❥ Seextine Hope Laurens

Âge, date et lieu de naissance ⇝ Je suis née le 2 janvier 1987 à Paris, j'ai donc 25 ans. Statut ⇝ célibataire, et vous ? Nationalité ⇝ française et américaine. Métier/Études ⇝ Je suis photographe. Sexualité ⇝ hétérosexuelle comme jamais. Groupe ⇝ La javanaise.

⇝ Il m'arrive parfois de rire quand je me sens gênée. Comme on le dit si bien, mieux vaut rire que pleurer!
⇝ Le matin, je mange des tartines grillées avec un chocolat chaud. Passionnant n'est-ce pas ?
⇝ Quand je suis stressée, je fume plus qu'à mon habitude, et je mordille tout ce qui me passe sous les dents, en particulier les stylos.
⇝ J'ai pour habitude de sauter au plafond lorsqu'il m'arrive de rencontrer ce que j'appellerais la chose que Dieu n'aurait pas du inventer, alias l'araignée.
⇝ Je fume beaucoup, je bois beaucoup. Je me drogue aussi, ça m'arrive oui.
⇝ Je chante constamment sous la douche. Par chance, je chante plutôt bien.
⇝ Je suis une grande passionnée de photographie. Il n'est pas rare que je m'amuse à prendre des personnes inconnues dans la rue en photo.

Votre pseudo sur le net ⇝ moonlight.
Où avez vous connu OLLP ⇝ Sur Pub Rpg design (:
Age ⇝ 18 ans.
Présence sur le forum ⇝ 4 voire 5/7.
Votre avatar ⇝ La plus belle, Olivia Wilde <3
Pour nous aider ⇝

Code:

[color=#FF0080]▬▬[/color] <b>Olivia Wilde</b> ◈ Seextine H. Laurens

Il était une fois... Moi, Seextine Hope Laurens. Tout commence à Paris, lieu de ma naissance. A l'époque, nous étions encore en 1984. Je fus ce que l'on appela un peu plus tard un enfant "non désiré". La preuve, mes parents divorcèrent quelques mois après ma naissance. Ma mère, déjà alcoolique à cette époque, eut toutefois la garde de mon grand-frère ainsi que la mienne. Étant donné qu'elle était américaine, et qu'elle était venue sur Paris pour y rejoindre mon père, nous fumes dans l'obligation de déménager, direction New-York. Mon enfance n'a rien d'exceptionnelle, étant donné que je l'ai vécu dans un petit appartement étroit du Bronx, en compagnie d'une mère alcoolique et d'un frère absent. Quant à mon père, je n'ai jamais eu de nouvelles, mis à part une carte, envoyée chaque année le jour de mon anniversaire. Par chance, ma mère, malgré son état d'alcoolique, nous apprit dès notre enfance à la fois l'anglais, mais aussi le français. A 4 ans à peine, j'étais déjà donc bilingue.

Qui dit Bronx dit bien souvent mauvaises fréquentations. Je n'y échappais pas, rencontrant dès mon adolescence ce que l'on appelle parfois des "caïdes". Alors que l'on apprenait aux enfants du quartier de l'Upper East Side à ne pas toucher à la drogue, nos confrères nous apprenait dans le Bronx à la consommer, et cela dès notre plus jeune âge. Il faut dire que ma mère ne m'a jamais délimité de frontières, alors j'ai bien vite consommé de la drogue, et de l'alcool, cela va de soit. J'ai même connu ma première fois à à peine 15 ans, alors que d'autres sont encore puceaux à 18. Autant dire que mon adolescence a été sans limites. Peu à peu, je suis devenue moi aussi une "irrécupérable" du Bronx.

Par chance pourrait-on dire, il y a eu la photographie. Je me suis achetée mon premier appareil photo à 16 ans, avec l'argent que me confia mon frère à mon anniversaire. Ce fut pour moi comme une bouffée d'oxygène, une façon de me calmer, pourrait-on dire. Quand je prends des photos, plus rien n'existe autour de moi, mis à part ma passion. Je suis dans mon monde, et j'en oublie même ma dépendance à la drogue. J'ai alors postulé dans une école d'art, option photographie. J'en suis ressortie malgré moi diplômée, et major de ma promotion. A 20 ans, je prenais la direction de Paris, avec pour principale intention de retrouver mon père, pour mieux quitter ma mère, alcoolique jusqu'aux ongles.

Cela fait donc 5 ans que je suis de retour dans mon pays natal. 5 ans que je travaille pour un petit journal de Paris. Il m'arrive même parfois de travailler en partenariat avec la police, pour traquer certains récidivistes. Mais les choses ne vont pas aussi bien que je peux le faire croire. Je suis encore très dépendante à la drogue, et je ne vous parle même pas de l'alcool. Par chance je ne suis que très rarement au bureau, ce qui me permet de me cacher, moi et mon addiction. Toutefois, je pourrais bien finir sans job si je m'amuse à continuer sur cette voie. J'ai besoin d'aide, mais je n'en veux pas. Je ne suis pas une assistée. Non, jusqu'ici, j'ai toujours tout fait par moi même. Alors au diable votre pitié.