→ JULIET & ANASTASIA« toi toi toi et encore toi » Skinny.lOve

Elle entra dans l'hôpital où elle travaillait depuis quelques temps maintenant. Elle avait eu beaucoup de mal à s'y remettre, elle avait traversée de long moment, journée de stress, mais elle avait réussis à surmonter tout ça et à reprendre son travail correctement. Tout bientôt elle devra s'arrêter et pour une fois ça l'embêtais de s'arrêter. Elle ne voulait pas. Mais elle était obligée. Évidement elle ne dira plus ça, une fois qu'elle aura son bébé dans les bras. Là elle ne voudra plus retournée travailler du tout, pour prendre soins de son enfant. Elle en avait perdue un déjà il y a quelques temps et elle avait vue ce que cela faisait. Alors elle ne voulait pas en prendre un deuxième. Mais elle avait aussi peur que cette peur de le perdre, allait faire, qu'elle allait être une maman trop protectrice, qu'elle allait même peut être étouffé son enfant, étouffé dans le sens sursursurprotéger. Elle chassa ses pensées d'un revers de main. Elle entra dans les vestiaires. Salua ses collègues de travail. Mis son habit de travail. Sa patronne avait du lui prendre un uniforme de grossesse, parce qu'elle ne rentrait plus dans l'autre. En parlant de sa patronne. Cette dernière rentra et s'approcha d'elle. Et me dit :

« Bonjour Miss Sullivan ! Comment allez-vous ? Tenez c'est votre lettre d'arrêt de travail pour grossesse ! Dans quinze jours ! Faut que vous vous reposiez maintenant ! ».
« Bonjour Madame ! Je vais bien merci et vous ? Oh merci j'avais complètement oublié ! Merci dans quinze jours d'accord ! »

Elles discutèrent encore une dizaine de minutes et elles reprirent leurs travail. Snow alla rejoindre les urgences, son poste de travail. Elle traita quelques patients, rien de méchant. Des maladresse de la part des patients, des bagarres. Normal quoi. Deux heures plus tard, commençant légèrement à fatiguer. Et bébé bougeant pas mal. Elle prit sa pause, alla boire son chocolat chaud. Et revint une demie heure plus tard. Elle reprit quelques patients. Puis partie manger un bout. Quand elle revint. Elle pris les dossiers qui était pour elle. Quand elle lut la fiche. Un sourire en coin apparut puis un soupir. Et quand elle se retourna elle croisa son regard. Elle s'approcha de lui et lui dit :

« Allé vient c'est moi ton infirmière ! Qu'est-ce qui t’arrive ? ».

Je le tutoyais sans gêne. On pouvait qualifier Juliet d'emmerdeur. Oui c'était le bon mot. Il adorait m'emmerder. Et a chaque fois qu'il venait à l'hôpital c'était sur moi qu'il tombait évidemment. Je l'emmenais dans une salle et lui demanda de s'installer.