« Je rêvais d’un autre monde .. ». Cette phrase ne pouvait pas être mieux pour décrire la situation de ce moment. Alors que tous les adolescents allaient pouvoir enfin profiter de leur première journée de vacances, j’allais faire partie de ceux qui se lèveraient tôt comme chaque jour de l’année pour aller travailler. Il est vrai qu’en ce moment je ne vois pas beaucoup de monde, cela devait faire maintenant environ deux jours que je n’avais pas vu Cloé autant dire la seule famille qui me reste. Les cours la journée, elle travaille le soir on ne fait que se croiser sans vraiment pouvoir se raconter notre vie quotidienne. Pour preuve, je n’eu encore le temps de lui dire que l’année prochaine sa petite sœur allait rentrer au conservatoire de Paris. L’audition de vendredi soir avait été un succès pour moi et j’étais très heureuse de savoir que mon rêve allait se réaliser, bien sur je le serais encore plus si papa et maman étaient la pour me dire a quel point ils sont fière de moi. 6h30, le réveil sonnait dans l’appartement vide des Vanderosieren. Je sortais de ma chambre, saluant Cloé qui venait de rentré du travail et qui partais directement se coucher. Je préparais alors le petit déjeuner, prenant soin d’en faire assez pour qu’elle n’ait plus qu’a la réchauffer quand elle se réveillera. Je finissais alors de déjeuner dans mon salon, affalée sur le canapé tout en regardant les clips musicaux. Je regardais l’heure et me dirigeais vers la salle de bain. Je prenais alors ma douche, sortais en peignoir, cherchant ce que j’allais bien pouvoir mettre, je pris finalement un de mes jeans favoris, un pull. Le temps était donc venu de m’occuper de ma longue chevelure, je les laissais ondulées sur mes épaules, me maquillant légèrement. J’enfilais ma veste Ambercombie & Fitch, bottes a talons, j’embarquais mon sac à main au passage et partait pour prendre le bus de 8h00. Je montais alors dans le bus, et était parti pour une bonne demi heure de celui-ci, arrivais devant le château qui servait de boutique Ambercombie & Fitch, je descendais, badgant a l’entrée des employés. Je regardais l’heure et soupirais. J’avais exactement une heure et demie avec mes collègues pour installer la nouvelle collection dans les rayons. Autrement dit un défi de grande taille a relever. Sans plus attendre après les manteaux enlever, tout le monde mettais son badge avec son prénom dessus et commençais a ranger, tout et enlevais l’ancienne collection dans les placards des invendus.

12h30. La journée se terminer pour moi, après avoir été rangée mon badge, je prenais mon sac et partais de la boutique. Je retrouvais non loin des amis du lycée et partais pour déjeuner au mc donald. La première après midi des vacances commençait enfin pour notre plus grand plaisir. Dans le restaurant si on peut appelait ça comme ceci, des rires d’adolescent éclatait de vas et viens, pour tout dire, on n’entendait que nous. J’envoyais en même temps un sms a Ambroise. « SMS – Hey ! On se voit cette après midi ? ». J’attendais alors une réponse. Après avoir mangeais tranquillement, on se dirigeait tout ensemble vers le terrain de basket ou nous avons l’habitude d’aller pendant les vacances, c’est un peu comme notre point de rendez vous, c’est ici ou tout se passe. Tous assit par terre a admirer le ciel et a se raconter n’importe quoi. Les heures passaient rapidement sans que personne s’en rendent vraiment compte. 17h30 sonne et la plupart d’eux doivent rentrer chez eux, pour garder leurs petits frères et sœur ou pour ranger leur chambre. Je me levais leur disant au revoir et m’asseyais alors sur une table en bois qu’il y avait sur le coté du terrain. Je regardais l’heure sur mon portable et restais la, sans rien dire regardant les gens qui passait autour de moi.

