Sujet: New Town, New Life, New friends [Pv; Ziggy] Dim 5 Fév - 21:41
→ KILLY & ZIGGY«Les amis c’est comme les lunettes, ça donne l’air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! Moi, j’ai Ziggy. »
ICI Killyanne avait toujours eut une petite routine du matin qui lui était propre, elle ce levait tout les jours vers six heure, six heure trente ( La fin de semaine elle se permettait un extra-sommeil d'une demi-heure. ), enfilait ses vêtements de sport et allait faire son jogging jusqu'à sept heure, sept heure trente. La jeune femme revenait dans son appartement, prenais une douche, s'habillait convenablement selon la journée, déjeunait et réveillait son meilleur ami vers dix heure trenre, onze heure, à l'aide d'un magnifique message texte du genre; ''Aujourd'hui, toi et moi ont ce voient. Ne cherche pas a t'enfuir hors de la ville je te retrouverai, de toute façon je sais que tu ne peux vivre sans moi alors, hein … Je serai chez toi dans une heure, sois prêt. '' Puis, en générale elle s'accordait ce temps de repos à faire un peu de ménage dans son appartement où bien à faire quelques devoirs d'infirmière. Oui, Killyanne n'était infirmière que depuis quelques années, mais sa profession lui tenait à coeur plus que bien des choses en ce monde. Aidez les gens était une sorte de thérapie pour elle, une sorte de yoga si ont veux. Bien que la jeune femme trouvait stupide sa facilité à aidez les gens, alors qu'elle même n'arrivait pas à s'aider avec son histoire d'ex petit ami … Cet époque de sa vie restait bien sombre pour elle, et la seule personne qui était au courant de tout les détails de cette funèbre histoire était son meilleur ami, sa perle rare, son frère de coeur, l'homme de sa vie; Ziggy.
Ce matin là, après une longue douche chaude, la jeune femme revêti un petit short assez moulant et court couleur ivoire un peu style safari. Killyanne aimait la mode par dessus tout et la pièce la plus grande de tout son appartement était sans doute son walk-in, alors des vêtements elle en avait pour toute les occassions, tout les jours spécial et même pour tout les humeurs qu'elle éprouvait. Heureusement aujourd'hui la joie de vivre et le bonheur de savoir qu'elle passerait cette magnifique journée ensoleillée avec son meilleur ami, la charmait complètement. Avec ce short elle avait mit le haut de son bikini couleur beige, dans un style un peu tressée avec des petites billes qui donnait au bikini un look très hawaii, puis par dessus son bikini elle enfila un débardeur kaki dans un tissus ressemblant étrangement à du velour. C'est cheveux remonter en queue de cheval sur le côté, les quelques mèches de sa frange lui tombant dans les yeux, des boucles d'oreilles assorties à l'ensemble, un léger maquillage elle était prêt à rencontré Ziggy. La belle brune sassit son téléphone, appuya sur ''Z'' et aperçu l'icône facebook ( Qui la faisait toujours bien rire ) de son meilleur ami, cela lui déccrocha un sourire. Puis elle lui texta; '' Bonjour mon beau aux bois dormant, il est l'heure. Prépare toi, je t'attends à notre restaurant habituel, surtout ne sois pas en retard ;) Je rigole, tu le sais bien ne fait pas cette bouille. Prend ton temps, j'ai hâte de te voir. Bisou xxx''
Le message envoyé, elle glissa son portable dans la poche arrière de son jean prit les clées de son appartement qui trainait sur le comptoir à lunch et sorti de son appartement. Dehors, la journée était belle, le ciel était bleu et l'air était douce, pourquoi pollué davantage la planète alors qu'il lui était tout a fait agréable de marcher jusqu'au restaurant. Killyanne n'était pas un hirudie de la conduite, ni une passionnée quand elle utilisait sa voiture ( dans de rare occassion ) c'était pour sortir de la ville, allez voir ces parents (elle évitait depuis un moment puisque son ex-petit ami vivait à Londres. ) En marchant, elle observait les gens souriant, puis après quelques minutes de marche elle poussa la porte d'un café-bistro très chic et très chaleureux. Elle y choisit une banquette déposa son sac à côté d'elle et entreprit de lire le journal en sirotant un bon café tout en attendant l'arrivée de Ziggy.
