New York et un peu d'argent. Et t'as eu ce que tu voulais : apprendre le corps à corps, manier les armes à feu et quelques papiers d'identité au cas où, tu devrai fuir une nouvelle fois. Tu savais très bien qu'ils te retrouveraient tôt ou tard. Et tu fais tout pour te faire oublier. Mais malgré toi, on a commencé à parler de toi. De ton efficacité quand tu dealais, de ton silence devant certains marchés, de ta combativité. Et surtout de ton silence sur ta vie. Et c'est là que t'as su. Qu'ils étaient là. Tout près. Qu'ils te cherchaient. Et t'as pas réfléchis. Une nouvelle fois, t'as pris la fuite. T'as juste pris le temps de laisser un mot à la famille Parker. Un mensonge de plus. Où tu leur disais que tu retournais près de ta famille et que tu les appellerai quand tu serai rentrée. Tu l'a jamais fais. T'as juste filé. Droit au Mexique. Tu te disais que peut être que changer de pays tasseraient les choses. Et t'as choisi de t’appeler Dafné Rosa La Hoz. Sans savoir à quel point tu te trompais, ça ne les arrêterait pas. Bien au contraire. Ils étaient bien trop décidés à avoir ta peau.


Love is nothing but a fantasy.

Enceinte. Tu te demandes bien comment ça a pu t'arriver. Non pas que tu ne saches pas comment se font les bébés. Tu croyais avoir pris toutes tes précautions. T'étais limite sûre et certaine que ce genre de trucs ne pourrait pas t'arriver. Et pourtant, t'étais enceinte et amoureuse. Enfin, Dafné l'était. Cléia, elle, tentait de taire ces sentiments. Sans y parvenir. Parce que tu savais que tôt ou tard, tu partirai du Mexique. Que tu quitterai ce paradis terrestre. T'avais pas envie, t'étais bien là. Au milieu de tout ces jeunes qui ne pensaient qu'à vivre et à s'amuser. Toi aussi, tu voulais être aussi insouciante. Tout oublier, ne penser à rien. Juste à toi, à ce que tu voulais, à ton bonheur. Vous étiez deux maintenant. Toi et cette chose qui prenait racine dans ton ventre. Qui grandissait chaque jour que tu voyais se coucher. Voilà un mois que tu le savais. Dix neuf ans, enceinte de deux mois. Tu voulais pas avorter. Tu trouvais ça horrible. Mais tu pouvais pas non plus élever cet enfant toute seule. Et en quelques jours, t'as pris la décision de fuir. Pour l'Italie. Mais le jour où tu devais partir. Ils t'ont retrouvés. Du moins, ils ont retrouvés la maison que tu allais quitter. Et ce fut un carnage. Les dernières images qui te viennes, c'est la maison qui prends feu. Tu ne sais pas si quelqu'un y a survécut. Pour toi, ils étaient tous morts. Il était mort. T'as pas versé une larme. Pleurer ? T'y arrivais plus depuis la nuit où tout a basculé. T'es juste partie en Italie, dans un couvent. Où t'a pris ta quatrième et peut être - tu l'espères, dernière identité. Iseult-Zélia Wilde-Yager. T'es restée tout le temps où t'étais enceinte. T'as accouché sans savoir si c'était une fille ou un garçon. Tu voulais pas savoir, pour pas t'y accrocher. Pour pas lui trouver un prénom et commençait à faire des plans. T'as juste quitté le couvent comme convenu. Puis fais le tour de l'Italie avant de rejoindre Paris. Paris ville de naissance de ta mère. Où t’espère pouvoir enfin vivre.



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