La plupart des parisiens sont en vacances, ouais "la plupart". Il n'y a que moi qui suis forcé de me lever chaque matin pour aller bosser au shop alors que mes potes sont tranquillement entrain de larver dans leur lit bien au chaud sous une tonne de couvertures. Monde cruel. Quoi qu'il en soit, aujourd'hui je sortais plus tôt -pour une fois- et ça allait pas me faire de mal. La matinée fut longue, trèèèès longue, voire même ennuyante, presque personne est venu. Du coup, on est resté assis derrière le PC avec François à checker des vidéos de ride. Il est plutôt cool François, un peu con, mais cool quand même. Grâce à lui que j'me barre à seize heures cet après-midi. Enfin bref, matinée ennuyante. Il est midi, toujours personne, bon bah.. kebab. Ça sent fort, tellement que ça me donne la gerbe, tant pis, j'ai trop faim. Je suis jamais venu dans celui-ci, je comprends pourquoi, le sol est collant et les mecs derrière le comptoir font super peur. Vous êtes sûr que c'est pas de l'humain la viande ici? Tant pis, je mourrai d'une intoxication alimentaire, après tout faut bien mourir de quelque chose non? Je m'assois à ma table, face à François. Silence. Je le vois tourner la tête vers la droite, un sourire limite pervers aux lèvres, il fait un clin d'oeil, échappe un léger rire puis se replonge dans sa bouffe. Euh oké? Je tourne la tête. Ah ouais c'est bon j'ai compris. Troupeau de vierges en chaleur sur la table d'a côté. Haha, on a le cliché de la meuf bonne entourée de ses copines planches à pain infestées de boutons. A mon tour de faire un clin d'oeil. Le «repas» continue et on continue de s'échanger des regards, coquine. Mon portable vibre, je me détache doucement de mes pensées malsaines. 1 nv message. J'ouvre: «Clem ♥ ; Hey ! On se voit cette après midi ?» Oh merde, l'espace d'un instant je l'avais oublié ma Clem. Je lève les yeux, la jolie blonde me fixe intensément. Qu'est ce que je fais? Réfléchis réfléchis. «Je viens vers 18h, je bosse avant, désolé.. Je t'aime♥ - Envoyé.» Putain, t'es vraiment un pauvre menteur doublé d'un connard. Boah.. De toute façon elle en saura jamais rien de tout ça. Le repas finit je m'avance vers la demoiselle, sous le regard aliéné et en même temps amusé de François. Je m'assis à côté d'elle, tandis que ses copines gloussent comme des poules, elle, ne fait que rougir intensément. Naïve. J'me retiens de rire. T'es tellement pitoyable ma chérie, mais bon sang qu'est ce que t'es bonne. Mes lèvres se rapprochent de son oreille tandis que ma main glisse sur son genou. « Seize heures trente, 16 rue de caumartin, 9ème arrondissement. Tu m'attendras ma jolie? » Elle sourit et hoche de la tête. Fille facile en plus de ça. J'me lève et m'en vais avec François, mort de rire.
Cinq heures trente, je sors de l'appart, clope à la bouche, skate à la main. Mon coup rapide est partit depuis dix minutes, j'ai pris soins de nettoyer l'appart au préalable, au cas où je rentre avec Clem et qu'il y ait une mauvaise surprise. Je traverse Paris en une vingtaine de minutes. Le fracas des ballons contre le sol et les cris des joueurs transpercent l'air. Je balaye le lieu en quelques secondes. Je l'ai trouvé, assise à une table en bois, le vent dans les cheveux. J'esquisse un sourire avant de m'avancer jusqu'à elle et déposer un baiser sur ses lèvres. Mon regard s'accroche au sien, et je sens d'un coup comme un poids dans mes entrailles. Le parfum de la blonde me revient comme une gifle. Merde. Pourquoi j'ai pas pris le temps de me laver? Imbécile. C'est pas pour autant que je perd mon sang froid. Je lui caresse doucement la joue avant de l'enlacer tendrement. « Tu m'as manqué tu sais. » Ouais, je suis définitivement un enfoiré.