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Sujet: Re: New Town, New Life, New friends [Pv; Ziggy] Dim 5 Fév - 23:35
Sept heures. Alors que les plus courageux et téméraires sportifs défiaient la vague de froid s’abattant sur la France, et le tapis blanc qui recouvrait les routes, Ziggy était encore allongé de tout son long dans son lit double, y prenant d’ailleurs toute la place. Ca s’appelle profiter de sa vie de célibataire. Certes, la solitude pèse un peu, mais avoir un lit pour soi, ça aide. Loin du froid, loin de la neige qui tombe, loin de l’activité de la ville légèrement ralentie aujourd’hui à cause du temps, Ziggy dormait profondément. Le lundi, c’est son jour de congé, et comme pour en profiter, il ne se couche jamais de très bonne heure le dimanche soir. Hier soir n’a pas fait exception, et ce n’est qu’aux alentours de quatre heure, qu’il revint d’une soirée avec Merlin. Son aîné le déposa chez lui, par mesure de sécurité. Parce qu’il avait trop bu, mais aussi parce qu’il n’a toujours pas son permis de conduire, et que dieu seul sait à quel point Paris, la nuit, ça craint. De toute façon Ziggy ne s’était même pas rendu compte de l’acte paternel de son patron. A peine rentré chez lui, il s’était étalé sur son lit de célibataire, s’y endormant profondément. Et à sept heures, il était dans sa phase la plus comatique du sommeil.
Dix heures trente. Le soleil n’était pas très présent à cause de la neige aujourd’hui, mais le paysage était si blanc, qu’il en éblouissait la chambre du jeune homme endormit. Néanmoins, rien ne le réveillait. Toujours profondément endormit, il ne cilla qu’une fois que son portable, resté dans sa poche la veille, se mit à vibrer. Grognant, se tortillant dans son lit, il attrapa sa couette pour se cacher en dessous, puis toujours les yeux clos, il plongea sa main dans la poche de son jeans, y attrapant son téléphone. Difficilement, il ouvrit les paupières pour apercevoir son écran de téléphone, mais la lumière fut un peu trop pour lui ce matin. Ses narines se mirent à le piquer, et il éternua comme un gosse, avant de renifler, se frotter les yeux, et réussir enfin, à ouvrir le message qu’il venait de recevoir. « Aujourd'hui, toi et moi ont ce voient. Ne cherche pas à t'enfuir hors de la ville je te retrouverai, de toute façon je sais que tu ne peux vivre sans moi alors, hein… Je serai chez toi dans une heure, sois prêt. » Malgré son état second, il étira un sourire en coin de ses lèvres, puis laissa son portable retomber dans son lit, avant de s’y étaler à son tour. Il souffla, s’étira longuement, puis enfin, s’assit dans son lit. La couette découvrant ses pieds, il remarqua qu’il avait en plus, dormit avec ses chaussures. Il en sourit de plus belle, puis se hissa hors du martelât, pour se traîner vers la salle de bain. Il avait besoin d’une bonne douche. L’opération terminée, il enfila des fringues propres : Jeans, bottines, teeshirt col en v blanc, et veste noir. L’ultime accessoire : Le chapeau. Se fixant dans la glace, il s’approcha un peu plus du miroir pour vérifier que sa gueule de bois n’était pas trop voyante, puis il descendit les escaliers de l’appartement, pour atteindre le salon. Il y attrapa ses clefs, puis s’arrêta dans le salon pour tendre l’oreille. C’était le calme plat ici. Igor était sûrement déjà parti bosser. Nouvelle vibration dans son pantalon. Non rien de pervers ici, ce n’était encore que son téléphone. « Bonjour mon beau aux bois dormant, il est l'heure. Prépare toi, je t'attends à notre restaurant habituel, surtout ne sois pas en retard. Je rigole, tu le sais bien ne fait pas cette bouille. Prend ton temps, j'ai hâte de te voir. Bisou xxx » Changement de programme alors ? Ce n’était pas pour lui déplaire dans le sens ou son appartement ressemblait à une porcherie, bien loin de l’idéal pour recevoir une nana. Mais le côté négatif, c’est qu’il allait falloir affronter le grand froid… Il prit alors la direction de la cuisine, et se pencha vers la fenêtre. Un tas de gosse jouaient dans la neige en bas de l’immeuble. Il n’y avait donc pas cours à cause des intempéries. Il en regrettait presque de ne pas bosser, il aurait eu une bonne excuse pour ne pas y aller. Ayant donc confirmé le mauvais temps dehors, il troqua son chapeau pour son bonnet, enfila son écharpe autour du cou, et un manteau qu’il prit le temps de bien fermer, et le voilà fin prêt. Il quitta son appartement dans un élan de courage, et arriva devant l’immeuble, ou jouaient tous les gosses du quartier. Il frissonna sous le froid, mais remarqua que le soleil montrait le bout de son nez, assurant à la journée, d’être forte agréable. Il en sourit un peu plus, puis les mains dans les poches, et bien emmitouflé, il prit la direction de la station de métro. C’est ça qui est pratique avec leur bar préféré, c’est qu’il est juste en face de la sortie de sa première station. Il s’engouffra donc dans son wagon, et dès que celui-ci fut à bon port, il le quitta et remonta à la surface de Paris. Il y avait étrangement aujourd’hui, beaucoup plus de marcheurs qu’habituellement. Ca a du bon la neige. Allez plus que trois pas, et le voilà face au café ou devait l’attendre Kill. Il traversa la rue sans aucun risque d’être aplatit aujourd’hui, en vue du désert de voiture, puis il poussa la porte du café. Une fois à l’intérieur, il ouvrit son manteau, sentant tout de suite la chaleur des lieux lui frapper le visage, puis il scruta la pièce. Il y avait beaucoup plus de monde que d’habitude. La neige encore une fois, qui empêchait tout le monde d’aller travailler. Il s’amusa un moment, à étudier tous les inconnus sur son passage, puis enfin, son regard s’arrêta sur une belle métisse, concentrée dans la lecture de son journal. Fine, élancée, de longs cheveux bruns. Killyanne a toujours été une femme vraiment attirante à ses yeux. Ne vous y méprenez pas, elle n’est que son amie, bien que leur amitié soit pour lui, bien plus importante qu’une « simple amitié ». C’est juste qu’il aurait du mal à la décrire, à lui donner un adjectif. Elle est comme une sœur, mais là encore, ce ne serait pas totalement le mot idéal. Disons qu’elle un peu son alter égo, la femme de sa vie, sans pour autant être sa future femme. Vous pigez ? Bref, dans sa tête, c’était quelque chose comme ça. Discrètement, il s’approcha de la belle créature, puis sans préavis, il glissa l’une de ses mains sur les hanches de la jeune femme, se laissant couler derrière elle, et alors que son torse rencontrait le dos de Killyanne, il déposa ses lèvres contre sa joue, afin de l’y embrasser. Sa main frôla le reste de son dos, et l’opération terminée, il se laissa tomber sur le tabouret libre, juste à côté de son amie. Souriant fièrement, il se pencha vers elle, tout en s’accoudant au comptoir.
« T’étais en retard aujourd’hui, j’étais prêt ! »
Il parlait du sms bien sûr. Bon c’était un petit mensonge dans le sens ou c’est elle qui l’a réveillé, mais pour le deuxième sms, il était déjà prêt ! Il détourna son attention quand le barman se posta devant lui, et il expédia un sourire polit à celui-ci.
« Un viennois svp. »
Le barman s’exécuta, et quand la grande tasse crémeuse se posa devant lui, Ziggy commença à y gratter la mousse sur le dessus, avec sa cuillère, pour la déguster en première.
« Alors mademoiselle bon réveille… C’est quoi le programme ? »
Quand ils veulent passer la journée ensemble, elle a toujours un tas d’idées. Lui il tourne un peu en rond. En revanche il espérait secrètement qu’elle ne le traîne pas dans un endroit bruyant, parce que sa gueule de bois ne le supporterait pas. Par contre, ils auraient certainement pu profiter de la neige qui a recouvert Paris. Il n’est pas très accro aux ballades qui sont pour lui une perte de temps, mais là, il en avait cruellement envie, juste pour le paysage. Il vient quand même d’un pays ou il ne neige jamais ou très peu, alors depuis qu’il vit en France, dès qu’il voit un flocon, il a les yeux d’un gosse de cinq ans.
« Je paris que t’es quand même partie courir ce matin… »
Ajoutât-il malicieusement, relevant sa tasse jusqu’à ses lèvres. Oué, c’est bizarre de dire qu’ils sont de parfaits alter égos, alors qu’ils sont aussi si différents. Lui il aime flâner, gros fainéant qu’il est. Il aime se lever tard quand il se couche trop tard, il bien qu’il soit un grand adepte des certains sports, il déteste par-dessus tout s’en infliger en dehors des jeux. Oué, faire une partie de foot entre copains, là il kiffe. Mais se lever à six ou sept heures du matin pour un jogging, ça jamais. Il tient à son rythme cardiaque.