18h05. Bon dieu que le temps semble long et interminable. Encore sur le banc du terrain de basket, le froid commence a arriver de plus en plus vite, me glaçant les mains, le cou mais surtout tout mon corps en entier. Et pourtant, je reste la à attendre Ambroise, comme une idiote seule au milieu du terrain. Malgré tout ça, j’avais promis a Cloé que je rentrerais tôt, une soirée entre sœur elle me la demandait depuis si longtemps mais je ne sais pas, elle comprendra surement, j’inventerais une excuse tout a fait nul et il fera semblant de me croire, ça à toujours marcher comme cela entre nous, continuons ainsi. J’essayais de tenir en place mes cheveux un peu dans le vent, surement beaucoup trop. Vous savez comme dans ses films américains ou la jeune fille et avec son copain et que ça en devient salement romantique c’est la même chose maintenant sauf que la, je suis carrément toute seule. En attendant son arrivé imminente ou non d’ailleurs, je parlais avec des amis par message et je savais que s’il voyait mes messages avec Pacôme, mon meilleur ami il allait encore râler. 18h15, voyant l’heure j’étais bien prête a partir de toute manière il n’allait pas venir. Je levais ma tête déçu mais je n’avais pas vraiment le choix. C’est alors que je le voyais arrivée au loin. Je souriais intérieurement et extérieurement d’ailleurs et le regardais. Prolongeant un instant son baiser, je me reculais néanmoins, ne pas se montrer en public étant quasiment devenu notre règle numéro un. Je lui laissais une place a coté de moi, et sentais le vent contre nous, jusqu'à cette odeur, étrange et féminine. Je ne disais rien et le regardais avec un joli sourire. « Toi aussi, tu m’as manqué. » Je laissais un petit blanc avant de reprendre doucement mais sérieusement. « Tu as passé une bonne journée ? »

Je continuais de sourire et pourtant, rien n’y faisais. Heureusement pour moi qu’a l’extérieur rien ne se voyait mais j’avais bien senti l’odeur et ce n’était pas mon parfum. Il avait du me mentir, pour changer et pourtant malgré tout je n’arrivais pas à lui en vouloir. Dans ma tête tout s’évader, rien ne compter plus que de savoir qui était cette fille qui sentait comme ceci. Pourtant, je ne suis pas du genre jalouse, en réalité ça dépend des situations, mais avec lui c’est différent je ne supporte pas le simple fait qu’une autre fille que moi puisse le toucher et d’ailleurs je le sentais rien que ce petit oublie de sa part aller gâcher notre soirée. Je fis un petit sourire et continuais de pensé a tout cela, une fille . J’espérais pour lui qu’elle soit belle mais pas aussi belle que moi, qu’elle lui a fait plaisir mais pas autant que moi quand il me voit, j’espérais tout simplement qu’elle ne soit pas aussi bien que moi. Je sentis mon portable vibré, regardant le numéro s’affichais, comprenant que c’était Pacôme je mettais le portable dans mon sac sans vraiment y porté attention et décidais de profiter des quelques instants avec Ambroise, si rare en ce moment. Chaque jour je me rassurer un peu plus en me disant que dans moins d’un mois j’aurais enfin dix huit ans et que ça serait beaucoup plus facile pour nous. Je le regardais dans les yeux, mais rien n’y faisait c’est comme si on me forcé a lui demandais. « C’est qui cette fille qui sens le parfum Chloé ? » C’est comme si c’était sorti tout seule par obligation, même si j’avais vraiment envie de savoir la réponse, j’avais surtout envie de profiter de nous mais la j’en étais sur, après cette question ça ne sera pas possible, pas le moins du monde. J’essayais de paraitre comme si de rien n’étais, comme si je m’en foutais royalement mais a l’intérieure tout ça était bien faux, et malgré tout je pense que cela se voyait énormément. Le pire dans tout ça c’est que je le sais, je ne lui en voudrais pas, je n’ai pas la force pour lui en vouloir.