(Lol je viens de m’apercevoir que j’ai écris tout mon récit à la troisième personne, alors que d’habitude j’utilise la première O.O Je m’excuse par avance si ma prochaine réponse se fait à la première XD)
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Sujet: Re: New Town, New Life, New friends [Pv; Ziggy] Lun 6 Fév - 4:06
Killyanne adorait cet endroit, ils ( elle et Ziggy ) étaient des clients assez réguliers. Ils aimaient venir ici boire un café pendant les journées froides d'hiver, discuter pendant des heures avec des amis et lorsque le café se transformait en petit club le soir, ils aimait beaucoup venir jouer au billard autour d'une bière. Avec Ziggy, Killyanne trouvait toujours quelque chose d'intéressant à faire, passant par le saut à l'élastique, le cinéma, les longues virés dans les boutiques, les soirées pyjamas à l'un où l'autre de leur appartement. Quand le jeune homme fut assis aux côtés de la brune, cette dernière lui adressa un large sourire et l'observa de la tête aux pieds, il était toujours aussi chic, élégant à sa façon, bien mis, beau comme un dieu. Killyanne craquait complètement pour son meilleur ami, pas d'amour moins que ça, plus que de l'amitié c'était certain. Ziggy n'était pas son meilleur ami, le mot n'était pas assez fort, elle le présentait comme tel parce que c'était moins difficile que d'expliquer sa façon de voir les choses. Il était bien plus qu'un meilleur ami, en fait, c'était son alter ego, la moitié de son âme, son complice, une partie d'elle-même. Elle adorait passer du temps avec lui, Killyanne ne regrettait absolument aucun moment passer aux côtés du jeune homme, et ohhh dieu qu'elle ne regrettait pas leur rencontre. D'ailleurs, que serai-t-elle devenue sans lui ?
Dans les minutes qui suivirent l'arrier de Ziggy, le serveur s'approcha d'eux et Zig' commanda son breuvage habituel. Aux premiers commentaire du brun, Killyanne lui servit sur un plateau d'argent l'une de ces plus belles grimace, comment ce permettait-il de dire qu'elle était en retard ? Cette pensée la fit rire, elle en retard …. Bon il avait peut-être raison après quelques minutes de réflexion. À ce pensée, Killyanne échappa un petit rire amical. Pendant l'attente du retour du serveur, Killyanne observa le jeune homme. Son chandail col en V et sa veste de cuir l'avait toujours fait fondre, elle devait ajouter que le jeune homme était très sexy et il avait tout pour plaire, d'ailleurs elle n'arrivait pas à croire qu'il était encore célibataire. Quand le jeune homme lui demanda le programme, Killyanne afficha un large sourire, puis elle lui dit; '' Avec la gueule de bois que tu as … '' Elle lui adressa un clin d'oeil, définitivement Ziggy ne pouvait rien lui cacher. '' Je ne crois pas que l'idée d'un cinéma t'enchante, à moins que tu es envie de te sauter la tête, de te saigner les oreilles et d'avoir un mal de tête encore pire que la deuxième guerre mondial. Alors …'' Kill détourna son visage vers la fenêtre la plus proche d'eux et observa un instant la neige qui tombait doucement, recouvrant avec splendeur le sol parisien. Elle se retourna de nouveau vers le brun et poursuivit; '' Que penses-tu de marcher un peu à l'extérieur et, peut-être de monter dans la tour ? Je te promet que tu seras éblouuuiii par le paysage. '' Elle lui adressa un sourire complice et déposa sa main sur la cuisse du jeune homme, ce fut un sentiment étrange, ils étaient très proche, comme personne avant n'avait été prêt d'elle. Cependant, quand elle lui toucha la cuisse, ce fut une sensation étrange qui se produisit dans son bas ventre, elle senti une chaleur lui montée aux joue et elle retira sa main un peu gêner. Elle espèrait que le jeune homme n'est rien remarqué.
Le serveur revint à leur hauteur et Killyanne en profita pour commander une galette de riz, elle qui ce tenait en forme surveillait aussi ce qu'elle mangeait. '' Bien sur que j'ai été courir, rien ne m'empêchera de faire mon jogging, bon sauf si c'est la fin du monde là …'' Elle roula les yeux; ''J'imagine que j'aurai mieux à faire ce jour là. Où le jour où il feront revenir les dinosaures sur terre, j'imagine que mon jogging pourra attendre.'' Killyanne déclina un sourire taquin, elle savait que parler des dinosaures était un sujet délicat avec lui. En éclatant de rire, elle cassa sa galette en deux et lui dit; ''Je rigole, détent-toi. Tu en veux ? '' Elle lui tendit un morceau, en lui adressa un large sourire.
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Sujet: Re: New Town, New Life, New friends [Pv; Ziggy] Mar 7 Fév - 1:03
C’est vrai ça. Pourquoi est-il encore célibataire ? Peut-être que ça vient de lui. Pas assez dragueur, trop posé, ou trop « bon copain ». Car à bien y réfléchir, il y a quand même un tas de fille dans son entourage qui lui auraient largement collé à la peau. Et comme le lui avait reproché Saphyr la veille sur internet, il était trop le bon copain, et il s’interdit de sortir avec ses amies. C’est une question de principe. Parce qu’imaginez une seconde qu’il sorte avec l’une de ses amies, et que cela se passe mal. Ils se séparent, mais non seulement ils perdent leur belle histoire, mais en plus ils gâchent leur amitié. Et ça, ça le terroriserait facilement. Pourtant, c’est bien contradictoire avec sa vision de l’amour. Parce que lui ne croit pas aux contes de fées. Pour lui, on ne tombe « amoureux » qu’une fois que l’on connait bien la personne, une fois qu’on est proche, une fois que l’on s’est trouvé un tas de points en communs. Et pour en arriver là, faut bien être amis avant, non ? L’amitié c’est un peu le premier stade de l’amour. Voilà peut-être pourquoi, il est toujours seul. Il n’y connait rien. Puis il a perdu fois en l’amour. Il n’a jamais eu le cœur qui s’est vraiment tordu pour une femme, il a souvent l’impression d’être incapable d’aimer. Et pourtant, il n’arrête pas de se dire qu’un jour, ça lui tombera dessus, comme ça, sans qu’il ne s’y attende. Sans chichi, sans complication, sans avoir besoin d’aller pousser la chansonnette en bas de son balcon, sans avoir besoin d’affronter un Tyrannosaure Rex. Juste comme ça.
« Avec la gueule de bois que tu as… » Merde, chopé ! Pourtant, il était sûr que c’était bien caché ce matin. Faut croire qu’elle le connait encore plus qu’il ne le croyait. Un petit sourire égayé se dessina sur ses lèvres, alors qu’il tombait les yeux dans son café, comme un gosse qui vient de faire une connerie. Pourtant les soirées avec Merlin, il ne les échangerait pour rien au monde. C’est ça la vraie vie. Un peu comme les journées de malade qu’il peu passer avec Killyanne. Bien qu’elle, elle joue souvent avec sa vie. Comme la fois ou elle l’avait traîné jusqu’au saut à l’élastique. Il avait cru y rester. Incapable de sauter dans le vide, il avait fallu que Kill le pousse de force pour qu’il rencontre le vide. Et il lui fallu après coup, bien une heure de crise d’angoisse avant qu’il ne reprenne ses esprits. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle l’a choqué à vie, parce que maintenant, il cauchemarde souvent du vide. Jamais, ô grand jamais, il ne retirera l’expérience. S’il refuse même de monter dans la tour de la terreur à Disney Land, c’est bien pour une raison. « Je ne crois pas que l'idée d'un cinéma t'enchante, à moins que tu es envie de te sauter la tête, de te saigner les oreilles et d'avoir un mal de tête encore pire que la deuxième guerre mondial. Alors … » Relevant ses yeux vers Killyanne, il étira un peu plus encore, ses lèvres, et hocha la tête avec affirmation.
« Ca va j’ai connu pire, mais je crois qu’il n’y a pas grand-chose d’intéressant au cinéma aujourd’hui. »
Et ne lui proposez pas un remake d’Alien, parce que c’est comme Jurassik Park.
« Puis ma tête ne supporterait pas le son. »
Il minauda, puis avala le reste de son café, espérant qu’il lui passe la migraine. « Que penses-tu de marcher un peu à l'extérieur et, peut-être de monter dans la tour ? Je te promets que tu seras éblouuuiii par le paysage. » Reposant sa tasse vide sur le comptoir, il se pinça les lèvres pour éviter toute trace de mousse blanche sur son visage, puis il dériva ses yeux vers la fenêtre. L’idée l’enchantait bien évidemment, elle devait bien savoir depuis le temps, qu’il ressemblait à un gamin une fois qu’il neige. En revanche, il doutait fortement que la tour soit ouverte par un temps pareil. Les restaurants oui, mais l’escalade de la tour, c’est moins sûr. Ceci dit, l’image de la tour Eiffel disparue bien loin de sa tête, quand un petit quelque chose d’étrange apparu dans les yeux de Killyanne. Elle venait de poser sa main sur sa cuisse, jusqu’ici rien de bien étrange, ils étaient habitués à ce genre de geste entre eux. Mais quelque chose avait semblé la déranger. Et Ziggy, fidèle à lui-même, un peu c*n sur les bords, ou surtout très aveugle, se retourna brusquement, pensant qu’elle venait de voir derrière lui, quelqu’un qu’il ne fallait pas, comme son ex, ou un fantôme. Mais après un bref coup d’œil, il ne remarqua rien d’anormale derrière lui, et au moment même ou il se retournait vers Killyanne, elle avait ôté sa main, et avait reprit la discussion l’air de rien, si bien qu’il en oublia presque son étrange réaction. « Bien sur que j'ai été courir, rien ne m'empêchera de faire mon jogging, bon sauf si c'est la fin du monde là … J'imagine que j'aurai mieux à faire ce jour là. Où le jour où ils feront revenir les dinosaures sur terre, j'imagine que mon jogging pourra attendre. » Le pauvre Ziggy avala la fin de son café de travers, quand elle prononça le simple mot de dinosaure. Il manqua de s’étrangler avec, puis les yeux le picotant encore, il releva son regard jusqu’à Killyanne. Son visage avait complètement changé d’expression, comme s’il venait de voir passer un fantôme, ou là en l’occurrence, un dinosaure.