« Tu as passé une bonne journée ? » Si tu savais.. J'ai croisé une meuf de dix-neuf ans au kebab, bonne poitrine, bonnes fesses, pas de cerveau, le trio gagnant. Je lui ai fait deux trois clins d'oeil, je lui ai dis des belles paroles, histoire de l'embobiner, je me suis rapproché d'elle, je l'ai invitait devant chez moi pendant que je te disais que je travaillais. Elle est rentrée dans mon appartement, on a bu un, deux, trois verres puis elle m'a embrassé en passant la main sous mon t-shirt, une fille facile, ça a jamais été aussi simple de me faire une fille. J'ai continué de l'embrasser, je glissais mes mains un peu partout, puis j'ai déboutonné son pantalon pendant qu'elle faisait de même. Je lui ai fait un suçon mais l'ai empêché de m'en faire un, elle m'a mordu la lèvre en retour. Ça m'a excité, je l'ai déshabillé on s'est retrouvé à poil sur mon sofa, tu sais, celui où je t'ai embrassé pour la première fois. Je te dis pas le reste, tu devines. C'était pas aussi bien qu'avec toi, mais c'était pas nul non plus, elle était souple. Elle est partit, j'ai rangé l'appartement, et j'ai oublié de me laver, j'ai juste changé d'habit, faut croire que ça a pas suffit pour enlever l'odeur. Enfin quoi qu'il en soit.. « Oui et toi mon coeur? » Je dépose de nouveau un baiser sur ses lèvres. C'est pas parce que je lui suis infidèle que je ne l'aime pas. Si un mec la touche, ou si il essaye simplement de la draguer, je le tue. Je cautionnerai pas qu'un abruti touche à ma copine. Enfin «copine», on vit dans le secret et c'est très bien comme ça parce que de un: je me vois pas expliquer à mes potes que je sors avec une fille de dix-sept ans, je suis pas un pédophile, de deux: je veux pouvoir continuer à coucher avec des filles sans courir le risque de me faire remballer parce qu'elle savent que je suis en couple et de trois: je veux garder ma réputation, ce serait franchement la honte que l'on me sache en couple alors qu'on sait que j'aime bien collectionner les filles. Je perdrai toute crédibilité, ce serait ridicule.

Le vent me griffe le visage, et je tente en vain de me protéger dans les cheveux de Clémence, la serrant un peu plus contre moi. « C’est qui cette fille qui sens le parfum Chloé ? » Merde. Je laisse flotter le silence. Je sais plus quoi dire. Mon esprit s'embrouille. Les excuses filent dans ma tête mais aucune ne retient mon attention. J'ai le coeur qui s'emballe. « Je sais pas, ça doit être une des clientes du shop, il y en avait une à un moment qui à parfumé toute la pièce. On pouvait plus respirer. Ça doit être elle, t'inquiète pas chaton. » Je lui souris doucement, déposant un baiser sur sa joue. Je la connais trop bien, je sais que ça se terminera pas là, elle est encore plus têtue que moi. Puis bon, mon excuse est vraiment nulle. Je dois être dans un mauvais jour, d'habitude j'ai une bonne répartie, là, c'est pitoyable.. Mais ça reste quand même crédible. Faut que je trouve quelque chose moi aussi, faut pas qu'elle ait toutes les armes contre moi. Je dois réussir à retourner la situation contre elle, trouver un truc à dire sur les mecs avec qui elle traîne et m'arranger pour mettre le doigt sur une de ses fautes. Enfin, faut pas non plus que je découvre qu'elle m'ait trompé. Parce que si ça arrive, le dit gars va vite se retrouver à la morgue. Je caresse sa joue, j'entortille une de ses mèches de cheveux autour de mon doigt avant d'embrasser son cou. « Puis bon t'as passé la journée avec qui toi? Je levais mes yeux vers les siens, un sourire en coin, t'es pas amie qu'avec des filles, puis Paris n'est pas peuplée que de parisiennes et t'es jolie. » De plus en plus nul, tant pis, j'aurais au moins essayé. Je la serre de nouveau contre moi, cherchant des répliques pour me défendre par la suite. C'était clair que ça ne s'arrêterait pas là.