« Déconne pas avec ça, ils l’ont encore dit à la télé aujourd’hui ! »
Reprenant son souffle, il s’accrocha au comptoir, l’air grave.
« Ils en ont retrouvé l’adn et rêvent de leur redonner vie pour remonter une sorte de Jurassik Park. Nan mais t’imagine la connerie humaine ?! J’espère bien être mort avant ça ! »
Il serait probablement capable de se noyer dans le trou de son toilette, le jour ou sur I>télé, on annoncera qu’enfin, un dinosaure est revenu à la vie grâce aux chercheurs. Le pire c’est que Ziggy dit vrai, ce sont vraiment des recherches en cours, depuis qu’ils ont retrouvé de l’adn de Mammouth et d’homme préhistorique dans la banquise, ainsi que d’adn de dinosaure dans des moustiques fossilisé. Un peu comme le vrai début du film de Jurassik Park. Pour n’importe quel être humain, ce sont des recherches fascinantes et excitantes. Pour Ziggy, c’est le début de la fin du monde. Vous direz que c’est un peu débile comme phobie, sachant que les dinosaures n’existent plus. Mais c’est ainsi. C’est comme les volcans, il n’y en a pas d’actif ici, et pourtant il ne peu pas s’empêcher de craindre de vivre un jour un truc du genre de Pompéi. Oui, Ziggy a beaucoup de phobies qui pourtant, ont un pourcentage de chance de lui arriver, extrêmement minime, voir inexistant. Et pourtant ça lui pourrit ses nuits. Pas besoin de chercher un gros film d’horreur pour le faire se planquer sous le lit. Il suffit de le mettre devant Jurassik Park. Qu’il n’a d’ailleurs jamais regardé entier. Ce serait à lui imposer un de ces jours ! « Je rigole, détends-toi. Tu en veux ? »
« Eux ils rigolent pas ! »
Rétorquât-il toujours aussi sérieux et terrorisé, avant de reprendre son souffle, et retrouver un visage serein, quand ses yeux rencontrèrent la vitre du bar, et qu’il revint à la réalité : La neige. Reprenant des couleurs, il attrapa sa veste et son écharpe qu’il enfila rapidement, puis il fit un signe de tête vers Killyanne.
« Allez on va jouer les parfaits parisiens. J’espère que t’es équipé, je prévois une journée entière au pôle nord ! »
Ils pourraient en profiter pour faire un peu de shopping, après tout son envie d’un chien sur facebook la veille, pourrait se concrétiser. Et surtout, il avait bien caché son petit appareil photo dans sa poche, et prévoyait de rendre cette journée, inoubliable. Quittant le bar aux côtés de Killyanne, il alla chercher sa main pour la glisser dans la sienne, y entrelacer leurs doigts, puis il se dirigea directement vers le métro, qu’il connaissait tant. C’est vrai qu’en presque dix ans de vie à Paris, il n’a pratiquement jamais été dans les sites tels que la Eiffel Tower. Il avait du s’y rendre en touriste, une ou deux fois en arrivant à Paris, quand il était ados. Mais depuis, jamais. Ils prirent donc un wagon en direction des sites touristiques, et une fois au bon arrêt, il rattrapa la main de Killyanne et ils regagnèrent l’extérieur, arrivant au champ de Mars. Il s’arrêta devant ce grand étendu de blanc, habituellement vert, et remarqua que tous les visiteurs s’attelaient à des concours de boules de neige. Malicieusement, il resserra doucement la main de Killyanne, et posa des yeux bien malicieux vers elle… Jouera ou jouera pas ?
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Sujet: Re: New Town, New Life, New friends [Pv; Ziggy] Mar 7 Fév - 16:43
Le café-bistro dans lequel ils se trouvaient présentement était peu fréquenté aujourd'hui, rare, les gens préfèraient sans doute profiter de la température douce de l'extérieur afin de faire des bonhommes de neiges avec leur enfant, où juste … Enlever la neige de leur cours. Bref, il y avait quelques discution par-ci et par-là, sans plus, mais l'intimité du café y était toujours présente, comme si il n'y avait personne, comme si le monde s'arrêtait en entrant ici. Killyanne savait très bien que la tête du jeune homme ne supporterai pas l'activité cinéma qu'elle lui avait proposer et d'ailleurs il avait raison ...En consultant son blackberry, elle regarda la liste des films et rien ne l'attirait vraiment, alors pourquoi dépenser de l'argent pour un film nul ? Ziggy et Kill avaient vu des tas, et des tas de films ensemble. Si bien, que parfois ils se louait une série de film ( du même réalisateur, où juste leur préférence. ) et il arrivaient à citer le film en entier à eux-deux. Sauf Jurassik Park, évidemment. Killyanne prit de nouveau une bouché de sa galette et bu un peu de son café légèrement refroidit, elle frisonna au contact sucré du brevage et redéposa sa tasse. « Déconne pas avec ça, ils l’ont encore dit à la télé aujourd’hui ! » La belle brune ne put s'empêcher de rire, ce n'était pas méchant évidemment, mais un sourire amusée apparut sur les lèvres de la jeune femme. Décidément, il devrait arrêtée de regarder les documentaires sur les recherches scientifiques. « Ils en ont retrouvé l’adn et rêvent de leur redonner vie pour remonter une sorte de Jurassik Park. Nan mais t’imagine la connerie humaine ?! J’espère bien être mort avant ça ! » De nouveau un sourire apparut sur les lèvres de la belle, l'expression terrifié de Ziggy lui faisait pitié et rire à la fois. Elle passa un main dans son dos, lui caressant celui-ci afin de l'aidé avec la gorgé qui ne passait pas, puis lui dit; '' Écoute, ces recherches prendront des années et même peut-être des décenies, ne t'en fais dont pas avec ça. Tu auras le temps d'avoir véçu cette vie si et peut-être même ta prochaine vie avant que cela n'arrive. De tout façon, tu sais très bien que si cela arriverait je serai ta héroïne! '' Killyanne prit un air sur d'elle et fière '' J'te laisserai pas tombé voyons'' Elle lui adressa un clin d'oeil complice.
Une fois le sujet des dinosaures clos, Killyanne suivit son meilleur ami dans son élant. Elle se leva de la banquette, enfila son écharpe et son manteau, il ne faisait pas très froid dehors, mais comme le diction le dit; Vaut mieux prévenir que guérir. « Allez on va jouer les parfaits parisiens. J’espère que t’es équipé, je prévois une journée entière aupôle nord ! » La réponse de la jeune femme fut un petit rire enjoué. Bien sûr, une journée dehors, comment pouvait-elle refusé ? De tout façon, tant qu'elle était avec Ziggy, Killyanne n'avait aucune raison de ce plaindre de quoi que ce soit. Le jeune homme l'entraina donc dans une longue descente vers le métro, métro qu'ils connaissaient tellement par coeur. Le contact de la main de Zig' dans la sienne lui faisait chaud au coeur, comment pouvait-elle seulement vivre sans lui ? Il avait toujours été là dans les mauvais moment comme dans les bons, Killyanne souhait vraiment qu'il sache à quelle point elle lui était redevable. Le métro était dans aucun doute le transport préféré de Killyanne, pas d'intersection, pas d'attente. Ils arrivèrent donc aux sites touristiques, l'idée que Ziggy ce faisait de cette journée n'était pas encore très clair dans la tête de la brune. Cependant, elle ne tarderai pas à le savoir. Ils se rendirent aux champs de mars, où tout le monde participait à un concour de boule de neige … La main de Ziggy sera la sienne, le sourire malicieux qui s'afficha sur son visage s'envisageait rien de bonne.
Killyanne ce défit rapidement de l'étreinte de son meilleur ami et courut dans le sens contraire, elle se pencha légèrement au sol et attrappa la neige qu'elle pouvait. Formant une boule bien ronde, elle se tourna rapidement et l'envoya directement sur le bras de son ami. La brune le regarda en face, le sourcil arqué marqué par le défi, un sourire malicieux sur ces lèvres. Elle lui fit une grimace amusée. '' T'es de taille du crois ? '' La jeune femme roula une nouvelle boule de neige et attaqua une nouvelle fois son meilleur ami, en riant aux éclats cette fois, elle venait de lui lancé en plein sur la poitrine. '' Ohhh, je vise juste … En plein coeur, sa y est tu es mort, te rends-tu toutde suite ? '' Killyanne rigola, cela promettait d'être une belle journée.