« Oui et toi mon cœur? ». Une journée bien banale comme les autres, j’ai travaillé pendant des heures, fais l’inventaire puis j’ai été voir des amis alors que j’aurais préférer venir te voir toi mais bon visiblement tu travaillais même si j’ai du mal a le croire. Je prolongeais avec douceur son baiser et souriais doucement. Pourtant je le sentais, la journée avait très bien commencée dans un quotidien banale mais une après midi assez bonne entourée des gens qui nous aimes et surtout près de lui, elle ne pouvait qu’être encore mieux, mais je le savais très bien, depuis que j’avais posé cette question qui trottais dans ma tête, tout allait changer très rapidement. Il faut dire qu’au début je n’étais pas sur qu’une relation cachée allait durer, et pourtant malgré qu’on se voit peut et que personne ne le sait ce qui réduit beaucoup nos sortie mais maintenant je le sens, j’en suis amoureuse et rien ne pourra y changer, tellement rien que je suis sur, je lui pardonnerais tout comme a chaque fois. Le silence qui s’installer entre nous ne donnait rien de bon a prévoir, il devait chercher une excuse encore une fois et bien sur si elle est assez bonne je ferais semblant de la croire mais si elle est nul, y’aura rien a faire, croyez moi, tout ça pourrait allez très loin. Je souriais quand même le gardant doucement contre moi, j’attendais en vain une réponse qui était des plus longue a venir.

« Je sais pas, ça doit être une des clientes du shop, il y en avait une à un moment qui à parfumé toute la pièce. On pouvait plus respirer. Ça doit être elle, t'inquiète pas chaton. » Je soupirais intérieurement a sa réponse qui était une de ses pires excuses jamais entendu. J’essayais de me retenir de dire quelque chose, histoire de le croire, j’essayais de me persuader qu’il ne mentait pas. Je lève doucement ma tête et le regard avec un petit sourire. « Tu penses vraiment que je suis conne a ce point ? » Je soupirais le regardant, c’était parti le premier round venait d’être lancer et croyez moi tout ça n’était que le tout petit début. « Tout a l’heure, on est passer devant la boutique, Camille voulait acheter un skate pour l’anniversaire de son copain mais elle était fermée, étrange non ? ». Il m’avait menti et pourtant rien n’y faisait quand je voyais son regard et son sourire j’aurais voulu le prendre dans mes bras mais pas cette fois ci, il faut que j’arrive a le faire parler. « Je vais te poser une dernière fois la question, qui est cette fille qui sens le parfum Chloé ? Pas de mensonge cette fois. » Je souriais légèrement le sentant près de moi, jouant avec mes cheveux et eu un peu envie de rire. Comme d’habitude il essayait encore une fois de rejeter la faute sur moi et sur mes fréquentations pourtant aujourd’hui avait été une journée bien calme et banale, aucun de ceux qu’il n’aimait pas vraiment été la, pas de Cheshire, Pacôme, Aaron. Je le regardais et hésitais un peu avant de répondre, je n’avais rien fait de mal mais je ne savais pas si je devais réagir a une sorte de provocation de sa part. Il marqué un point, un compliment ça fait toujours plaisir mais bon. Je levais mes yers lui doucement avec un jolie sourire. « J’étais avec Camille et son copain, Lucie, Chloé, Julie et Jules. Tu vois que des gens déjà en couple et pas intéressée par moi. » Je me levais du banc en bois et le regardais, je déposais un bisous sur sa joue et souriais doucement. « On se verra quand tu seras capable de me dire la vérité. ». Je prenais mon sac et marchais dans le terrain vers la sortie de celui-ci.