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Sujet: Re: New Town, New Life, New friends [Pv; Ziggy] Dim 12 Fév - 19:03
Le métro était aussi le moyen de transport préféré de Ziggy. De un parce qu’il a déjà passé au moins dix fois son code de la route sans jamais l’obtenir, et de deux … Parce qu’en plus de ne jamais avoir eu son code, il a déjà plier deux voiture de l’auto école. Il y en a qui ne sont pas doués pour les mathématiques, d’autres c’est le dessin, d’autres c’est le chant. Ziggy lui, c’est la conduite. Il a même fait tomber en dépression son dernier professeur. Du coup il s’est fait une raison. Il a prit un abonnement à vie au métro, tramway, et bus Parisien. On ne peu pas dire que ça le réjouie vraiment, parce qu’au niveau des horaires, c’est un peu contraignant. Sur les grands axes, il a des wagons toutes les deux minutes, mais quand il veut s’éloigner, il ne vaut mieux pas manquer son horaire. Pour le reste, il trouve que ça lui permet de faire des économies, puisqu’il n’a pas d’assurance, d’essence ou d’entretient de voiture à payer. C’est toujours de l’argent mise de côté, qui lui permet de retourner voir sa tante en Israël, au moins un été sur deux. Puis bon, il y a aussi un trop avantage sur le métro : On peu pioncer sur le trajet ! Alors que s’il était le conducteur d’une voiture, Ziggy devrait se concentrer, et on le sait tous, la concentration est loin d’être son fort.
Arrivés sur le champ de Mars, il resserra l’étreinte de la main de Killyanne, comme pour lui faire comprendre son arrière pensée. Malheureusement pour lui, Killyanne fut la plus rapide. Il eu à peine le temps de réaliser qu’elle s’était enfuis de sa main, qu’il se prenait une bonne grosse boule de neige en pleine figure. Une vague de froid le traversa aussitôt. Pourtant, si l’espace d’un instant il resta immobile, comme congelé, il fini par bouger juste un bras, le temps de passer sa main sur son visage pour faire tomber la neige resté collé dessus, puis il se mit à rire, tout en grelotant comme un enfant. « T'es de taille du crois ? »
« Non seulement je le crois, mais je le suis ! »
Il se rua au sol pour commencer une boule de neige à son tour, mais il s’appliqua tant à la tâche, voulant en faire une bien grosse, et bien ronde, que Killyanne fut plus rapide. Sauf que cette fois, c’est son torse qui en dura l’effort. Il s’écroula par terre, non pas de douleur, mais de rire, perdant par la même occasion, sa belle boule dont il arrivait pourtant à bout.
« Ohhh, je vise juste … En plein cœur, ça y est tu es mort, te rends-tu tout de suite ? » « Okay … »
A genoux, il se traina jusqu’à Killyanne, mimant l’asile. Il s’arrêta toujours à genoux, ayant gratter la neige sur son passage, devant elle, puis releva de petits yeux vers elle.
« Mais ce n’était qu’une bataille … Pas la guerre ! »
Et sans prévenir, il passa ses bras autour des jambes de Killyanne, étant, à genoux, à la bonne hauteur, puis il l’entraîna vers le sol et la neige. Une fois qu’elle fut à terre, il l’aspergea de neige en lui bloquant les bras avec son autre main, puis une fois qu’elle fut bien enneigée, il se mit à rire devant le spectacle, et se releva en vitesse, pour se reculer de quelques mètres.
« Un partout ! »
Essoufflé, il se rapprocha, hésitant, puis sur ses gardes, décidé à aller l’aider à se relever. Mais au dernier moment, il se souvint de son appareil photo qui traînait dans sa poche. Il l’attrapa entre ses mains, puis captura l’instant d’une belle Killyanne en neige. Amusé de la photo, il ria de nouveau, tout en lâchant l’écran de son appareil des yeux, pour poser son regard sur Killyanne.
« Je pourrais dire que je connais réellement Blanche-Neige. Quoi qu’il me fait une vraie preuve ! »
Avant qu’elle ne bouge, il se précipita vers elle, et se colla à elle, puis il avança l’appareil devant eux, le tenant à contre sens, pour se prendre comme un auto portrait, mais avec Killyanne en plus. Une fois la photo prise, il retourna l’appareil pour vérifier le résultat sur l’écran, et fier de lui, un large sourire aux lèvres, il détourna l’écran vers Killyanne. Ils étaient mignons tous les deux. Elles pleines de neige, et lui tout sourire, fier de son coup. La photo, il l’a fallait sur FaceBook ce soir !
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